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Saint-Crespin (Seine-Maritime)

Saint-Crespin est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Saint-Crespin
Saint-Crespin (Seine-Maritime)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité Communauté de communes Terroir de Caux
Maire
Mandat
Sophie Doré
2020-2026
Code postal 76590
Code commune 76570
Démographie
Gentilé Saint-Crespinois
Population
municipale
313 hab. (2020 en augmentation de 7,93 % par rapport à 2014)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 47′ 01″ nord, 1° 06′ 44″ est
Altitude Min. 61 m
Max. 143 m
Superficie 6,35 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Longueville-sur-Scie
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Luneray
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Saint-Crespin
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Saint-Crespin
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Saint-Crespin

    Géographie

    Saint-Crespin est un village agricole situé sur les rives de la Scie dans le pays de Caux, à la jonction des routes D 3, D 203 et D 149, à environ 19 km au sud de Dieppe[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 923 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dieppe », sur la commune de Dieppe, mise en service en 1949[8] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 798,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 44 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 11 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Crespin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Longueville-sur-Scie, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[18] et 3 040 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,9 %), prairies (24,3 %), forêts (19,8 %), cultures permanentes (7,3 %), zones urbanisées (2,6 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 99, alors qu'il était de 99 en 2013 et de 88 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 90,5 % étaient des résidences principales, 5,3 % des résidences secondaires et 4,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Crespin en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,3 %) supérieure à celle du département (3,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 93,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,6 % en 2013), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Saint-Crespin en 2018.
    Typologie Saint-Crespin[I 1] Seine-Maritime[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 90,5 88 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,3 3,9 9,7
    Logements vacants (en %) 4,2 8,1 8,2

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Apud Sanctum Crispinum entre 1155 et 1189[25], sanctum Crespinum en 1233[26], Ecclesia Sancti Crispini au XIIIe siècle[25], Sanctus Crispinus en 1337, Saint Crespin en 1431[25], Saint Crépin en 1757, Saint-Crespin en 1953[25].

    L'hagiotoponyme du village est issu des noms de deux cordonniers romains, Crépin et Crépinien martyrs du IIIe siècle. La paroisse est dédiée à Saint-Crespin martyr à Soissons[26].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Longueville-sur-Scie[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Luneray

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription de la Seine-Maritime.

    Intercommunalité

    Saint-Crespin était membre de la communauté de communes de Varenne et Scie, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2002 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Terroir de Caux dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[28]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1835 Louis Cauchois
    1900 M. Cauchois
    Les données manquantes sont à compléter.
    1977 1983 René Clapisson Agriculteur
    mars 1983 janvier 2010[29] Raynald Clapisson agriculteur
    Démissionnaire
    2010[30] 2014 Michèle Guisolan
    2014 mai 2020 Jean-Pierre Langlois
    mai 2020[31] En cours
    (au 10 août 2020)
    Sophie Doré

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2020, la commune comptait 313 habitants[Note 8], en augmentation de 7,93 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    218235239216215229221214216
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    207194173190206193189185179
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    180158179177180173152157155
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    151174177263283284285282281
    2014 2019 2020 - - - - - -
    290308313------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 45,2 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 117 hommes pour 185 femmes, soit un taux de 61,26 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,9 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    2,5
    90 ou +
    15,7
    10,1
    75-89 ans
    23,1
    20,0
    60-74 ans
    14,3
    19,1
    45-59 ans
    11,6
    17,5
    30-44 ans
    12,6
    15,8
    15-29 ans
    6,8
    15,0
    0-14 ans
    15,8
    Pyramide des âges du département de la Seine-Maritime en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    6,4
    75-89 ans
    9,4
    16,3
    60-74 ans
    17,3
    19,7
    45-59 ans
    19,3
    18,5
    30-44 ans
    17,7
    19,1
    15-29 ans
    17,5
    19,4
    0-14 ans
    17

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Crépin.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Saint-Crespin », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. http://www.insee.fr/
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Dieppe - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Crespin et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Dieppe - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Crespin et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Longueville-sur-Scie », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, page 890.
    26. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 135.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. « Les maires de Saint-Crespin », sur http://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
    29. « Le maire démissionne : SAINT-CRESPIN.La municipalité a réuni les habitants de la commune pour les vœux », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le maire leur a annoncé officiellement qu'il présentait sa démission pour des raisons de santé, une décision « mûrement réfléchie ». Raynald Clapisson était premier magistrat de la commune depuis 1983 ».
    30. « Michèle Guisolan élue maire : SAINT-CRESPIN.Le conseil municipal remanié après la démission de l'ancien édile », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C'est la première adjointe, Michèle Guisolan, qui a été élue premier magistrat de la commune par sept voix contre quatre ».
    31. Augustin Bouquet des Chaux, « Municipales 2020 : à Saint-Crespin près de Dieppe, Sophie Doré présente sa liste : Sophie Doré, ancienne première adjointe du maire de Saint-Crespin (Seine-Maritime), a choisi de se lancer dans la course aux municipales. Elle présente sa liste », Les Informations dieppoises,‎ (lire en ligne, consulté le ) « ean-Pierre Langlois, le maire de Saint-Crespin près de Dieppe (Seine-Maritime) ayant annoncé son retrait de la vie municipale, sa première adjointe Sophie Doré a décidé de présenter sa candidature au poste de premier magistrat. Élue conseillère municipale en 2008, Sophie Doré a effectué deux mandats en qualité de conseillère puis le dernier en qualité de première adjointe ».
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Crespin (76570) », (consulté le ).
    36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Seine-Maritime (76) », (consulté le ).
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