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Caudebec-lĂšs-Elbeuf

Caudebec-lÚs-Elbeuf est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Caudebec-lĂšs-Elbeuf
Caudebec-lĂšs-Elbeuf
L'Ă©glise Notre-Dame.
Blason de Caudebec-lĂšs-Elbeuf
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Laurent Bonnaterre
2020-2026
Code postal 76320
Code commune 76165
DĂ©mographie
Gentilé Caudebecais
Population
municipale
9 996 hab. (2020 en diminution de 2,15 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 2 716 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 16â€Č 54″ nord, 1° 01â€Č 20″ est
Altitude Min. 4 m
Max. 75 m
Superficie 3,68 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Caudebec-lĂšs-Elbeuf
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Liens
Site web caudebecleselbeuf.fr

    GĂ©ographie

    Caudebec-lĂšs-Elbeuf se trouve sur la rive gauche de la Seine. La commune est limitrophe d'Elbeuf et de Saint-Pierre-lĂšs-Elbeuf.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Voies de communication et transports

    La ville est desservie par les lignes A, C, E et F du réseau Astuce.

    Le bourg fut desservi par le tramway d'Elbeuf de 1898 Ă  1926.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 744 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Louviers », sur la commune de Louviers, mise en service en 1960[7] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 723,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  18 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Caudebec-lĂšs-Elbeuf est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Rouen, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 50 communes[17] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (81,1 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (69,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (70,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (10,4 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (10,2 %), terres arables (5,4 %), forĂȘts (1,7 %), eaux continentales[Note 8] (1,5 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Caldebec entre 962 et 996[24]; ecclesia de Caldebec en 1195; Caudebec 1206; In territorio de Caudebecco en 1228; In parrochia Sancte Marie de Caudebec en 1236; In territorio de Caudebec en 1236; Parrochia Sancte Marie de Caudebec juxta Eulebue avant 1273[25]; Caudebec aux XIIIe et XIVe siÚcles[26]; Caudebequet prÚs Elbeuf en 1472; Parrochia Notre Dame de Caudebequet en 1493; Notre Dame de Caudebec prÚs Elbeuf en 1583[27]; Fief et seigneurie de Caudebec vers 1778; Caudebequet en 1715 (Frémont) ; Caudebec en 1757 (Cassini); Caudebec ou Caudebequet en 1788; Caudebec-lÚs-Elbeuf en 1953[28].

    La commune est située à l'emplacement de l'ancienne Uggade de la table de Peutinger, datée de l'an 300 et qui est un itinéraire des voies romaines. Uggade est un nom de lieu celtique (gaulois) de sens inconnu[24].

    Le nom actuel Caudebec est mentionné sous la forme la plus ancienne Caldebec en 962-996, exactement semblable à celle de Caudebec-en-Caux, également Caldebec vers 1025[24].

    Le second élément -bec est fréquent dans l'hydronymie et la toponymie normande (ex : Bolbec, Foulbec, le Robec), il procÚde du vieux norrois bekkr « ruisseau ». En ancien normand, il est utilisé en emploi autonome pour désigner un ruisseau, comme le Bec au Bec-Hellouin, ainsi que son dérivé Becquet (Béquet) « ru, ravine ». Le premier élément Calde- est réguliÚrement devenu Caude- en français et est issu du vieux norrois kaldr « froid » (cf. allemand kalt, anglais cold), tout comme dans les nombreux Cautecotte, Caudecotte, CÎte-cÎte, Cotte-Cotte de Normandie, mentionnés dans les sources anciennes en tant que Caldecote, correspondant des Caldcott anglais, aux Kallekot norvégiens et koldkÄd danois[29]. Il s'est parfois confondu en normand avec le terme dialectal caude qui signifie exactement le contraire, c'est-à-dire « chaude », par exemple dans Caudemuche (Cresseveuille, Calvados).

    Le sens global du toponyme Caudebec est donc « ruisseau froid »[24].

    Il a pour Ă©quivalent exact Caldbeck (GB, Cumberland, Caldebeck 1060)[24].

    Le déterminant complémentaire lÚs-Elbeuf signifie « à cÎté d'Elbeuf ». En effet, l'ancien français lez / lÚs veut dire « à cÎté de » du latin lătus (cf. latitude).

    Histoire

    La place de l'HÎtel-de-Ville au début du XXe siÚcle, avec la station du Tramway d'Elbeuf.
    À la mĂȘme Ă©poque, la rue et la place de la RĂ©publique.

    Uggade est situĂ©e sur la voie ancienne qui conduit de Rouen Ă  Paris. De nombreuses dĂ©couvertes archĂ©ologiques d'Ă©poque antique tĂ©moignent de l'importance de cette station gallo-romaine. On a exhumĂ© des sĂ©pultures, des traces de bĂąti (thermes, fanum
), ainsi que de nombreux objets recueillis dans les tombes ou collectĂ©s ailleurs : des statuettes, des monnaies gauloises et romaines, des bijoux, des objets divers de la vie quotidienne et quelques armes. Parmi ces objets, une « vĂ©nus Ă  gaine » dĂ©couverte au XIXe siĂšcle a retenu l'attention. C'est une petite poterie reprĂ©sentant une figure fĂ©minine dĂ©nudĂ©e avec un torque autour du cou, dĂ©corĂ©e de rouelles sur le corps et le long des jambes. On peut y lire l'inscription en celtique : rextugenos sullias avvot qui selon les spĂ©cialistes[30] signifie : « Rextugenos fils de Sullias m'a fait ». C'est donc la signature d'un potier, auteur par ailleurs de nombreuses autres vĂ©nus Ă  gaine.

    Loys de Robersart est nommĂ© commandant Ă  Caudebec-lĂšs-Elbeuf par Henri V d'Angleterre lors de la conquĂȘte de le Normandie au XVe siĂšcle[31].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1936 Albert Renault
    (1863-1954)
    Ouvrier mécanicien, Président de la coopérative La Solidarité[32]
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 mars 1983 André Fluteau
    (1929-2019)
    PS Professeur au lycée André-Maurois
    mars 1983 juin 1995 André Démare DVD Ancien fleuriste
    juin 1995 2014[33] Noël Caru[34] PS
    puis DVG
    Retraité de l'enseignement
    2014 En cours
    (au 10 août 2020)
    Laurent Bonnaterre PS puis
    DVG[35] - [36]
    puis Horizons
    Chef d'entreprise
    PrĂ©sident de Rouen Normandie Tourisme et CongrĂšs (2018 → 2020 )
    Conseiller régional de Normandie (depuis 2021)
    RĂ©Ă©lu Maire pour le mandat 2020-2026[37] - [38]

    Économie

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[40].

    En 2020, la commune comptait 9 996 habitants[Note 9], en diminution de 2,15 % par rapport Ă  2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 5602 6202 6003 5143 9305 2956 0517 1827 292
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8 2736 9039 18410 71511 33811 29011 03810 43410 332
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9 7519 4079 0799 5938 9988 7868 5628 9539 429
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    9 2709 5959 4698 9639 9029 9049 6769 60310 154
    2018 2020 - - - - - - -
    10 1569 996-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee Ă  partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Sa tour romane a été construite au XIe siÚcle, ce qui en fait le plus ancien édifice de la vallée d'Elbeuf. C'est le seul monument qui a résisté à la guerre de Cent Ans. L'orgue de l'église a été érigé en 1891 par Aristide Cavaillé-Coll. Les orgues de Caudebec n'ont subi aucune transformation depuis leur construction, contemporaine des modifications majeures sous la responsabilité de l'architecte Jacques-EugÚne Barthélémy.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Armes de Caudebec-lĂšs-Elbeuf

    Les armes de la commune de Caudebec-lĂšs-Elbeuf se blasonnent ainsi :

    Parti : au 1) de gueules Ă  la faucille contournĂ©e et Ă  la branche de gui d’or posĂ©s en sautoir accompagnĂ©es en chef d’une lance versĂ©e et d’une francisque passĂ©es en sautoir brochant sur un bouclier gaulois en bande sommĂ© d’un casque gaulois ailĂ© contournĂ©, le tout aussi d’or, et en pointe d’un dolmen du mĂȘme chargĂ© de l’inscription en capitales de sable « ESUS » ; au 2) d’azur Ă  la louve allaitant Romulus et Remus, le tout d’or posĂ© sur un socle du mĂȘme chargĂ© de l’inscription en capitales de sable « ROMA » et surmontĂ© d’une enseigne, d’un faisceau de licteur, d’un glaive et d’une trompe passĂ©s en barre, bande, pal et fasce, brochant sur un bouclier rond, le tout d’or.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Henri-Michel Saint-Denis, Notice historique sur Caudebec-lĂšs-Elbeuf

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Louviers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Caudebec-lÚs-Elbeuf et Louviers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Louviers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Caudebec-lÚs-Elbeuf et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. François de Beaurepaire (ouvrage publié avec le concours du CNRS), Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, (ISBN 978-2-7084-0040-5), p. 57.
    25. Archives départementales de la Seine-Maritime, 16 H f. 117.
    26. Archives départementales de la Seine-Maritime, 14 H 17 f. 172.
    27. Archives départementales de la Seine-Maritime, Tab. Rouen.
    28. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 203.
    29. Jean Renaud, Les Vikings et la Normandie, éditions Ouest-France université.
    30. Pierre-Yves Lambert, La Langue gauloise, Ă©dition errance 1994.
    31. Page 341, tome II, Lettres des Rois ; reines et autres personnages des cours de France et d'Angleterre depuis Louis VII jusqu'à Henri IV -Tiré des archives de Londres par Bréquigny et publié par M. Champollion-Figeac- Paris imprimerie royale MDCCXLVII
    32. http://maitron-en-ligne.univ-paris1.fr/spip.php?article128551, notice RENAULT Albert, Armand , version mise en ligne le 30 novembre 2010, derniĂšre modification le 30 novembre 2010.
    33. Carole Belingard, « Municipales Ă  Caudebec-lĂšs-Elbeuf : un duel Ă  gauche : Dans cette commune de prĂšs de 10.000 habitants, la gauche part divisĂ©e. Le maire sortant conduit une liste divers gauche, alors que le Parti Socialiste a investi le Fabiusien Laurent Bonnaterre », France 3 Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « NoĂ«l Caru, maire sortant ĂągĂ© de 65 ans, se reprĂ©sente pour un quatriĂšme mandat. Il mĂšnera une liste divers gauche. Depuis 2010, il a rompu avec les conseillers municipaux socialistes Ă  cause de leurs votes contre l'Ă©coquartier. Une dĂ©fection que le maire ne leur a jamais pardonnĂ©e.. ».
    34. « Seine-Maritime : dĂ©cĂšs de NoĂ«l Caru, ancien Maire de Caudebec-lĂšs-Elbeuf », InfoNormandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Elu Ă  Elbeuf, puis dans l'opposition Ă  Caudebec-lĂšs-Elbeuf il avait pris les rĂȘnes de la mairie en 1995 et avait Ă©tĂ© constamment rĂ©Ă©lu jusqu'en 2014 ».
    35. Thomas Rideau, « Laurent Bonnaterre, le maire de Caudebec-lĂšs-Elbeuf, quitte le parti socialiste : Le maire de Caudebec-lĂšs-Elbeuf, dans l’agglo d’Elbeuf a dĂ©cidĂ© de quitter le PS », Le Journal d'Elbeuf,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Des tensions, entre le PS et lui, qui avaient Ă©tĂ© particuliĂšrement visibles lors de la tentative de Laurent Bonnaterre d’accĂ©der Ă  la prĂ©sidence de la MĂ©tropole Rouen Normandie, cet Ă©tĂ© 2019. Une tentative qui avait Ă©tĂ© avortĂ©e par son propre camp et notamment Nicolas Rouly, le responsable PS de Seine-Maritime ».
    36. Thomas Rideau, « Municipales 2020. Laurent Bonnaterre fera campagne « en dehors des partis » pour Caudebec-lĂšs-Elbeuf : Le maire de Caudebec-lĂšs-Elbeuf, Laurent Bonnaterre se reprĂ©sente Ă  la mairie », Le Journal d'Elbeuf,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Il a dĂ©missionnĂ© du PS en septembre 2019. Et s’est rapprochĂ© de la RĂ©publique en Marche appelant Ă  la crĂ©ation d’un « pĂŽle de gauche » dans la majoritĂ© actuelle ».
    37. « Municipales 2020. Laurent Bonnaterre, maire sortant de Caudebec-lĂšs-Elbeuf prĂ©sente ses colistiers : Le maire sortant et dĂ©sormais seul candidat dans sa commune, Laurent Bonnaterre, a prĂ©sentĂ© ses colistiers », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    38. « Conseil d’investiture Ă  Caudebec-lĂšs-Elbeuf : et de deux pour Laurent Bonnaterre ! : Deux mois aprĂšs le premier tour des municipales, l’élection du maire a pu enfin avoir lieu samedi », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Sans surprise, la trentaine de conseillers prĂ©sents ont tous validĂ© la nomination de Laurent Bonnaterre au poste de maire pour un deuxiĂšme mandat ».
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    43. En 1869, il prit sa premiÚre fonction de curé à Caudebec-lÚs-Elbeuf.
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