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Autreppes

Autreppes est une commune française située dans le département de l'Aisne en région Hauts-de-France.

Autreppes
Autreppes
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Vervins
Intercommunalité Communauté de communes de la Thiérache du Centre
Maire
Mandat
Paul Basse
2020-2026
Code postal 02580
Code commune 02040
Démographie
Gentilé Autreppois
Population
municipale
176 hab. (2020 en diminution de 1,12 % par rapport à 2014)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 54′ 15″ nord, 3° 51′ 24″ est
Altitude Min. 117 m
Max. 201 m
Superficie 6,78 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Vervins
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Autreppes
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Autreppes
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Autreppes

    Géographie

    Localisation

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte topographique
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    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique.

    Le village rural de Thiérache est situé à 17 km à l'est de Guise, 17 km à l'ouest de Hirson et km de Vervins. Il est aisément accessible depuis la RN 2.

    Communes limitrophes

    La commune a pour communes limitrophes : Erloy, Sorbais, Saint-Algis, Haution et Laigny.

    Rose des vents Erloy Rose des vents
    Saint-Algis N Sorbais
    O Autreppes E
    S
    Haution Laigny

    Hydrographie

    La commune est traversée par l'Oise, affluent de la Seine et drainé par plusieurs ruisseaux qui s'y jettent.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental ou des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat semi-continental » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les étés sont chauds et les hivers rudes, avec un grand nombre de jours de neige ou de gel. La pluviométrie annuelle est relativement élevée[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 818 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fontaine-Vervins Man », sur la commune de Fontaine-lès-Vervins, mise en service en 1977[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,1 °C et la hauteur de précipitations de 907,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, mise en service en 1933 et à 47 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    La place du village.
    Entrée du village.

    Autreppes est une commune rurale[Note 6] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (53,3 %), terres arables (37,5 %), zones urbanisées (5,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme d'Altrippia en 879, où il est écrit en latin « Villa Altrippia in pago Laudunensi » dans un acte concernant l'abbaye de Saint-Denis[21]. Elle est mentionnée sous les formes, Autrepe au XIIe siècle dans un cartulaire de l'abbaye de Saint-Denis, Altrepia en 1125 dans un cartulaire de Chaourse pour l'abbaye de Saint-Denis, Autreppia en 1340 dans les fonds latins des archives nationales, Aultreppe en 1610 dans le registre des offices du bailliage des bois de Guise et Autreppe en 1710 dans un document de l'intendance de Soissons[21].

    Le nom de la commune est probablement préceltique pour les toponymistes Marie-Thérèse Morlet et Ernest Nègre et a dû servir à désigner d'abord une rivière ou un cours d'eau sur son territoire[22] - [23]. Pour Ernest Nègre, il est composé du terme préceltique alt avec un autre mot d'origine préceltique apia qui est lui un dérivé du mot epia désignant « eau ». Au cours de son histoire, le nom de la commune a eu une attraction paronymique due au mot latin, altera signifiant « autre »[22]. Le s final est un rajout parasite au nom Autreppe[22]. Pour Marie-Thérèse Morlet, le terme est composé d'altero, une racine latine qui est assimilée au comparatif latin alter signifiant dans un sens « second de deux », avec le terme préceltique apia employé désignant l'eau[23]. Le nom donnerait le sens « eau secondaire, petit ruisseau » dans sa forme composé altero-appa[23].

    Le village est désigné comme Eutreppes ou Euterpe en picard

    Histoire

    Carte de Cassini du secteur
    (vers 1750).
    Carte postale de la gare en 1911.

    Dénommée « Altripia » en 876, Autreppes a fait partie de l'ancien domaine royal donné à l'abbaye de Saint-Denis en 915. Puis le village d'Autreppes est devenu une seigneurie jusqu'à la Révolution française.

    Fortifications des églises
    Au XVIe siècle, lors des affrontements entre François 1er et Charles Quint, et lors de la Guerre franco-espagnole de 1635 à 1659, les villages de la Thiérache furent constamment ravagés aussi bien par les troupes françaises qu'étrangères. C'est à cette époque que la plupart des villages de Thiérache, comme Autreppes, fortifient leurs églises pour permettre aux habitants de s'y réfugier an cas d'attaque. Le clocher ou la nef, faits de hauts murs de briques et surmontés d'un étage, sont flanqués de tours percées de meurtrières. En cas d'attaque de bandes de pillards, les habitants du village s'y réfugiaient avec provisions pour tenir un siège de plusieurs jours[24].

    Carte de Cassini
    La carte de Cassini montre qu'au XVIIIe siècle, Autreppe (écrit sans "s" final) est une paroisse située sur la rive gauche de l'Oise.
    Le moulin sur l'Oise, dont les infrastructures sont encore présentes de nos jours sur un chenal de l'Oise est figuré par une roue dentée. Il était à l'origine un moulin à grain et fut transformé au XIXe siècle en une papeterie. En 1880, celle-ci occupait 8 à 10 ouvriers et fonctionnait jour et nuit. Elle produisait du gros papier à l'usage des épiceries[25] .

    En 1832, une épidémie de choléra a décimé la population du village[26].

    Une monographie très intéressante sur le village, consultable sur le site des Archives Départementales de l'Aisne a été écrite en 1888 par M. Mancelin[27].
    Comme dans beaucoup de villages de Thiérache, la vannerie permettait aux habitants de compléter leurs revenus.

    L'ancienne ligne de chemin de fer de Guise à Hirson
    Autreppes a possédé une gare située sur la ligne de chemin de fer de Guise à Hirson qui a fonctionné de 1910 à 1978. Quatre trains s'arrêtaient chaque jour dans cette gare dans chaque sens (voir les horaires en 1910 [28]).
    Son emprise est utilisée depuis 2014 par l'Axe vert de la Thiérache.
    Première Guerre mondiale
    Le 29 août 1914, soit moins d'un mois après la déclaration de la guerre, de violents combats opposent les cavaliers du 28e Régiment de chasseurs aux troupes allemandes. Une vingtaine d'entre-eux seront tués ce jour-là à Autreppes[29] - [30]. Dès lors, le village restera occupé par les Allemands après la défaite de l'armée française lors de la bataille de Guise. Pendant toute la guerre, Autreppes restera loin du front qui se stabilisera à environ 150 km à l'ouest aux alentours de Péronne. Les habitants vivront sous le joug de l'ennemi: réquisitions de logements, de matériel, de nourriture, travaux forcés.
    Ce n'est que le que les Allemands seront chassés du village par le 115e régiment de chasseurs à pied[31].
    Sur le monument aux morts sont écrits les noms des 22 soldats de la commune morts au champ d'honneur lors de la Grande Guerre[32].

    Politique et administration

    Le monument aux morts.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Vervins du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la troisième circonscription de l'Aisne.

    En 1790, la commune dépendait du canton de Marly dans le district de Vervins,

    Elle fait partie depuis 1801 du canton de Vervins[33]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 24 à 66 communes.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes de la Thiérache du Centre, créée fin 1992.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[34]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1985 août 2003 Jean Sauvage Décédé en fonctions
    août 2003 2014 Jean Basse DVG Retraité de l'enseignement
    2014 En cours
    (au 11 juillet 2020)
    Paul Basse DVG Réélu pour le mandat 2020-2026

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

    En 2020, la commune comptait 176 habitants[Note 7], en diminution de 1,12 % par rapport à 2014 (Aisne : −1,93 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    800678681672715712668656660
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    630627602557535525516443414
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    419411412391412387372330289
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    280232216184150142175184177
    2018 2020 - - - - - - -
    178176-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Tourisme

    L'embarcadère d'Autreppes.

    L'Axe vert de la Thiérache qui a été créé sur le tracé de l'ancienne ligne de Chemin de fer de Guise à Hirson traverse la commune. Il est emprunté par de nombreux randonneurs et cyclistes.
    Un embarcadère situé à l'est du village permet aux canoéistes de rejoindre Autreppes depuis Sorbais en amont ou de glisser vers Erloy en aval.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église fortifiée vue côté façade.
      L'église fortifiée vue côté façade.
    • L'église fortifiée vue côté chœur.
      L'église fortifiée vue côté chœur.
    • La place de la mairie.
      La place de la mairie.
    • L'ancienne gare devenue une habitation.
      L'ancienne gare devenue une habitation.
    • L'axe vert de la Thiérache qui suit le tracé de l'ancienne voie ferrée.
      L'axe vert de la Thiérache qui suit le tracé de l'ancienne voie ferrée.

    Personnalités liées à la commune

    • Bernard et Jean-Pierre Lefèvre, deux jeunes tués pendant la guerre d'Algérie. Les deux principales rues de la commune portent leur nom.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Fontaine-Vervins Man - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Autreppes et Fontaine-lès-Vervins », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Fontaine-Vervins Man - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Autreppes et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Auguste Matton, Dictionnaire topographique du département de l'Aisne, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 14-15.
    22. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. I : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Librairie Droz, Genève, , 704 p. (ISBN 978-2-600-02883-7, présentation en ligne).
    23. Marie-Thérèse Morlet, Toponymie de la Thiérache, Paris, Artrey, , 137 p. (lire en ligne), p. 9-11.
    24. « La Thiérache : recueil de documents concernant l'histoire, les beaux-arts, les sciences naturelles et l'industrie de cette ancienne subdivision de la Picardie » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
    25. « 13 T 22 - Autreppes - 1884 », sur Archives départementales de l'Aisne (consulté le ).
    26. « 13 T 22 - Autreppes - 1884 », sur Archives départementales de l'Aisne (consulté le ).
    27. « Monographies communales », sur Archives départementales de l'Aisne (consulté le ).
    28. https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/af/Ligne_Hirson-Guise_Horaires_1910.jpg
    29. « Historique du 28e régiment de dragons pendant la campagne 1914-1918 » Accès libre, sur Gallica (consulté le ).
    30. https://en.geneanet.org/cemetery/view/6591608/persons/?individu_filter=HUGOT%2BGeorges
    31. « Historique du 115e bataillon alpin de chasseurs à pied : 47e division 6e groupe de chasseurs » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
    32. https://en.geneanet.org/cemetery/view/6751808/persons/?individu_filter=DEVIGNE%2BD%C3%A9sir%C3%A9
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. « Les maires de Autreppes », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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