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Broyes (Oise)

Broyes est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Broyes
Broyes (Oise)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Thierry Vandeputte
2020-2026
Code postal 60120
Code commune 60111
Démographie
Gentilé Broyens, Broyennes
Population
municipale
148 hab. (2020 en diminution de 17,78 % par rapport à 2014)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 37′ 45″ nord, 2° 27′ 28″ est
Altitude Min. 88 m
Max. 156 m
Superficie 4,8 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Broyes
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Broyes
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Broyes
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Broyes
Liens
Site web https://broyes-oise.fr/fr/

    Ses habitants sont appelés les Broyens et les Broyennes.

    Géographie

    Description

    Broyes est un village rural du Santerre dans l'Oise, limitrophe du département de la Somme, situé à km au sud-est de Montdidier (Somme), 36 km au nord-est de Compiègne et au nord-est de Beauvais et 32 km au sud-ouest d'Amiens.

    Il est desservi par l'ancienne route nationale 30.

    Au début du XIXe siècle, on indiquait que « le territoire de faible étendue, traversé de l'ouest à l'est par le vallon du Cardonnoy, comprend vers le nord Io mont-Soufflard, ce qui imprime à l'ensemble du pays un aspect montagneux[1] ».

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 699 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 31 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Broyes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,6 %), zones agricoles hétérogènes (11,6 %), forêts (10,8 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 77, alors qu'il était de 68 en 2013 et de 60 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 84,3 % étaient des résidences principales, 6 % des résidences secondaires et 9,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,7 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Broyes en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 72,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (75,4 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Broyes en 2018.
    Typologie Broyes[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 84,3 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 6 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 9,6 7,1 8,2

    Toponymie

    La localité a été dénommée Broye , Breex (Broiæ en 1103 , Broyæ)[1] .

    Histoire

    Louis Graves relate que « la terre de Broyes fut donnée en 1476, avec celles du Cardonnoy et de Sourdon, à Jean d'Estouteville, grand-maître des arbalétriers, malgré l'opposition du vidame d'Amiens[1] ».

    En 1843, la commune était propriétaire d'une école, ainsi que du presbytère, qui lui avait été donnée en 1809 par M. Renard. On comptait sur l'étendue du territoire communal deux moulins à vent et une cendrière[1].

    Le village a subi d'importantes destructions lors de la Première Guerre mondiale[22] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [23].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Breteuil[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[25], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[26], et notamment celle de CrèvecÅ“ur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[27].

    Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[28], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [29].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Thierry Vandeputte DVD[30] Agriculteur
    Réélu pour le mandat 2020-2026[31] - [32]

    Équipements et services publics

    Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Bacouël, Plainville, Le Mesnil-Saint-Firmin, Rocquencourt, Sérévillers et Tartigny au sein d'un regroupement pédagogique concentré dont l'école située à Bacouël porte le nom de La Malvina[33]. Certains vont aux écoles privées de Breteuil ou de Montdidier.

    Ils poursuivent leur scolarité au collège Compère Morel à Breteuil puis au lycée Jean Racine à Montdidier.

    La salle associative.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

    En 2020, la commune comptait 148 habitants[Note 7], en diminution de 17,78 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    458428443415377381367381378
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    358305302293260235221219182
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    201190175103161133134137177
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    170130149145124112128134157
    2014 2019 2020 - - - - - -
    180153148------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 74 hommes pour 88 femmes, soit un taux de 54,32 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    1,2
    2,9
    75-89 ans
    6,0
    15,7
    60-74 ans
    10,8
    20,0
    45-59 ans
    14,5
    27,1
    30-44 ans
    20,5
    12,9
    15-29 ans
    20,5
    21,4
    0-14 ans
    26,5
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Nicolas : le portail, et le lambris de la nef, qui ne comporte qu’un seul bas-côté, au sud, avec lequel elle communique par trois arcades qui retombent par pénétration dans les piles circulaires, datent de 1534. Le clocher-porche, légèrement antérieur, a été restauré par la suite avec des briques. La nef est dotée d'une charpente en carène de bateau, et, à son ’extrémité nord se trfouve une arcade, qui communique aujourd’hui avec la sacristie, mais était reliée autrefois à une chapelle seigneuriale
      Détruit pendant la Première Guerre mondiale, le chœur a été reconstruit en brique et pierre entre 1924 et 1927 en s’inspirant du précédent, qui était du XVIe siècle, mais avec des fenêtres de style gothique rayonnant. Les vitraux, réalisés en 1927, sont de Raoul Lefèvre
      L’autel du chœur est de style néo-gothique et celui du bas-côté, date du XVIIIe siècle[39].
      Une croix de procession et un ensemble de chasubles et de cinq chables se trouvant dans l'édifice y sont classés monument historique.
    • L'église
      L'église
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • L'ancienne école.
      L'ancienne école.
    • Quatre croix de chemin.
      Quatre croix de chemin.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Broyes », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
    • Carte spéciale des régions dévastées : 21 SE, Montdidier [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne [PDF]), p. 64-65.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Broyes et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Broyes et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    23. Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    26. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    27. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
    28. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
    29. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
    30. EIP, Annuaire des Mairies de l'Oise (60), Cannes, Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des maires de France », , 254 p. (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne), p. 54.
    31. Réélu pour le mandat 2014-2020 ; « Broyes », Cartes de France (consulté le ).
    32. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    33. « Ecoles maternelle et primaire », Scolarité, sur https://broyes-oise.fr (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Broyes (60111) », (consulté le ).
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    39. Dominique Vermand, « Broyes, église Saint-Nicolas : Diocèse : Amiens », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
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