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Saint-Sauveur-d'Émalleville

Saint-Sauveur-d'Émalleville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Saint-Sauveur-d'Émalleville
Saint-Sauveur-d'Émalleville
La mairie
Blason de Saint-Sauveur-d'Émalleville
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Communauté de communes Campagne de Caux
Maire
Mandat
Anthony Bayou
2020-2026
Code postal 76110
Code commune 76650
Démographie
Gentilé Saint-Sauveurais
Population
municipale
1 226 hab. (2020 en augmentation de 3,2 % par rapport à 2014)
Densité 164 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 36′ 46″ nord, 0° 17′ 59″ est
Altitude Min. 104 m
Max. 137 m
Superficie 7,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Romain-de-Colbosc
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Saint-Sauveur-d'Émalleville
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Saint-Sauveur-d'Émalleville
Liens
Site web http://www.saint-sauveur-emalleville.fr

    Géographie

    Communes limitrophes de Saint-Sauveur-d'Émalleville
    Écrainville
    Vergetot Saint-Sauveur-d'Émalleville Manneville-la-Goupil
    Angerville-l'Orcher
    • Carte de la commune.
      Carte de la commune.
    • Entrée de l'agglomération.
      Entrée de l'agglomération.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 992 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 109,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 70 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Sauveur-d'Émalleville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,6 %), prairies (13,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), zones urbanisées (6,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    La commune actuelle de Saint-Sauveur d'Émalleville a été formée à partir des deux anciennes paroisses de Saint-Sauveur et d'Émalleville.

    Saint-Sauveur : ancienne paroisse et commune connue sous le nom de Saint-Sauveur-la-Campagne : au XIIe siècle, elle est dénommée : « Ecclesia Sancti Salvatoris de la Campaigne »[21].
    Saint-Sauveur est un nom de lieu qui tire son origine de l'attribut de sauveur du monde attaché à Jésus-Christ par les églises chrétiennes.

    Émalleville : de Esmallevilla entre 1177 et 1189, ancienne paroisse et commune réunie à Saint-Sauveur-la-Campagne sous le nom de Saint-Sauveur-d'Émalleville[22].

    Histoire

    Moyen Âge et Renaissance

    Au IXe siècle des auteurs supposent que le village de Saint Sauveur la Campagne n’est autre que celui de « Villa Campagnia in pago Caletensi » nommé dans le récit des miracles de Saint Wandrille. On raconte qu’une tisserande de ce pays, ayant travaillé le jour de la fête Saint-Wandrille qui était alors chômée, se blessa à la main, mais fut guérie miraculeusement après un pèlerinage fait en l’honneur du saint personnage.

    Vers l’an 1200, le chapitre de la cathédrale donne l’église de Saint-Sauveur au prieuré de Graville moyennant une rente annuelle de 10 livres. Cette rente fut payée au chapitre jusqu’à la fin de l’ancien régime, et maintenue au même chiffre malgré la réduction de la valeur des monnaies durant cet espace de six siècles. Dans le pouillé d’Eude Rigaud, Sanctus Salvador de Campagnia figure comme prieuré dépendant de Graville et non comme paroisse.

    En 1305, des assises sont tenues à Caniel pour le patronage de Saint Sauveur la Campaigne, contre Thomas Hay, écuyer, le samedi après la Saint-André.

    Le par contrat passé devant les tabellions de Rouen, Guillaume Hay, chevalier, sieur de Saint-Sauveur, donne pour Dieu et en aumône à Jean Yon 20 livres de rente pour avoir les saints ordres.

    En 1391, est cité à l’Echiquier Guillaume Hay, chevalier seigneur de Saint-Sauveur-la-Campagne, en 1392 Jean Hay de Montivilliers et, en 1397, Thomas Hay, écuyer fils dudit Guillaume, capital du chastel de Clères en 1418.

    En 1458, Guillaume Fretel, écuyer, donne ses fiefs d’Epouville et de Blésimare à Marguerite Fretel, née de son union avec Marguerite de Villequier. Cette Marguerite Fretel épousa, avant 1474, BRACHET Mathurin chevalier seigneur de Montagu-le-Blanc.

    Deux actes de 1476 à 1484 mentionnent dans les limites d'Émalleville le « chemin qui maine du moustier de Taignemare aux Mottes d'Esmalleville ». Il s'agit là probablmeent d'une allusion à un site castral; la terre d'Émalleville était un fief de haubert. Ses seigneurs, qui figuraient parmi les principaux vassaux des Mallet de Graville, sont connus dès le règne de Guillaume le Conquérant. L'un d'eux paraît dans le Domesday Book. Robert d'Émalleville est quant à lui mentionné deux fois comme témoin au sein des donations pieuses datant du milieu du XIIe siècle, l'une émanant du comte Gautier III Giffard, dont il relève pour la terre allant de Fontaine à Bolbec. Deux autres actes du XVe siècle renseignent sur le fait que « Les Mottes » devaient être situées à l'écart du village[23].

    Le fut célébré le mariage de Hector Pestel, seigneur de Saint-Sauveur-la-Campagne et de Marie Hersuinte. Ledit Pestel fut fait chevalier de l’ordre du roi en 1488. Il épousa en secondes noces Marie de Fretel dont il n’eut pas d’enfant. Pierre Pestel épousa le l’héritière de Blésimare.

    En 1478, un sorcier de la paroisse est consulté par la femme de Jean Quesnaye, de Sorquainville, village distant de cinq lieues. Elle désirait savoir qui lui avait volé une pièce de toile en métier. Informé du fait, l’archevêque la menaça de prison et d’excommunication en cas de récidive.

    En 1470, Nicolas Piedecoq avait été taxé à 23 livres en la sergenterie de Montivilliers, et son fils Jean porté en 1490 sur les rôles des enfants d’anoblis. Houppeville relevait de la seigneurie de Mirville.

    En 1503 Michel Piedecoq tient à Saint-Sauveur le huitième de fief de Houppeville.

    Un armorial du XVIe siècle porte la mention suivante : Â« Le sire de Sainct Sauveur la Campagne, son surnom et cri : Hay, est de bon lignage et bonne ancesserie. Feust sa mère de Sainte Beufve, son ayeule de Bloseeville, sa bisayeule de Barville et sa suselle fille et héritière de Chastel sur Saille ; et sont ses armes : d’argent à trois angennes de sable ».

    Révolution

    Le soir du 28 mai 1797, Jean Blondel, Jean Richer et Pierre Malétras, habitants de la commune de Saint-Sauveur, enlevèrent le bonnet révolutionnaire en haut de la flèche de l'église pour y mettre une croix chrétienne, provoquant une procédure judiciaire qui mobilisa le tribunal de justice de paix d'Angerville-l'Orcher et le bureau de police intérieure du département de Seine-Inférieure. Au village se tenait également un culte chrétien non autorisé, d'après ces documents de la justice cantonale[24]. Ces actes de dissidence expliquent aussi vraisemblablement les nombreux graffitis représentant une croix sur une base triangulaire visibles sur les murs extérieurs de l'église Saint-Sauveur.

    XIXe siècle

    La commune est formée par la fusion de Saint-Sauveur-la-Campagne et d'Émalleville, par ordonnance royale du [22].

    Graffiti de l'église Saint-Sauveur représentant une croix sur une base triangulaire, référence probable au retrait du bonnet révolutionnaire au profit du signe chrétien le 28 mai 1797.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1965 2005 Roger Décultot[25] Agriculteur
    2005 2008 Catherine Briard
    mars 2008 juillet 2009[26] Gérard Leriche Démissionnaire
    juillet 2009 mai 2020 Hervé Décultot Artisan, fils de Roger Décultot
    juillet 2020[27] En cours
    (au 10 août 2020)
    Anthony Bayou

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

    En 2020, la commune comptait 1 226 habitants[Note 8], en augmentation de 3,2 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    304300298353531583572543564
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    548542577553542517480471414
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    438434425402412388397428401
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    3643214287828629681 1411 1901 191
    2018 2020 - - - - - - -
    1 2261 226-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'école Maurice Leblanc.

    Vie associative et sportive

    Le complexe sportif

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Sauveur était l’ancienne chapelle d’un prieuré et fut bâtie entre le XIIIe et le XVIIIe siècle. La partie du bâtiment servant aujourd’hui de sacristie a probablement été le logement du prieur curé. Elle comporte un retable entourant un tableau représentant la Transfiguration et datant du XVIIe siècle. On peut y déceler le passage des révolutionnaires qui ont peint un angelot en bleu-blanc-rouge. Des vitraux plus récemment conçus représentent les sept péchés capitaux[32].
    • Le monument aux morts.
    • La croix du cimetière.
    • Le carré militaire, morts pour la France pendant la guerre d'Algérie.
    • L'église Sainte-Anne à Émalleville, bâtie entre le XIIe et le XVIIIe siècles - Dans l'église, on peut voir le blason des Martel qui furent seigneurs du lieu. Ce blason était constitué de trois marteaux, que l'on retrouve dans le blason de la commune.
    • Le château d'Émalleville.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Église Saint-Sauveur.
      Église Saint-Sauveur.
    • Croix de cimetière.
      Croix de cimetière.
    • Carré militaire, guerre d'Algérie.
      Carré militaire, guerre d'Algérie.

    Personnalités liées à la commune

    Louis-François Rozé (1737-1792), curé d'Émalleville-en-Caux, député du clergé au titre du bailliage de Caux à Caudebec.

    Héraldique

    Armes de Saint-Sauveur-d'Émalleville

    Les armes de la commune de Saint-Sauveur-d'Émalleville se blasonnent ainsi :
    D’or aux trois marteaux contournés de gueules, au chef dentelé d’azur chargé d’un lion léopardé d’argent [33].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Gérard Leterc, Saint-Sauveur-d'Émalleville, Luneray/Saint-Sauveur-d'Émalleville, Éd. Bertout / Mairie de Saint-Sauveur-d'Émalleville, , 235 p. (ISBN 2-86743-562-5)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Sauveur-d'Émalleville et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Sauveur-d'Émalleville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Archives de Seine-Maritime 23 H — Cart., f. 4.
    22. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 934.
    23. Jacques Le Maho, « L'apparition des seigneuries châtelaines dans le Grand-Caux à l'époque ducale », Archéologie médiévale, vol. 6, no 1,‎ , p. 5–148 (DOI 10.3406/arcme.1976.1307, lire en ligne, consulté le )
    24. Nicolas Preud'homme, « Documents 104, 105 et 106 du 12, 15 et 20 Prairial an V », Actes de la justice de paix du canton d'Angerville l'Orcher - 1791-1802,‎ , p. 164-166 (lire en ligne, consulté le )
    25. « Saint-Sauveur-d'Émalleville. Le maire honoraire nous a quittés. Roger Décultot n'est plus », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « En 1959, il est nommé adjoint, puis maire de 1965 à 2005 et conseiller municipal jusqu'en 2008 ».
    26. « Le maire Gérard Leriche démissionne : Saint-Dauveur-d'Emalleville.Le nouveau maire sera élu vendredi », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    27. « Saint-Sauveur-d'Émalleville. Hervé Décultot remet son écharpe de maire à Anthony Bayou », Le Courrier cauchois,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. « Les églises classées et inscrites - Campagne de Caux » (consulté le )
    33. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
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