Cavigny
Cavigny est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 268 habitants[Note 1].
Cavigny | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Saint-Lô |
Intercommunalité | Saint-Lô Agglo |
Maire Mandat |
Éric Follain 2020-2026 |
Code postal | 50620 |
Code commune | 50106 |
Démographie | |
Gentilé | Cavignais |
Population municipale |
268 hab. (2020 ) |
Densité | 40 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 11′ 36″ nord, 1° 06′ 35″ ouest |
Altitude | Min. 2 m Max. 66 m |
Superficie | 6,78 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Saint-Lô (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Pont-Hébert |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Géographie
La commune s'inscrit dans le parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin.
Elle se compose d'un bourg (Cavigny) et de plusieurs écarts[1] : les Claies de Vire, le Moulin de Roguereuil, Bahais, la Coquerie, la Perelle, la Porte Verte, le château de la Mare (avec sa chapelle), la Vignette, la Benardrie, la Haut Pignon, le Rond Buisson, l'Hôtel au Fresne, Hamel Bazire, la Grange à Dîme, la Mare aux Angots.
Elle est bordée par la Vire à l'est, et traversée par le ruisseau de Margalet.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pont-Hébert », sur la commune de Pont-Hébert, mise en service en 1996[10] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[11] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 972,3 mm pour la période 1981-2010[12].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, dans le département du Calvados, mise en service en 1945 et à 48 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,2 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Cavigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [17] - [18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Lô, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 63 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (66,2 %), terres arables (23,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,8 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Cavignaci au début du XIe siècle[24].
Toponyme gallo-romain °CAVIN(N)IACU, formé avec le suffixe gallo-roman -ACU ajouté à un nom de personne. Le premier élément est vraisemblablement l'anthroponyme gallo-romain Cavin(n)ius[25], d'où le sens global de « (domaine rural) de Cavin(n)ius »[26]. Ce type toponymique se rencontre de nombreuses fois en France sous les formes Chavigny, Chevigny, Chugny. François de Beaurepaire[27] a proposé le nom gallo-romain Cavannius, et donc implicitement la proto-forme gallo-romane °CAVANNIACU, opinion minoritaire qui représente néanmoins une autre possibilité, ni confirmée ni infirmée par les formes anciennes.
Le gentilé est Cavignais.
Microtoponymie
Le hameau Bahais, du gaulois bagacon (hêtraie). Hypothèse formulée dans l'article de l'ancienne commune : Bahais.
Les lieux-dits en Y-ère/-erie sont des habitats ultérieurs, résultant du développement démographique de la Normandie. Ils désignaient la ferme de la famille Y, fondée sur les nouvelles terres obtenues par les grands défrichements des XIe – XIIIe siècle. Les essarts prennent le nom des défricheurs, suivi de la désinence -erie ou -ière.
Les autres lieux-dits en (Hôtel / Hameau / Le / Clos / Pont / Maison)-Y sont des constructions plus tardives, ils désignaient un bien de la famille Y.
Histoire
Dans la première moitié du XIIe siècle, la paroisse relevait de l'honneur du Hommet[28].
Sous l'Ancien Régime, la paroisse faisait partie de la généralité de Caen, de l'élection de Carentan et Saint-Lô (en 1612 et 1636), puis de Carentan (en 1677), puis de Saint-Lô (en 1713). Elle dépendait de la sergenterie du Hommet.
Jusqu'en 1801, la commune fait partie du canton d'Esglandes.
Le hameau Bahais (de l'ancienne commune Bahais) fut rattachée à Cavigny en 1830.
Politique et administration
Les maires
Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[30].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].
En 2020, la commune comptait 268 habitants[Note 9], en augmentation de 14,53 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Cavigny a compté jusqu'à 655 habitants en 1886.
Économie
La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[35].
- Un Pôle Environnement a vu le jour en 2009. Le traitement des déchets est basé sur la biométhanisation. Ce procédé permet une dégradation accélérée des déchets et leur transformation, en compost utilisable en agriculture, d'une part, en biogaz utilisé pour la production d'électricité et de chaleur, d'autre part. Le Point Fort Environnement traite les déchets de 133 communes du Centre Manche, représentant 104 000 habitants.
- Chargé d'organiser la collecte sélective, de réaliser et d'exploiter les déchèteries et de traiter les différents déchets ménagers, le syndicat s'est engagé dans une gestion durable de ses déchets. La réalisation du pôle de traitement de Cavigny, incluant un centre de tri modernisé et une unité de méthanisation pour valoriser la fraction organique des ordures ménagères en électricité et en compost dote le Centre manche d'une filière durable pour le traitement de ses déchets.
- Plusieurs élevages bovins.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château de la Mare (XVIe – XIXe siècles)[36]. Il fut construit en 1630 par Michel de Saint-Martin (XVIe – XVIIe siècle), drapier à Saint-Lô et sieur de Cavigny, qui avait été anobli en 1614[36]. L'un de ses quatre fils, Michel de Saint-Martin, recteur de l'Université de Caen, abbé excentrique fut victime en 1687 d'une cérémonie burlesque que Molière reprit dans Le Bourgeois gentilhomme. Remanié par la famille Gigault de Bellefonds, il est inscrit au titre des monuments historique depuis le [37].
- Restes des six anciens fours à chaux de la Roque-Genêts en bordure de la Vire, inscrits au titre des monuments historiques depuis le [38].
- Les claies de Vire.
- Église Notre-Dame (XXe siècle)[36] reconstruite de 1957 à 1962 selon les plans des architectes Yves Cochepain, fils d'André Cochepain, et G. Cailler. Construite en remplacement de l'ancienne église entièrement détruite par les Américains lors des combats de la Libération ; les Allemands étaient cachés dans le clocher. Depuis l'église de Saint-Fromond, les Américains ont aperçu les masques à gaz des Allemands qui pendaient à travers les ouvertures du clocher. Les verrières en dalles de verre coulées dans du béton de la nouvelle église placées en bandeaux hauts dans la nef et autour du portail d'entrée sont l’œuvre du peintre Maurice Rocher (1918-1995) et ont été réalisées par l'atelier Barillet. L'édifice a été labellisée patrimoine du XXe siècle le [39], et un programme de restauration fut engagé à partir de 2016. Elle abrite une statue de saint Sébastien du XVIIe[36].
- Ruines, qui ne peuvent être visitées, de l'église Notre-Dame de Bahais, qui fut « délaissée » après le démembrement en 1836 de l'ancienne paroisse de Bahais entre Cavigny et Pont-Hébert[36]. L'église appartenait à la compagnie Chaufournière.
- Motte castrale à Thère, près du château de la Mare[40].
Personnalités liées à la commune
- Gabriel de Cussy (1745-1807), propriétaire à Cavigny, militaire et conseiller général de la Manche de 1802 à 1807[36].
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Géoportail », sur geoportail.fr (consulté le ).
- « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Pont-Hébert - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Cavigny et Pont-Hébert », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pont-Hébert - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Cavigny et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 545.
- Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, CNRS, t. III (les noms de personnes contenus dans les noms de lieux), 1985, p. 60a/b.
- Ce nom gallo-romain est en principe un dérivé diminutif en -inus de Cavius, qui semble reposer sur le latin cavus « creux ». Cependant, ce nom pourrait en fait représenter une variante de Cavannius, nom d'origine gauloise formé sur le gaulois cauannos « chouette », également à l'origine du français chat-huant (ancien français chahuan, normand cahuan).
- Nom des Communes de la Manche
- Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècle) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 188.
- Réélection 2014 : « Cavigny (50620) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Cavigny (50620) - Municipales 2014 », sur Ouest-france.fr - Municipales 2014 (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny
- Gautier 2014, p. 139.
- « Château de la Mare », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Deux groupes de fours à chaux », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Guy Le Hallé (préf. Hervé Morin, photogr. Yves Buffetaut), Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN 978-284673-215-4), p. 83 (Cavigny).
Voir aussi
Bibliographie
- René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 139
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Résumé statistique de Cavigny sur le site de l'Insee
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)