Angerville-l'Orcher
Angerville-l’Orcher est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Angerville-l'Orcher | |||||
L'ancienne mairie-école actuellement reconvertie en maison de santé | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Le Havre | ||||
Intercommunalité | CU Le Havre Seine Métropole | ||||
Maire Mandat |
Frédéric Basille 2020-2026 |
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Code postal | 76280 | ||||
Code commune | 76014 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Angervillais | ||||
Population municipale |
1 400 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 141 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 35′ 15″ nord, 0° 16′ 52″ est | ||||
Altitude | Min. 74 m Max. 130 m |
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Superficie | 9,91 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Le Havre (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Octeville-sur-Mer | ||||
Législatives | 9e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | https://www.angervillelorcher.fr/ | ||||
Géographie
Description
Commune du pays de Caux située dans le canton d'Octeville-sur-Mer.
Principaux écarts : la Romainerie, le Loir et Esclatot.
Communes limitrophes
Hermeville, Vergetot, Saint-Sauveur-d'Émalleville | Manneville-la-Goupil | |||
Maneglise | N | Graimbouville | ||
O Angerville-l'Orcher E | ||||
S | ||||
Étainhus |
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[7] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 109,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 70 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Angerville-l'Orcher est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,2 %), prairies (21,3 %), zones urbanisées (7,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes de Ansgervilla en 1199 ; Ecclesia de Angiervilla en 1261 ; Ansguierville l'Aurichier en 1319[21] ; Anguierville la Richier entre 1398 et 1403[21] ; Angierville l'Aurichier entre 1422 et 1459[22] ; Anguierville l'Aurrichier en 1405[23] ; Angerville l'Aurrechier en 1424[24] ; Anguierville l'Auricher en 1428 ; Angierville l'Aoricher en 1471 ; l'Aurrichier en 1490[25] ; Angiervilla en 1481[26] ; Angerville l'Aurechier en 1505 et 1506[27] ; Angerville L'Orrichier en 1519[28] ; Angierville l'Aurecher au XVIe siècle[29] ; Angerville l'Orecher en 1648, Angerville l'Orcher entre 1704 et 1738 (Pouillés) ; Notre Dame d'Angerville l'Orcher en 1713[30] ; Angerville l'Orcher en 1715 (Frémont), en 1757 (Cassini)[31], Angerville-Larcher en 1762-1767[32] - [33].
La première partie du nom de la commune est constitué de deux éléments : le nom d'Asgeir ou Ansgar, d'origine scandinave, vraisemblablement celui du seigneur propriétaire des terres au Haut Moyen Âge, et le substantif latin de villa, renvoyant au domaine rural. Une autre possibilité serait d'invoquer le nom de la famille d'Anzeray[34].
Le qualificatif d’Orcher provient la célèbre famille Aurichier qui tirait justement son nom du château d'Orcher (jadis Aurichier) dans la paroisse de Gonfreville-l'Orcher[35]. Aurichier est un nom de lieu anglo-scandinave, attesté sous cette forme dès le XIIe siècle, composé du vieil anglais alri, alor (moderne alder) « aulne » et du norrois kjarr « marais, bosquet d'arbrisseaux, broussaille »[35].
Histoire
La trouvaille d'une hache polie sur le territoire de la commune montre que le site était occupé dès la Préhistoire[36].
L'origine d'Angerville l'Orcher se situe dans un établissement rural probablement fondé au Xe siècle. L’if, planté à côté du cimetière aurait été mis en terre en 932[37].
Au Moyen Âge, le fief d’Angerville appartenait aux seigneurs d’Orcher, notamment Guillaume d’Orcher, sire d’Auvrecher et d’Angerville, actif vers 1210[38]. Cette possession féodale est confirmée par Philippe Auguste après la confiscation de 1204[37].
L'historien Auguste Lechevalier considère que cette paroisse était l'une des plus riches de la région en raison de la fertilité de son sol, à travers l'estimation de la valeur des cures donnée par le pouillé d'Eude Rigaud en 1275[39].
Au XIVe siècle, Angerville-l’Orcher est un centre de fabrication de toile de lin où travaillent maîtres toiliers et apprentis[40].
En 1587, pendant les Guerres de Religion, le duc de Guise remporte, à proximité de ce village, une victoire sur 400 Suisses, alliés des protestants[37].
Vers 1745, la fabrique paroissiale est autorisée à loger le curé dans le presbytère établi dans un ancien manoir seigneurial[37].
Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de L'Égalité[41]. L'existence d'une société populaire comportant une petite cinquantaine de membres jacobins est attestée pendant la Terreur[42]. Angerville l'Orcher était alors le chef-lieu d'un canton comptant huit communes[42].
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[48].
En 2020, la commune comptait 1 400 habitants[Note 8], en diminution de 2,85 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'Église Notre-Dame, classée monument historique, conserve un portail du XIe siècle et un clocher de l'époque romane (XIIe-XIIIe siècle) figurant parmi les plus remarquables de l'architecture romane du Pays de Caux[50]. Le chœur date du XIVe siècle, tandis qu'un porche a été ajouté au XVIIIe siècle[40]. Au sein de l'église, un retable du XVIIe siècle figure la Présentation au Temple, orné de quatre chandeliers en bois doré et d'une croix au-dessus du tabernacle datant de la même période[37].
- L'église romane bâtie à partir du XIe siècle
- Les vitraux de la façade nord
- La façade nord au début du XXe siècle
- Le clocher à la même époque
- L'ancien manoir seigneurial, restructuré en presbytère au milieu du XVIIIe siècle[40], est reconverti en bâtiment municipal et en école sous la Révolution française, redevint presbytère au XIXe siècle, avant d'être à nouveau reconverti en mairie en 2016-2017[51].
- L'ancien cimetière protestant, dont l'origine remonte probablement à l'époque moderne, et qui demeura actif sur son site actuel au moins au XIXe siècle et au début du XXe siècle, est aujourd'hui désaffecté[52].
Patrimoine naturel
- Site classé
- L'If commun de l'ancien cimetière, Site classé (1932) ; IXe siècle[53].
Personnalités liées à la commune
Le 23 mars 1789, lors de l'élection des représentants aux États généraux, le curé d'Angerville l'Orcher, Pierre Eude, est élu député avec une large majorité au premier tour[54]. Âgé à ce moment-là de cinquante ans, cet homme était réputé être un homme éclairé par l'esprit des Lumières. Il avait pris part activement au mouvement des assemblées provinciales de 1787, à travers ses fonctions de procureur-syndic de la commission permanente de l'assemblée de Montivilliers. Expérimenté sur les questions financières, administratives et sociales, il demeura cependant très effacé à l'Assemblée Nationale Constituante. Il fait partie des clercs qui acceptèrent la Constitution civile du clergé, en étant toutefois parmi les derniers à se décider, le 3 janvier 1791[54]. On ne lui connaît pas d'interventions personnelles, seulement un congé de six semaines accordé le 9 avril 1791[55].
Sous la Révolution française et le Consulat, à l'époque où Angerville l'Orcher était chef-lieu de canton, Louis Robin exerça les fonctions de juge de paix dans son tribunal établi au sein de l'ancien presbytère de la commune d'Angerville l'Orcher. Les archives judiciaires de ce tribunal local ont été conservées[56].
Héraldique
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Les armes de la commune d'Angerville-l'Orcher se blasonnent ainsi : La présence d'un léopard rappelle les armes de la Normandie. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Angerville-l'Orcher sur le site de l'Insee
- « Dossier complet : Commune d'Angerville-l'Orcher (76014) », Recensement général de la population de 2017, INSEE, (consulté le ).
- « Angerville-l'Orcher », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Angerville-l'Orcher et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Angerville-l'Orcher et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Le Havre », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Archives départementales de la Seine-Maritime, G 3267.
- Archives de Seine-Maritime, G 3268, 3269.
- Archives de Seine-Maritime, G 20-22.
- Archives de Seine-Maritime tab. Rouen, reg. 21 f. 128 v.
- Archives de Seine-Maritime, 18 H.
- Archives de Seine-Maritime, G 1584.
- Archives de Seine-Maritime G 91.
- Archives de Seine-Maritime, G 100.
- Archives de Seine-Maritime, G 4.
- Archives de Seine-Maritime, G 737.
- Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, p. 11.
- Jean-Joseph Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, tome 1, Paris, 1762, p. 185 (voir en ligne)
- Le grand vocabulaire françois, Panckoucke, Paris, 1767, p. 395 (voir en ligne).
- Toussaint Du Plessis, Description geographique et historique de la Haute Normandie, divisée en deux parties. La premiere comprend le Pais de Caux; et la seconde le Vexin. On y a joint un dictionnaire geographique complet, & les cartes... de ces deux provinces, chez Pierre-François Giffart, (lire en ligne)
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), , Paris, A. et J. Picard, 1979, 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1), OCLC 6403150), p. 84 - 164.
- Charles Brisson, « IV. — Fouilles et découvertes archéologiques », Annales de Normandie, vol. 7, no 1,‎ , p. 109–113 (lire en ligne, consulté le )
- « Notre Dame de l’Assomption d’Angerville l’Orcher », sur Diocèse du Havre (consulté le )
- Auguste Lechevalier, Recherches historiques sur les communes du canton de Criquetot l'Esneval, Paris, Le Livre d'histoire, 2011, réimpression de l'édition de 1897, p. 65.
- Auguste Lechevalier, Recherches historiques sur les communes du canton de Criquetot l'Esneval, Paris, Le Livre d'histoire, 2011, réimpression de l'édition de 1897, p. 63.
- « Histoire, patrimoine et territoire de la commune », sur Angerville-l'Orcher (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Danièle Pingue, « Un Jacobisme de masse : les Sociétés Populaires en Haute-Normandie (1793-1795) », Annales de Normandie, vol. 39, no 2,‎ , p. 155–176 (DOI 10.3406/annor.1989.1842, lire en ligne, consulté le )
- Une école primaire de la commune honore l'action de Bernard Gauvain
- « Angerville-l'Orcher », Les équipes municipales, sur http://seine76.net, (consulté le ).
- Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Le conseil municipal est installé : Florence Durande repart pour un second mandat. », Le Côte d’Albâtre,‎ (lire en ligne).
- « Municipales 2020. Frédéric Basille, nouveau maire d’Angerville-l’Orcher : Frédéric Basille a été élu maire lors du conseil municipal d’installation. Il sera secondé par trois adjoints », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Frédéric Basille a été élu maire et a salué l’équipe sortante pour le travail accompli, notamment Florence Durande, Daniel Lebrun et Sylvie Boulen ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Notice no PA00100541, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Angerville-l'Orcher : la nouvelle mairie inaugurée », sur lecourriercauchois.fr (consulté le )
- Jean-Marie Vallez, « Un révélateur du protestantisme normand au début du XVIIe siècle : l'attribution de cimetières par les commissaires du roi (1611-1612) », Annales de Normandie, vol. 51, no 2,‎ , p. 139–172 (DOI 10.3406/annor.2001.1304, lire en ligne, consulté le )
- « Des arbres à la longévité exceptionnelle à découvrir autour du Havre », sur Paris-Normandie, (consulté le )
- Claire Lejeune, « La faillite des ordres privilégiés à la veille de la Révolution. Dominique de Pradt, du diocèse de Rouen aux États Généraux », Annales de Normandie, vol. 50, no 4,‎ , p. 483–509 (DOI 10.3406/annor.2000.1276, lire en ligne, consulté le )
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- Nicolas Preud'homme, « Actes de la justice de paix du canton d'Angerville l'Orcher - 1791-1802 », Document mis en ligne sur Academia.edu,‎ (lire en ligne, consulté le )