Allan (DrĂ´me)
Allan est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Allan | |||||
Vue générale d'Allan. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | DrĂ´me | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Montélimar-Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Yves Courbis 2020-2026 |
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Code postal | 26780 | ||||
Code commune | 26005 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Allanais | ||||
Population municipale |
1 824 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 63 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 44° 30′ 00″ nord, 4° 47′ 15″ est | ||||
Altitude | Min. 119 m Max. 420 m |
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Superficie | 28,81 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Montélimar (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Montélimar-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : DrĂ´me
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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Liens | |||||
Site web | mairie-allan.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation
La commune est située à 6 km au sud de Montélimar. Elle appartient à la Drôme provençale.
Relief et géologie
Sites particuliers :
Voies de communication et transports
Le village est accessible par les routes départementales RD 56 et RD 169.
Une ligne régulière de transport en commun relie Montjoyer à Montélimar et passe par Allan[1].
Allan est traversé par l'autoroute A7. Les péages Montélimar-Sud (sorties 18) sont sur son territoire.
La gare SNCF la plus proche est celle de Montélimar.
L'aéroport le plus proche est celui d'Avignon.
Une gare TGV ?
La construction d'une gare TGV à Allan est évoquée depuis 1994 dans le cadre du projet de la LGV Méditerranée. Elle permettrait, selon ses promoteurs, de mieux desservir Montélimar, le sud de la Drôme, l'Ardèche et le Gard.
Cependant, son isolement, son absence de liaison au réseau ferré régional, et la suppression des TGV à Montélimar ville (au détriment des Ardéchois) lui sont reprochés (risque d'augmentation du trafic routier).
Le projet attend son financement. Les travaux seraient envisagés pour 2020 ou 2025. En 2018, l'état ne souhaitait pas investir dans cette gare[2].
La gare TGV avait aussi été envisagée à Lapalud. En effet, les deux lignes (LGV Méditerranée et ligne classique PLM Paris-Lyon-Marseille-Vintimille) se situent côte à côte, permettant ainsi une interconnexion optimale.
Urbanisme
Typologie
Allan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].
La commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6] - [7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (48,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,9 %), terres arables (31,3 %), prairies (8,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %), zones urbanisées (2,6 %), cultures permanentes (2,1 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
Les ruines de l'ancien village (totalement abandonné à la fin du XIXe siècle) et celles du château d'Allan dominent le nouvel Allan, anciennement appelé La Bégude.
Hameaux et lieux-dits
Sites GĂ©oportail (carte IGN)[9] :
- Aubagne
- Barbara
- Beaumont
- Beauvoir
- Besson
- Biscarat
- Bressac
- Champagnole
- Chante-Perdrix
- Charreton
- Château Bizard
- Colas
- Courcoussone
- Courren
- Estrant
- Evariste
- Fortuné
- Gamet
- Grane
- Grange Neuve
- Joannis
- Juyère
- la Barque
- Lachamp
- la Chaussée
- la Combe
- Lagier
- la Grangette
- la Motte
- Lancer
- la Savasse
- Laurens
- le Ferrent
- le Mège
- le Morginas
- le Pavillon
- le Sastre
- les Aubépines
- les Bruyères
- les Emmas
- les Ferreints
- les Himounettes
- les Ormes
- les Rieux
- les Ruches
- Long
- Morel
- Morin
- Petit
- Peyrol
- Pierre Martin
- Pinton
- Pouzard
- Préchauvoir
- Prieur
- Richardon
- Rouny
- Rozel
- Savel
- Terras
- Terrasse
- Vache
Toponymie
La commune est dénommée Aland en occitan.
Attestations
- 1138 : Alon[10].
- 1183 : Santa-Maria de Alondo (Masures de l'Isle-Barbe, 117)[11].
- 1345 : castrum de Alondo (archives de la DrĂ´me, E 606)[11].
- 1362 : Aloudum (inventaire des dauphins, 95)[11].
- 1442 : castrum de Alando, terra Alandi (choix de documents, 279)[11].
- 1442 : Alanda (lieu de culte consacré à la Vierge Marie[10].
- 1540 : Alundum (A. du Rivail, De Allobrogibus, 116)[11].
- XVIIe siècle : Alan (rôle des bénéfices du diocèse de Saint-Paul)[11].
- XVIIIe siècle : Aloud (inventaire de la chambre des comptes)[11].
- 1891 : Allan, commune du canton de Montélimar[11].
Étymologie
Allan dériverait d'un anthroponyme germanique Alon[10].
Histoire
Préhistoire
Un site néolithique de hauteur a été étudié au Jas des chèvres.
Protohistoire
Au quartier de Beauvoir, Raymond Vallentin du Cheylard donne dans les Cahiers Rhôdaniens (IV, 1957, p. 70) les résultats complets des fouilles de son oncle sur le sanctuaire des déesses-mères[12].
Antiquité : les Gallo-romains
Allan est situé sur l'ancienne voie Agrippa.
Au nord de la commune (Bondonneau), les fondations de thermes romains ont été mis au jour durant la première moitié du XIXe siècle, remontant à une période allant du IIe au IVe siècle. Des fouilles archéologiques ont été entreprises. Parmi les objets retrouvés, a été trouvée une hanse en argent finement ciselée, exposée au musée du Louvre. Les eaux venaient de Grange-Neuve et de multiples petites piscines ont été localisées.
Selon la Chronica Gallica de 452, le patrice Aetius accorde des terres abandonnées dans la région de Valence à un groupe d'Alains commandés par un certain Sambida en 440 (d'où la possible origine du nom Allan).
Du Moyen Ă‚ge Ă la RĂ©volution
La seigneurie[11] :
- Au point de vue féodal, Allan était une terre (ou seigneurie) des Adhémar.
- 1421 : la terre passe (par mariage) à Lancelot, bâtard de Poitiers, dont la petite-fille s'unit en 1515 chez les Pape-Saint-Auban.
- 1515 : passe (par mariage) aux Pape-Saint-Auban.
- Vers 1730 : passe (par mariage) aux Leriget de la Faye.
- La terre passe (par mariage) aux La Tour du Pin, derniers seigneurs d'Allan.
Au Moyen Âge, une chapelle est élevée à l'endroit des anciens thermes. De nombreux malades venaient se faire soigner, l'eau ayant réputation d'avoir des vertus, ce qui donna au lieu le nom de Saintes-Fontaines[13].
XVIe siècle: introduction du mûrier en France[14].
Avant 1790, Allan Ă©tait une des terres adjacentes de Provence et, comme tel, du ressort du parlement et de l'intendance d'Aix.
La paroisse était du diocèse de Saint-Paul-Trois-Châteaux. L'église était dédiée à saint Jean-Baptiste. La cure était de la collation de l'évêque diocésain. Les dîmes appartenaient, moitié à l'évêque de Saint-Paul-Trois-Châteaux et moitié au chapitre de Montélimar, qui étaient l'un et l'autre aux droits du prieur du lieu[11].
Barbara
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :
- 1183 : ecclesia Sanctae Mariae de Alondo (Masures de l'Isle-Barbe, 117).
- 1891 : Barbara, ruines et quartiers de la commune d'Allan.
Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Benoît (de la dépendance de l'abbaye de l'Île-Barbe) connu dès 1119, supprimé en 1449 et réuni au chapitre de Montélimar qui a donc joui de la moitié des dîmes d'Allan jusqu'en 1790[15].
Liste des consuls
Jusqu'en 1789, la municipalité d'Allan est dirigée par deux consuls :
- 1700 : Jean Estran (fils) et Pierre Lagier
- 1701 : Laurent Meilhon et Joseph Costadau
- 1702 : Louis Martin et Antoine Faugier
- 1703 : Jean Estran (père) et Jacques Loudet
- 1704 : Jean Estran (père) et Jean-Louis Curtil
- 1705 : Antoine Chalaye et Jean Estran (fils)
- 1706-1707 : Jean Mège et Pierre Loudet
- 1708 : (inconnus)
- 1709 : Laurent Meilhon et Michel Chalaye
- 1710 : Laurent Meilhon et Antoine Estran
- 1711-1712 : Vincent Mazet et Raymond Costadau
- 1713 : Jean Mège et Jean Couffour
- 1714 : Pierre Combe et Pierre Loudet
- 1715 : Vincent Pic et Pierre Lagier
De la RĂ©volution Ă nos jours
En 1790, la commune est comprise dans le canton de Donzère. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la fait entrer dans celui de Montélimar[11].
En , la vague hygiéniste qui s'empare de la France conduit des investisseurs à s'intéresser à la source thermale de Bondonneau. Ses eaux sont bientôt réputées dans toute la France. On construit un grand hôtel, des écuries, et même un casino (1884). L'aventure prend fin en 1914 avec la Première Guerre mondiale. Les locaux tombent en ruine et l'entreprise disparaît[16]. En 1992, la source thermale est toujours abandonnée[14].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].
En 2020, la commune comptait 1 824 habitants[Note 3], en augmentation de 10,08 % par rapport Ă 2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Allan dépend de l'académie de Grenoble.
Les élèves débutent leurs études sur la commune, dans le groupe scolaire regroupant l'école maternelle (54 enfants) et l'école élémentaire (86 enfants), dans six classes[23].
Une école primaire privée est également installée sur la commune, regroupant 46 écoliers dans deux classes[24].
Les collèges et lycées les plus proches sont situés à Montélimar, dont un lycée spécialisé dans les métiers de la logistique et du transport[25].
Manifestations culturelles et festivités
- FĂŞte patronale : premier dimanche de septembre[14].
Loisirs
- Chasse et pĂŞche[14].
Cultes
La paroisse catholique d'Allan fait partie du diocèse de Valence, doyenné de Cléon-d'Andran[26].
Économie
Agriculture
En 1992 : céréales, cultures fruitières, lavande, ovins, vin AOC (Coteaux du Tricastin)[14].
Allan fait partie de la zone de production des vins AOC (Grignan-les-Adhémar).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Thermes romains de Bondonneau[14].
- Ruines imposantes de l'ancien village (fortifications)[14].
- Le village ancien d'Allan, inscrit monument historique (MH) le [27].
- Château médiéval remanié au XIXe siècle[14].
- XIIe siècle : vestiges de la chapelle Barbara, classée monument historique (MH) le [28].
- XIXe siècle : église Saint-Jean-Baptiste[14], (1848).
- Le couvent (1853) puis maison de retraite Beauvoir.
Patrimoine naturel
- Source thermale (abandonnée)[14].
HĂ©raldique, logotype et devise
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Allan (Drôme) possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
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Annexes
Bibliographie
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, 1891, page 5-6.
- Catherine Crassin-Blanc, Allan : chroniques d'un village de la Drôme, Éditions AGI, 1981.
- Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 2004, 192 pages.
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Allan sur le site de l'institut géographique national / page archivée depuis 2011.
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Ligne de bus n° l331 [PDF].
- https://www.francebleu.fr/infos/transports/l-etat-confirme-son-desengagement-du-projet-de-gare-tgv-pres-de-montelimar-1539889365
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- https://www.geoportail.gouv.fr/
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume 2, page 826, (ISBN 2600001336).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 5 (Allan).
- André Pelletier, André Blanc, Pierre Broise et Jean Prieur, Histoire et archéologie de la France ancienne, Rhône-Alpes (de l'âge du fer au Haut Moyen Age), Le Coteau (42120), Horvath, , 261 p. (ISBN 2-7171-0561-1), page 215.
- Bulletin d'archéologie et de statistique de la Drôme, Montélimar, 1901, p. 353 — en ligne.
- Michel de la Torre, DrĂ´me; le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Allan.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 18 (Barbara).
- « Les thermes de Bondonneau » par Marylène Marcel-Ponthier, Valence, Études drômoises, revue trimestrielle, 42, 2010.
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Ă©cole primaire d'Allan.
- école privée d'Allan.
- collèges et lycées.
- paroisse d'Allan.
- « village ancien », notice no PA00117097, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « chapelle Barbara », notice no PA00116881, base Mérimée, ministère français de la Culture.