Solliès-Ville
Solliès-Ville [sɔljɛs vil] est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Solliès-Ville | |||||
Le château de La Castille. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Var | ||||
Arrondissement | Toulon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Vallée du Gapeau | ||||
Maire Mandat |
Nicolas Gérardin 2020-2026 |
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Code postal | 83210 | ||||
Code commune | 83132 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Solliès-Villain(e)s | ||||
Population municipale |
2 523 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 179 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 10′ 59″ nord, 6° 02′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 40 m Max. 680 m |
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Superficie | 14,10 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Toulon (banlieue) |
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Aire d'attraction | Toulon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Solliès-Pont | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Var
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Liens | |||||
Site web | solliesville.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Solliès-Villains.
Géographie
Localisation
Commune située à 2,2 km de La Farlède et 16,1 km de Hyères[1].
Géologie et relief
Le village de Solliès-Ville est accroché à une colline qui domine la riche plaine du Gapeau. Le point culminant (500 m) de la commune est à l'est, sur les contreforts du « Bau Rouge ».
Sismicité
Commune située dans une zone 2 de sismicité faible[2].
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau traversant la commune :
Climat
Climat classé Csa dans la classification de Köppen et Geiger[4].
Voies routières
- Solliès-Ville est accessible par la route départementale RD 458, entre Cuers et La Farlède.
Transports en commun
- Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou !. Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![5]. Le village est desservi par plusieurs lignes de bus départementales :
- 2801 : Draguignan - Le Luc - Toulon[6] ;
- 4801 : Brignoles - Le Luc - Toulon[7] ;
- 4802 : Saint-Maximin-la-Sainte-Baume - Belgentier - Toulon[8] ;
- 8810 : Collobrières - Pierrefeu-du-Var - Cuers - Toulon[9].
Lignes SNCF
- Gare de Marseille-Saint-Charles,
- La gare la plus proche est celle de Solliès-Pont. Elle est desservie par le TER Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Transports aériens
Les aéroports les plus proches sont :
Ports
- Ports en Provence-Alpes-Côte d'Azur :
Communes limitrophes
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Intercommunalité
Commune membre de la Communauté de communes de la Vallée du Gapeau.
Urbanisme
Typologie
Solliès-Ville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [10] - [11] - [12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulon, une agglomération inter-départementale regroupant 27 communes[13] et 575 347 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulon est la neuvième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice et Nantes[14] - [15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16] - [17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,3 %), zones urbanisées (15,2 %), cultures permanentes (8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %), terres arables (0,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,2 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].
Toponymie
Le nom de Solliès-ville provient de sa forme moyenâgeuse en ancien provençal Soliers, Solliers (qui évolua en Souliés dans la graphie mistralienne du provençal), lui-même du bas-latin Solaria, Soleria, Solarium « lieu où l'on prend le soleil, terrasse »[20]. Le nom d'origine serait aussi « de Solario » en 1020[21]. Ce qui donne l'évolution suivante : Solarium > de Solario > Soliers > Souliés > Solliès.
En provençal, le nom moderne est écrit « Soliès-Vila » en écriture classique (écriture traditionnelle basée sur l'écriture moyenâgeuse en ancien provençal de Soliers et modernisée en tenant compte de certains apports de l'écriture mistralienne) et « Souliés-Vilo » en écriture mistralienne (écriture phonétique développée par les rhodaniens et basé sur leur système graphique local). Qu'importe l'écriture, la prononciation reste la même.
Il y a également plusieurs hameaux :
- Les Sauvans ;
- Les Daix ;
- La Tour ;
- les Aiguiers ;
- les Combes ;
- les Collés ;
- le Pont-Neuf ;
- le logis Neuf.
Histoire
Le territoire était habité dans l'Antiquité par les Celto-Ligures qui avaient déjà commencé à défricher les forêts, cultiver la terre et assécher les marais. Selon Étienne Garcin[22], la vallée du Gapeau était peuplée par le peuple celto-ligure des Bormani et avaient le village de Solliès-ville comme emplacement de leur chef-lieu. Sous l'occupation romaine, la ville de Solliès était nommée Sollinensis civitas. L'utilisation du terme civitas montre qu'elle fut autrefois la ville dominante de son territoire. Son importance se poursuivra jusqu'au Moyen Age où elle était l'une des principales communes de la Basse-Provence et elle finit par décroître à la suite de la séparation de la commune en quatre : Solliès-ville, Solliès-Pont, Solliès-Toucas et Solliès-Farlède (devenue La Farlède).
Politique et administration
Budget et fiscalité 2020
En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[23] :
- total des produits de fonctionnement : 1 830 000 €, soit 734 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 1 492 000 €, soit 598 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 393 000 €, soit 158 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 568 000 €, soit 228 € par habitant ;
- endettement : 110 000 €, soit 44 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 11,72 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 20,04 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 92,89 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 24 550 €[24].
Liste des maires
Politique environnementale
Les communes de Solliès-Pont et Solliès-Toucas sont raccordées à la station d’épuration à boues activées située sur la commune de La Crau. La STEP, située à plus de 5 km au Sud-Est du site des Solliès-Ville[30] a une capacité de 50 000 équivalent-habitants[31].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].
En 2020, la commune comptait 2 523 habitants[Note 3], en augmentation de 5,52 % par rapport à 2014 (Var : +4,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Agriculture
La commune fait partie de la zone de production de l'huile d'olive de Provence AOC.
Agriculture et élevage.
Tourisme
- L'hébergement touristique est composé d'un hôtel, de six chambres[36].
- Six restaurants proposent leurs services sur la commune[37].
- Ferme Auberge[38].
- Solliès-Ville compte deux musées :
- le Musée du vêtement provençal[39],
- et le musée Jean-Aicard[40].
Commerces et services
- Commerces et services de proximité[41].
Vie locale
Enseignement
Solliès Ville fait partie de l'académie de Nice. Les élèves débutent leurs études sur la commune, qui dispose d'une école maternelle (67 enfants[42]) et d'une école primaire (117 élèves[43])[44].
Santé
Professionnels et établissements de santé[45] :
- Médecins à Solliès-Ville, Solliès-Pont,
- Pharmacies à Solliès-Ville, Solliès-Pont,
- Cliniques et hôpitaux :
- Cliniques à Solliès-Toucas[46].
- Centre hospitalier intercommunal Toulon-La Seyne-sur-Mer,
- Pôle de santé du golfe de Saint-Tropez.
Cultes
- La paroisse Saint-Michel de Solliès-Ville dépend du diocèse de Fréjus-Toulon, doyenné de Cuers[47].
Sports et équipements sportifs
- Équipements sportifs[48] :
- Plateau EPS/Multisports/city-stades,
- Salle de musculation/cardiotraining,
- Boucle de randonnée.
Festivités
Chaque année depuis 1989, aux derniers jours du mois d'août, Solliès-Ville accueille le Festival international de la bande dessinée qui invite des dessinateurs prestigieux comme Enki Bilal, Cosey, Jean Giraud, Frank Margerin... et reçoit de nombreux visiteurs.
Sans oublier la fête annuelle de la Saint-Loup durant laquelle se succèdent aïoli géant, bal, concours de boules etc. durant cinq jours.
Cérémonie des Apôtres, le , où le maire distribue aux familles les plus nombreuses ou défavorisées un panier garni. Une grande distribution de pain est organisée à la fin de cette cérémonie.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Michel : Intéressant édifice roman[51]. À l'intérieur, on voit, à gauche, un beau retable du XVIIe siècle et, entre ce retable et la chaire, un autre retable du XIVe siècle[52]. Au maître-autel, remarquer le ciborium (monument où l'on déposait les hosties) datant du XVe siècle, monolithe de six mètres de haut.
- Le domaine diocésain de La Castille[58] comporte un château et le séminaire du diocèse de Fréjus-Toulon,
- Cloche d'appel de 1776 du château de la Castille[59].
- Monument aux morts[60] : Conflits commémorés : Guerre franco-allemande 1939-1945.
- Lavoir[61].
- Le château de Forbin (ruines)[62].
- Le château de La Castille.
- Chapelle du château de La Castille.
- La chapelle du séminaire diocésain.
- Orgue de la chapelle du séminaire.
Personnalités liées à la commune
- Antonius Arena : né à Solliès-Ville dans 1500, juriste et poète.
- Jean Aicard : la maison du poète et écrivain Jean Aicard, aménagée en petit musée, constitue un lieu de rencontre pour les fervents de l'auteur de Maurin des Maures. Le poète fut maire de la ville de 1919 à sa mort en 1921.
- Léon Vérane : écrivain du mouvement des Fantaisistes. Chaque année, l'association des amis de Léon Vérane célèbre sa mémoire le , lors de la Saint-Léon, et également date de sa disparition, le .
- André Filippi : peintre, imagier santonnier. Le village de Sollies-Ville, où il vécut quelques années, fut une source importante de son inspiration et il apparait dans bon nombre de ses tableaux, il y créa ses premiers santons. Un hommage lui est rendu au musée Jean-Aicard dans lequel est exposé une de ses crèches miniatures.
Héraldique
Blason | D'azur à la bande d'or chargée du mot «SOLLIES-VILLE» en lettres capitales de gueules et accompagnée de deux soleils d'or (site de la mairie). |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Alias | Alias du blason de Solliès-Ville D'azur à la bande d'argent accompagnée de deux soleils d'or (d'Hozier) [63]. |
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Itinéraires
- Information Acquéreurs Locataires
- Hydrographie, sur www.annuaire-mairie.fr/
- Table climatique
- Réseau régional de transports en commun
- Ligne de bus 2801
- Ligne de bus 4801
- Ligne de bus 4802
- ligne de bus 8810
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Toulon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Frédéric Mistral, Tresor dòu Felibrige dictionnaire provençal-français, 1878
- Fabien Régnier, Jean-Pierre Drouin, Les peuples fondateurs à l'origine de la Gaule, p.273
- Dictionnaire historique et topographique de la Provence ancienne et moderne. Deux tomes - Draguignan 1835. http://www.cieldoc.com/libre/integral/libr0396.pdf
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques (1897), pp.477-478
- Registre des naissances, mariages, décès de la commune de Solliès-Ville (1792-1805), 7 E 139/5, pp.266-359, Archives départementales du Var
- La fiche biographique de MAUREL Paul, Eugène, Jean, Marie sur le Maitron en ligne
- « Solliès-Ville : André Geoffroy réélu maire pour un cinquième mandat », Nice-Matin,‎ (lire en ligne).
- M.M., « Nicolas Gérardin installé dans le fauteuil de maire à Solliès-Ville », Var-Matin,‎ (lire en ligne)
- IV.3.2 Rejets d’assainissement
- Station d'épuration communautaire de la vallée du Gapeau
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- hotel à Solliès Ville
- .restaurants à Solliès Ville
- Ferme auberge
- musée du vêtement provençl
- musée Jean Aicard
- Commerces et services de proximité
- école maternelle
- école primire)
- écoles à Solliès Ville
- Professionnels et établissements de santé
- Cliniques à Solliès-Toucas
- Paroisse Saint Michel
- Équipements sportifs
- Médiathèque Marcel Marlier
- Musée Jean Aicard
- « Eglise Saint-Michel l'Archange », notice no PA00081745, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- " Les objets mobiliers sur POP culture.gouv.fr
- Collectif. Sous la direction de Michel Foussard avec la collaboration de Jean-Loup Fontana, L’orgue italien, Guide pratique pour le Comté de Nice, Nice, Art et Culture des Alpes-Maritimes (ACAM), , 100 p. (ISBN 2-906700-08-8)Cahier des Alpes-Maritimes n°7 réalisé par le Conseil Général des Alpes-Maritimes (ACAM). Presses d’Imprimix Nice. pp. 152-153 L’orgue du Frère Millani des Augustins de Nice, dans l’église de Sollies-Ville, avec une reconstitution de l’orgue de 1499 par Pierre Rochas
- La Provence avait été abondamment pourvue d’orgues depuis la fin du XVe siècle jusqu'au XVIIIe siècle, mais peu d’éléments sont parvenus jusqu’à nous : L’orgue du Frère Millani des Augustins de Nice, dans l’église de Solliès-Ville, Le grand orgue de Basilique Sainte-Marie-Madeleine de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Les grandes orgues de la Cathédrale Notre-Dame d'Embrun
- Notice no PM83001468, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue de tribune de l'église Saint-Michel
- Notice no PM83000592, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : buffet d'orgue
- Notice no PM83000596, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église Saint-Michel
- Domaine diocésain de La Castille
- Notice no PA00107323, base Palissy, ministère français de la Culture Cloche d'appel de 1776 du château de la Castille
- Monument aux morts
- Lqvoir
- « Château de Forbin (ruines) », notice no PM83000595, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Vexillologie et Héraldique provençale. La Vallée du Gapeau : Solliès-Ville, sur le site personnel de Dominique Cureau |consulté le=24 décembre 2021
Voir aussi
Bibliographie
- Histoire et Patrimoine du village
- Solliès-Ville dans le magazine « Le Var »
- Solliès-Ville sur www.provence7.com/
- Présentation du village de Solliès-Ville
- Histoire du séminaire à La Castille
- Solliès-Ville - église Saint-Michel
- Inventaire des orgues Département du Var. L'orgue actuel de Solliès-Ville découle du vénérable vestige du buffet de 1499 de l'orgue d'Antoine Milani.
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 2-86535-070-3)Solliès-Ville, p. 1144
- Cavités souterraines naturelles : Grotte des Ferrières
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Solliès-Ville sur le site de l'Institut géographique national
- Solliès-Ville sur le site de l'Insee
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes