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Caisse primaire d'assurance maladie

Une caisse primaire d'assurance maladie (CPAM) est un organisme, lié à la santé et exerçant une mission de service public en France. Elle assure les relations de proximité avec les ayants droit de la Caisse nationale d'assurance maladie (CNAM)[1]. Dans les départements et régions d'outre-mer (DROM), la CPAM est gérée par la caisse générale de sécurité sociale (CGSS).

Caisse primaire d'assurance maladie
CPAM du Val-de-Marne à Créteil.
agence publique
Secteur d'activitéactivités générales de sécurité sociale Modifier
Nom courtCPAM Modifier
Domaine d'activitéassurance maladie Modifier
PaysFrance Modifier
Forme juridiquerégime général de la sécurité sociale Modifier

Histoire

De 1945 Ă  nos jours

Les ordonnances des 4 et promulguées par le gouvernement du Général de Gaulle créent une organisation de la Sécurité sociale. Ces ordonnances fusionnent toutes les anciennes assurances (maladie, retraite, etc.) et constituent une rupture avec une ancienne forme de prise en compte du social qui datait de l'avant-guerre. Elles prévoient le principe d'une « gestion des institutions de Sécurité sociale par les intéressés ».

Avec l'allongement de l'espérance de vie, le développement des progrès médicaux et l'amélioration des retraites, la Sécurité sociale se trouve bientôt en butte à des difficultés financières. Pour y faire face, une ordonnance de 1967 instaure une séparation en branches autonomes : maladie, famille et vieillesse. Chaque branche est alors responsable de ses ressources et de ses dépenses.

La réforme de 1996 implique une nouvelle chaîne de responsabilités entre les acteurs du système de protection sociale : gouvernement, Parlement, gestionnaires des systèmes de Sécurité sociale, professions de santé et assurés sociaux.

La réforme adoptée en 2004 par le Parlement vise à sauvegarder le régime d'assurance maladie tout en préservant et en consolidant ses principes fondamentaux : l'égalité d'accès aux soins, la qualité des soins et la solidarité.

Depuis le , à la suite de l'intégration des travailleurs indépendants au régime général, la gestion de l'assurance maladie obligatoire, précédemment assurée par La Ram, est gérée par la CPAM du lieu de résidence ou la CGSS pour les DROM[2].

Missions actuelles

Les missions d'une CPAM sont les suivantes :

  • affilier les assurĂ©s sociaux et gĂ©rer leurs droits Ă  l'Assurance maladie ;
  • traiter les feuilles de soins et assurer le service des prestations d'assurance maladie et d'accidents du travail / maladies professionnelles (remboursement des soins, paiement des indemnitĂ©s journalières, avance des frais mĂ©dicaux aux bĂ©nĂ©ficiaires de la protection universelle maladie [PUMA], etc.) ;
  • appliquer chaque annĂ©e, en relation avec les professionnels de santĂ©, un plan d'action en matière de gestion du risque ;
  • dĂ©velopper une politique de prĂ©vention et de promotion de la santĂ© (dĂ©pistage des cancers, des dĂ©ficiences, etc.) ;
  • assurer une politique d'action sanitaire et sociale par des aides individuelles aux assurĂ©s et des aides collectives au profit d'associations.

Organisation

Chaque dĂ©partement de la France mĂ©tropolitaine possède au moins une CPAM, mais certains dĂ©partements en possèdent plusieurs. C'est, par exemple, le cas dans le dĂ©partement du Nord qui compte 4 CPAM (Lille-Douai, Roubaix-Tourcoing, Flandres, Hainaut) ou encore dans le Pas-de-Calais qui compte deux caisses (Artois et CĂ´te d'Opale).

Les CPAM sont au nombre de 102. Ses agents ne sont pas des fonctionnaires. Ils sont des salariés de droit privé employé par des organismes de droit privés. Ils relèvent de plusieurs conventions collectives notamment la Convention collective nationale de travail du personnel des organismes de Sécurité sociale[3].

Les caisses primaires d'assurance maladie (CPAM) sont enregistrées au conseil supérieur de la mutualité[4]. Ceci confirme leur statut d'organismes de droit privé[5].

Système d'information des caisses

C'est en 1979, que la carte d'assuré social (CAS), un document national informatisé violet, a remplacé la carte initiale d’immatriculation dont le modèle avait été fixé par décret en 1946. Cette carte marque le début de l'informatisation des régimes d'assurance maladie avec le Système National.

LASER

Il est remplacé progressivement par le système LASER (Liquidation Assistée Sur Équipements Répartis) basé sur la saisie manuelle des données sur écran/clavier et le traitement sur unité centrale[6]. La CNIL donne son accord le [7] . Par ailleurs, la CNIL donnera un accord le 21 juin 1988 pour la mise à disposition des CPAM d'un système complémentaire nommé LASER CONVERGENCE[8].

C'est fin 1986 que les CPAM de Marseille et de Toulouse expérimentent les premiers échanges par transcription magnétique et la télétransmission avec des tiers (pharmacies, cliniques).

En juin 1996, se termine la montée en charge du système LASER, le système informatique de production des caisses, installé dans les unités de gestion réparties dans les services centraux et les centres de paiement.

RAMAGE

La transmission non sécurisée des flux de facturation se faisait via le réseau RAMAGE (Réseau de l’Assurance Maladie du régime Genéral) et sans carte à puce[9] était constitué :

  • d'une partie privative avec des lignes spĂ©cialisĂ©es entre les CPAM et leur CETELIC (Centre de Traitement ÉLectronique InterCaisse) de rattachement ;
  • et une partie publique (Transpac) pour les connexions entre les 8 centres inter-rĂ©gionaux CETELIC et entre les CETELIC et le serveur national installĂ© au CREDI Paris II.

Ce rĂ©seau X.25 utilisait un protocole de transmission synchrone point Ă  point Xmodem/Cnamts[10]. Ce protocole de transfert des fichiers ne supportait qu'un Ă©change par unitĂ©s de 128 caractères regroupĂ©s en blocs de 8 128 caractères maximum. Le dĂ©bit de 2 400 bit/s entrainait souvent une saturation aux heures de pointe. Les flux transmis concernaient surtout les pharmaciens, les infirmières libĂ©rales et les kinĂ©sithĂ©rapeutes.

À la suite de la généralisation d'une norme nationale et inter-régimes (IRIS (Interface Réseau Information Services)/B2), cette dématérialisation des factures se développe au début des années 1990 avec la certification de progiciels de facturation.

Les retours NOEMIE (Norme Ouverte Entre la Maladie et les Intervenants ExtĂ©rieurs) permettent aux professionnels de santĂ© de rĂ©cupĂ©rer les Ă©ventuels rejets de factures pour correction. Mais les professionnels devaient saisir manuellement et de manière exhaustive les informations Ă  partir des attestations papier des assurĂ©s mais il fallait, en plus des flux numĂ©riques, adresser des duplicatas papiers par courrier postal aux diffĂ©rentes caisses. Le gros avantage Ă©tait, pour les professions faisant des tiers payants, un règlement nettement plus rapide en 5 jours contre 2 mois pour les factures papiers.
En dĂ©cembre 1997, selon la Direction des Systèmes Informatiques de la CNAM[11], 65,5 % des 23 000 officines de pharmacie, 59 % des 44 000 infirmières, 44,5 % des 34 500 kinĂ©sithĂ©rapeutes, 37 % des 4 000 laboratoires de biologies transmettaient en IRIS B2 certaines factures en tiers payant.

Progrès

Depuis 2000, les données de facturation des soins sont intégrées dans les systèmes d’informations de l’assurance maladie selon deux modes :

Une « saisie Ă  la source »

C'est-à-dire directement par les professionnels de santé via la génération des Feuilles de Soins Électroniques (FSE) ;

Une saisie des feuilles de soins papier

Réalisée manuellement par les agents avec le système informatique Progrès-PN (Prestations en Nature), successeur de LASER, ou par numérisation par scanners des feuilles de soins avec le système Synergie.

Progrès est l'application de saisie et de consultation des prestations de l’assurance maladie. Ce système gère les Prestations en Nature, mais aussi les référentiels assurés/bénéficiaires ainsi que le remboursement des indemnités journalières :

  • progrès-PN sert pour la saisie des prestations en nature ;
  • progrès-PE/MAJ est utilisĂ© pour la liquidation des prestations en espèces (PE) et la mise Ă  jour (MAJ) des donnĂ©es des assurĂ©s dans la Base de DonnĂ©es OpĂ©rante (BDO).

En , le système central de traitements des données (Systèmes Progrès et IRIS) fonctionnant dans les CTI de l'assurance maladie est modifié par la mise en place de :

  • IMAGE (InforMatisation de l'Archivage par la Gestion Électronique) : archivage et consultation des donnĂ©es de productions en provenance des flux Ă©lectroniques ou des feuilles papiers saisies par les applications de productions puis numĂ©risĂ©es ;
  • Ésope (Édition des DĂ©comptes) : permet le transfert des donnĂ©es des dĂ©comptes en vue d'un regroupement pour Ă©dition dans un centre de traitement diffĂ©rent de celui oĂą les dĂ©comptes ont Ă©tĂ© produits.

BDO (Base de Données Opérantes)

Au niveau des caisses régionales, le référentiel des assurés s'appelle BDO Famille[12]. Cette base de données, hébergée dans le CSM local, regroupe différents fichiers contenant les informations concernant tous les individus d'une région relevant du Régime Général. Cette BDO est sollicitée en permanence pour contrôler les données et permettre le traitement de la saisie des factures.

La BDO Assurés ou Famille est le fichier des assurés.

Elle est alimentée en permanence par la saisie, faite par les techniciens des caisses sur le système Progrès, des actualisations concernant les assurés. Si nouvelle affiliation, une requête est faite vers la Direction du Système Informatique National des Données Sociales. La DSINDS de la CNAV basée à Tours gère, entre autres, les Référentiels Nationaux (RNIAM[13]] qui permettent la certification du NIR d'un nouvel affilié.

Ces BDO régionales alimentent le Fichier index des assurés. Cette base nationale est gérée par le Centre d’Exploitation National (CEN) de Valenciennes. Il sert surtout aux échanges d'informations avec les partenaires extérieurs comme la CNAV et la CNAM. Des mises à jour réciproques se font entre le RIAM et ce fichier.

IRIS

Le traitement des flux de données est assuré par le système IRIS. Les bases IRIS sont les supports des tarifications assurant les ordonnancements (ordre de payer) et les contrôles. Des vérifications automatiques sont faites par rapport aux référentiels sur les bénéficiaires avec vérifications des identités et des droits, sur les nomenclatures des actes et prestations, mais aussi sur les professionnels de santé (droit d’exercer, secteur d'activité).

Après ces vérifications il y a :

  • soit rejet qui entraĂ®ne la correction des donnĂ©es erronĂ©es par les services administratifs ou un retour (Retour Noemie) vers les professionnels de santĂ©. Cette opĂ©ration est appelĂ©e recyclage. La raison du rejet est indiquĂ©e sur le retour NOEMIE (Norme Ouverte d’Échanges entre la Maladie et les Intervenants ExtĂ©rieurs) dans un message traitement caisse. Par exemple ETM non trouvĂ©e au fichier assurĂ©, ce qui veut dire que la facture comportait une exonĂ©ration du ticket modĂ©rateur (ETM), mais que cette exonĂ©ration n'est pas prĂ©sente sur le fichier assurĂ© de la BDO ;
  • soit acceptation qui entraĂ®ne un ordonnancement par le directeur de la caisse et un contrĂ´le par l’agent comptable.

Finalement il y a :

  • règlement de l’assurĂ© ou en cas de tiers payant du professionnel de santĂ© ;
  • restitution, c'est-Ă -dire Ă©mission de dĂ©comptes auprès des assurĂ©s ou des professionnels de santĂ© ;
  • IRIS alimente les bases d'historiques ou archives des centres de production :
    • bases MIAM (Machines Informationnelles de l’Assurance Maladie),
    • et dorĂ©navant les bases ERASME rĂ©gionales qui ont succĂ©dĂ© Ă  SIAM (Système Informationnel de l'Assurance Maladie).

ERASME

ERASME (Extraction, recherche, analyse, suivi médico-économique)[14] est enrichie d’informations sur la gestion des organismes (délais, organisation, qualité). Les données sont conservées pendant 24 mois plus le mois en cours. L'alimentation se fait uniquement par extraction d’autres applications :

  • consommations de soins Ă  partir d'une alimentation quotidienne par IRIS ;
  • pour les assurĂ©s par extraction hebdomadaire de la BDO Famille ;
  • extraction mensuelle du fichier ETANAT (ETAblissements NATionaux) des Ă©tablissements de santĂ© ;
  • extraction chaque mois du FINPS (FIchier National des Professionnels de SantĂ©) ;
  • extraction chaque mois des codifications ;
  • extraction chaque mois des donnĂ©es d' Hippocrate production, l'application indĂ©pendante alimentĂ©e chaque jour par les mĂ©decins conseils du service mĂ©dical.

Selon leurs niveaux d'habilitations, du personnel des CPAM, URCAM, ELSM (Échelon Local du Service Médical de l'assurance maladie), DRSM (Direction Régionale du Service Médical de l'assurance maladie) ont accès à certaines informations de cette base.

CSM

Cinq Centres de Services MĂ©tiers (auparavant Centres de Traitements Informatiques, CTI) assurent le support technique des CPAM, la gestion des informations, la transmission des donnĂ©es aux organismes complĂ©mentaires ainsi que la remontĂ©e quotidienne d’informations vers le SNIIRAM selon une « Norme d’Échanges Commune Â» (NEC) Ă  l'ensemble des rĂ©gimes.

DDSI

La Direction déléguée des systèmes d'information est dirigée par Alain Issarni depuis le [15].

Un milliard de FSE (feuilles de soins Ă©lectroniques) sont traitĂ©es chaque annĂ©e. 300 000 Ă  400 000 FSP (feuilles de soins papier) sont transmises et traitĂ©es quotidiennement.

L'effectif est de 1 500 personnes. Elle comprend 80 000 postes sous Windows et 90 serveurs Unix. La plate-forme applicative est sous Java et la base de donnĂ©es sous Oracle. La migration des serveurs IBM MVS et Bull Gecos vers des plates-formes Unix s'est terminĂ©e dĂ©but 2007.

[réf. nécessaire]

SNIIR-AM

Le SNIIR-AM (système national d'information inter régimes de l'assurance maladie)[Note 1], alimenté par ERASME pour le régime général, mis en place progressivement depuis 2004, est la base de données nationale à vocation médico-tarifaire contenant des informations sur[16] :

  • la consommation de soins remboursĂ©s avec le PMSI et codage structurĂ©e et standardisĂ©e sur les prescripteurs, les exĂ©cutants, les actes et les mĂ©dicaments ;
  • avant adressage au SNIIR-AM des donnĂ©es, il y a application de l'algorithme rĂ©versible FOIN 1 au NIR de l'assurĂ©, Ă  la date de naissance et sexe du bĂ©nĂ©ficiaire[17].

Fichiers concernant la fraude

Certaines CPAM ont pu demander Ă  la CNIL des autorisations pour la mise en place de « traitement automatisĂ© de donnĂ©es Ă  caractère personnel ayant pour finalitĂ© le suivi des cas de suspicion de fraudes ainsi que les fraudes dĂ©tectĂ©es Â», par exemple celle de MontbĂ©liard en 2007[18].

Retours NOEMIE

Le retour NOEMIE (Norme Ouverte d’Échange entre la Maladie et les Intervenants Extérieurs) est un fichier qui contient l’ensemble des informations sur le traitement des feuilles de soins électroniques en tiers payant, c'est-à-dire les rejets et paiements. NOEMIE est la norme informatique des flux électroniques renvoyée par l'Assurance Maladie à la suite de l'exploitation et du traitement des lots de FSE télétransmis. Les informations contenues dans ces retours comprennent les feuilles de soins électroniques et papiers en tiers payant payées par l'Assurance Maladie mais aussi des paiements particuliers comme les aides à la télétransmission ou le paiement forfaitaire médecin traitant des patients en ALD.

On distingue :

  • les ARL : L'AccusĂ© de RĂ©ception Logique (ARL) confirme la bonne rĂ©ception du lot de FSE par la caisse destinataire. Il est Ă©mis par la caisse après vĂ©rification de l'intĂ©gritĂ© du lot. Attention il n'y a des ARL que pour les FSE en mode sĂ©curisĂ©e. En cas d'ARL positif, la responsabilitĂ© du professionnel de santĂ© est dĂ©gagĂ©e. Si l'ARL est nĂ©gatif, le professionnel de santĂ© devra le renvoyer après Ă©ventuelle correction ou faire une impression papier des factures et les adresser Ă  chacune des caisses ;
  • les RSP pour Rejet Signalement Paiement : Ils avertissent qu'un virement bancaire est adressĂ© au professionnel de santĂ© par le rĂ©gime concernĂ© en cas de tiers payant. Il peut y avoir aussi Rejet, c'est-Ă -dire refus de règlement d'une FSE en tiers payant. La raison du rejet est indiquĂ©e sur le retour NOEMIE dans un message traitement caisse. Par exemple :
    • ETM non trouvĂ©e au fichier assurĂ© (code : 0 450 004), ce qui veut dire que la facture comportait une exonĂ©ration du ticket modĂ©rateur (ETM), mais que cette exonĂ©ration n'est pas prĂ©sente sur le fichier assurĂ© de la BDO,
    • AT inconnu Ă  la BDO (Code : 0 315 062) :
      • Soit la matĂ©rialitĂ© de l'accident de travail n'est pas Ă©tablie car l'accident ou la maladie professionnelle n'est pas encore enregistrĂ© dans les fichiers. La CPAM recycle la facture,
      • Soit le N° AT est erronĂ© (Erreur sur la date de saisie de l’accident de travail). La CPAM retourne la facture au professionnel de santĂ© qui doit la corriger avant de la tĂ©lĂ©transmettre Ă  nouveau,
    • AssurĂ© absent dans la BDO (Code: 250 050) : Ce message indique que l'assurĂ© n'est pas ressortissant de l'organisme qui a reçu la FSE. La facture est retournĂ©e au professionnel de santĂ©,
    • BĂ©nĂ©ficiaire absent dans la BDO (Code: 250 051) : Cela indique que la date de naissance du bĂ©nĂ©ficiaire est erronĂ©e, ou qu'il possède son propre numĂ©ro ou qu'il est ayant droit d’un autre assurĂ©. La facture est retournĂ©e.

Notes et références

Notes

  1. Le système national d'information interrégimes de l'assurance maladie a été créé par l'article 21 de la loi du 23 décembre 1998 de financement de la sécurité sociale pour 1999 qui a notamment introduit un article L. 161-28-1 dans le code de la sécurité sociale.

Références

  1. Voir assurance maladie en France
  2. « Intégration des travailleurs indépendants au régime général »
  3. « UCANSS Textes Conventionnels - Sommaire », sur extranet.ucanss.fr (consulté le ).
  4. « Recherche - CADA », sur cada.data.gouv.fr (consulté le )
  5. « Caisse primaire "Aide et protection" », sur conseil-etat.fr, (consulté le )
  6. Le SI de la CNAM : Ă©tude de cas Sur le site volle.com
  7. http://www.moselle.pref.gouv.fr/bulletin_officiel/2001_06_add.pdf
  8. [PDF] Image: archivage et consultation électronique des décomptes des consultations Sur le site cpam74.fr
  9. [PDF] Caisse Nationale de l'Assurance Maladie, sur le site mediam.ext.cnamts.fr
  10. [PDF]Les Modalités de télétransmission, sur le site cpam21.fr, consulté le 3 janvier 2016
  11. Offre de santé [PDF] du site infirmiers.com
  12. [PDF] BDO (Base de Données Opérantes) Famille], sur le site cnamts.fr
  13. http://adelf.isped.u-bordeaux2.fr/BULLETINS/bul18-2000.pdf
  14. http://www.invs.sante.fr/publications/2006/atmp/annexe3.pdf
  15. Alain Issarni, nouveau DSI de la CNAM-TS Sur le site cioonline.com
  16. [PDF]Base de données de remboursement de l’Assurance Maladie Sur le site ateliersdegiens.org
  17. [PDF] Les cohortes épidémiologiques-prospectives Sur le site lertim.timone.univ-mrs.fr
  18. Délibération n°2007-005 du 11 janvier 2007 autorisant la mise en œuvre par la caisse primaire d'assurance maladie de Montbéliard d'un traitement automatisé de données à caractère personnel, sur le site legifrance.gouv.fr

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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