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Université de Cergy-Pontoise

L’université de Cergy-Pontoise était une université française située dans le département du Val-d'Oise et la région Île-de-France. Elle était implantée principalement dans les villes de Cergy, de Pontoise et de Neuville-sur-Oise, et disposait d'un total de douze sites. C'était l'une des cinq universités de l'académie de Versailles[n 1].

Université de Cergy-Pontoise
Logo de l'université de Cergy-Pontoise.
Histoire
Fondation
Dissolution
Statut
Type
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)
Président
François Germinet (d) (-)
Membre de
Chiffres-clés
Étudiants
15 052 ()
Enseignants
1 038 [3]
Budget
140 millions € dont 111,5 millions € de masse salariale (hors amortissements) (en 2016)[4]
Localisation
Pays
Localisation
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Elle fut créée en 1991 dans le cadre des universités nouvelles à partir d'implantations universitaires plus anciennes, ouvertes à partir de 1989. L'établissement intégra le pôle de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) de Cergy-Pontoise Val-d'Oise lors de sa création en 2006, et passa aux compétences élargies en 2009.

L’établissement dispensait des formations dans les domaines des arts-lettres-langues, du droit-Ă©conomie-gestion, des sciences humaines et sociales et des sciences et technologie, ainsi que des prĂ©parations Ă  des concours Ă  quelque 11 338 Ă©tudiants.

Ses activitĂ©s de recherche Ă©taient assurĂ©es par quelque 500 enseignants-chercheurs et 350 doctorants, et Ă©taient structurĂ©es autour de quatre pĂ´les : « Ă©tude des matĂ©riaux et sciences expĂ©rimentales », « analyse, modĂ©lisation et management de systèmes complexes », « technologies de l’intelligence embarquĂ©e » et « transferts culturels et transmission des savoirs ».

L'université a fusionné le avec l'École internationale des sciences du traitement de l'information (EISTI) et la communauté d'universités et établissements Université Paris-Seine pour devenir CY Cergy Paris Université[2] - [5].

Histoire

Création de l'université

À la fin des années 1960, la municipalité de la ville nouvelle de Cergy et Bernard Hirsch, l’urbaniste qui porte le projet de développement de la ville, essaient sans succès d’obtenir une implantation universitaire dans la ville, mais plusieurs écoles d’enseignement supérieur s’y implantent cependant[6]. Les choses évoluent de nouveau à partir de la fin des années 1980. Les universités parisiennes connaissent une hausse importante de leurs effectifs, et commencent à ouvrir de nouvelles implantations pour alléger leurs sites principaux. Dans le même temps, le ministère de l'enseignement supérieur programme dans le cadre du plan de modernisation de l’enseignement supérieur français « université 2000 » la création d’universités nouvelles[6].

Une première implantation universitaire est obtenue en 1989, avec l’ouverture par l’institut universitaire de technologie (IUT) de Ville-d'Avray d’une antenne comprenant trois départements de génie civil, de génie électrique et de techniques de commercialisation. Au même moment, l’université de Nanterre ouvre un nouveau site de premier cycle dans des locaux dits « du campus » mis à disposition par le conseil général. En 1990, le ministère accompagne la venue d’une équipe venant de l’université de Paris-sud pour mettre en place un diplôme d'études universitaires générales (DEUG A) « Sciences et structure de la matière », qui sont hébergés dans les locaux de l’IUT et de l’école nationale supérieure de l'électronique et de ses applications (ENSEA)[6]. Le , le décret de création de l’université de Cergy-Pontoise est signé[6] - [1].

Croissance de l'université

L’université développe ses implantations dans ses premières années. En mars 1992, un immeuble de bureaux est racheté à un promoteur privé dans le quartier de Saint-Christophe pour y héberger les implantations scientifiques. En octobre de la même année, l’ensemble des Chênes est ouvert pour accueillir les formations de lettres et de sciences humaines. En 1994, le bâtiment de Saint-Martin est livré pour accueillir les sciences, et l’année suivante est ouvert le premier bâtiment de Neuville, destiné à l’IUT et aux instituts universitaires professionnalisés (IUP)[6]. L’université est alors régie par des statuts provisoires, comme dans le cas des autres universités nouvelles. Les statuts définitifs de l’établissement sont adoptés par ses conseils en 1996[7].

Développements récents

L’établissement applique la réforme du LMD à ses enseignements en deux temps, en 2004 et en 2005[8]. En 2007, l’institut universitaire de formation des maîtres de l’académie de Versailles est rattaché à l’université en application de la loi Fillon. Celle-ci passe aux responsabilités élargies au [9].

Les relations avec d’autres partenaires académiques et industriels de la région sont renforcées dans la deuxième moitié des années 2000, avec la création du Pôle de recherche et d'enseignement supérieur de Cergy-Pontoise Val-d'Oise en 2006 qui réunit l’université et une dizaine d’écoles de la région, et avec la mise en place d’une fondation universitaire en [9]. Des liens sont aussi étudiés en 2011 avec l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines. C’est ainsi que le PRES Université du grand ouest parisien est créé en [10]. Sciences Po Saint-Germain-en-Laye, institut d'études politiques membre du concours commun des IEP de région, rattaché aux deux universités, a ouvert en septembre 2014[11].

Administration

Présidence

  • PrĂ©sident : François Germinet
  • Vice-prĂ©sidente du conseil d’administration : Laurence Usunier
  • Vice-prĂ©sident Ă  la recherche : FrĂ©dĂ©ric Vidal
  • Vice-prĂ©sidente de la politique de site et contractualisation : Isabelle Prat
  • Vice-prĂ©sident chargĂ© de la formation et de la vie Ă©tudiante : Patrick Courilleau
  • Vice-prĂ©sident Ă  la valorisation et relations entreprises : Olivier Romain
  • Vice-prĂ©sidente chargĂ©e de l'Ă©volution de l'offre de formation : Sophie CĂ©cilia
  • Vice-prĂ©sident au dĂ©veloppement scientifique Ă  l'international : Arnaud Lefranc
  • Vice-prĂ©sident Ă©tudiant : Louis L’Haridon

Gouvernance

Comme tout établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel, l’université est dirigée par un président élu à la majorité absolue des membres élus du conseil d’administration. Il est membre de droit des trois conseils de l’établissement. Les représentants des personnels (enseignants-chercheurs et IATOS) et les représentants extérieurs, siégeant aux conseils de l’université, bénéficient d’un mandat de quatre ans, les membres étudiants élus de deux ans. En plus des trois conseils traditionnels prévus par le code de l'éducation, l’université dispose d’un conseil d’orientation, organe prévu lors de la création des universités nouvelles dans leurs statuts transitoires, et conservés depuis[12].

  • Le conseil d’administration (CA), composĂ© de 29 membres Ă©lus, dĂ©cide de la politique de l’établissement. Il est notamment responsable du vote du budget, de la rĂ©partition des emplois ainsi que de l’approbation des accords et conventions[13].
  • Le conseil des Ă©tudes et de la vie universitaire (CEVU), composĂ© de 40 membres Ă©lus, est un organe propositionnel au CA, chargĂ© des questions relatives Ă  la formation initiale et continue. Il oriente le CA en instruisant les demandes d’habilitation et les projets de nouvelles filières[14].
  • Le conseil scientifique (CS), composĂ© de 41 membres Ă©lus, est un organe propositionnel au CA, chargĂ© des questions relatives Ă  la recherche et Ă  son orientation au sein de l’établissement. Assurant la liaison entre l’enseignement et la recherche, il est consultĂ© sur les modifications apportĂ©es aux enseignements de troisième cycle, sur l’intitulĂ© Ă  emplois de recherche et sur les demandes d’habilitation[15].
  • Le conseil d’orientation (CO), composĂ© de 32 membres, porte un avis consultatif sur les grandes orientations de l’universitĂ©, notamment celles qui concernent le contrat d’établissement, la crĂ©ation de composantes et le budget de l’universitĂ©. Sa mission comprend l’observation et l’apprĂ©ciation de la politique d’ensemble de l'universitĂ© et de celle de ses composantes[16].

Historique des présidents

Le président actuel de l’université est François Germinet. C’est la cinquième personne à exercer cette fonction depuis la création de l’établissement.

Budget

L’université a dépensé pour son fonctionnement 149 millions d’euros en 2011. Dans cette somme, 105 millions sont destinés à la masse salariale de l’établissement[22], dont l’administration a la charge depuis son passage aux responsabilités élargies au [9]. Les investissements ont représenté 11 % des dépenses, et les frais de fonctionnement 19 %[22].

Les recettes se sont portées à 134 millions d’euros en 2011. Les subventions de l’État se sont portées à 85 % de cette somme, les ressources propres à l’université à 5 %, les contrats de recherche à 3 %, les droits universitaires et les prestations internes à 2 % chacun[22].

Fondation université Cergy-Pontoise

Une fondation universitaire est préparée dès l'automne 2008[23] et mise en place en [9]. Elle compte cinq membres fondateurs qui ont apporté un total de 1,6 million d’euros à la création de la fondation[23], avec des sommes allant de 0,15 à 0,5 million d’euros[24] : l’université, la Banque populaire Rives de Paris, la communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise, la fondation Spie Batignolles et Orange. À ceux-ci se sont rajoutées d’autres entreprises par la suite au rang de donateurs : Alstom et le groupe des industries métallurgiques[9]. Des projets sont financés par cette fondation selon quatre axes fixés dans les statuts de celle-ci : l'accueil de chercheurs, l'accompagnement de l’innovation, la facilitation de l’accès aux savoirs et le développement de chaire de recherche[25].

Composantes

Conformément au code de l'éducation qui fixe l’organisation légale des universités publiques en France, l’université de Cergy-Pontoise se découpe en plusieurs composantes. On trouve d’une part les unités de formation et de recherche (UFR) et d’autre part les « instituts et écoles ».

Unités de formation et de recherche

L’université est structurée autour de cinq unités de formation et de recherche créées en 1996. Elles ont la charge de la formation des étudiants, mais aussi d’une partie des activités de recherche via des laboratoires de recherche et des instituts. L’accession en premier cycle se fait de droit pour tous les titulaires d’un baccalauréat ou d’un titre équivalent :

  • l'« UFR droit » regroupe 70 enseignants-chercheurs et trois Ă©quipes de recherche[26], ainsi que 2 478 Ă©tudiants[27] ;
  • l'« UFR Ă©conomie et gestion » regroupe une soixantaine d'enseignants-chercheurs et une Ă©quipe de recherche[28], ainsi que 1 543 Ă©tudiants[27] et le CMI IngĂ©nierie Financière;
  • l'« UFR langues et Ă©tudes internationales » propose l'enseignement de plusieurs langues (allemand, anglais, chinois, espagnol et japonais) dans le cadre de plusieurs diplĂ´mes (LEA, LLCER, CMI et licence professionnelle) [29], comprend une Ă©quipe de recherche[30], et compte quelque 1 603 Ă©tudiants[27] ;
  • l'« UFR lettres et sciences humaines » compte deux dĂ©partements pĂ©dagogiques (lettres modernes et histoire-gĂ©ographie) et trois laboratoires de recherche[31], et compte quelque 1 528 Ă©tudiants[27] ;
  • l'« UFR sciences et techniques » compte huit dĂ©partements pĂ©dagogiques (biologie, chimie, gĂ©nie civil, mathĂ©matiques, physique, sciences informatiques, sciences de la Terre et de l’environnement, gĂ©nie Ă©lectrique et informatique industrielle) et douze laboratoires de recherche[32], compte quelque 3 644 Ă©tudiants[27] et le CMI Système Intelligents et Communicants ainsi que le CMI Geosciences pour l'Ă©nergie.

Instituts et Ă©coles

L'IUT sur le site de Neuville-sur-Oise.

Deux instituts et une école font partie de l’établissement[n 2], ils peuvent sélectionner leurs étudiants à l'entrée de leurs formations.

Écoles doctorales

L’université dispose d’écoles doctorales qui ont la charge du suivi des étudiants en troisième cycle universitaire, mais aussi de la gestion des habilitations à diriger des recherches. Celles-ci sont au nombre de trois[36], et 49 doctorats ont été délivrés en 2010[37] pour un peu moins de 300 étudiants inscrits en doctorat, et 20 habilitations à diriger des recherches entre 2004 et 2008[38].

  • L'Ă©cole doctorale « sciences et ingĂ©nierie » regroupe l’ensemble des sciences et sciences pour l’ingĂ©nieur, Ă  l’exclusion des mathĂ©matiques, et est associĂ©e Ă  onze Ă©quipes de recherche, dont quatre unitĂ©s mixtes de recherche en lien avec le CNRS et six Ă©quipes d'accueil[38].
  • L'Ă©cole doctorale « droit et sciences humaines » regroupe cinq centres de recherche relevant du droit, des lettres, des langues, de l’histoire et de la gĂ©ographie[38].
  • L'Ă©cole doctorale « Ă©conomie et mathĂ©matiques Paris-Ouest » forme les doctorants Ă  la recherche en Ă©conomie quantitative, en finance et mathĂ©matiques, et regroupe deux unitĂ©s mixtes de recherche en lien avec le CNRS, tout en travaillant avec d'autres laboratoires partenaires de la rĂ©gion[38].

Bibliothèques et réseau documentaire électronique

Bibliothèque du site des Chênes.

Les fonds documentaires de l'Ă©tablissement sont gĂ©rĂ©s par un rĂ©seau de six bibliothèques universitaires qui totalisent 1 438 places assises et 211 144 volumes pour une surface de 11 988 m2 et une frĂ©quentation annuelle de 644 386 personnes. Ces bibliothèques disposent d'un budget annuel de fonctionnement d'1,1 million d'euros, dont 800 000 â‚¬ destinĂ©s Ă  l'acquisition de nouveaux fonds, et fonctionnent avec un effectif de 79 personnes[39].

La bibliothèque principale « Cerclades » dispose de 6 000 m2 pour 700 places assises et 161 924 volumes. Pour communiquer sur le nombre de places disponibles, l'universitĂ© diffuse en temps rĂ©el l'affluence de cette bibliothèque via une application mobile, Affluences[40]. La bibliothèque du site des chĂŞnes dispose de 2 800 m2 pour 250 places assises et 12 047 volumes, celle du site de Saint-Martin dispose de 1 400 m2 pour 178 places et 14 864 volumes, et celle du site de Neuville de 1 000 m2 pour 205 places et 16 087 volumes. L'universitĂ© dispose par ailleurs de deux bibliothèques plus petites, l'une Ă  Argenteuil de 388 m2 pour 55 places et 1 697 volumes, et une autre Ă  Cergy sur le site de l'IUT Ă  Saint-Christophe de 400 m2 pour 50 places et 3 614 volumes[39].

Outre l'accès à son catalogue en ligne, Biblioweb, la bibliothèque universitaire est membre du réseau national Sudoc et du réseau documentaire du Val-d'Oise, ReVOdoc. Elle fait partie du consortium d’achat du Réseau National des Bibliothèques de Mathématiques (Springer ; MathSciNet) et appartient aussi au consortium universitaire de publications numériques Couperin.

Implantations

Les ChĂŞnes
Saint-Martin
Neuville
IUFM
Campus de l'université
Autre implantation de l'université

L'universitĂ© est implantĂ©e principalement sur trois campus situĂ©s dans les villes de Cergy, Pontoise et de Neuville-sur-Oise, mais dispose aussi d'autres implantations sur un total de douze sites, rĂ©partis dans quatre dĂ©partements et neuf communes. Au total l'Ă©tablissement dispose en 2011 d'un patrimoine de 215 000 m2 de surfaces bâties[9].

Site des ChĂŞnes

Tour des ChĂŞnes.

Le site des chĂŞnes se situe Ă  Cergy-Pontoise et accueille la prĂ©sidence de l'universitĂ©, ainsi que les UFR de droit, d'Ă©conomie et gestion, de langues, et de lettres et sciences humaines[41]. Il accueille en 2011 quelque 6 567 Ă©tudiants près du centre de Cergy[42].

La tour des chĂŞnes, d'une surface de 3 893 m2, est ouverte en 1991, suivie en 1994 du bâtiment ChĂŞnes 1 de 22 307 m2 et en du bâtiment ChĂŞnes 2 de 6 894 m2[43]. Une maison des Ă©tudiants de 694 m2 y est aussi ouverte en octobre 2005[44].

Site de Saint-Martin

Site de Saint-Martin.

Le site de Saint-Martin accueille Ă  Pontoise l'UFR de Sciences et Techniques, ainsi que l'Institut de prĂ©paration Ă  l'administration gĂ©nĂ©rale[41]. Il y accueille quelque 2 979 Ă©tudiants en 2011[42]. Le premier bâtiment de 16 656 m2 est inaugurĂ© en 1995, suivi en d'un second bâtiment de 10 618 m2[43]. Le bâtiment n'appartient pas Ă  l'UCP mais aux collectivitĂ©s locales.

Site de Neuville-sur-Oise

Le site de Neuville-sur-Oise accueille des installations de l'UFR sciences et techniques, ainsi que des dĂ©partements de gĂ©nie biologique, de gĂ©nie civil, et de gĂ©nie Ă©lectrique et informatique industrielle de l'IUT[41], ainsi qu'une bibliothèque de 1 000 m2[39]. Il accueille en 2011 quelque 1 863 Ă©tudiants[42]. Un premier bâtiment de 12 443 m2 est livrĂ© en , suivi en d'un second bâtiment de 5 934 m2. Un troisième bâtiment est construit en deux tranches, une première de 5 795 m2 Ă©tant ouverte en , suivie d'une deuxième tranche de 8 507 m2 livrĂ©e en 2004[43]. En 2019, le dĂ©partement de Biologie a dĂ©mĂ©nagĂ© sur ce site. A proximitĂ© se situe la Maison Internationale de la Recherche (MIR) oĂą un bon nombre d'enseignants de l'UCP effectuent leurs travaux de recherche.

Site de Gennevilliers

Le site de Gennevilliers a ouvert en 2009, avec un IUT et une ESPE.

Enseignement et recherche

Formations

Ă€ la rentrĂ©e 2010, l’universitĂ© de Cergy-Pontoise propose 41 mentions de licence, 35 mentions de licence professionnelle, 19 diplĂ´mes universitaires, 100 mentions de Master, sept diplĂ´mes universitaires de technologie. La mĂŞme annĂ©e, l'Ă©tablissement a dĂ©livrĂ© 1 648 diplĂ´mes de licence, 751 diplĂ´mes de licence professionnelle, 540 diplĂ´mes de DUT et 1 106 diplĂ´mes de Master[37].

La licence générale est délivrée en 2008 dans quatre domaines qui se déclinent en mentions, puis en spécialités : Arts-Lettres-Langues (4 mentions), Droit–Économie-Gestion (5 mention), Sciences Humaines et Sociales (3 mentions) et Sciences, Technologie, Santé (9 mentions)[45]. Lors de leur évaluation par l'AERES, 10 de ces mentions ont obtenu la notation A ou A+, 9 la notation B et 2 la mention C[46] - [n 3]. Le master est délivré en 2008 dans deux domaines qui se déclinent en mentions, puis en spécialités et éventuellement en parcours : Sciences et technologies (3 mentions, 19 spécialités[47]) et Sciences humaines et sociales (14 mentions, 53 spécialités[48]).

Depuis l'annĂ©e universitaire de 2005/2006, l'universitĂ© de Cergy-Pontoise, en coopĂ©ration avec l'universitĂ© Heinrich Heine de DĂĽsseldorf, offre annuellement une licence intĂ©grĂ©e en droits français et allemand Ă  15 Ă©tudiants français et Ă  15 Ă©tudiants allemands. Ces Ă©tudes intĂ©grĂ©es sont soutenus par les moyens financières attribuĂ©es par l'UniversitĂ© franco-allemande[49]. Les Ă©tudiants desdites Ă©tudes sont diplĂ´mĂ©s de la licence mention droit et de son Ă©quivalent allemand, la ZwischenprĂĽfung. Depuis l'annĂ©e universitaire 2008/2009, les deux universitĂ©s offrent aussi un master intĂ©grĂ© en droits français et allemand (avec spĂ©cialisation en droits des affaires, du travail et social) dont les participants sont diplĂ´mĂ©s d'un master 2 mention droit de l'entreprise ainsi que de la SchwerpunktbereichsprĂĽfung allemande[49]. Ainsi, les diplĂ´mĂ©s, tant français qu'allemands, sont Ă©ligibles pour passer le premier examen Ă©tatique en droit allemand ainsi et (après avoir passĂ© l'examen d'entrĂ©e qui se prĂ©pare dans les Instituts d'Études Judiciaires) peuvent s'inscrire Ă  l'École de formation de barreau[50].

Relations internationales

L'université a développé depuis sa création des conventions d'échanges comme Erasmus, la conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ), ou d'autres types d'échanges bilatéraux avec des universités étrangères. Leur nombre est passé d'une cinquantaine de conventions en 1997, à 133 en 2006[51], à 248 partenariats en cours avec 178 universités en 2011. L'université a accueilli via ces conventions 244 étudiants étrangers en 2009, dont 66 % venant d'Europe, 16 % venant des Amériques et 11 % d'Asie[52]. Le volume d'étudiants Erasmus représente sur la période 2003-2008 entre 1,30 et 1,08 % des étudiants de l’université, ce qui place l'établissement entre la 10e et la 30e place des universités françaises pour ce type d’accord[53]. Concernant les étudiants français, l'établissement a envoyé en 2009 dans des universités étrangères 420 étudiants partis dans le cadre d’un programme d’échange ou d’un stage, dont 69 % en Europe, 19 % dans les Amériques et 6 % en Asie[52].

L'universitĂ© accueille par ailleurs des Ă©tudiants Ă©trangers permanents qui visent l’obtention de diplĂ´mes français. En 2010, ceux-ci sont au nombre de 1 977[54], contre 1 510 en 2005[55], soit 13 % de l’effectif total de l'Ă©tablissement[54]. Ils sont plus nombreux en proportion dans les formations de troisième cycle, dans lesquelles ils reprĂ©sentent près de la moitiĂ© des effectifs. Ceux-ci viennent Ă  60 % d’Asie et Ă  27 % d’Afrique[56].

Recherche

Les activités de recherche de l’université sont effectuées dans 22 centres de recherche (en 2010). Quatorze de ces laboratoires sont des équipes d'accueil, et huit autres des unités mixtes de recherche liées au CNRS. Elles sont regroupées dans quatre pôles. Selon le service de communication de l'université, ces laboratoires comptent au total près de 500 chercheurs et 350 doctorants[57]. Selon l'annuaire du CNRS, en date du , le nombre total des chercheurs titulaires CNRS dans les 8 UMR en cotutelle est de 76[58].

  • Le « PĂ´le Ă©tude des matĂ©riaux et sciences expĂ©rimentales » regroupe environ 150 chercheurs et doctorants travaillant sur l’étude de matĂ©riaux et de leurs interactions[59].
  • Le « PĂ´le d’analyse, modĂ©lisation et management de systèmes complexes » regroupe environ 450 chercheurs et doctorants travaillant dans l’étude de systèmes complexes, de leur organisation et de leur dynamique, et travaillent dans les domaines des mathĂ©matiques, de la physique thĂ©orique, de l'Ă©conomie, du droit et de la gĂ©ographie[59].
  • Le « PĂ´le technologies de l’intelligence embarquĂ©e » regroupe environ 120 chercheurs et doctorants travaillant sur l’intelligence artificielle intĂ©grĂ©e Ă  des supports mobiles, Ă  l’architecture et Ă  l’indexation des systèmes d’information intĂ©grĂ©s[59].
  • Le « PĂ´le des transferts culturels et transmission des savoirs » regroupe environ 150 chercheurs et doctorants travaillant sur la construction des sociĂ©tĂ©s, sur leurs identitĂ©s culturelles, sur leurs modes de reprĂ©sentation et de pensĂ©e et sur l’organisation de leurs connaissances[59].

Vie Ă©tudiante

Vie associative

Les activitĂ©s associatives sont portĂ©es au niveau institutionnel par une « commission vie Ă©tudiante », prĂ©sidĂ©e par un vice-prĂ©sident Ă©tudiant. L'universitĂ© dispense une formation aux responsables associatifs, et les projets menĂ©s dans ce cadre associatif peuvent ĂŞtre reconnus dans le cadre des Ă©tudes dans une unitĂ© d'enseignement donnant droit Ă  des ECTS. Un financement peut ĂŞtre assurĂ© par un fonds de solidaritĂ© et de dĂ©veloppement des initiatives Ă©tudiantes pour les diffĂ©rents projets associatifs, qui en 2007 s'Ă©lève Ă  85 000 â‚¬ et couvre plus de 45 projets, chiffre doublĂ© en l'espace de deux ans[60].

Une maison des Ă©tudiants de 694 m2 est prĂ©sente depuis octobre 2005 sur le site des chĂŞnes[44] et accueille dix-neuf de la trentaine d'associations actives Ă  l'universitĂ©. Elle dispose par ailleurs de bureaux pour les mutuelles Ă©tudiantes et d'une salle de rĂ©union[60]. Deux autres maisons des Ă©tudiants sont implantĂ©es Ă  Neuville et Ă  Saint-Martin[61].

Activités culturelles et sportives

L'universitĂ© organise des actions culturelles sur ces sites, comme des confĂ©rences « universitĂ© ouverte » organisĂ©es dix fois en 2009[61], et participe aussi Ă  des Ă©vĂ©nements extĂ©rieurs. Certaines de ces initiatives sont menĂ©es avec des partenaires extĂ©rieurs comme la municipalitĂ© ou la communautĂ© d’agglomĂ©ration. Un « pass culture » permet par ailleurs de faire bĂ©nĂ©ficier les Ă©tudiants de rĂ©ductions lors de spectacles organisĂ©s par une trentaine de partenaires[62], et 1 850 en ont Ă©tĂ© dĂ©livrĂ©s en 2009[61]

Des activitĂ©s sportives sont aussi organisĂ©es par l'universitĂ©, qui peuvent ĂŞtre pratiquĂ©es dans le cadre de formations universitaires ou dans le cadre de loisirs. Celles-ci ont rĂ©uni 2 762 Ă©tudiants en 2008. L'Ă©tablissement dispose de trois salles de sport sur ses campus[62].

FacLab

Depuis 2012, l'université possède un fab lab ouvert à tous les publics. Elle propose également depuis 2013 trois diplômes universitaires autour de la fabrication numérique[63].

Sociologie

Sur les 14 675 Ă©tudiants recensĂ©s par l'universitĂ© en 2010[n 4], 55 % sont des Ă©tudiantes et 13 % d'entre eux sont Ă©trangers. Par ailleurs, 26 % des Ă©tudiants sont boursiers et 12 % sont salariĂ©s[27]. Les Ă©tudiants proviennent Ă  46 % du mĂŞme dĂ©partement que l'universitĂ©, Ă  18 % de celui des Yvelines et Ă  18 % des autres dĂ©partements de l'ĂŽle-de-France. Concernant les origines sociales, les cadres et professions intellectuelles supĂ©rieures reprĂ©sentent 30 % des parents d'Ă©tudiants, et les professions intermĂ©diaires, les ouvriers, et les retraitĂ©s chacun 10 %[37].

Évolution démographique

Évolution démographique de la population universitaire

1992 1993 1994 1995 1998 1999 2000 2001
3 291[64]5 858[65]6 796[64]8 849[65]10 441[65]10 254[65]10 261[66]10 312[65] - [67]
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009
10 700[65] - [68]11 258[65] - [69]11 459[70]11 745[71]12 580[72]12 089[73]10 991[74]11 338[75]
2010 2011 2018 - - - - -
14 045[76]13 846[77]15 052[78]-----

Image et communication

L'établissement s'est doté d'un logo reprenant la lettre « Y ». Celle-ci fait référence à la boucle formée par la Seine et par l'Oise, sa forme stylisée exprime une idée de croissance. Elle est censée renvoyer à la tradition grecque et à la modernité, l'anglais ayant nombre de mots finissant par cette lettre, comme « University ». C'est aussi la lettre faisant le lien dans Cergy-Pontoise, et l'anagramme de « cergy »[79].

Un magazine est aussi publiĂ© par l'universitĂ© Ă  6 000 exemplaires quatre fois par an, « Allez Savoir ! ». Il est destinĂ© aux partenaires institutionnels de l'Ă©tablissement, ainsi qu'aux Ă©tudiants et aux personnels[80].

L'établissement va devenir prochainement « CY Cergy Paris Université », qui est un regroupement de structures existantes[81].

Notes et références

Notes

  1. Avec les universités de Paris-Nanterre, de Paris-Sud, d'Évry-Val d'Essonne et de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines
  2. Les écoles et les instituts diffèrent par la méthode de désignation de leurs directeurs : ceux des écoles sont nommés, alors que ceux des instituts sont élus.
  3. L'AERES évalue les diplômes en quatre catégories : A+, A, B, et C
  4. L'université comptabilise aussi les étudiants inscrits à l'IUFM, même si ceux-ci sont inscrits en formation principale dans une autre université de la région.

Références

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Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

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