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Caro (Morbihan)

Caro [kaʁo] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne. Elle fait partie de la communauté de communes de l'Oust à Brocéliande.

Caro
Caro (Morbihan)
Route menant vers le bourg.
Blason de Caro
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité De l'Oust à Brocéliande Communauté
Maire
Mandat
Erwan Gicquel
2020-2026
Code postal 56140
Code commune 56035
Démographie
Gentilé Caroyens, Caroyennes
Population
municipale
1 143 hab. (2020 en diminution de 4,11 % par rapport à 2014)
Densité 30 hab./km2
Population
agglomération
16 453 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 51′ 53″ nord, 2° 19′ 05″ ouest
Altitude 123 m
Min. 14 m
Max. 128 m
Superficie 37,74 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Ploërmel
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moréac
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Caro
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Caro
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Caro

    Géographie

    Situation

    À proximité de la petite ville de Malestroit, la commune rurale de Caro occupe une position excentrée au nord-est de son bassin. D'une superficie de 3772 hectares, elle est bordée par huit autres communes : Réminiac, à l'est, Augan au nord, Monterrein au nord-ouest, la Chapelle-Caro et Saint-Abraham à l'ouest, Saint-Marcel au sud-ouest et Missiriac et Ruffiac au sud. Ses dimensions sont relativement importantes, soit 10,5 km d'est en ouest et 7 km du nord au sud.

    L'attitude moyenne de la commune est de 90 mètres. Le bourg occupe une position centrale et dominante au cœur d'un réseau abondant de villages et de hameaux. Positionné sur un point haut (environ 125m), il surplombe un paysage particulièrement vallonné. Bien que modeste, cette altitude est l'une des plus élevées du pays de Guer à Ploërmel.

    Le remembrement de 1976 a profondément transformé l'identité bocagère[1] de la commune mais elle reste relativement boisée, notamment au centre et vers l'est. La lande de Chêne-Tort, ou bois de Chêne-Tort, a conservé son caractère forestier, matérialisant la séparation avec les communes voisines de Monterrein et de la Chappelle-Caro au nord du village de la Gajale.

    Géologiquement[2] - [3], le territoire communal de Caro est positionné sur le synclinal paléozoïque isolé de Réminiac[4], constituant le contrefort méridional de l'ellipse de Réminiac[5]. Cette assise briovérienne est dominée par le schiste. A l'ouest, une bande de terres alluvionnaires du quaternaire s'étend jusqu'à l'Oust, principale rivière de la région.

    Le Bas-Caro, des villages de Kesrablon à la Bourzaie, est sous-bassée de schiste du briovérien moyen et supérieur (ère Primaire). Une bande de grès traverse la commune du bois de Chêne-Tort jusqu'au village de la Métairie-Neuve (cambrien et trémadocien), englobant le bourg. Le schiste lui succède pratiquement sur tout le reste la commune. À l'extrémité nord-est, une autre enclave de grès entoure le village de la Ville-Buo. Des gisements fossilifères schisteux existent, notamment au hameau de Chaudeveille sur les hauteurs du bourg et au Valet.

    Le grès a fait l'objet d'une exploitation à usage de d'empierrement des routes et des chemins, ainsi qu'à la construction. De nombreuses maisons sont bâties avec cette pierre extraite jadis du sol communal. Il est établi également que la tour-clocher de l'église paroissiale de Caro[6] a été bâtie avec des pierres de grès provenant de la Ville-Buo. Le schiste a également été exploité, d'anciennes cavités témoignent de la présence d'une ancienne carrière ardoisière à la Gerbaudaie. Son exploitation a pris fin dans les années 60.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 810 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ploërmel », sur la commune de Ploërmel, mise en service en 1951[13] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[14] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 749,7 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Vannes-Séné », sur la commune de Séné, mise en service en 1998 et à 41 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 12,3 °C pour 1981-2010[17] à 12,4 °C pour 1991-2020[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Caro est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [19] - [20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ploërmel, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,7 %), zones agricoles hétérogènes (22,4 %), forêts (9,4 %), zones urbanisées (1,9 %), prairies (1,7 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Caroth en 833 et 1131, Caroch de nouveau en 1131, Charoth en 1148, ecclesia de Karou en 1330[26] et Caro au XVIe siècle[27].

    Caro, en breton Karozh, a le sens de Karv , ar c'harv, substantif masculin prononcé "Karo", et signifiant « le cerf ». Ce sens se retrouve signifié dans les armoiries de la commune. Caro pourrait aussi venir du mot Carrofum, qui équivaut au mot latin quadruvium (carrefour)[28].

    Deux autres hypothèses de traduction sont également possibles :

    - En se basant sur le nom "Caroth" présent en 833, 856, 859 et 878. En effet, la 1ère partie "Car" serait à rapprocher du vieux breton "Caer" qui signifie village. La seconde partie "Roth", quant à elle, pourrait être associée au breton "Ros" qui signifie "tertre". La traduction serait alors le village du tertre ce qui semble parfaitement correspondre à la géographie.

    - En se basant sur le nom "Caroch" présent en 1131. La 1ère partie "Car" signifiant toujours village, la seconde partie "Roc'h" signifiant le rocher, ce qui donnerait le village du rocher. Cette hypothèse pourrait se tenir si des dolmens/allées couvertes étaient présents à proximité comme c'est le cas au lieu dit Kerroc'h à Ploemeur (dolmen), Kerroc'h à Quéven (dolmen à couloir), Kerroch à Plouharnel (dolmen) ou Kerroc'h à Plouneour-Trez (le village de Caro était-il présent à un autre endroit ? à proximité de la stèle du Pommant, du menhir de Bodel ou des allées couvertes du Chêne-Tord, du Grand-Village, du Fray ou du Lobo ?).

    Histoire

    Préhistoire

    Les hommes de la Préhistoire se sont installés sur le territoire de Caro et y ont édifié un monument mégalithique qui nous est resté : l'allée couverte du Grand Village.

    Antiquité

    La voie romaine d'Angers à Carhaix, dite « Chaussée d'Ahès », sert de limite à la commune avec celle de Missiriac. Une borne romaine dite de Tétricus-le-Jeune, y a été trouvée au lieu-dit les Terres de Crohenneuc, lors de travaux effectués sur la chaussée en 1976.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 1792 Joachim Quérant (père) Réfractaire Meunier à Bodel, Officier public élu
    1792 1793 Joachim Quérant (fils) Réfractaire Officier public élu
    Meunier à Bodel puis instituteur à Josselin
    1793 1793 François Lacroix Royaliste Officier public élu
    1793 1796 Pierre Houeix Royaliste Officier public élu
    1796 1797 François Plisson Royaliste Agent municipal élu
    1797 1797 François Le Fort
    1797 1800 Julien Réminiac Laboureur à la Planche
    1800 1805 Jean-Marie Burban
    1805 1816 François René Picot du Boisby Royaliste Ancien conseiller au parlement de Bretagne
    1816 1830 Louis Jean Anger de Kernisan Royaliste Officier, ancien seigneur de Saint-Denis
    1830 1839 Jean-Louis Guilloux(décès)
    1839 1852 Pierre Touzée Laboureur à la Planche
    1852 1878 Jean Marie Druais(décès)
    1878 1908 Jules Henri de Montfort(décès) Monarchiste Propriétaire du domaine du Lobo
    1908 1920 Charles de Lespinay de Marteville de Pancy Propriétaire du domaine du Clio
    1920 1921 Joseph Burban Boucher au bourg
    1921 1921 Pierre Maubec Cultivateur au Bézy
    1921 1942 Victor Alexandre Drouet d'Aubigny Conservateur Propriétaire du domaine du Lobo (gendre de Jules de Montfort)
    1943 1967(décès) Pierre Bocandé MRP Cultivateur
    1967 1983 Roger Rétif DVD Marchand de bestiaux au bourg
    1983 2001 Roger Frapsauce DVD Agriculteur à la Bruyères
    2001 23 mai 2020 Noël Colineaux UMP-LR Cadre supérieur (secteur privé)[29]
    23 mai 2020 En cours Erwan Gicquel[30]

    Les habitants de Caro sont appelés Caroyens, Caroyennes.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

    En 2020, la commune comptait 1 143 habitants[Note 7], en diminution de 4,11 % par rapport à 2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6501 6921 6851 3941 6011 6081 5571 6161 619
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5841 5971 5531 5311 6061 6121 6121 6181 597
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5521 5721 5361 5101 4661 5081 5021 2591 354
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 3161 2591 1441 0871 0531 0961 1291 1341 170
    2017 2020 - - - - - - -
    1 1511 143-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Caro possède deux écoles primaires, une publique et l'autre catholique.

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Hervé.
    • Allée couverte du Grand Village, site mégalithique.
    • Borne leugaire romaine de Tétricus (Note : les bornes leugaires romaines indiquent les distances en lieues gauloises et non, comme les bornes milliaires, en mille romains, )
    • Borne milliaire romaine de la Tétrarchie, servant de support à la croix du cimetière de Caro.
    • Croix de l'Étang.
    • Croix Boucher.
    • Manoir de Bodel.
    • Manoir du Thay

    Héraldique

    Les armoiries de Caro se blasonnent ainsi :

    De gueules au cerf passant d’argent, au chef d’hermines.
    Conc. B. Frelaut.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[10].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Archives CD56, « Accueil », sur Archives départementales du Morbihan (consulté le ).
    2. « Atlas géologique du Morbihan ».
    3. « Cartes géologiques - SIGES Bretagne - ©2020 », sur sigesbre.brgm.fr (consulté le ).
    4. André Darte, « Les abrupts asymétriques du Massif armoricain. 2e série : les abrupts de l'ellipse de Réminiac », Norois, vol. 50, no 1, , p. 157–173 (DOI 10.3406/noroi.1966.1778, lire en ligne, consulté le ).
    5. Yves Quete, « L'évolution géodynamique du domaine centre armoricain au paléozoïque inférieur : l'ellipse de Reminiac », Thèse, Université de Rennes, (lire en ligne, consulté le ).
    6. « Église paroissiale Saint-Hervé (Caro) - Inventaire Général du Patrimoine Culturel », sur patrimoine.bzh (consulté le ).
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Ploërmel - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Caro et Ploërmel », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Ploërmel - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Caro et Séné », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Ploërmel », sur insee.fr (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. Jean-Yves Le Moing, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Spézet, Coop Breizh, (ISBN 2-903708-04-5 et 978-2-903708-04-7, OCLC 236056804, lire en ligne), p. 338
    27. Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620, lire en ligne), p. 39
    28. « Étymologie et HIistoire de Caro », sur infobretagne.com (consulté le ).
    29. « Résultats des élections législatives 2022 à Caro 56140 », sur lemonde.fr (consulté le ).
    30. « Caro. Revivez l’installation du nouveau conseil municipal », sur Les Infos du pays gallo, 23mai 2020 (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Patrick André, Le milliaire de Caro - une dédicace à Tetricus-le-Jeune, Annales de Bretagne, no 85, 3, 1978, p. 349-360
    • Atlas de l'environnement du Morbihan - site du Conseil général du Morbihan
      Monographie de la commune de Caro, par le Dr Patrick Mahéo - Caro : Mille ans d'Histoire
      • Tome I : Des origines à 1793 (1988)
      • Tome II : De la Révolution à nos jour (1990)

    Articles connexes

    Liens externes

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