Blou
Blou est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Blou | |||||
L'église Notre-Dame. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Saumur | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Saumur Val de Loire | ||||
Maire Mandat |
Jean-Philippe Rétif 2020-2026 |
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Code postal | 49160 | ||||
Code commune | 49030 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Blosiens | ||||
Population municipale |
955 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 45 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 21′ 47″ nord, 0° 02′ 10″ ouest | ||||
Altitude | Min. 23 m Max. 111 m |
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Superficie | 21,46 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saumur (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Longué-Jumelles | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Géographie
Localisation
Ce village angevin de l'Ouest de la France se situe dans la région angevine du Baugeois, au nord du bassin de la rivière de l'Authion[1] - [2].
Sa frontière avec Vernantes est bordée par le méridien de Greenwich qui sépare les communes dans l'extrème est de Blou.
L'autoroute A85 traverse la commune entre l'échangeur de Saumur à Neuillé et l'échangeur de Longué-Jumelles.
Topographie
Le bourg est dominé par une butte dominant la plaine de l'Authion d'où l'on peut apercevoir la ville d'Angers par temps clair[3].
Géologie et relief
Le sous-sol est essentiellement constitué de roches sédimentaires, terrains dominés à l'est par une butte constituée d'un calcaire détritique turonien appelé tuffeau[2].
De cette butte ont été extraites de très grandes quantités de tuffeau blanc servant à la construction des maisons de la région. Ces galeries ainsi creusées, ont servi au cours du XXe siècle à la culture des champignons de Paris[4].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saumur », sur la commune de Saumur, mise en service en 1950[11] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[12] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de précipitations de 614,2 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tours - Parcay-Meslay », sur la commune de Parçay-Meslay, dans le département d'Indre-et-Loire, mise en service en 1959 et à 60 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[15], à 11,7 °C pour 1981-2010[16], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Blou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [18] - [19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saumur, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,6 %), zones agricoles hétérogènes (17,2 %), forêts (12,5 %), prairies (11,1 %), zones urbanisées (1,7 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Toponymie
Bucardi de Blei en 1040, Blod en 1095, Bloe en 1200, Bleu en 1210, Blua en 1216, Blou en 1258[25] - [26], Blou en 1793, Blon en 1801 puis Blou[27]. L'origine du nom est obscure mais dont certains pensent qu'elle pourrait provenir de la couleur de certaines terres aux reflets bleus[26].
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Sa situation élevée au milieu d'un pays riche, au bord d'une vallée régulièrement inondée, est un refuge naturel dès les premiers âges. Une prospection archéologique du XXe siècle a montré que le territoire de Blou a connu une occupation relativement importante dès la protohistoire[4] - [2].
Au point dit Le Grippeau, qui émerge le premier au-dessus des inondations de la Loire, on a trouvé des amphores romaines et des briques en abondance. Les voies antiques qui passaient par Blou ou aux environs immédiats étaient vraisemblablement la grande voie romaine d'Angers Tours par Robrica. Elle y croisait la voie de Saumur au Mans[4].
Des dalles ont été retrouvées auprès de La Modtaie et au lieu-dit Les pierres plates. Des trouvailles faites à Blou en 1856 indiquent la présence d'un centre gallo-romain important[4].
Moyen Âge
Le baron de Blou, héritier des propriétaires gallo-romains, est le présentateur de la cure conférée par l'évêque d'Angers (archiprêtré de Bourgueil). Elle est d'abord chapelle domestique avant d'être transformée en paroisse au Xe ou XIe siècle. Une partie des dîmes est acquittée par les moines de Cunault[4].
Ancien Régime
Durant trois siècles (du XVIe au XVIIIe siècle), un pèlerinage pour les maladies de l'ouïe avait lieu au mois d'août, à la Saint-Louis. Celui-ci était très réputé et on y venait par milliers. Certainement l'origine de l'assemblée annuelle de la commune. La baronnie pouvait être le siège d'une des quatre baronnies d'Anjou et de ce fait existaient au XVIIe siècle à Blou, du personnel judiciaire et administratif. On constate aussi au XVIIIe siècle la présence d'un notaire royal et d'un maître chirurgien. La Citadelle, La Tour du Coq, Le Temple et La Cathédrale sont des noms de fermes qui rappellent des souvenirs du Moyen Âge. Le Mésanger est certainement une des plus anciennes fermes de Blou.
Un marché est passé en 1706 pour l'entretien de l'église. L'autel de la chapelle des fonts baptismaux, estimé gênant, avait été démoli en 1703. la couverture de l'église est réparée en 1707[28].
Les registres paroissiaux ne remontent qu'à 1608. La présence de la baronnie avait amenée l'établissement à Blou de tout un personnel judiciaire et administratif. On constate au XVIIIe siècle la présence de notaire royal (Thomas Dublier en 1731), d'un maitre chirurgien, etc. Il y avait un maître d'école (Jean Aubry) en 1623. L'excellence de l'air et du climat de Blou était reconnue dès le XVIIIe siècle. Une religieuse bénédictine de l'abbaye de La Fontaine-Saint-Martin, au diocèse du Mans, y vient s'y soigner en 1722. Cela ne l'empêche d'ailleurs pas d'y mourir. Baptême d'une fille "Maure" qui a pour parrain le curé de Brouage en 1644, baptême d'un certain Georges-César Hubert, "issu en droite ligne de la race de Saint Hubert". Il y avait dans la paroisse un curé et toujours au moins un vicaire.
Blou dépend au XVIIIe siècle de l'élection de Baugé, du grenier à sel de Saumur, et fait partie en 1788 du district de Baugé[28].
Révolution
La commune fait partie en 1790 du district de Baugé et du canton de Longué[28].
Le curé Thiberge, précédemment vicaire et installé dans ses fonctions en 1747, cesse d'exercer en février 1790. Son vicaire, Olivier d'Olivet, est nommé en mai 1791. Il renonça à toute fonction ecclésiastique sous la Terreur. Jacques Gaussé, chapelain, prête serment et est élu curé constitutionnel de Fontaine-Guérin. Un prêtre nommé Pineau dessert la paroisse en 1800[28].
Le 6 pluviôse an II, l'agent municipal fait afficher et publier la tenue annuelle de cinq foires. Elles n'auront jamais d'existence réelle. On en revient après la Révolution à l'assemblée de la Saint-Louis, le dernier dimanche d'août[4].
Époque contemporaine
Une nouvelle assemblée est créée à la gare à l'ouverture du chemin de fer, se tenant le deuxième dimanche de mai[4].
L'électricité est établie dans la commune en 1928 et l'éclairage public en 1932[4].
Pendant la Première Guerre mondiale, 38 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, un habitant est tué[3].
Politique et administration
Administration municipale
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté d'agglomération Saumur Val de Loire, après disparition de la communauté de communes Loire Longué[32], elle-même membre du syndicat mixte Pays des Vallées d'Anjou.
Autres circonscriptions
La commune fait partie du canton de Longué-Jumelles et de l'arrondissement de Saumur[33].
Jusqu'en 2014, le canton de Longué-Jumelles compte huit communes, dont Blou. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune reste rattachée à ce même canton de Longué-Jumelles, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[34].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].
En 2020, la commune comptait 955 habitants[Note 7], en diminution de 5,45 % par rapport à 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,8 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 519 hommes pour 476 femmes, soit un taux de 52,16 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,63 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Le revenu fiscal médian par ménage sur Blou est en 2018 de 20 190 €, pour une moyenne sur le département de 21 110 €[41].
Population active et emploi
La population âgée de 15 à 64 ans s'élève en 2017 à 602 personnes (pour 604 en 2007), parmi lesquelles on comptait 81 % d'actifs dont 71 % ayant un emploi et 9 % de chômeurs[42].
En 2017 on comptait 131 emplois dans la commune, contre 112 en 2007. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune étant de 431. L'indicateur de concentration d'emploi est de 65 %, ce qui signifie que la commune offre un nombre d'emploi inférieur au nombre d'actifs, indicateur en légère baisse par rapport à 2007 (66 %)[42].
Activités économiques
La viticulture y est peu implantée au début du XXe siècle et se développe par la suite, comptant 46 hectares en 1921, puis 75 au milieu des années 1960[4].
Les carrières de tuffeau présentes au XIXe siècle, servant à la construction de maisons, le sont toujours dans les années 1960. Des carrières de silex, servant à l'empierrement des routes, sont également présentes à cette époque[4].
Au XXIe siècle, sur 67 établissements présents sur la commune à fin 2010, 45 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 31 % de celui du commerce et des services et 9 % du secteur de l'administration et de la santé[43].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Notre-Dame est un édifice roman dont la nef date du XIIe siècle. L'édifice a été restauré a plusieurs reprises, dont en 1861-1864 par l'architecte Charles Joly-Leterme, et en 1926-1928. Elle est classée au titre des monuments historiques[3] - [44] - [45].
Autres édifices : Le manoir de Champs Baugé est un édifice des XVIe et XVIIIe siècles, complété au XIXe[46]. Le manoir Notre-Dame Sainte-Catherine date des XVIe, XVIIe et XIXe siècles[47]. Le moulin Duvau de Blou (ou de la Croix-Orée) est un moulin à vent cavier du XVIIIe siècle[48]. Le château de la Baronnie date des XVIe, XVIIe et XIXe siècles[49].
Le château de la Modtais, des XVIIIe et XIXe siècles, est devenu au début du XXIe siècle un centre spirituel tibetin. Des moines Bön y résident et sont bien accueillis par la population blosienne. Ils accueillent des séminaires[50] - [51].
La ferme du Petit Mésanger, des XVIIe et XVIIIe siècle, remaniée au XIXe, appartenait aux templiers puis aux hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem[52].
Voir aussi
Bibliographie
- Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 382-385.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Département de Maine et Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine et Loire, Atlas des paysages de Maine et Loire, Angers, Le Polygraphe, (ISBN 2-909051-22-6, BNF 38989055), p. 59.
- Élisabeth Zadora-Rio, « Archéologie d'un espace rural : la genèse du parcellaire de la commune de Blou (Maine-et-Loire) », Revue Géographique de l'Est, t. 26, nos 3-4 « Géographie rétrospective des espaces ruraux », , p. 155-166 (DOI 10.3406/rgest.1986.1606).
- Célestin Port 1965, p. 382.
- Célestin Port 1965, p. 383.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saumur - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Blou et Saumur », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saumur - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Blou et Parçay-Meslay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Célestin Port 1965, p. 382 (formes anciennes du nom).
- Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, (BNF 39295447), p. 32.
- EHESS, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Blou, consulté le 10 janvier 2021 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
- Célestin Port 1965, p. 384.
- Port 1965, p. 385, liste des maires de 1790 à 1965.
- Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
- « Blou. Jean-Philippe Rétif revêt l’écharpe de maire », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- Insee, Composition de l'EPCI de Loire-Longué (244900791), consulté le 15 août 2013.
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Blou, consultée le 15 février 2015.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Blou (49030) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
- « Comparateur de territoire : Commune de Blou (49030) », sur Insee (insee.fr), (consulté le ).
- « Dossier complet : Commune de Blou (49030) », sur Insee, (consulté le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Blou (49), consultées le 7 décembre 2012
- « Église », notice no PA00108976, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église paroissiale Notre-Dame », notice no IA00033698, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Manoir (lieu-dit Champs Baugé) », notice no IA00033720, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Manoir Notre-Dame, Sainte-Catherine », notice no IA00033712, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Moulin Duvau, de Blou ou de la Croix-Orée », notice no IA00051682, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de la Baronnie », notice no IA00033699, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château (lieu-dit La Modtais) », notice no IA00033731, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Blou. 10 ans de spiritualité tibétaine au château de la Modtais », Le Courrier de l'Ouest, (lire en ligne).
- « Ferme de templiers puis d'hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem dite l'Hôpital Mésanger », notice no IA00033735, base Mérimée, ministère français de la Culture.