AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Campigny (Eure)

Campigny est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Campigny
Campigny (Eure)
L'Ă©glise Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes de Pont-Audemer / Val de Risle
Maire
Mandat
Jean-Marc Bisson

Absent
2020-2026

Code postal 27500
Code commune 27126
DĂ©mographie
Gentilé Campignois
Population
municipale
1 101 hab. (2020 en diminution de 2,74 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 103 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 18â€Č 40″ nord, 0° 33â€Č 17″ est
Altitude Min. 15 m
Max. 128 m
Superficie 10,74 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Pont-Audemer
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Pont-Audemer
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Campigny
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Campigny
GĂ©olocalisation sur la carte : Eure
Voir sur la carte topographique de l'Eure
Campigny
GĂ©olocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Campigny

    GĂ©ographie

    Localisation

    Campigny est une commune du Nord-Ouest du département de l'Eure, en Normandie. Située au sud de Pont-Audemer et à l'ouest de la vallée de la Risle, elle appartient à la région naturelle du Lieuvin[1].

    Hydrographie

    La commune est traversĂ©e, Ă  l'ouest, par la VĂ©ronne[4] et Ă  l'est, par la riviĂšre des Échauds[5].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[6]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 833 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[10] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[11] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lieurey », sur la commune de Lieurey, mise en service en 2000[12] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[13] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 879,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[14]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et Ă  35 km[15], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[16] Ă  10,7 °C pour 1981-2010[17], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Campigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [19] - [20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pont-Audemer, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (72,1 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (72,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (45,5 %), prairies (26,6 %), forĂȘts (22,2 %), zones urbanisĂ©es (5,8 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Campigniacum en 1033 (Neustria pia), Campeniacus en 1034 (Gallia Christiana), Campiniacus en 1091 (cartulaire de Préaux), Campigneyum (1er pouillé de Lisieux), Campigneium en 1203 (M. R.) et Campigny-sur-Vérone en 1828 (Louis Dubois)[26].

    Il s'agit d'un nom de domaine gallo-romain en -iacum, composĂ© avec le nom de personne bas-latin Campanus[27]. Le type Campaniacum > Campiniacum a Ă©tĂ© Ă©galement Ă©tudiĂ© par Ernest NĂšgre qui Ă©met la mĂȘme hypothĂšse et par Michel Roblin qui explique le premier Ă©lĂ©ment diffĂ©remment, Ă  savoir par le gallo-roman *CAMPANIA « vaste Ă©tendue de pays plat et dĂ©couvert », issu du bas latin campania « plaine, campagne » (> ancien français champagne, français campagne, emprunt au normanno-picard), associĂ© au mĂȘme suffixe -acum, Ă©tant donnĂ© le grand nombre de formations de ce type[28].

    La forme francienne (français central) est représentée par le type Champigny, dont Champigny-la-Futelaye, autre commune de l'Eure, mais située dans la campagne de Saint-André. Elle se trouve au sud de la ligne Joret, c'est pourquoi elle a subi la palatalisation du groupe [ca-].

    Histoire

    Le village fait partie du domaine de Torf au moment de la conquĂȘte normande. Les seigneurs de Tourville y fondent le prieurĂ© de Sainte-Marie-l'Égyptienne, citĂ© en 1350 dans le pouillĂ© de Lisieux.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 2014 Christian Rouland
    mars 2014 En cours Jean-Marc Bisson SE
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[30].

    En 2020, la commune comptait 1 101 habitants[Note 8], en diminution de 2,74 % par rapport Ă  2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    851757827757801801788771739
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    700668644561514512502481422
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    399404381337308330318350379
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    4065055097058078038188361 018
    2015 2020 - - - - - - -
    1 1581 101-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'entreprise Shaman, marque de vĂȘtements Ă  l'humour dĂ©calĂ©, est installĂ©e dans les locaux de l'ancienne usine de fabrication de boĂźtiers Ă©lectroniques SERBE (siĂšge social Ă  Saint-Mards-de-Blacarville). FondĂ©e par Sami Chaalan et sa compagne Elsa Levrel, elle emploie une vingtaine de personnes[33].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Notre-Dame.

    Natura 2000

    • Risle, Guiel, Charentonne[34].

    ZNIEFF de type 1

    • Les prairies du ricque des cailloux et la riviĂšre des Ă©chaudĂ©s[35] ;
    • La cavitĂ© des bruyĂšres[36].

    ZNIEFF de type 2

    Site classé

    • L'Ă©glise, le cimetiĂšre, la place dite «La Pelouse», le rideau de 7 hĂȘtres bicentenaires, le bel if et les 26 tilleuls de la place communale. Logo des sites naturels français Site classĂ© (1948)[38].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[9].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Le Lieuvin », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Véronne (H6249000) » (consulté le ).
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - La riviĂšre des Échauds (H6241000) » (consultĂ© le ).
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    10. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    11. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station Météo-France Lieurey - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Campigny et Lieurey », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Lieurey - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Campigny et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    26. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du dĂ©partement de l’Eure, Paris, 1877, p. 45 (lire en ligne sur DicoTopo) .
    27. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 83
    28. Michel Roblin, Le Terroir de Paris aux Ă©poques gallo-romaine et franque : peuplement et dĂ©frichement dans la Civitas des Parisii (Seine, Seine-et-Oise), prĂ©face de M. Albert Grenier, membre de l’Institut, Ă©d. A. et J. Picard, Paris, 1951, 381 p.; rĂ©Ă©d. A. et J. Picard, Paris, 1971, XIV-491 p. — ThĂšse soutenue Ă  l’universitĂ© de Paris. — Compte-rendu d'Albert Dauzat in Revue internationale d'onomastique III, 1951, p. 231-236.
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. « InstallĂ©e Ă  Campigny, la marque et l’humour Shaman sĂ©duisent partout en France », sur Actu.fr (consultĂ© le ).
    34. « Risle, Guiel, Charentonne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    35. « Les prairies du ricque des cailloux et la riviÚre des échaudés », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    36. « La cavité des bruyÚres », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    37. « La vallĂ©e de la Risle de Brionne Ă  Pont-Audemer, la forĂȘt de Montfort », sur MusĂ©um national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
    38. « L'église, le cimetiÚre, la place de Campigny », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.