Ătaimpuis
Ătaimpuis est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Seine-Maritime en rĂ©gion Normandie.
Ătaimpuis | |||||
Un bombardier au-dessus de Biennais. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Normandie | ||||
DĂ©partement | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Terroir de Caux | ||||
Maire Mandat |
Jean-Claude Lebret 2020-2026 |
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Code postal | 76850 | ||||
Code commune | 76249 | ||||
DĂ©mographie | |||||
GentilĂ© | Ătaimpuisais | ||||
Population municipale |
838 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 79 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 38âČ 48âł nord, 1° 08âČ 41âł est | ||||
Altitude | Min. 132 m Max. 171 m |
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Superficie | 10,6 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Rouen (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Luneray | ||||
LĂ©gislatives | DixiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-Maritime
GĂ©olocalisation sur la carte : Normandie
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GĂ©ographie
Hameaux et Ă©carts
- Ătaimpuis (2016 : 64 habitations)
- rue du Chasse-FĂȘtu (19 habitations) - rue des PrimevĂšres (13 habitations) - impasse des Violettes (5 habitations) - chemin de ClĂšres (13 habitations) - rampe Saint-Martin (2 habitations) - impasse des Jonquilles (2 habitations) - chemin du Chasse-MarĂ©e (5 habitations) - chemin de la Chapelle (3 habitations) - impasse des PĂąquerettes (3 habitations)
- Biennais (2016 : 98 habitations)
- rue de l'Ăglise (6 habitations) - rue des MĂ©sanges (7 habitations) - rue des Fauvettes (15 habitations) - rue des Bergeronnettes (22 habitations) - chemin des Colombes (2 habitations) - rue des Rossignols (19 habitations) - rue des Tourterelles (4 habitations) - impasse des Sarcelles (2 habitations) - rĂ©sidence du Clos Normand (10 maisons) - rĂ©sidence des Alouettes (11 habitations)
- LĆuilly (2016 : 61 habitations)
- rue des Pommiers (24 habitations) - rue des Charmilles (18 habitations) - rue des HĂȘtres (4 habitations) - impasse des Meurisiers (2 habitations) - impasse des FrĂȘnes (4 habitations) - rue des Acacias (6 habitations) - impasse des Pins (3 maisons) -
- le PiĂšre (2016 : 35 habitations)
- chemin des FĂ©es (15 habitations) - rue des Charmes (20 habitations)
- le Coudray (2016 : 18 habitations)
- rue du Parc-Floral (9 habitations) - impasse des Coudriers (5 habitations) - rue André-et-Berthe-Noufflard (4 habitations)
- le RĂ©el (2016 : 6 habitations)
- rue du RĂ©el (5 habitations) - rue de la Ferme (1 habitation)
- la Gobe (2016 : 3 habitations)
- rue des Fourches (2 habitations) - rue de la Folie (1 habitation)
- le Menu Bosc (2016 : 2 habitations)
- la Briqueterie (2016 : 2 habitations)
Au total, l'estimation du nombre de logements en 2016 est de 289 habitations.
Commune du pays de Caux, Ătaimpuis est entourĂ©e de parcelles cultivĂ©es (cĂ©rĂ©ales, colza, etc.).
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Buchy », sur la commune de Buchy, mise en service en 1960[7] et qui se trouve Ă 17 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 901,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă 29 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Ătaimpuis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (97,5 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (97,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (74,9 %), prairies (14,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8 %), zones urbanisĂ©es (2,4 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[20].
Toponymie
Généralité
La commune s'est formĂ©e par la fusion en 1824 des trois anciennes communes de Biennais, dâĂtaimpuis et de LĆuilly (ou Leuilly)[21].
Ătymologie
- Biennais est attesté sous la forme Bienais en 1084. Sa signification est obscure[21].
- Ătaimpuis est mentionnĂ© sous la forme Estanpuiz en 1137. Selon François de Beaurepaire[21], il s'agit d'un composĂ© germano-roman signifiant « le puits en pierre », le premier Ă©lĂ©ment Ătaim- Ă©tant issu du germanique stein « pierre » cf. Estaimpuis en Belgique, Steenput en flamand. En rĂ©alitĂ©, c'est plus prĂ©cisĂ©ment une combinaison d'Ă©lĂ©ments vieux bas franciques, le second d'entre eux -puis procĂ©dant directement du vieux bas francique *putti « puits »[22] (cf. vieux saxon putti, moyen nĂ©erlandais putte > nĂ©erlandais put, vieux haut allemand p(f)uzza, mĂȘme sens > allemand PfĂŒtze, anglais pit), avec une dĂ©sinence -s romane. Le germanique commun *putti, *puttja passe pour un emprunt au latin puteus « puits. »
- Leuilly est attesté sous la forme Lulleium en 1137 et Lulliacum au XIIe siÚcle. Il s'agit manifestement d'un toponyme gallo-roman suffixé en -acum « lieu de, propriété de »[21]. Il doit remonter exactement à un *LULLIACU, formation basée sur l'anthroponyme Lullius.
Histoire
L'Ă©glise d'Ătaimpuis fut donnĂ©e en 1055 par Hugues de Mortemer, ancĂȘtre de la famille Mortimer Ă l'abbaye de Saint-Victor ; celle de Biennais Ă l'abbaye Saint-Ouen de Rouen en 1084.
Durant la Seconde Guerre mondiale, le village a subi des bombardements en juillet 1944[23].
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[28].
En 2020, la commune comptait 838 habitants[Note 8], en augmentation de 10,7 % par rapport Ă 2014 (Seine-Maritime : â0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Martin d'Ătaimpuis (1763).
- Ăglise Saint-Martin de Biennais (1956).
- Parc floral du clos du Coudray (a reçu le label « jardin remarquable ») (fermé depuis 2011).
- Nombreux anciens vestiges allemands (blockhaus), Ă Biennais.
Personnalités liées à la commune
- Berthe et André Noufflard, artistes-peintres, possédaient un petit chùteau à Leuilly. Cette propriété est toujours occupée par la famille Noufflard.
Anecdotes
Lors de la tempĂȘte de dĂ©cembre 1999, la commune d'Ătaimpuis a Ă©tĂ© sĂ©vĂšrement touchĂ©e. La rue du Chasse-FĂȘtu s'est retrouvĂ©e sous 1,30 m d'eau, tandis que des torrents de boue de soixante centimĂštres de haut dĂ©valaient la rue des PrimevĂšres. Du fait de la configuration du bourg (maisons en hauteur), les dĂ©gĂąts ont Ă©tĂ© faibles.
Voir aussi
Bibliographie
François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150).
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Buchy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Ătaimpuis et Buchy », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
- « Station Météo-France Buchy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ătaimpuis et Boos », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150).
- Site du cnrtl : Ă©tymologie de "puits"
- Norbert Dufour et Christian Doré (préf. Daniel Pégisse), L'Enfer des V1 en Seine-Maritime durant la Seconde Guerre mondiale, Luneray, Bertout, , 295 p. (ISBN 2-86743-179-4), p. 204-205.
- « Ătaimpuis : Hubert Daumalle devient maire honoraire », Paris-Normandie,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « La salle des fĂȘtes Ă©tait en effervescence lors de la cĂ©rĂ©monie officielle qui a mis en avant lâancien maire, Hubert Daumalle. En effet, ce dernier qui nâavait pas sollicitĂ© le suffrage des administrĂ©s lors des derniĂšres Ă©lections municipales, sâest vu remettre des mains de la sous-prĂ©fĂšte, Martine LaquiĂšze, le diplĂŽme de maire honoraire et la mĂ©daille rĂ©gionale dĂ©partementale et communale, Ă©chelon or ».
- « Ătaimpuis. Le premier adjoint s'engage dans la voie du maire sortant : Le premier adjoint s'engage pour continuer l'action du maire sortant », Le Courrier cauchois,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.