Accueil🇫🇷Chercher

Saint-Georges-Montcocq

Saint-Georges-Montcocq est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 964 habitants[Note 1].

Saint-Georges-Montcocq
Saint-Georges-Montcocq
L'église Saint-Georges.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Intercommunalité Saint-Lô Agglo
Maire
Mandat
Jean-Yves Laurence
2020-2026
Code postal 50000
Code commune 50475
Démographie
Gentilé Montcocquois
Population
municipale
964 hab. (2020 en augmentation de 12,88 % par rapport à 2014)
Densité 108 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 07′ 42″ nord, 1° 05′ 38″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 126 m
Superficie 8,94 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Lô
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Lô
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pont-Hébert
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Georges-Montcocq
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Georges-Montcocq
Géolocalisation sur la carte : Manche
Voir sur la carte topographique de la Manche
Saint-Georges-Montcocq
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Saint-Georges-Montcocq

    Géographie

    La commune est en Pays saint-lois, limitrophe de Saint-Lô. Inclus dans l'agglomération saint-loise, son bourg est à 1,9 km au nord du centre-ville et à km au sud-est de Pont-Hébert[1].

    Saint-Georges-Montcocq est dans le bassin de la Vire qui délimite le territoire au sud-ouest. Plusieurs courts affluents parcourent le territoire communal dont l'Écalhan et le ruisseau Saint-Martin au nord.

    Le point culminant (126 m) se situe en limite est, près du lieu-dit le Bois André. Le point le plus bas (m) correspond à la sortie de la Vire du territoire, à l'ouest. La commune est bocagère.

    La commune se compose d'un gros bourg[2] (Saint-Georges-Montcocq), une partie du bourg historique se situe maintenant sur Saint-Lô. Plusieurs autres écarts existent : la Croix Pain, le Chêne, le Bois André, la Bonne Femme, le Clos Binet, la Loisière, les Roseries, la Carpenterie, les Anges, la Vesquerie, la Doyennerie, le Gris Caillou, la Houssaye, la Templerie, la Meurie, l'Abbaye, Launay, Ferme de Rampan, la Capelle, la Réaumerie, les Blondeaux, le Mézeray, le Maupas, la Nourie, la Serverie, Cresme, Montcocq, la Petellerie, Montchoix.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 961 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pont-Hébert », sur la commune de Pont-Hébert, mise en service en 1996[11] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 972,3 mm pour la période 1981-2010[13].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, dans le département du Calvados, mise en service en 1945 et à 48 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[15] à 11,2 °C pour 1981-2010[16], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Georges-Montcocq est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [18] - [19] - [20].

    Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Lô, une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes[21] et 24 601 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[22] - [23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Lô dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 63 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[24] - [25].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (59,9 %), terres arables (30,9 %), zones urbanisées (7,6 %), forêts (1,7 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].

    Toponymie

    La forme Sanctus Georgius de Monte Coq est attestée en 1056[28].

    La paroisse était dédiée à Georges de Lydda.

    René Lepelley considère Montcocq comme issu du même terme répété dans deux langues différentes, attribuant le second élément cocq à une forme conjecturale prélatine kuk- qui devait être associé à une période lointaine à une hauteur, rejoignant ainsi le premier élément mont- issu du latin mons, « mont »[29].

    Le gentilé est Montcocquois.

    Micro-toponymie

    Le hameau Montcocq est attesté en 1332 : Mons Galli[28].

    Les hameaux Launay et Houssaye sont des toponymes fréquents dès le XIIe – XIVe siècle, ils indiquaient des lieux plantés respectivement d'aulnes et de houx.

    Le hameau Mézeray, toponyme fréquent provenant du latin maceria « masures » [30].

    Les deux tiers des lieux-dits de la commune sont en Y-ère/-erie. Ce sont des habitats datant du XIe – XIIIe siècle (fort accroissement démographique normand sur cette période). Ils désignaient la ferme de la famille Y, fondée sur les nouvelles terres obtenues par les grands défrichements. Les essarts prennent le nom des défricheurs, suivi de la désinence -erie ou -ière [31].

    Les autres lieux-dits en (Hôtel / Le(s) / Clos...)-Y s'avèrent plus récents, ils indiquaient un bien de la famille Y.

    Histoire

    Sous l'Ancien Régime, la paroisse faisait partie de la généralité de Caen, de l'élection de Saint-Lô en 1612/1636 puis de Carentan en 1677, et de nouveau de Saint-Lô en 1713. Elle faisait partie de la sergenterie de Saint-Lô.

    Lors des guerres de Religion, le capitaine Villiers-Emery, lieutenant du comte de Matignon, occupa Saint-Georges afin de protéger Saint-Lô des Calvinistes. Le combat dans le cimetière fit 280 morts, 200 catholiques et 80 huguenots[32].

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, le , eurent lieu des combats entre les Allemands et le 134e régiment de la 35e division.

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1912 1923 Isidor Delaville
    1923 1944 Henry de Commines de Marsilly Vice-président de l'Association des familles nombreuses, nommé membre de la commission administrative départementale en 1941[33], nommé conseiller départemental en 1943
    janvier 1945 1959 Fernand Le Moine SE
    1959 janvier 1982 Roland Allix SE Agriculteur
    janvier 1982 juillet 1993 Maurice Salliot SE Chef d'entreprise
    septembre 1993 mars 2001 Pierre Drouet SE Expert immobilier
    1944 1945 Victor Harrivel
    mars 2001 En cours Jean-Yves Laurence[34] SE Cadre à la MSA
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[34].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

    En 2020, la commune comptait 964 habitants[Note 9], en augmentation de 12,88 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    660662697720733693658645729
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    684649661588613613613568550
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    534546522449484536582628640
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    614612683728858896844824915
    2020 - - - - - - - -
    964--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • Écoles maternelle et primaire.

    Économie

    La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[39].

    Lieux et monuments

    • L'église paroissiale Saint-Georges, du XIVe siècle, a la particularité d'être sur le territoire de la commune de Saint-Lô[40]. Une plaque y commémore les combats du .
    • Croix du Mézeray (XVIe siècle).
    • Presbytère (XVIe siècle).
    • Ferme ou cour de Rampan(XIVe siècle), berceau de la famille des Clérel[32]. Une chambre, à l'étage, est surnommée la « Chambre du Diable ». Au XVIIIe siècle, le régisseur de la ferme, Jean-Louis Amey (1737-1793) a rédigé deux livres de raison qui nous éclaire sur la vie quotidienne de cette époque[32].
    • Boisandré (XVIe et XVIIe siècles).
    • Cresme (XVIIe siècle).
    • Montcocq.
    • La Doyennerie (XVIIe siècle).
    • L’église Saint-Georges.
      L’église Saint-Georges.
    • La nef de l’église Saint-Georges.
      La nef de l’église Saint-Georges.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    Activité et manifestations

    Jumelages

    Personnalités liées à la commune

    Articles connexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    2. « Géoportail », sur Geoportail.fr (consulté le ).
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Pont-Hébert - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Saint-Georges-Montcocq et Pont-Hébert », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Pont-Hébert - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Saint-Georges-Montcocq et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Unité urbaine 2020 de Saint-Lô », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    22. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    23. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    27. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    28. Toponymie générale de la France, Volume 1, Par Ernest Nègre.
    29. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 72.
    30. http://www.racines-en-sevignac.fr/le_mezerais.htm
    31. Voir Histoire de la Normandie.
    32. René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 536.
    33. « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
    34. Réélection 2020 : « Municipales à Saint-Georges-Moncocq. Jean-Yves Laurence entame son quatrième mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny
    40. « L'église de Saint-Georges-Montcocq » sur Géoportail..
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.