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Si Mustapha

Si Mustapha (ŰłÙŠ Ù…Ű”Ű·ÙÙ‰ en arabe, Taguitount[3] en kabyle, transcrit â”œâ”‰â”Łâ”‰ ┏ ⎰├─ ⎰̆┉┛⎰ en Tifinagh ; FĂ©lix-Faure[4] pendant la colonisation française) est une commune de la wilaya de BoumerdĂšs, dans la daĂŻra d'Isser, et fait partie de la grande Kabylie en AlgĂ©rie.

Si-Mustapha
Si Mustapha
Noms
Nom arabe algĂ©rien ŰłÙŠ Ù…Ű”Ű·ÙÙ‰
Nom amazigh â”œâŽ°âŽłâ”“â”‰â”œo┓┏├
Nom kabyle Taguitount
Administration
Pays Drapeau de l'Algérie Algérie
RĂ©gion Kabylie
Wilaya BoumerdĂšs
DaĂŻra Isser
Président de l'APC
Mandat
Ali Bouaziz
-
Code postal 35028[1]
Code ONS 3512
DĂ©mographie
Population 12 087 hab. (2008[2])
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 36° 43â€Č 29″ nord, 3° 36â€Č 55″ est
Localisation
Localisation de Si-Mustapha
Localisation de Si-Mustapha
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Si-Mustapha
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Si-Mustapha
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Si-Mustapha

    Etymologie

    La commune de Si-Mustapha tire son nom du Chahid Mohamed Saoudi tombé au champ d'honneur en [5] à Haouch Bengrine[6]. Le chahid Mohamed Saoudi était plus connu par son nom de combattant Si-Mustapha[7]. Mohamed Saoudi était chef de secteur durant la révolution algérienne, et avait pour compagnons de lutte:

    1. Mohamed El AĂŻchaoui, journaliste et chahid.
    2. AhcĂšne MaĂąbout, dit "Si Abdelhamid", lieutenant tombĂ© au champ d’honneur le dans la commune d'AĂŻt Khellili.
    3. Khelil Amrane, dit "Si Ali", mĂ©decin de Zone tombĂ© au champ d’honneur le dans un village d'Ikedjane dans la commune de Tifra.
    4. Omar Aouchiche, dit "Si Nacer", tombĂ© au champ d’honneur le dans la commune d'AĂŻt Khellili.

    GĂ©ologie

    La dĂ©pression gĂ©ologique de Si-Mustapha est liĂ©e Ă  celle de ThĂ©nia, et est comprise entre le massif des Khachna, au Sud, et le Djebel Bou-Arous, au Nord. Ce dernier chaĂźnon forme le promontoire terminal au Nord-Ouest de la ceinture montagneuse qui enveloppe en un arc de cercle continu le massif de la Kabylie; la ligne de crĂȘtes prĂ©sente une sĂ©rie de mornes arrondis ou de dĂŽmes d'une altitude de 420 Ă  444 mĂštres, et se termine Ă  l'Est par l'escarpement rocheux de Sidi-Feredj (452 mĂštres) prĂšs du village de Boukhanfar, dont la retombĂ©e Ă  l'Est au-dessus des collines basses de Blad Guitoun ne manque pas de grandeur[8].

    Ces collines sont composĂ©es d'argiles bleuĂątres, homogĂšnes, sauf sur les bords du rivage de ThĂ©nia, oĂč elles sont intercalĂ©es de petites couches de sables ou de graviers, dans lesquelles se sont mieux conservĂ©es les coquilles de mollusques. Ces argiles marneuses renferment une faible proportion de calcaire ; leur Ă©paisseur peut atteindre 150 mĂštres. Elles forment les collines dĂ©nudĂ©es de Tidjelabine, dans lesquelles les ravinements et surtout les tranchĂ©es du chemin de fer occasionnent des glissements et des Ă©boulements Ă  la suite des pluies. Ces argiles s'Ă©tendent sur le versant Est de la dĂ©pression de ThĂ©nia, et dans toute la rĂ©gion des collines de Si-Mustapha et des Issers.

    Si-Mustapha compte aussi des terrains d'alluvion qui rĂ©sultent du lessivage des parties meubles de la surface, et de leur entraĂźnement par les eaux courantes, dans le lit des torrents et ruisseaux qui les ont dĂ©posĂ©s sur les pentes adoucies par l'Ă©talement du courant, et qui ont une composition trĂšs variable, tant au point de vue physique que chimique : ils renferment en effet, les dĂ©bris, plus ou moins volumineux, les parcelles tĂ©nues rĂ©sultant de la trituration des Ă©lĂ©ments de toutes les roches soumises Ă  l'Ă©rosion. Par suite de la complexitĂ© des terrains, le mĂ©lange de ces diffĂ©rents matĂ©riaux, provenant des sols les plus variĂ©s dont nous avons examinĂ© la distribution, a produit des dĂ©pĂŽts et un sol d'une grande fertilitĂ©; ce sont les terres d'alluvion. Ces alluvions constituent des terrasses au flanc des coteaux ou mĂȘme Ă  la surface des argiles sahĂ©liennes, ainsi que cela se prĂ©sente autour de Blad Guitoun Ă  Si-Mustapha; ailleurs elles forment les berges plus ou moins Ă©levĂ©es des ravins comme pour l'Oued Boufroun.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Si-Mustapha[9] est situĂ©e Ă  55 kilomĂštres Ă  l'est d'Alger et 45 kilomĂštres Ă  l'ouest de Tizi Ouzou. Elle fait partie de la daĂŻra d'Issers dans l'ouest de la Kabylie[10].

    Sa superficie totale Ă©tait en de 11,841 hectares 12 ares 35 centiares.

    Histoire

    Cette commune a été peuplée historiquement par les kabyles des ùarchs, des tribus de Kabylie tels que les Aïth Aïcha.

    Située sur une colline cernée par la montagne Boudhar, les reliefs de Thénia et le fleuve des Issers ; la ville a dessiné son histoire dÚs l'Úre antique. La région de Si Mustapha fut peuplée au temps des Romains depuis la prise de Sarsura (BoumerdÚs) par Jules César ; des vestiges sont toujours présents dont des pierres et autres sculptures et écritures sur les roches.

    AprÚs sa construction à la fin des années durant la colonisation française, Si Mustapha s'appelait "Blad Guitoun", elle avait le statut de commune de plein exercice de Félix Faure du nom de l'ancien président de la République française.

    Au mois de , les premiers colons prirent aussi possession des concessions de Blad Guitoun (pays des tentes), le premier village créé, puis insensiblement les autres centres furent distribués[20].

    Le chemin de fer a Ă©tĂ© ouvert en 1888. AprĂšs l'indĂ©pendance de l'AlgĂ©rie en 1962, la localitĂ© est devenue "Si-Mustapha", le surnom d'un martyr dĂ©nommĂ© Saoudi Mohamed, tombĂ© au champ d’honneur le Ă  Haouch Bengrine.

    La localité a été frappée le par le tremblement de terre de BoumerdÚs.

    La commune de Si Mustapha est situĂ©e Ă  55 kilomĂštres Ă  l'est d'Alger et Ă  22 kilomĂštres au Nord de Lakhdaria. Elle est situĂ©e sur une colline cernĂ©e par la montagne Boudhar, les reliefs de ThĂ©nia et l'Oued Isser.

    De 1860 Ă  1870, d’anciens soldats français qui avaient fait venir leur famille, s'installĂšrent dans les parages de Blad Guitoun et tinrent dans des gourbis, construits aux abords des camps et des bivouacs, des dĂ©bits de comestibles, vins et liqueurs.

    À ce bivouac c’est un nommĂ© Germain Chaix, mort en 1881, qui tint une auberge, et ensuite, l’arrivĂ©e des Alsaciens et des Lorrains aidant, l’émigration europĂ©enne s’intensifia. C'est au mois de que les premiers colons français prirent possession des concessions agricoles de Blad Guitoun (ou le terrain de la tente) qui Ă©tait le premier village colonial crĂ©Ă© dans la plaine des Issers, puis insensiblement les autres centres coloniaux furent distribuĂ©s autour de lui.

    Le centre de population coloniale de Blad Guitoun a été érigé en commune de plein exercice par décret du . Cette commune a ensuite été divisée en cinq sections par décret du . La premiÚre de ces sections, comprenant le village et le territoire de Blad Guitoun, a pris le nom de Félix Faure par décret du en tant que section administrative spécialisée.

    C'est en 1900 que la commune a changĂ© de nom pour passer de Blad Guitoun Ă  FĂ©lix Faure pour honorer l’ancien PrĂ©sident de la RĂ©publique Française.

    La commune Ă©tait situĂ©e dans le dĂ©partement d’Alger, dans le canton de Menerville et comprenait les douars de ZaĂątra, Zemmouri (depuis 1875), les fermes d’Isserbourg et une partie du douar d’Isser-El-Ouidan.

    Le dictionnaire des communes d’Alger prĂ©cise aussi qu’en ce lieu il y avait des viaducs du chemin de fer.

    Archéologie

    À trois kilomĂštres et demi Ă  l'est de ThĂ©nia, et au nord de Si-Mustapha se trouve le village de Blad Guitoun, oĂč on trouve les ruines antiques d'un village berbĂšre assez important. Elles sont situĂ©es au-dessus de l'ancienne ferme coloniale Hertman, prĂšs de la ligne de chemin de fer de Tizi Ouzou, sur une pente assez raide, tournĂ©e vers le sud, et d'oĂč l'on a une vue trĂšs Ă©tendue : Ă  l'est sur la riche vallĂ©e des Issers, au sud sur les gorges de lakhdaria et les montagnes qui les dominent, au sud-ouest et Ă  l'ouest sur les collines boisĂ©es qui s'Ă©lĂšvent entre les gorges et le col de ThĂ©nia.

    Ces ruines, sur lesquelles Charles de Vigneral a donnĂ© quelques indications, Ă©taient peu distinctes en 1898, un trĂšs grand nombre de pierres ayant Ă©tĂ© prises pour la construction de la voie ferrĂ©e. Quelques dĂ©bris de fĂ»ts de colonnes et un chapiteau ionique ont Ă©tĂ© remarquĂ©s, de trĂšs basse Ă©poque, de proportions massives : ces dĂ©bris ont peut-ĂȘtre appartenu Ă  un lieu de culte. Sur deux fragments d'une stĂšle grossiĂšre, on voit : Ă  droite, une femme assise, probablement une divinitĂ©, levant la main droite, tenant de la main gauche un objet rond indistinct ; Ă  gauche, en face d'elle, un personnage debout. Au nord-ouest naĂźt une source qui a Ă©tĂ© captĂ©e par les habitants du village[21].

    Le colonel Schauenburg avait visitĂ© le les restes des ruines de ce mausolĂ©e, appelĂ© localement "El-Habs"[22]. Ce mausolĂ©e avait Ă©tĂ© construit pour un prince berbĂšre local dans une rĂ©gion oĂč les Romains n'ont guĂšre pĂ©nĂ©trĂ©, et est analogue au Kabr Er-Roumia de Cherchell[23]. Il a Ă©tĂ© fouillĂ© en par Armand VirĂ©[24].

    Commune de Si Mustapha

    Blad Guitoun ou FĂ©lix Faure , aujourd’hui Si-Mustapha est situĂ©e a la sortie du Menerville vers Isser . la naissance de la ville de Bled Guitoun remonte au IVe siĂšcle apr. J.-C., et pendant la pĂ©riode des Turc elle fait partie de l'Outhan de Yesser .ce territoire qui est bornĂ© au nord par la mer, au sud par l'Outan de hamza, Ă  l'est par sĂ©baou et Ă  l'ouest par le Corso qui le sĂ©pare de l'Outan de Khachna.

    La naissance de la ville Blad Guitoun c'est pendant la période française dans les années 1860, elle est du ressort de la préfecture d'Alger comprenait alors les villages :

    • Zaatra
    • Zemmouri
    • Isser bourg
    • les fermes et le territoire de Yesser-el-ouidane

    Blad Guitoun est constituĂ©e en commune en 1874 par arrĂȘtĂ© du gouverneur gĂ©nĂ©ral Monsieur le Comte de Gueydon, le , ensuite elle portait depuis 1901 le nom de FĂ©lix Faure, pour honorer la mĂ©moire du prĂ©sident de la RĂ©publique française FĂ©lix Faure, juste aprĂšs l'indĂ©pendance 1962 que l'on nome Si-Mustapha en l'honneur du martyr qui est tombĂ© mort au champ d'honneur le de son vrai nom c'est Monsieur: Mohamed Saoudi fils de Rabah Omar qui habitait au vieux village (blad guitoun) et Si-Mustapha c'est son nom du maquis.

    Au bivouac de Si Mustapha, c’est un nommĂ© Germain Chaix[25], mort en 1881, qui tint une auberge, et ensuite, l’arrivĂ©e des Alsaciens et des Lorrains aidant, l’émigration europĂ©enne s’intensifia[20].

    C'est au mois de que les premiers colons français prirent possession des concessions agricoles de Si Mustapha, qui était le premier village colonial créé dans la plaine des Issers, puis insensiblement les autres centres coloniaux furent distribués autour de lui[20].

    Villes rattachées à la commune de Thénia de 1962 à 1984
    Chef-lieu Annexe 1 Annexe 2 Annexe 3 Annexe 4 Annexe 5
    Noms coloniaux MĂ©nerville Souk El Haad Bellefontaine FĂ©lix-Faure Courbet Rocher Noir
    Noms algériens Thénia Souk El Had Tidjelabine Si Mustapha Zemmouri BoumerdÚs
    Code postal de 1962 Ă  1984 16000 16000 16000 16000 16000 16000
    Code postal de 1984 Ă  2008 35470 35480 35490 35270 35260 35000
    Code postal aprĂšs 2008 35005 35020 35021 35028 35012 35000

    Maires de 1860 Ă  1962

    Le centre de population coloniale de Si Mustapha a été érigé en commune de plein exercice par décret du .

    Cette commune de Si Mustapha a ensuite été divisée en cinq sections par décret du .

    La premiÚre de ces sections, comprenant le village et le territoire de Si Mustapha, a pris le nom de Félix Faure par décret du en tant que section administrative spécialisée[26].

    C'est en que la commune de Si Mustapha a changĂ© de nom pour passer de "Blad Guitoun ŰšÙ„Ű§ŰŻ Ù‚ÙŠŰ·ÙˆÙ†" Ă  FĂ©lix Faure-Courbet[27].

    Liste des maires de Si Mustapha avant l'indépendance de l'Algérie le :

    Maires de Si Mustapha (Ancienne: FĂ©lix Faure) de Ă 
    Prénoms et Noms Début du Mandat Fin du Mandat
    1er Germain Chaix[25] 1860
    2e LĂ©on Germain Vinsonnaud[28] 1876[29]
    3e
    4e Auguste Beyer 1920 1925
    5e
    6e Georges Paternot[30] [31]

    Maires de 1962 Ă  1984

    Liste des maires de Si Mustapha depuis l'indépendance de l'Algérie le jusqu'au découpage administratif du :

    Maires de Si Mustapha (Ancienne: FĂ©lix Faure) de Ă 
    Prénoms et Noms Début du Mandat Fin du Mandat
    Référendum d'autodétermination Hocine Djennadi, Henri Pérochon, Hocine Redjouani et Dahmane Derriche
    Délégation communale spéciale Henri Pérochon, Hocine Redjouani, Hocine Djennadi et Ahmed Rahmoune
    1er Hocine Djennadi
    2e Moussa Ambar
    3e Boualem Ifri
    4e Boualem Ifri
    5e Amar Arrar
    6e Amar Arrar

    Maires depuis 1984

    Liste des maires de Si Mustapha depuis l'indépendance de l'Algérie depuis le découpage administratif du :

    Maires de Si Mustapha (Ancienne: FĂ©lix Faure) depuis le
    Prénoms et Noms Début du Mandat Fin du Mandat
    1er
    2e
    3e Hamid HirĂšche
    4e Kamel Zanaz
    5e
    6e Fodhil Ali Boudhar
    7e Ali Bouaziz En fonction

    Population

    Vue sur les nouvelles cités à Si Mustapha.

    La commune de Si Mustapha, qui Ă©tait du ressort de la PrĂ©fecture d’Alger comprenait les villages de ZaĂątra, Zemmouri (depuis 1875), les deux hameaux d’Isserbourg, les fermes et le territoire des Issers-El-Ouidan.

    La population de Si Mustapha comptait 773 Européens et 3877 Algériens en 1900[20].

    Sa superficie totale Ă©tait de 11,841 hectares 12 ares 35 centiares.

    Depuis la création de la commune de Si Mustapha en 1874, le total de sa population n'a cessé de croßtre.

    Recensement de la population de Si Mustapha
    Année du recensement Algériens Européens Population totale
    1er 3 877 773 4 650
    2e
    3e

    En , la population de la commune de Si Mustapha Ă©tait de 12 087 habitants contre en [32] :

    Évolution dĂ©mographique
    1987 1998 2008
    --12 087
    (Source : recensement[33])
    Commune Population[32] Taux de croissance annuel 2008/1998[32]
    Si Mustapha 12 087 en augmentation 3,0 %

    Enseignement

    Écoles primaires

    1. École primaire Ali Boudhar.
    2. École primaire de l'ancien quartier.
    3. École primaire du nouveau quartier.
    4. École primaire en construction.
    5. École primaire en projet.

    CollĂšge

    1. CollĂšge moyen de l'ancien quartier.
    2. CollĂšge moyen en projet.

    Lycée secondaire

    1. Lycée secondaire AHMED BEN AYAD

    Centre de formation professionnelle

    La commune de Si-Mustapha est dotée du centre de formation professionnelle et de l'apprentissage (CFPA) Saïd Zaoui.

    Santé

    La commune de Si-Mustapha est dotée d'un centre de santé (EPSP).

    Transports

    Transport routier

    La commune de Si-Mustapha est parcourue par plusieurs routes terrestres.

    Transport ferroviaire

    La commune de Si Mustapha est parcourue par la voie ferrée du chemin de fer reliant les deux villes d'Alger et de Tizi Ouzou.

    C'est en que la station ferroviaire de Blad Guitoun a été mise en service.

    Le maĂźtre d'Ɠuvre de cette station ferroviaire Ă©tait la compagnie Est-AlgĂ©rien.

    Cette station, devenue gare ferroviaire de FĂ©lix Faure en , avait pour usage le transport de voyageurs et de marchandises.

    En tant que gare de passage, cette gare de Si Mustapha comprenait Ă  une halle Ă  marchandises.

    Le projet de rĂ©habilitation du tronçon ferroviaire entre ThĂ©nia et ThĂ©nia a maintenu l'emplacement de cette gare ferroviaire, oĂč un nouveau bĂątiment voyageur y est projetĂ©, alors que l'ancien bĂątiment de cette gare est destinĂ© Ă  la dĂ©molition.

    Economie

    L'Entreprise Nationale des Granulats "ENG" comprend une unité à Si-Mustapha chargée de la gestion des activités de production, de commercialisation et de développement des granulats, du carbonate de calcium et des pierres ornementales.

    Cette unité de Si-Mustapha a été mise en service en [34]. Le doublement de la capacité de l'unité de Si-Mustapha pour plus 1 million de tonnes a été décidé[35].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    1. « BoumerdÚs 35000 - Code postal de la wilaya par localité en Algérie », sur algerie-poste.net (consulté le ).
    2. « Wilaya de BoumerdÚs : répartition de la population résidente des ménages ordinaires et collectifs, selon la commune de résidence et la dispersion ». Données du recensement général de la population et de l'habitat de 2008 sur le site de l'ONS.
    3. Cf. Google Maps.
    4. « hierlalgerie.com/index.php/fr/
 »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
    5. « Si Mustapha Toujours sans maire », sur Djazairess (consulté le ).
    6. Ibrahim, « Bibliographie sur l'Algerie et la guerre d'Algerie », sur dzfoot.com, (consulté le ).
    7. « Une ville isolée à cause du réseau routier », sur Djazairess (consulté le ).
    8. (en) « ESQUISSE AGRO », sur menerville.free.fr (consulté le ).
    9. http://www.terraserver.com/view.asp?cx=3.6201279&cy=36.7228968&proj=4326&mpp=1&sdrt=jax#
    10. (en) « Panoramio is no longer available », sur panoramio.com (consulté le ).
    11. « Google Maps », sur Google Maps (consulté le ).
    12. http://www.arcgis.com/home/webmap/viewer.html?center=3.6201279,36.7228968&level=16&basemapUrl=http://services.arcgisonline.com/ArcGIS/rest/services/World_Imagery/MapServer
    13. « Let's describe the whole world! », sur wikimapia.org (consulté le ).
    14. « Bing Cartes », sur Bing Cartes (consulté le ).
    15. « Zoom Earth / LIVE satellite images, weather & storm tracker », sur Zoom Earth (consulté le ).
    16. « Google Maps », sur Google Maps (consulté le ).
    17. « OpenStreetMap », sur OpenStreetMap (consulté le ).
    18. https://www.here.com/traffic/explore?map=36.72376,3.61667,16,satellite_traffic&x=ep
    19. « ScanEx Web Geomixer - ĐżŃ€ĐŸŃĐŒĐŸŃ‚Ń€ Đșарты », sur kosmosnimki.ru (consultĂ© le ).
    20. iflisen, « LES ISSERS : Une plaine tardivement livrée à la colonisation », sur blog.com, La confédération des Iflisen Umellil, (consulté le ).
    21. Stéphane Gsell, Le mausolée de Blad-Guitoun (fouilles de M. Viré), Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Année 1898, 42-4, pp. 481-499
    22. (en) « Les époques militaires de la Grande Kabilie : Berbrugger, A. (Louis Adrien), 1801-1869 : Free Download, Borrow, and Streaming : Internet Archive », sur Internet Archive (consulté le ).
    23. (en) « Les civilisations de l'Afrique du Nord : BerbÚres », sur Internet Archive (consulté le ).
    24. (en) « Les monuments antiques de l'Algérie : Gsell, Stéphane, 1864-1932 : Free Download, Borrow, and Streaming : Internet Archive », sur Internet Archive (consulté le ).
    25. « Germain Chaix », sur AncientFaces (consulté le ).
    26. « Recherche géographique », sur anom.archivesnationales.culture.gouv.fr (consulté le ).
    27. Jean de Crescenzo, Chroniques Tizi-ouziennes, , 488 p. (ISBN 978-2-9525841-0-4, lire en ligne), p. 222.
    28. http://www.mekerra.fr/images/ouvrages-algerie/annuaire%20general%20algerie%201880.pdf
    29. http://biblio.univ-alger.dz/jspui/bitstream/1635/27/1/22400.pdf
    30. « Alger.roi.fr,salmigondis,lycĂ©e Bugeaud, rue Levacher, algĂ©rie,venis, livre d'or
 », sur alger-roi.fr (consultĂ© le ).
    31. « Courbet-marine,felix-faure,paternot;http : //alger-roi.fr », sur alger-roi.fr (consulté le ).
    32. [PDF]Recensement 2008 de la population algérienne, wilaya de BoumerdÚs, sur le site de l'ONS.
    33. (en) Population de la wilaya de BoumerdĂšs (World Gazetteer)
    34. « Des réalisations et des défis », sur Djazairess (consulté le ).
    35. « eng.dz/fr/a-propos/nos-mission
 »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
    36. René Gallissot(Dr), assisté de Abderrahim Taleb-Bendiab et Amar Benamrouche, Algerie: Engagements sociaux et question nationale. De la colonisation à l'indépendance. de 1830 à 1962., Paris, Les éditions de l'atelier, , 605 p. (ISBN 2-7082-3865-5), Pages 306-307
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