Braine (Aisne)
Braine est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
Braine | |||||
La place de l'Hôtel-de-Ville. Au fond, la maison à colombages classée. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Soissons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Val de l'Aisne | ||||
Maire Mandat |
François Rampelberg 2020-2026 |
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Code postal | 02220 | ||||
Code commune | 02110 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Brainois | ||||
Population municipale |
2 232 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 192 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 20′ 30″ nord, 3° 31′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 48 m Max. 169 m |
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Superficie | 11,61 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Fère-en-Tardenois | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | braine.fr | ||||
Géographie
Localisation
Située sur la Vesle, affluent de la rive gauche de l'Aisne, Braine se situe à une quinzaine de kilomètres à l'est de Soissons.
Communes limitrophes
Voici ci-dessous une carte représentant le découpage territorial des communes limitrophes :
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1988 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,1 | 1,3 | 3,1 | 4,4 | 8,2 | 10,7 | 12,8 | 12,6 | 9,8 | 7,5 | 3,8 | 1,5 | 6,4 |
Température moyenne (°C) | 3,8 | 4,7 | 7,7 | 9,8 | 13,9 | 16,5 | 19 | 18,8 | 15,3 | 11,7 | 6,9 | 4,1 | 11,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,5 | 8,1 | 12,2 | 15,3 | 19,6 | 22,4 | 25,1 | 25 | 20,7 | 16 | 10 | 6,6 | 15,7 |
Record de froid (°C) date du record |
−15,7 01.01.1997 |
−15,3 04.02.12 |
−10,7 13.03.13 |
−5 08.04.03 |
−1,8 05.05.1996 |
0,5 04.06.1991 |
4,4 03.07.11 |
3,2 29.08.1993 |
−0,7 30.09.18 |
−5,3 30.10.1997 |
−12,6 24.11.1998 |
−12,3 29.12.1996 |
−15,7 1997 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,3 05.01.1999 |
20,2 27.02.19 |
25 31.03.21 |
29,1 25.04.07 |
32,5 28.05.17 |
36,6 28.06.11 |
42,1 25.07.19 |
40,2 12.08.03 |
34,3 15.09.20 |
28,9 03.10.11 |
21,3 07.11.15 |
17,1 17.12.15 |
42,1 2019 |
Précipitations (mm) | 57,1 | 47,5 | 52,1 | 51,7 | 56,5 | 54,4 | 61,6 | 65,1 | 47,4 | 56,9 | 54,7 | 70,4 | 675,4 |
Urbanisme
Typologie
Braine est une commune rurale[Note 4] - [7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8] - [9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Braine, une unité urbaine monocommunale[10] de 2 213 habitants en 2017, constituant une ville isolée[11] - [12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13] - [14].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,3 %), forêts (29,4 %), zones urbanisées (12,6 %), prairies (9,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,2 %)[15].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].
Toponymie
La commune, instituée lors de la Révolution française sous le nom de Braisne en 1793 a pris son orthographe actuelle de Braine en 1913[17] - [18].
Histoire
Braine existait avant 561, car c'était la cour (Königspfalz ; palatinat royal) préférée de Clotaire Ier[19]. La découverte d'un cimetière à Breny utilisé entre le Bas-Empire et le VIIIe siècle pourrait montrer que Braine n'est pas le lieu de la villa Brennacum[20].
Dagobert, fils du roi Chilpéric Ier et de Frédégonde est mort à Braine en 580 de dysenterie, il fut enterré dans l'église de Saint-Denis de Paris[21].
Flodoard rapporte qu'en 931, des fidèles d'Herbert de Vermandois partirent de Reims, prirent d'assaut le château de Braine (castrum) et le détruisirent car il était occupé par des hommes d'Hugues le Grand, qui l'avait pris auparavant à l'évêque de Rouen.
Un comté de Braine est constitué au XIe siècle et relève du comté de Champagne
Au début du XIIIe siècle, Robert II de Dreux, comte de Braine y établit un château ; château de la Folie d'Aigremont aujourd'hui sur la commune de Cerseuil. De plan rectangulaire, il dominait la vallée de la Vesle et le bourg. Le château dans sa longueur suivait l'à -pic. Son accès face au plateau, couvert d'une profonde forêt, était protégé par un profond fossé artificiel, qui le protégeait des trois côtés[22].
Époque moderne
En 1647, Henri-Robert de La Marck fonde un prieuré bénédictin dédié à Notre-Dame, qu'il dote des biens de l'ancien Hôtel-Dieu de la ville et de la maladrerie Sainte-Anne. L'église priorale est consacrée en 1663[23]. Au cours de la même période, la ville de Braine comprend une église paroissiale distincte du prieuré Notre-Dame, et dédiée à Saint-Nicolas. Située dans le faubourg Saint-Rémy, et faisant peut-être suite à un ancien prieuré Saint-Rémy, celle-ci fait l'objet en 1787 de litiges quant à sa restauration devenue urgente[24]. L'église paroissiale, de même que le prieuré Notre-Dame, ne survivront pas à la Révolution française et à ses conséquences à plus long terme, et en 1837 ne restera que l'abbatiale Saint-Yved, devenue alors église paroissiale[23].
La gare
Le 16 avril 1862, la Compagnie des chemins de fer des Ardennes met en service la section de Soissons à Reims de la ligne de Soissons à Givet et construit une gare à Braine[25]. La SNCF met fin au trafic des voyageurs entre Soissons et Bazoches l'année même de sa création et la portion de ligne passant par Braine ne connaît plus qu'une desserte marchandises sporadique. La gare, qui tombait en ruine, a été rénovée dans les années 2010.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Soissons du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription de l'Aisne.
Elle était le chef-lieu du canton de Braine depuis 1793[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Braine intègre le canton de Fère-en-Tardenois..
Intercommunalité
La commune est membre de la Communauté de communes du Val de l'Aisne, créée fin 1995.
Liste des maires
Distinctions et labels
- Ville fleurie : une fleur attribuée en 2007 au Concours des villes et villages fleuris[32].
La qualité du fleurissement est récompensée à nouveau par deux fleurs à ce concours en 2017[33]
Jumelages
- Braine-le-Comte (Belgique) ;
- Haderslev (Danemark).
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].
En 2020, la commune comptait 2 232 habitants[Note 5], en diminution de 1,54 % par rapport à 2014 (Aisne : −1,93 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L’ancienne église abbatiale Saint-Yved, XIIe – XVe siècles, donnée en 1130 à l'ordre des prémontrés. L'abbatiale fut la nécropole des comtes capétiens de Dreux. Actuellement l'église est un édifice qui montre les premières traces de l'art gothique avec sa tour haute de 33 mètres. Édifice classé au titre des monuments historiques par la liste de 1840[37] - [38].
- Le château du Bas, résidence des seigneurs de Braine. Porte et caves inscrites au titre des monuments historiques depuis 1927[39].
- Le château de la Folie d'Aigremont encore appelé « château du Haut » et, au XVIIIe siècle, château de Braisne, forteresse défensive, XIIIe siècle, propriété de la commune mais situé administrativement sur la commune voisine de Cerseuil[40]. Démantelé au XVe siècle, ses ruines imposantes ont souffert des combats de la Première Guerre mondiale.
- Maison à colombages, XVe siècle, tourelle inscrite en 1927, maison classée depuis 1931[41].
- Le prieuré de bénédictines Notre-Dame, fondé en octobre 1647 par Henry-Robert de La Marck, duc de Bouillon et comte de Braine (actuellement maison de retraite)[42] Fermée au culte depuis 1791, l'église priorale est détruite après la réouverture au culte de l'abbatiale Saint-Yved en 1837[23].
- La gare, construite en 1862, sert d'habitation privée. Ce bâtiment, identique entre-autres à celui de Nouzonville, témoigne du style néoclassique des premières gares des Chemins de fer des Ardennes[25].
- Le cimetière militaire danois de Braine, où reposent 79 soldats danois originaires de la province du Jutland du Sud, alors annexée à l'empire allemand[43].
- La nécropole nationale de Braine, créée en 1920 et aménagée en 1923-24 et 1935, rassemble sur une superficie de 1,6 ha, les dépouilles de 1 583 soldats dont 495 en ossuaire.
- Le monument aux morts, sculpté par Charles-Eugène Breton[44].
Personnalités liées à la commune
- Alberic (Albericus) de Braine, abbé de l’abbaye Saint-Médard de Soissons de 1204 au 3 mai 1206[45]
- Pierre Mauclerc, duc de Bretagne, y est inhumé, ainsi que plusieurs membres de sa famille (Maison capétienne de Dreux). Cette famille laisse à la commune la moitié supérieure de son blason (Dreux).
- Jacques de Bachimont, abbé aumônier, prédicateur et conseiller d'État du roi. « Ce qui le distinguait principalement c'était sa bonté, la douceur, son amour pour la justice, son penchant à pardonner, et sa vie exemplaire. Il avait prophétisé la théologie avec honneur ... ». Décédé le 16 mai 1531.
- Bernard Frézals (Saint-Pantaléon (Lot) 22 novembre 1672-Braine 14 mars 1751), écuyer, conseiller du roi, garde du corps du maréchal Louis François de Boufflers à Milly-sur-Thérain, receveur du comté de Braine, subdélégué de l'Intendant de Soissons. Il est à l'origine d'une lignée aristocratique comprenant plusieurs officiers généraux et un ambassadeur[46].
- François de Frézals (Milly-sur-Thérain 25 octobre 1699-Toulouse 7 septembre 1741), financier, directeur des domaines de Languedoc et de la généralité de Toulouse. Fils de Bernard Frezals, élevé à Braine, il a laissé une correspondance amoureuse avec son épouse Louise de Larzillière, femme de chambre de la princesse de Condé[46].
- Claude-Robert Jardel (né à Braine en 1722 décédé en 1788. Officier de la maison du Roi. Bibliographe et antiquaire, collectionneur de manuscrits.)[47]
- Le comte Pignatelli d'Egmont.
- Jacques Cellard (1920-2004), linguiste et historien.
- Pierre Marin (1922-2014), ordonné prêtre à Soissons en 1946, a été vicaire de Braine et Augy, et curé de Cerseuil et Limé, de septembre 1947 à 1951.
- Arnaud d'Hauterives (1933-2018), artiste peintre né à Braine.
Héraldique
Blason | Coupé : au 1er mi-coupé échiqueté d'or et d'azur à la bordure de gueules (qui est de Baudement puis de Dreux), au 2e d'or au corbeau de sable[48].
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Olivier Guyotjeannin, Le chartrier de l’abbaye prémontrée de Saint-Yved de Braine (1134-1250)
- Jean Mesqui, Île-de-France Gothique 2 : Les demeures seigneuriales (La Folie à Braine), Paris, Picard, , 404 p. (ISBN 2-7084-0374-5), p. 214-219
- Maxime de Sars et Lucien Broche, Histoire de Braine, imprimerie Delayane, La Charité-sur-Loire, 1933.
- Stanislas Prioux, Histoire de Braine et de ses environs, librairie éditeur Dumoulin, Paris, 1846
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- « Dossier complet : Commune de Braine (02110) », Recensement général de la population de 2015, INSEE, (consulté le ).
- http://atout.braine.free.fr
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
- « Unité urbaine 2020 de Braine », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Histoire administrative de Braine (voir en ligne), sur le site geneawiki.com
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Augustin Thierry 1840
- Frédéric Armand, « Localisation d'un palais royal mérovingien dans l'Aisne. La villa Brennacum », dans Revue archéologique de Picardie, 2005, no 1-2, p. 101-107 (lire en ligne)
- Anselme de Sainte Marie (Père Anselme), Histoire généalogique et chronologique de la Maison Royale de France, 9 volumes, Paris, 1715 et années suivantes (lire en ligne), Tome 1 page 9
- André Châtelain, L'évolution des châteaux forts dans la France au Moyen Âge, Éditions Publitotal, , 319 p. (ASIN B004Z1ACJ4), p. 33.
- « Ancien prieuré bénédictin Notre-Dame de Braine, actuellement maison de retraite », sur hautsdefrance.fr (consulté le ).
- http://www.histoireaisne.fr/memoires_numerises/chapitres/tome_21/Tome_021_page_118.pdf
- « Braine ou Braisne - Photos anciennes et d'autrefois, photographies d'époque en noir et blanc », sur www.en-noir-et-blanc.com (consulté le )
- Almanach annuaire historique, administratif & commercial de la Marne, de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine de 1875, Reims p185.
- « Arrêté ministériel du 30 octobre 1941 portant la démission d'office », Journal officiel de l'État français, no 302,‎ , p. 4808 (lire en ligne, consulté le ).
- Ludivine Bleuzé, « L'école a un nom », Le blog de l'école élémentaire Gaston Costeaux, (consulté le ).
- Préfecture de l’Aisne consulté le 7 juillet 2008
- « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le )
- « François Rampelberg débute son 3e mandat de maire de Braine », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise,‎
- Dossier de presse - Villes et villages fleuris 2017, New tourism by Hauts-de-France, 12 p., p. 8.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « L’Ancienne église abbatiale Saint-Yved », notice no PA00115550, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Le mobilier de l'église abbatiale Saint-Yved », base Palissy, ministère français de la Culture
- « L'ancien « château du Bas » », notice no PA00115551, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Stanislas Prioux : Le château de la Folie et le Village de Cerseuil, Paris, chez Dumoulin, 1860 (en ligne sur le site Gallica de la BnF).
- « La maison à colombages dite « maison espagnole » », notice no PA00115552, base Mérimée, ministère français de la Culture
- M. Collet, « Les dernières Bénédictines de Braine », Bulletin de la Société archéologique, historique et scientifique de Soissons,‎ , p. 187-202 (lire en ligne)?-.
- Daniel Øhrstrøm, « Danemark : les Malgré-nous de 14-18 », Kristeligt Dagblad, traduction de Courrier international, (consulté le )
- « Le monument aux morts de la guerre de 1914-1918 », notice no IA02002263, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Dr P.Lanotte, « ALBERIC (ALBERICUS) de BRAINE, Un brainois (presque) inconnu », sur http://atout.braine.free.fr/ (consulté le ).
- Gauthier LANGLOIS, « La correspondance amoureuse d’un financier en Languedoc avec la femme de chambre de la princesse de Condé (XVIIIe siècle) », sur Paratge, (consulté le )
- G. G., « Claude Robert Jardel, bibliographe et antiquaire, par Stanislas Prioux. », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 21, no 1,‎ , p. 99–100 (lire en ligne, consulté le )
- « 02110 Braine (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).