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BĂ©ganne

Béganne [beɥan] est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne.

BĂ©ganne
BĂ©ganne
Le chùteau de Léhélec.
Blason de BĂ©ganne
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité Redon Agglomération
Maire
Mandat
Bernard Ryo
2020-2026
Code postal 56350
Code commune 56011
DĂ©mographie
Gentilé Bégannais
Population
municipale
1 390 hab. (2020 en diminution de 0,14 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 39 hab./km2
Population
agglomération
52 758 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 35â€Č 49″ nord, 2° 14â€Č 20″ ouest
Altitude 68 m
Min. 0 m
Max. 87 m
Superficie 35,5 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Redon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Guer
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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BĂ©ganne
Liens
Site web www.beganne.fr

    Ses habitants se nomment les BĂ©gannais et BĂ©gannaises.

    Toponymie

    Béganne est noté « Bekamne » aux XIe et XIIe siÚcles, et sous la forme actuelle « Béganne » en 1387[1]. Ce nom est formé du mot breton beg signifiant « extrémité » et d'un dérivé du latin amnis « fleuve », reflétant ainsi la situation du lieu[2].

    Au XXe siĂšcle, le nom de la commune est Ă©crit Begaon en breton[1] et BĂ©gann en gallo[3].

    GĂ©ographie

    Situation

    BĂ©ganne est situĂ©e sur la rive droite de la Vilaine, Ă  13 km au sud-ouest de Redon.

    Les communes limitrophes sont Saint-Gorgon, Allaire, Saint-Dolay, Nivillac, PĂ©aule et Caden.

    Selon le classement établi par l'Insee en 1999, Béganne est une commune rurale multipolarisée, notamment par l'aire urbaine de Redon, et qui fait partie de l'espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Communes de la Loire-Atlantique).

    Communes limitrophes de BĂ©ganne
    Caden Saint-Gorgon Allaire
    BĂ©ganne
    PĂ©aule Nivillac Saint-Dolay

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 836 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Jacut-les-Pins », sur la commune de Saint-Jacut-les-Pins, mise en service en 1986[10] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 896,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, dans le dĂ©partement de la Loire-Atlantique, mise en service en 1957 et Ă  31 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14], Ă  12,3 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  12,6 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Béganne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Redon, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (80,3 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (80,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (31,5 %), terres arables (29,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (19,2 %), forĂȘts (15,4 %), eaux continentales[Note 7] (2,2 %), zones urbanisĂ©es (2,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1995 2008 Gérard Rouxel SE Dessinateur/métreur
    2008 2014 Albert Laquittant DVG Retraité
    2014
    RĂ©Ă©lu en 2020[24]
    En cours Bernard Ryo - Enseignant lycée agricole
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[26].

    En 2020, la commune comptait 1 390 habitants[Note 8], en diminution de 0,14 % par rapport Ă  2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4811 2391 3681 4371 3991 5581 5171 4931 602
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6111 6861 6931 8041 8271 9261 9571 9661 996
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9391 9812 0481 8731 8481 8161 7961 7711 673
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 6021 5211 4861 4461 3511 3071 3721 3811 385
    2017 2020 - - - - - - -
    1 4041 390-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Infrastructures

    Parc Ă©olien citoyen de BĂ©ganne.

    BĂ©ganne accueille le premier parc Ă©olien entiĂšrement portĂ© et financĂ© par des citoyens[29], notamment Ă  travers le mouvement Énergie PartagĂ©e et avec le soutien de la municipalitĂ©, convaincue par l'impact positif sur l'image du territoire[30]. Le parc est composĂ© de quatre Ă©oliennes, qui fournissent la consommation Ă©lectrique de 8 800 personnes[31].

    Cultes

    La paroisse catholique de Béganne fait partie du doyenné d'Allaire[32].

    Culture et patrimoine

    Monuments

    La commune possĂšde trois Ă©difice religieux : une Ă©glise l’Église paroissiale Saint Hermeland, XVe et deux chapelle : la Chapelle Saint-Cado, XVe et la Chapelle de Bignac. On dĂ©nombre aussi cinq chĂąteaux don deux inscrit MH : le ChĂąteau de LĂ©hĂ©lec, XVIIe (Logo monument historique Inscrit MH (1966)[33]) visitable l'Ă©tĂ© et possĂ©dant un petit musĂ©e et le ChĂąteau de l'Estier, XIVe, (Logo monument historique Inscrit MH (1976)[34]). Les trois autres chĂąteaux sont : le ChĂąteau de la Saulaye (ou Saulaie) du XVe et son ancienne mine de fer du XIXe, le ChĂąteau de TrĂ©gouĂ«t reconstruit aprĂšs la Seconde Guerre mondiale et le ChĂąteau de la NoĂ© du XVe.

    Nombreux calvaires, puits et fours Ă  pain sur tout le territoire de la commune.

    Lieux remarquables

    Les quelques lieux remarquables de la commune sont : le marais de la Vilaine, le site mégalithique du Rohello et le Port de Foleux.

    Blasonnement

    Les armoiries de BĂ©ganne se blasonnent ainsi :

    D’argent Ă  la filiĂšre de gueules, au chef d’azur brochant, Ă  la croix pattĂ©e de sable alĂ©sĂ©e et au pied fichĂ© brochant sur le tout.
    Devise « Je garde ».

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Base de données KerOfis de l'Office public de la langue bretonne (consulté le ).
    2. Jean-Yves Le Moing, Noms de lieux de Bretagne : plus de 1200 noms expliquĂ©s, Paris, Christine Bonneton Éditeur, , 231 p. (ISBN 2-86253-283-5), p. 119.
    3. [PDF]Noms en gallo de communes du Morbihan : DĂ©z non en galo de cmĂčnn du Morbiyen, Rennes, Chubri, , 11 p. (lire en ligne), p. 9.
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Saint-Jacut-les-Pins - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Béganne et Saint-Jacut-les-Pins », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Saint-Jacut-les-Pins - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Béganne et Montoir-de-Bretagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Redon », sur insee.fr (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. « Municipales à Béganne. Bernard Ryo reconduit dans son mandat », sur Ouest-France, (consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. « Le premier parc éolien "citoyen" de France mis en service en avril », sur Journal Le Télégramme, .
    30. Pierre Le Hir, « Dans le Morbihan, des éoliennes financées par des particuliers », sur lemonde.fr, (consulté le ) (accÚs payant).
    31. « #CeuxQuiFont : Un vent citoyen souffle dans le Morbihan », sur LeMonde.fr (consulté le ).
    32. « Les Paroisses du Doyenné d'Allaire » (consulté le ).
    33. « Chùteau de Léhélec », notice no PA00091022, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    34. « Chùteau de l'Etier », notice no PA00091023, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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