Savasse
Savasse est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Savasse | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | DrĂ´me | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Montélimar-Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Françoise Quenardel 2020-2026 |
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Code postal | 26740 | ||||
Code commune | 26339 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Savassons, Savassonnes | ||||
Population municipale |
1 536 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 70 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 44° 36′ 03″ nord, 4° 46′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 69 m Max. 420 m |
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Superficie | 22,01 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Montélimar (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Montélimar-1 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : DrĂ´me
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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GĂ©ographie
Localisation
La commune est limitrophe (au sud) de Montélimar.
La Coucourde | La Coucourde | Condillac Sauzet |
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Meysse (Ardèche) | N | Saint-Marcel-lès-Sauzet | ||
O Savasse E | ||||
S | ||||
Rochemaure (Ardèche) | Montélimar | Sauzet |
Relief et géologie
Sites particuliers[1] :
- Champ d'Astier (297 m) ;
- Givaude ;
- la Montagne ;
- Serre Blanc ;
- Serre Rond (286 m).
Urbanisme
Typologie
Savasse est une commune rurale (car elle fait partie des communes peu ou très peu denses) au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].
La commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6] - [7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,7 %), forêts (30,5 %), terres arables (17 %), cultures permanentes (5,2 %), eaux continentales[Note 3] (3,5 %), zones urbanisées (2,8 %), prairies (1,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Site GĂ©oportail (carte IGN)[1] :
- Alibert
- Armand
- Arnoux
- Beauvallon
- BĂ©roulle
- Bertrand
- Blache
- Blanchard
- Brachet
- Cézère
- Chabas
- Champouillon
- Chanu
- Charbonnière
- Château Blayn
- Château de Serre de Parc
- Château les Roches
- Château Sauvan
- Chaudier
- Chichicu
- Clary
- Combe
- Combier
- Coste
- Culty
- David
- Denis
- Dorsivac
- Dray
- Dumas
- Durand
- Entremont
- Eynard
- Faurias
- Ferme de Parizot
- Fontenay
- Galland
- Gauthier
- Gourgeon
- Grise
- Guerre
- Guillon
- Jacquemet
- Labeille
- la Fabrique
- la Gallée
- la Tuilerie
- le Mas des Aubert
- les Chaberts
- les Charges
- les Combes
- les FĂ©es
- les Gilles
- les Vignauds
- le Vieux Village
- l'Homme d'Arme
- Lombard
- Maternet
- Maupas
- Monbet
- Moutet
- Notre-Dame de Mont Grum
- Pazin
- Petit
- Petit J.
- Peyrard
- Reboul
- Ribagnac
- Rome
- Russier
- Salivet
- TĂŞte Noire
- Théolat
- Vigne
- Villeneuve
- Vireille
Toponymie
Attestations
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[9] :
- 1200 : Savasia (inventaire de la chambre des comptes).
- 1291 : castrum de Savacia (Valbonnais, II, 59).
- 1291 : Savassia (cartulaire de Montélimar, 32).
- 1353 : castrum Savassie (cartulaire de Montélimar, 59).
- 1360 : mention de la cour de justice des comtes de Valentinois : curiam superiorem loci Savassiae (cartulaire de Montélimar, I, 256).
- XVe siècle : mention de la paroisse : cura Savassie (pouillé de Valence).
- 1509 : mention de l'Ă©glise paroissiales Notre(Dame : ecclesia parrochialis Beate Marie Savacie (visites Ă©piscopales).
- 1685 : Savace (général des Rabot).
- 1891 : Savasse, commune du canton de Marsanne.
Histoire
Du Moyen Ă‚ge Ă la RĂ©volution
La seigneurie[9] :
- Au point de vue féodal, Savasse était une terre (ou seigneurie) du fief des comtes de Valentinois.
- Les Adhémar en possèdent une partie.
- Les comtes de Valentinois acquièrent la part des Adhémar et réunissent la terre.
- 1419 : les biens des comtes passent (par héritage) aux rois de France.
- Vers 1550 : la terre est engagée aux Marcel et aux Monts.
- 1642 : elle est comprise dans le duché de Valentinois.
Tout au long du Moyen Âge, un péage est établi à Savasse sur le chemin de halage des navires remontant le Rhône ; halage exclusivement humain jusqu'à la fin du XVe siècle[10].
1360 : les comtes de Valentinois établissent une cour de justice pour les trente-huit paroisses de la Valdaine (Elle sera transférée à Montélimar en 1449 et y devient une vi-sénéchaussée[9]). Le , par ordonnance rendue à Sauzet, Aymar le Gros, comte de Valentinois, et Hugues, son neveu (fils de Lambert Adhémar de Monteil), annoncent à leurs vassaux que désormais Savasse sera le siège de la cour suprême de justice. Elle aura juridiction sur trente-neuf communes de la Valdaine. Savasse accueille avocats, procureurs, greffiers et plaideurs. Sa population va atteindre 3 000 habitants environ.
1374 (automne): avant sa mort, Aymard le Gros lègue ses domaines à son cousin Louis II de Poitiers. Cependant, il laisse à sa veuve, Alix Roger de Beaufort (dite la comtesse Major), Châteauneuf-de-Mazenc, Savasse, le péage de Leyne et Baix.
1375 () : Alix la Major rend hommage à son frère Grégoire XI pour Châteauneuf-de-Mazenc (une des places-fortes les plus importantes de la Valdaine), Savasse et le péage de Leyne. Ce péage et les anses de Savasse (ances savassiæ) rapportaient un revenu annuel de 1 000 florins.
1388 (décembre) : Louis II de Poitiers, comte de Valentinois, retire à Alix la Major ses fiefs de Savasse, Châteauneuf-de-Mazenc et le péage de Leyne pour les donner à son épouse Cécile Roger de Beaufort. Cela va déclencher une guerre privée entre lui, Raymond de Turenne (frère de Cécile) et Tristan, bâtard de Beaufort (frère d'Alix).
Finalement, en 1394, ce sont les troupes pontificales qui s'emparent du village et le détruisent[11].
1395 (seconde moitié du mois d'avril) : Raymond de Turenne envoie à Benoît XIII un mémoire, intitulé « Demandes que Moussen Raimon, vicomte de Turenne, fait à nostre Saint Père le pape et à son chambellan », sous la forme de 37 articles. Un de ceux-ci réclame la remise entre les mains de Cécile de Valentinois du péage de Leyne et du fief de Savasse. Il souligne que ces lieux ont été détruits lors des guerres sous Clément VII et demande qu'on lui amende les dommages qui lui ont été faits.
1400 () : Charles VI donne à Louis II de Bourbon, son oncle maternel, les fiefs de Savasse, Châteauneuf-de-Mazenc et le péage de Leyne.
1421 : une enquête destinée à estimer les ravages des guerres subies par la Valdaine explique : Les gens du pape Clément, avec lesquels estoient Louis II, misrent le siège devant la ville et chastel de Savasse, et se rendirent à eux les gens de Messire Raymond de Turenne qui dedans estoient. Et après les dits gens du pape firent abattre les murs d’environ icelle ville et plusieurs lieux et démolir le dit chastel qui estoit fort notable, la dite ville estoit grosse et notable et bien peuplée.
1425 : le conseil de ville de Savasse tente de faire relever les fortifications. Le cahier de comptes conserve la commande passée à Gonet Alard qui avait été chargé de transporter les pierres de la carrière située au lieu-dit Cossié.
1449 () : le village de Savasse ayant été ravagé par les routiers, le dauphin Louis (futur roi Louis XI) signe (à Sauzet) des lettres patentes par lesquelles il exempte de tout impôt ou subside, pendant trente ans, ceux qui viendraient se fixer dans ce bourg[9].
1449 : la cour de justice de Savasse est déplacée à Montélimar (voir en 1360)[9].
1530 : la seigneurie de Savasse passe à Alain de Monts, marié le (calendrier julien) avec Clémence Rabot.
1541 : Alain de Monts en rend hommage au roi-dauphin le (julien), en la chambre des comptes de Grenoble. La seigneurie restera la propriété de la famille de Monts jusqu'à la révolution[12].
Pendant les guerres de Religion, les nobles s'enrichissent par le pillage et le peuple s'appauvrit. En réaction, les paysans commencent à s'assembler pour défendre leurs intérêts communs dès la fin de l'année 1577. En 1578, certaines assemblées locales ont lieu à Savasse. Fin 1579, les paysans forment des armées qui expulsent les troupes de soudards de la vallée du Rhône, avant que la répression nobiliaire et royale n'écrase le mouvement dans le sang l'année suivante[13].
Avant 1790, Savasse était une communauté de l'élection, subdélégation et sénéchaussée de Montélimar. Elle formait une paroisse du diocèse de Valence dont l'église était sous le vocable de Notre-Dame et dont les dîmes appartenaient au prieur de Saint-Marcel-de-Sauzet qui présentait à la cure[9].
Leyne
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[14] :
- 1355 : mention des château fort et du péage : fortalitium et pedagium Lenae (Duchesne, Comtes de Valentinois, 33).
- 1391 : mention du château : le chastel de Leyne (choix de docum., 214).
- 1419 : mention du château : castrum Lenae (Duchesne, Comtes de Valentinois, 29).
- 1421 : Laine (Duchesne, Comtes de Valentinois, 6).
- 1445 : mention du péage transféré à Montélimar : pedagia Lenae et Savassiae quae levantur in loco Montilii (Valbonnais, I, 89).
- XVIIe siècle : Lanie (Guy-Allard, Dict., II, 321).
- 1891 : Leyne, hameau et château.
Ancien château des comtes de Valentinois, où se levait, dès 1209, un péage par terre, dit Péage de Leyne et Anses de Savasse[14] :
- Début XIVe siècle : le château est ruiné.
- 1446 : le château est albergé à Jean Pillard qui y établit un moulin.
- La perception du péage est transférée à Montélimar.
- XVIIe siècle : le péage est supprimé.
Politique et administration
Liste des maires
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune fait partie du groupement de communes Montélimar-Agglomération dont la ville centrale est Montélimar.
Finances locales
Finances locales de Savasse de 2000 Ă 2018[18].
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20].
En 2020, la commune comptait 1 536 habitants[Note 4], en augmentation de 9,56 % par rapport Ă 2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Services et Ă©quipements
En son centre, sa colline, à son sommet (398 m), est perché un relais de télécommunications et de télévision.
Enseignement
La commune de Savasse fait partie de l'Académie de Grenoble.
Les élèves débutent leur scolarité dans l'école primaire du village[23].
Sports
- Événements sportifs
Savasse a été ville étape du Tour cycliste féminin international de l'Ardèche 2019.
Économie
Agriculture
En 1992[24] :
La commune de Savasse fait partie de la zone d'appellation de plusieurs produits agricoles, et notamment :
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château fort médiéval détruit à la fin des guerres de Religion.
- Enceinte médiévale avec tours et porte au-dessus du village (abandonné au XIXe siècle et rénové au XXe siècle).
- Église Notre-Dame-la-Blanche de Savasse (XIIe siècle) : dépendance du prieuré clunisien de Saint-Marcel-lès-Sauzet. Le qualificatif de la Blanche était généralement donné à la statue d'une vierge sculptée dans du marbre blanc. Sur la façade, au-dessus du fenestron à la verticale du portail, le bas-relief en réemploi, dit pierre de Clovis, représente un chevalier casqué appuyant ses deux mains sur une épée posée à terre.
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Savasse.
- Château de Serre-de-Parc : château résidence du XVIIIe siècle[25].
- La Porte du soleil est une sculpture contemporaine élevée sur l'aire d'autoroute[26].
Personnalités liées à la commune
- Jean d'Aulan (né en 1900 à Savasse, mort en 1944) : pilote et grand résistant.
- Lucas Studio (né en 1999) : youtubeur qui a grandi dans la commune, ancien membre et sponsor du Racing Club Savasson[27].
- Vanessa Duriès (1972-1993), écrivaine française, morte à Savasse.
HĂ©raldique, logotype et devise
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Savasse possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
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Annexes
Bibliographie
- 1992 : Henri Desaye, L'église Notre-Dame de Savasse, p. 279-285, dans Congrès archéologique de France. 150e session. Moyenne vallée du Rhône. 1992, Société française d'archéologie, Paris, 1995.
- 2004 : Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 192 p., 2004.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative Ă la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Savasse sur le site de l'Institut géographique national (archive) / page archivée depuis 2007.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine, afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- le Leyne sur le site du SANDRE.
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 369 (Savasse).
- M. Rossiaud, Les haleurs du Rhône au XVe siècle, Actes des congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public (7e congrès), Rennes, 1976 : Les transports au Moyen Âge, p. 286.
- Germain Butaud, Villages et villageois du Comtat Venaissin en temps de guerre (milieu XIVe-début XVe siècle), dans Christian Desplat, Les villageois face à la guerre : XIVe-XVIIIe siècle, Actes des XXIIes Journées internationales d'histoire de l'abbaye de Flaran, 8, 9, 10 septembre 2000, Toulouse, Presses universitaires du Mirail, 2002 (ISBN 2-85816-603-X), p. 60.
- A. de Coston, Histoire de Montélimar, t. III.
- Roger Pierre, Un épisode peu connu des guerres de religion : « Les défenseurs de la cause commune » et « La guerre des Paysans » , Bulletin de l'association universitaire d'études drômoises, no 15, 1968, p. 10-13.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 195 (Leyne, hameau).
- Dauphiné Libéré du 9 janvier 2018
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- https://programme-candidats.interieur.gouv.fr/elections-departementales-2021/data-pdf-propagandes/1-26-08-5.pdf
- « Finances locales de Savasse », sur marielaure.monde.free.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Ă©cole primaire du village
- Michel de la Torre, DrĂ´me, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Savasse.
- « Domaine de Serre-de-Parc (également sur commune de Montélimar) à Savasse - PA00117102 - Monumentum », sur monumentum.fr (consulté le )
- « Rhône. Admiré ou critiqué, l’art urbain et autoroutier ne laisse jamais indifférent », sur leprogres.fr (consulté le )
- Joël AUDRAN, « Drôme. Savasse : quand un Youtubeur à succès vient en aide à son ancien club de foot », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).