Amou
Amou (Amor en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).
Amou | |||||
L'Ă©glise Saint-Pierre d'Amou. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Landes | ||||
Arrondissement | Dax | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Coteaux et Vallées des Luys (siÚge) |
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Maire Mandat |
Florence Bergez 2020-2026 |
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Code postal | 40330 | ||||
Code commune | 40002 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | amollois | ||||
Population municipale |
1 565 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 57 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 35âČ 39âł nord, 0° 44âČ 46âł ouest | ||||
Altitude | Min. 31 m Max. 147 m |
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Superficie | 27,25 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Coteau de Chalosse | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Landes
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
La commune est limitrophe du département des Pyrénées-Atlantiques.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Gaujacq, Arsague, Bonnegarde, Brassempouy, Castel-Sarrazin, Nassiet et Bonnut.
Hydrographie
Les terres de la commune sont arrosées par le Luy de Béarn, affluent du Luy.
Urbanisme
Typologie
Amou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5] - [6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (73,4 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (73,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (45,6 %), forĂȘts (22,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (20,2 %), prairies (7,6 %), zones urbanisĂ©es (3,9 %)[7].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Amou est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e)[8]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[9].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Luy, le Luy du BĂ©arn et le ruisseau de l'Ourseau. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1989, 1991, 1993, 1998, 1999, 2009, 2013, 2014 et 2018[10] - [8].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[11].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 25,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 768 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 194 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 25 %, Ă comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[12] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991 et 2002 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2020[8].
Toponymie
Amou est le nom francisé du gascon Amor qui signifie « amour ».
Les principaux lieux-dits sont : Bracq, Billaou, Biernabe, Hoursans, LatéoulÚre, Palai, Pébarthe et Menaout.
LatéoulÚre est la contraction et francisation du gascon la teulÚra, qui signifie « la tuilerie ».
Pébarthe est la contraction et francisation du gascon pé de barta, qui signifie « au pied de la barthe », la barthe étant le nom donné en Gascogne aux milieux embroussaillés des bords des cours d'eau.
Histoire
Amou est un ancien village médiéval, aujourd'hui chef-lieu de canton.
« Selon la légende, en 56 avant J.C. Labiennus, lieutenant de César, vint installer son camp sur une hauteur dominant le confluent des Luys. Séduit par la beauté et la douceur du site, il le baptisa "Pays d' Amour". Amou, par la complicité de l'occupant romain, venait de naßtre. »[13]
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat mĂ©diterranĂ©en altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[15].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[18] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[19] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1994 permet de connaĂźtre l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[20]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,3 | 2,7 | 4,6 | 7 | 11 | 14,2 | 15,7 | 15,6 | 12,3 | 9,7 | 5,3 | 2,8 | 8,6 |
Température moyenne (°C) | 6,9 | 7,8 | 10,7 | 13,1 | 16,9 | 20,2 | 21,8 | 21,9 | 18,7 | 15,4 | 9,8 | 6,9 | 14,2 |
Température maximale moyenne (°C) | 11,4 | 12,9 | 16,9 | 19,1 | 22,9 | 26,3 | 27,9 | 28,1 | 25,1 | 21,1 | 14,4 | 11 | 19,8 |
Record de froid (°C) date du record |
â7,5 24.01.11 |
â10,3 12.02.12 |
â8,1 01.03.05 |
â3,6 04.04.1996 |
1,8 07.05.10 |
4,5 01.06.06 |
8,2 13.07.04 |
6,2 29.08.1998 |
2,5 26.09.02 |
â2,5 25.10.03 |
â7,8 21.11.1998 |
â12,7 25.12.01 |
â12,7 2001 |
Record de chaleur (°C) date du record |
21,9 04.01.1999 |
25,2 28.02.1997 |
28 26.03.06 |
32,5 30.04.05 |
37 30.05.1996 |
40,9 21.06.03 |
40,1 18.07.06 |
40,9 01.08.04 |
37,5 05.09.06 |
33,9 04.10.04 |
25,9 01.11.1999 |
22,6 07.12.00 |
40,9 2004 |
Précipitations (mm) | 108,5 | 84,2 | 91,5 | 104,8 | 108,3 | 59,8 | 55,6 | 71 | 93,2 | 102,8 | 157,9 | 115 | 1 152,6 |
HĂ©raldique
Blasonnement :
De gueules Ă lâarc posĂ© en barre, Ă la dâune flĂšche posĂ©e en bande et brochante, le tout dâor[21] - [22].
Commentaires : Devise : « amou que soy » (je suis amour) |
Politique et administration
Liste des maires
DĂ©mographie
Les habitants sont nommés les Amollois[25].
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[27]. En 2020, la commune comptait 1 565 habitants[Note 6], en augmentation de 1,36 % par rapport Ă 2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Ăconomie
Manifestations culturelles
- Carnaval d'Amou, en février ou mars, inscrit à l'Inventaire du patrimoine culturel immatériel en France.
- Le festival Chansons et Mots d'Amou, tous les ans en août, prend place dans les arÚnes. La premiÚre édition s'est déroulée en 2012.
Lieux et monuments
- ArĂšnes Jean-Lafittau.
- ChĂąteau d'Amou du XVIIe siĂšcle inscrit.
- Ăglise Saint-Pierre d'Amou du XIIe siĂšcle inscrite.
Personnalités liées à la commune
- Jean Goze, homme politique et religieux, né en 1749 dans la commune.
- Pierre Richet (1904-1983), médecin militaire, combattant de la Seconde Guerre mondiale et de la guerre d'Indochine, premier secrétaire général de l'Organisation de coopération et de coordination pour la lutte contre les grandes endémies, pionnier de la lutte contre l'onchocercose, est enterré à Amou.
- Jean-Marie Jouaret, nĂ© le Ă Castets (Landes), joueur international et capitaine de l'Ă©quipe France de basket-ball a jouĂ© Ă l'Ătoile amolloise de 1959 Ă 1961.
- RenĂ© BaillĂ©, enfant d'Amou, est moniteur de gymnastique Ă l'Ătoile Amolloise, puis adjudant-chef de la Garde rĂ©publicaine oĂč il crĂ©e en 1938 la section spĂ©ciale de gymnastique[30].
- Jean-Jacques Darmaillacq, maire durant 29 ans ayant obtenu la LĂ©gion d'honneur.
- FĂ©licien Taris, comĂ©dien et producteur, ancien participant Ă l'Ă©mission de tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ© LoftStory sur M6, a vĂ©cu Ă Amou et portĂ© les couleurs du club de basket l'Ătoile Amolloise.
- Marion Laborde, MĂ©daille d'argent de basket-ball aux Jeux olympiques 2012 de Londres a dĂ©butĂ© Ă l'Ătoile Amolloise.
Galerie
- Le Luy de BĂ©arn.
Voir aussi
Bibliographie
- Jean-Marie Jouaret, Petite histoire partielle et partiale de la FĂ©dĂ©ration sportive et culturelle de France (1948-1998), t. 1, Paris, FSCF (Ă compte dâauteur, imp. DĂ©ja-Glmc), , 1189 p. (ISBN 2-9528387-0-4) : document utilisĂ© comme source pour la rĂ©daction de cet article.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Amou sur le site de l'Institut géographique national
- Amou sur le site de l'Insee
- Pays Adour Chalosse Tursan
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[16].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[17].
- DĂ©missionnaire mais reste conseiller municipal.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Amou », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Bienvenue à Amou / Découvrir Amou / Accueil - Amou », sur www.amou.fr (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 40002002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- Armorial de France
- Site de la mairie
- Sylvain Lapique, Landes : Florence Bergez, nouvelle maire dâAmou, Sud Ouest, 7 avril 2018.
- « Florence Bergez retrouve son fauteuil de maire », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 32.
- Gentilé sur habitants.fr
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Jean-Marie Jouaret, 1999, tome 1, p. 398.