AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

T'Kout

T'Kout (en langue berbĂšre : Tkukt ou Kukt ou ┝⎟┓⎟┝) est une ville algĂ©rienne et commune de la wilaya de Batna, situĂ©e dans le massif de l'AurĂšs, Ă  95 km au sud-est de Batna (42 km Ă  vol d'oiseau) et Ă  71 km au nord-ouest de Biskra dans le nord-est de l'AlgĂ©rie.

T'Kout
T'Kout
APC de T'Kout
Noms
Nom arabe algĂ©rien ŰȘكوŰȘ
Nom amazigh Tkukt
Nom chaoui Tkukt
Administration
Pays Drapeau de l'Algérie Algérie
RĂ©gion AurĂšs
Wilaya Batna
DaĂŻra T'Kout
Chef-lieu T'Kout
Code postal 05020
Code ONS 0544
Indicatif 033
DĂ©mographie
Gentilé T'koutien
Population 11 161 hab. (2008[1])
DensitĂ© 60 hab./km2
Population de l'agglomĂ©ration 15 000 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 35° 08â€Č 21″ nord, 6° 18â€Č 31″ est
Altitude Min. 1 200 m
Max. 1 500 m
Superficie 185,37 km2
Divers
Saint patron Sidi Abdesslam u machcich,
Fatma Tazoughert
Localisation
Localisation de T'Kout
Localisation de la commune dans la wilaya de Batna
Géolocalisation sur la carte : Algérie
Voir sur la carte topographique d'Algérie
T'Kout
Géolocalisation sur la carte : Algérie
Voir sur la carte administrative d'Algérie
T'Kout
Géolocalisation sur la carte : Algérie (nord)
Voir sur la carte topographique d'Algérie (nord)
T'Kout

    GĂ©ographie

    Situation

    Le territoire de la commune de T'Kout est situé au sud-est de la wilaya de Batna, à km au nord-est de Ghassira[2].

    Relief et hydrographie

    À l'est de T'kout, s'Ă©lĂšve le Djebel Ahmar Khaddou.

    La commune est situĂ©e sur un plateau culminant Ă  1 200 m d'altitude[3], au-dessus de la vallĂ©e de l'oued Abiod (Ighzir Amellal en chaoui).

    Le village ancien (dechra) de T'kout, entourĂ© de vergers en terrasses irriguĂ©s par la principale source[4] est perchĂ© sur un promontoire. Le village moderne est en contrebas, dominant la vallĂ©e de l'oued Channaoura[4], Ă  proximitĂ© de la forĂȘt de Beni Melloul (Ath M'loul)[2], affluent de l'oued Abiod.

    Climat

    Le climat est presque désertique avec un hiver froid et un été chaud[5].

    Localités de la commune

    La commune de T'Kout est composée de 16 localités[6] :

    • AĂŻn BeĂŻda
    • Akriche
    • Beledjeraf
    • Boucetta
    • Chenaoura
    • Djarlah
    • El Hara
    • Hambla
    • Laanassar
    • Laksar
    • Lamkalibs
    • T'Kout
    • Tabardia
    • Taghit
    • Tiguezza
    • Tizribine

    Voies de communication

    SituĂ©e dans une rĂ©gion montagneuse assez isolĂ©e[7], T’kout est reliĂ©e Ă  la route nationale 87 (Batna-Biskra par la vallĂ©e de l'Abiod) par le chemin de wilaya no 5 (entre la localitĂ© de Chenaoura et Tifelfel, dans la commune de Ghassira) ; elle est reliĂ©e par un chemin communal Ă  la localitĂ© de Sidi Ali dans la commune de Kimmel), sur le versant Est de l'Ahmar Khaddou.

    Histoire

    La période de la colonisation française

    Tour de la période française

    À partir de la fin du XIXe siùcle, le territoire de T'Kout fait partie de la commune mixte de l'Aurùs[8], dont le chef-lieu est Arris.

    Entre 1917 et 1921, un rebelle dĂ©nommĂ© Ug Zelmad (ou Ben Zelmat) se dresse contre l’administration française et ses collaborateurs ; c'est l'un des plus cĂ©lĂšbres « bandit d'honneur » des AurĂšs. Il est alors considĂ©rĂ© par la sociĂ©tĂ© paysanne des AurĂšs comme un « justicier Ă  l'esprit chevaleresque ». Des chants de femmes racontent ses exploits, sans toutefois qu'il ne devienne un hĂ©ros national[9].

    Guerre d'Algérie

    À minuit, le , les premiĂšres balles sont tirĂ©es, marquant le dĂ©but du conflit[5], notamment dans les Gorges de Tighanimine, non loin de T'kout. Au total, de 1954 Ă  1962, la commune d'Arris compte 386 militants nationalistes, morts pendant la guerre[5].

    La bataille de Djarallah (1959)

    C'est l’une des plus importantes batailles livrĂ©e dans les AurĂšs, pendant la guerre[10]. Des combattants de l'ALN ayant Ă©tĂ© localisĂ©s par l'armĂ©e française dans la localitĂ© de Djarallah, une vaste opĂ©ration d'encerclement total de la ville de T'Kout est lancĂ©e, mobilisant trois mille soldats français venus des casernes de Khenchela, Batna, Biskra, Arris et Teleghma, seize hĂ©licoptĂšres de combat, des blindĂ©s et des halftracks, essayant de bloquer l’information avec l'aide des dechras environnantes pour ensuite assaillir par surprise les maquisards[10].

    Ceux-ci vont rĂ©ussir Ă  anticiper et Ă  dĂ©jouer cette tactique et mĂȘme Ă  se prĂ©parer Ă  une riposte, qui est dirigĂ©e par le responsable de la katiba, Medouri Belgacem, et par son adjoint Nedjahi Brahim et les maquisards Othmani Mohamed, Chatri Belgacem, BĂ©china Berrahail et Faiza Ali composĂ©e d’élĂ©ments des ZĂ©llatou et des Ghwassir connus sous l'appellation ethnique des BĂ©ni Bouslimane (Ayth Bouslimane)[10]. Les combattants de l'ALN prennent des positions stratĂ©giques dans les endroits les plus inaccessibles du ravin de Djarallah avec des fusils-mitrailleurs[10].

    Les blindés de l'armée française ne peuvent accéder jusque-là à travers les reliefs escarpés de la région, mais les hélicoptÚres bombardent toute la journée, la localité de Djarallah au napalm et avec des bombes[10].

    Vers minuit, deux katibate viennent en renfort, et infligent des pertes considérables à l'armée française : le bilan est de cent cinquante soldats morts et blessés du cÎté français et seulement d'une dizaine du cÎté de l'ALN[10].

    L'Algérie indépendante

    La place du mai noir du chaoui « maiu aberkan » (la date est celle du jour de la mort de Argabi Chouaïb)

    Les localitĂ©s de T'kout et Taghit ont connu des Ă©meutes en 2004 aprĂšs la mort d'Argabi ChouaĂŻb, ĂągĂ© de 19 ans, abattu par des Ă©lĂ©ments de la garde communale. Ces Ă©meutes ont Ă©tĂ© suivies de nombreux procĂšs donnant lieu Ă  des peines d'emprisonnement Ă  l'encontre d'une trentaine de jeunes, principalement de T'kout[11].

    Le ministĂšre de la DĂ©fense nationale algerien a engagĂ© des poursuites judiciaires aprĂšs la publication de tĂ©moignages de jeunes de T'kout qui ont affirmĂ© avoir Ă©tĂ© torturĂ©s aprĂšs leur arrestation. Le directeur du quotidien Le Matin et la journaliste Abla ChĂ©rif, auteur d’un article incriminant des Ă©lĂ©ments du corps de la gendarmerie dans des pratiques de torture, ont Ă©tĂ© accusĂ©s de diffamations et d'outrage Ă  une institution officielle[12].

    Toponymie

    D'aprĂšs M. Joleaud, T'kout (en berbĂšre Tkoukth) est un mot d'origine libyque dĂ©signant un village ou un chĂąteau fort, bĂątis sur une colline. Le T initial est un prĂ©fixe berbĂšre des toponymies et la racine K K, a formĂ© de nombreuses toponymies notamment le Ras Takkouk ou encore Koukou, en Kabylie qui ont la mĂȘme racine[13].

    Tkout est un mot berbĂšre qui signifie « la perle Â»[14].

    Population

    La commune T'Kout est située sur le territoire des Ayt Bouslimane[15]. La population est repartie sur trois agglomérations (une générale et deux secondaires)[5].

    Pyramide des Ăąges

    Pyramide des Ăąges de la commune de T'Kout en 2008 en pourcentage[16]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,61
    80 ans et +
    0,85
    1,22
    70 Ă  79 ans
    1,64
    2,55
    60 Ă  69 ans
    2,32
    3,30
    50 Ă  59 ans
    3,27
    4,35
    40 Ă  44 ans
    4,72
    7,84
    30 Ă  39 ans
    7,58
    11,45
    20 Ă  29 ans
    10,40
    9,75
    10 Ă  19 ans
    9,43
    9,57
    0 Ă  9 ans
    9,12
    0,00
    nd
    0,02
    Pyramide des Ăąges de la wilaya de Batna en 2008 en pourcentage[17]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,49
    80 ans et +
    0,48
    1,21
    70 Ă  79 ans
    1,23
    1,77
    60 Ă  69 ans
    1,8
    3,43
    50 Ă  59 ans
    3,37
    5,04
    40 Ă  49 ans
    5,25
    6,80
    30 Ă  39 ans
    6,88
    10,74
    20 Ă  29 ans
    10,39
    11,29
    10 Ă  19 ans
    10,84
    9,69
    0 Ă  9 ans
    9,25
    0,02
    nd
    0,03

    Évolution dĂ©mographique

    Population de la commune de T'Kout de 1966 Ă  2008[18].
    19661977198419982008
    12 10814 52718 00010 62911 161

    Administration et politique

    Éducation

    La commune T'Kout dispose de plusieurs écoles primaires, d'un collÚge et d'un lycée baptisé au nom du commandant Boucetta Mustapha[19].

    Économie

    Les jeunes de la commune ont investi massivement dans le mĂ©tier du taillage de la pierre de grĂšs, ils travaillent dans des chantiers dissĂ©minĂ©s Ă  travers les principales villes d’AlgĂ©rie. Depuis quelques annĂ©es, la silicose s'est rĂ©pandue dans le milieu des tailleurs de pierres et a fait de nombreuses victimes[14].

    La culture d'extraction de l'huile d'olive dans la commune est une tradition qui existe depuis des millĂ©naires. Certains agriculteurs extraient l’huile d’olive, avec une technique traditionnelle (les fruits sont mis dans une fosse et broyĂ©s Ă  l’aide d’une grande pierre circulaire, qu’un homme manipule)[20].

    Patrimoine

    FĂȘtes et festivals

    Maisons Ă  Ghoufi.

    Certaines fĂȘtes berbĂšres sont cĂ©lĂ©brĂ©es dans la commune, notamment le Yennayer (le nouvel an amazigh)[21], et la Thamghra n'tmenzouth (la fĂȘte de l'automne[22]), cette fĂȘte de quatre jours coĂŻncide avec la fin de l'Ă©tĂ© et le dĂ©but de l'automne (chaque , selon le calendrier berbĂšre). Les paysans proposent leurs fruits rĂ©coltĂ©s au long de l'Oued Ighzr Amelal et dans d'autres rĂ©gions des AurĂ©s[23].

    la fĂȘte de Achoura, est un festival populaire dans la rĂ©gion avec des symboles emprunts Ă  des cultes paĂŻens, qui consiste Ă  une tradition dont la mise en scĂšne tourne autour d'une femme dĂ©nommĂ©e Mariama, personnage central du jeu qui provoque la tentation chez les hommes. Un homme doit tenter de la kidnapper, mais il sera puni physiquement par les soldats obĂ©issants de Mariama (un chameau, un singe et un lion) s'il ne paye pas l'amende. Le spectacle se dĂ©roule avec un accompagnement musical[24].

    Cultes

    La vieille mosquée de Sidi Abdessellam construite au début des années 1500[25], est classée dans les monuments sauvegardés des périodes médiévale et ottomane par le MinistÚre de la Culture algérien[26].

    Patrimoine environnemental

    Village des Balcons de Ghoufi

    La riviĂšre Ighzir Amellal, qui traverse le territoire de la commune de T'Kout, a formĂ© un long canyon, dont une partie est connue sous le nom de Balcons de Ghoufi (ou « Balcons de Rhoufi Â»). La hauteur des Gorges du Ghoufi varie entre 500 mĂštres et 1 200 mĂštres.

    De petits villages, tels que le village de Ghoufi et des habitations troglodytiques ont Ă©tĂ© construits sur les bords ou sur les flancs du canyon[27]. Les habitations accrochĂ©es Ă  la pente des gorges sont appelĂ©es dechras et celles construites au bord de l’oued sont appelĂ©es mechtas[28].

    Vie quotidienne

    Théùtre et cinéma

    Bassin a eau, qui sert de piscine

    En 2007, le film Mascarades de Lyes Salem a été tourné dans le canyon de Ghoufi.

    Loucham (tatouage), est une piÚce de théùtre diffusé sur canal Algérie dédiée aux tailleurs de pierres de T'kout victimes de la silicose, réalisée par Mahii Eddin Bouzid et le théùtre régional de Batna.

    Musique

    La musique de T'Kout est d'expression chaoui, de nombreux artistes d'envergure nationale et mĂȘme internationale sont originaires de la commune tel que Dihya et son mari Messaoud Nedjahi, Ă©crivain, auteur-compositeur et interprĂšte et Ishem Boumaraf, l'ex membre du groupe Tafert.

    Plusieurs artistes ont rendu hommage à la ville de T'Kout, notamment l'album éponyme de la ville écrit et chanté par Massinissa et l'album du groupe de musique métal, Numidas appeler aussi T'Kout.

    Personnalités liées à T'Kout

    Notes et références

    1. « Wilaya de Batna : répartition de la population résidente des ménages ordinaires et collectifs, selon la commune de résidence et la dispersion », sur ons.dz. Données du recensement général de la population et de l'habitat de 2008 sur le site de l'ONS.
    2. Marc CÎte, Guide d'Algérie : paysages et patrimoine, Algérie, Média-Plus, , 319 p. (ISBN 9961-922-00-X), p. 200
    3. « T'kout, haut plateau et Atlas saharien », sur routard.com (consulté le )
    4. Guerfi et al. 2011, p. 182.
    5. la commune de T'Kout sur le site officiel de a wilaya de Batna, consulté le 24 décembre 2012
    6. Journal officiel de la République Algérienne, 19 décembre 1984. Décret no 84-365, fixant la composition, la consistance et les limites territoriales des communes. Wilaya de Batna, p. 1479.
    7. « Batna : « la commune de T'Kout veut vaincre son isolement » », Batna Info,‎ (lire en ligne).
    8. Sur l'administration coloniale de l'AurĂšs, cf. Germaine Tillion, Il Ă©tait une fois l'ethnographie, Seuil, 2000, p. 30-33.
    9. Jean Dejeux, « Un bandit d'honneur dans l'AurÚs, de 1917 à 1921 », 1978, page 40.
    10. Ali Benbelgacm, « La bataille de Djarallah cĂ©lĂ©brĂ©e Ă  T’kout », La Nouvelle RĂ©publique, no 4038,‎ , p. 9 (lire en ligne).
    11. D. A., « T'Kout : « Trois jeunes arrĂȘtĂ©s » », LibertĂ©,‎ (ISSN 1111-4290, lire en ligne).
    12. Mourad BelaĂŻdi, « ProcĂšs MDN-LE MATIN, Aujourd'hui : « Des tĂ©moins pour Benchicou » », LibertĂ©,‎ (ISSN 1111-4290, lire en ligne).
    13. PDF et Text Gustave Mercier, Recueil des Notices et Mémoires de la société archeologique de la province de Constantine, 1917-1918, page 37 (OCLC 260042146)
    14. Reportage : Tkout, antre de la silicose, village de veuves, cimetiÚre de tailleurs de pierres dans DNA - DerniÚres nouvelles d'Algérie 20 juillet 2010, Consulté le 21 mai 2012
    15. Les vallées de l'AurÚs Henri Busson, Volume 9, page 52.
    16. Wilaya de Batna — Population rĂ©sidente par age et par sexe. ConsultĂ© le 21 mai 2012.
    17. Wilaya de Batna — Population rĂ©sidente par age et par sexe. ConsultĂ© le 21 mai 2012.
    18. Philippe Thiriez, En flanant dans les Aures, chap. 3 (« Batna »), p. 47
    19. Cherif Ouazani, La tentation kabyle sur Jeune Afrique du 14 juin 2004, Consulté le 23 mai 2012. (ISSN 1950-1285)
    20. Ahmed Boudi Chenouf, « Histoire: « L’olivier et la fabrication de l’huile dans les AurĂšs » », Les DĂ©bats,‎ (lire en ligne).
    21. Sami Methni, « Le nouvel an amazigh fĂȘtĂ© Ă  T'Kout : « Yennar et les promesses d'une annĂ©e meilleure » », El Watan, no 6460,‎ , p. 13 (ISSN 1111-0333, lire en ligne).
    22. Rachid Hamatou, « Thamghra n'tmenzouth, la fĂȘte de l'automne Ă  T'kout : « Une histoire d'amour dans les AurĂšs » », LibertĂ©,‎ (ISSN 1111-4290, lire en ligne).
    23. Rachid Hamatou, « La fĂȘte de l’automne Ă  T’kout (Batna) : « Thamaghra n’tmenzouth, une fĂȘte millĂ©naire » », LibertĂ©,‎ (ISSN 1111-4290, lire en ligne).
    24. Nouri Nesrouche, « Batna Info : « Festival Achoura Ă  T’kout » », El Watan, no 6124,‎ , p. 11 (ISSN 1111-0333, lire en ligne).
    25. Djamel Alilat, « REPORTAGE : « Les jardins de Tkout » », El Watan, no 6218,‎ , p. 11 (ISSN 1111-0333, lire en ligne).
    26. [PDF]Schéma directeur des zones archéologiques et historiques ministÚre de la culture, août 2007, page 79
    27. Dominique Auzias et Jean-Paul Labourdette, Algérie 2009-2010, Le Petit Futé, coll. « Country Guide », , 4e éd., 522 p. (ISBN 978-2-7469-2196-2), p. 349
    28. Daniel Babo, AlgĂ©rie, MĂ©olans-Revel, Éditions le Sureau 2010, coll. « Des hommes et des lieux », , 206 p. (ISBN 978-2-911328-25-1, OCLC 587025542), p. 131
    29. A T'kout, au cƓur des AurĂšs, personne n'a oubliĂ© la chahida Rokia Masmoudi sur AlgĂ©rie Presse Service, ConsultĂ© le 20 mai 2012

    Bibliographie

    • Azeddine Guerfi (dir. et Coordinateur), Nadia Bouseloua (Auteur), Rachid Mokhtar (Auteur) et Philippe Thiriez (Auteur) (photogr. KaĂŻs Djilali), AurĂšs, vivre la terre chaouie : CĂšdre du ChĂ©lia, Alger, Chihab Éditions, , 182-185 p., 25 Ă— 29 cm (ISBN 978-9961-63-839-2). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article

    Voir aussi

    Articles connexes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.