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Solliès-Ville

Solliès-Ville [sɔljɛs vil] est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Solliès-Ville
Solliès-Ville
Le château de La Castille.
Blason de Solliès-Ville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Toulon
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée du Gapeau
Maire
Mandat
Nicolas Gérardin
2020-2026
Code postal 83210
Code commune 83132
Démographie
Gentilé Solliès-Villain(e)s
Population
municipale
2 523 hab. (2020 en augmentation de 5,52 % par rapport à 2014)
Densité 179 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 10′ 59″ nord, 6° 02′ 20″ est
Altitude Min. 40 m
Max. 680 m
Superficie 14,10 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulon
(banlieue)
Aire d'attraction Toulon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Solliès-Pont
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Solliès-Ville
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Solliès-Ville
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Solliès-Ville
Liens
Site web solliesville.fr

    Ses habitants sont appelés les Solliès-Villains.

    Géographie

    Localisation

    Commune située à 2,2 km de La Farlède et 16,1 km de Hyères[1].

    Géologie et relief

    Le village de Solliès-Ville est accroché à une colline qui domine la riche plaine du Gapeau. Le point culminant (500 m) de la commune est à l'est, sur les contreforts du « Bau Rouge ».

    Sismicité

    Commune située dans une zone 2 de sismicité faible[2].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Cours d'eau traversant la commune :

    • le fleuve Gapeau.
    • Les ruisseaux de Sainte-Christine, de la Jonquière, de Lambert, des Anduès, de Réganas[3].

    Climat

    Climat classé Csa dans la classification de Köppen et Geiger[4].

    Voies routières

    Transports en commun

    • Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

    Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou !. Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![5]. Le village est desservi par plusieurs lignes de bus départementales :

    Lignes SNCF

    Transports aériens

    Les aéroports les plus proches sont :

    Ports

    Communes limitrophes

    Intercommunalité

    Commune membre de la Communauté de communes de la Vallée du Gapeau.

    Urbanisme

    Typologie

    Solliès-Ville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [10] - [11] - [12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulon, une agglomération inter-départementale regroupant 27 communes[13] et 575 347 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulon est la neuvième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice et Nantes[14] - [15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16] - [17].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,3 %), zones urbanisées (15,2 %), cultures permanentes (8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %), terres arables (0,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,2 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].

    Toponymie

    Le nom de Solliès-ville provient de sa forme moyenâgeuse en ancien provençal Soliers, Solliers (qui évolua en Souliés dans la graphie mistralienne du provençal), lui-même du bas-latin Solaria, Soleria, Solarium « lieu où l'on prend le soleil, terrasse »[20]. Le nom d'origine serait aussi « de Solario » en 1020[21]. Ce qui donne l'évolution suivante : Solarium > de Solario > Soliers > Souliés > Solliès.

    En provençal, le nom moderne est écrit « Soliès-Vila » en écriture classique (écriture traditionnelle basée sur l'écriture moyenâgeuse en ancien provençal de Soliers et modernisée en tenant compte de certains apports de l'écriture mistralienne) et « Souliés-Vilo » en écriture mistralienne (écriture phonétique développée par les rhodaniens et basé sur leur système graphique local). Qu'importe l'écriture, la prononciation reste la même.

    Il y a également plusieurs hameaux :

    • Les Sauvans ;
    • Les Daix ;
    • La Tour ;
    • les Aiguiers ;
    • les Combes ;
    • les Collés ;
    • le Pont-Neuf ;
    • le logis Neuf.

    Histoire

    Le territoire était habité dans l'Antiquité par les Celto-Ligures qui avaient déjà commencé à défricher les forêts, cultiver la terre et assécher les marais. Selon Étienne Garcin[22], la vallée du Gapeau était peuplée par le peuple celto-ligure des Bormani et avaient le village de Solliès-ville comme emplacement de leur chef-lieu. Sous l'occupation romaine, la ville de Solliès était nommée Sollinensis civitas. L'utilisation du terme civitas montre qu'elle fut autrefois la ville dominante de son territoire. Son importance se poursuivra jusqu'au Moyen Age où elle était l'une des principales communes de la Basse-Provence et elle finit par décroître à la suite de la séparation de la commune en quatre : Solliès-ville, Solliès-Pont, Solliès-Toucas et Solliès-Farlède (devenue La Farlède).

    Politique et administration

    Budget et fiscalité 2020

    En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[23] :

    • total des produits de fonctionnement : 1 830 000 â‚¬, soit 734 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 1 492 000 â‚¬, soit 598 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 393 000 â‚¬, soit 158 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 568 000 â‚¬, soit 228 â‚¬ par habitant ;
    • endettement : 110 000 â‚¬, soit 44 â‚¬ par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 11,72 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 20,04 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 92,89 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 24 550 â‚¬[24].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs à partir de 1919
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.

    (décès)
    Jean Aicard Poète romancier, académicien
    Paul Maurel[27] (1883-1975) SFIO Instituteur, président de la délégation municipale
    Élu en 1945, réélu en 1947 et 1953
    Gabriel Grisolle (1913-1989) Réélu en 1965, 1971 et 1977
    André Geoffroy UDF-PR puis DL
    puis UMP
    Chirurgien gynécologue obstétricien
    Sénateur du Var (2002 → 2004)
    Président de la CC de la Vallée du Gapeau (1995 → 2014)
    Réélu en 1989, 1995, 2001 et 2008[28]
    Roger Castel (1949- ) UMP-LR Chef de service de la DGA retraité
    4e vice-président de la CC de la Vallée du Gapeau (2014 → 2020)
    En cours
    (au 25 mai 2020)
    Nicolas Gérardin[29] (1949- ) DVC Chargé de mission retraité
    4e vice-président de la CC de la Vallée du Gapeau (2020 → )

    Politique environnementale

    Les communes de Solliès-Pont et Solliès-Toucas sont raccordées à la station d’épuration à boues activées située sur la commune de La Crau. La STEP, située à plus de 5 km au Sud-Est du site des Solliès-Ville[30] a une capacité de 50 000 équivalent-habitants[31].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2020, la commune comptait 2 523 habitants[Note 3], en augmentation de 5,52 % par rapport à 2014 (Var : +4,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    833890981884844841814804802
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    759763739712653610536575486
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    492488376479523557585650710
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
    8018501 1931 8952 2472 2222 4182 4612 391
    2019 2020 - - - - - - -
    2 5262 523-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Agriculture

    La commune fait partie de la zone de production de l'huile d'olive de Provence AOC.

    Agriculture et élevage.

    Tourisme

    • L'hébergement touristique est composé d'un hôtel, de six chambres[36].
    • Six restaurants proposent leurs services sur la commune[37].
    • Ferme Auberge[38].
    • Solliès-Ville compte deux musées :
    le Musée du vêtement provençal[39],
    et le musée Jean-Aicard[40].

    Commerces et services

    • Commerces et services de proximité[41].

    Vie locale

    Enseignement

    Solliès Ville fait partie de l'académie de Nice. Les élèves débutent leurs études sur la commune, qui dispose d'une école maternelle (67 enfants[42]) et d'une école primaire (117 élèves[43])[44].

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[45] :

    Cultes

    Sports et équipements sportifs

    • Équipements sportifs[48] :
      • Plateau EPS/Multisports/city-stades,
      • Salle de musculation/cardiotraining,
      • Boucle de randonnée.

    Équipements culturels

    • Médiathèque Marcel Marlier[49].
    • Musée Jean Aicard[50].

    Festivités

    Chaque année depuis 1989, aux derniers jours du mois d'août, Solliès-Ville accueille le Festival international de la bande dessinée qui invite des dessinateurs prestigieux comme Enki Bilal, Cosey, Jean Giraud, Frank Margerin... et reçoit de nombreux visiteurs.

    Sans oublier la fête annuelle de la Saint-Loup durant laquelle se succèdent aïoli géant, bal, concours de boules etc. durant cinq jours.

    Cérémonie des Apôtres, le , où le maire distribue aux familles les plus nombreuses ou défavorisées un panier garni. Une grande distribution de pain est organisée à la fin de cette cérémonie.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Michel : Intéressant édifice roman[51]. À l'intérieur, on voit, à gauche, un beau retable du XVIIe siècle et, entre ce retable et la chaire, un autre retable du XIVe siècle[52]. Au maître-autel, remarquer le ciborium (monument où l'on déposait les hosties) datant du XVe siècle, monolithe de six mètres de haut.
    La façade des orgues, de 1499, en noyer sculpté, est l'œuvre du frère Antoine Millani du couvent des Augustins de Nice et compte parmi les plus anciennes de France[53] - [54] - [55] - [56],
    Cloche de 1531[57],
    Dans la crypte, sépulture des seigneurs de Solliès.
    Cloche d'appel de 1776 du château de la Castille[59].
    • Monument aux morts[60] : Conflits commémorés : Guerre franco-allemande 1939-1945.
    • Lavoir[61].
    • Le château de Forbin (ruines)[62].
    • Le château de La Castille.
      Le château de La Castille.
    • Chapelle du château de La Castille.
      Chapelle du château de La Castille.
    • La chapelle du séminaire diocésain.
      La chapelle du séminaire diocésain.
    • Orgue de la chapelle du séminaire.
      Orgue de la chapelle du séminaire.

    Personnalités liées à la commune

    • Antonius Arena : né à Solliès-Ville dans 1500, juriste et poète.
    • Jean Aicard : la maison du poète et écrivain Jean Aicard, aménagée en petit musée, constitue un lieu de rencontre pour les fervents de l'auteur de Maurin des Maures. Le poète fut maire de la ville de 1919 à sa mort en 1921.
    • Léon Vérane : écrivain du mouvement des Fantaisistes. Chaque année, l'association des amis de Léon Vérane célèbre sa mémoire le , lors de la Saint-Léon, et également date de sa disparition, le .
    • André Filippi : peintre, imagier santonnier. Le village de Sollies-Ville, où il vécut quelques années, fut une source importante de son inspiration et il apparait dans bon nombre de ses tableaux, il y créa ses premiers santons. Un hommage lui est rendu au musée Jean-Aicard dans lequel est exposé une de ses crèches miniatures.

    Héraldique

    Blason de Solliès-Ville Blason
    D'azur à la bande d'or chargée du mot «SOLLIES-VILLE» en lettres capitales de gueules et accompagnée de deux soleils d'or (site de la mairie).
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Solliès-Ville
    Alias du blason de Solliès-Ville

    D'azur à la bande d'argent accompagnée de deux soleils d'or (d'Hozier)

    [63].

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Itinéraires
    2. Information Acquéreurs Locataires
    3. Hydrographie, sur www.annuaire-mairie.fr/
    4. Table climatique
    5. Réseau régional de transports en commun
    6. Ligne de bus 2801
    7. Ligne de bus 4801
    8. Ligne de bus 4802
    9. ligne de bus 8810
    10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Unité urbaine 2020 de Toulon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    14. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    20. Frédéric Mistral, Tresor dòu Felibrige dictionnaire provençal-français, 1878
    21. Fabien Régnier, Jean-Pierre Drouin, Les peuples fondateurs à l'origine de la Gaule, p.273
    22. Dictionnaire historique et topographique de la Provence ancienne et moderne. Deux tomes - Draguignan 1835. http://www.cieldoc.com/libre/integral/libr0396.pdf
    23. Les comptes de la commune
    24. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    25. Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques (1897), pp.477-478
    26. Registre des naissances, mariages, décès de la commune de Solliès-Ville (1792-1805), 7 E 139/5, pp.266-359, Archives départementales du Var
    27. La fiche biographique de MAUREL Paul, Eugène, Jean, Marie sur le Maitron en ligne
    28. « Solliès-Ville : André Geoffroy réélu maire pour un cinquième mandat », Nice-Matin,‎ (lire en ligne).
    29. M.M., « Nicolas Gérardin installé dans le fauteuil de maire à Solliès-Ville », Var-Matin,‎ (lire en ligne)
    30. IV.3.2 Rejets d’assainissement
    31. Station d'épuration communautaire de la vallée du Gapeau
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. hotel à Solliès Ville
    37. .restaurants à Solliès Ville
    38. Ferme auberge
    39. musée du vêtement provençl
    40. musée Jean Aicard
    41. Commerces et services de proximité
    42. école maternelle
    43. école primire)
    44. écoles à Solliès Ville
    45. Professionnels et établissements de santé
    46. Cliniques à Solliès-Toucas
    47. Paroisse Saint Michel
    48. Équipements sportifs
    49. Médiathèque Marcel Marlier
    50. Musée Jean Aicard
    51. « Eglise Saint-Michel l'Archange », notice no PA00081745, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. " Les objets mobiliers sur POP culture.gouv.fr
    53. Collectif. Sous la direction de Michel Foussard avec la collaboration de Jean-Loup Fontana, L’orgue italien, Guide pratique pour le Comté de Nice, Nice, Art et Culture des Alpes-Maritimes (ACAM), , 100 p. (ISBN 2-906700-08-8)
      Cahier des Alpes-Maritimes n°7 réalisé par le Conseil Général des Alpes-Maritimes (ACAM). Presses d’Imprimix Nice. pp. 152-153 L’orgue du Frère Millani des Augustins de Nice, dans l’église de Sollies-Ville, avec une reconstitution de l’orgue de 1499 par Pierre Rochas
    54. La Provence avait été abondamment pourvue d’orgues depuis la fin du XVe siècle jusqu'au XVIIIe siècle, mais peu d’éléments sont parvenus jusqu’à nous : L’orgue du Frère Millani des Augustins de Nice, dans l’église de Solliès-Ville, Le grand orgue de Basilique Sainte-Marie-Madeleine de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Les grandes orgues de la Cathédrale Notre-Dame d'Embrun
    55. Notice no PM83001468, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue de tribune de l'église Saint-Michel
    56. Notice no PM83000592, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : buffet d'orgue
    57. Notice no PM83000596, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église Saint-Michel
    58. Domaine diocésain de La Castille
    59. Notice no PA00107323, base Palissy, ministère français de la Culture Cloche d'appel de 1776 du château de la Castille
    60. Monument aux morts
    61. Lqvoir
    62. « Château de Forbin (ruines) », notice no PM83000595, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    63. Vexillologie et Héraldique provençale. La Vallée du Gapeau : Solliès-Ville, sur le site personnel de Dominique Cureau |consulté le=24 décembre 2021

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

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