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Saint-Crépin-Ibouvillers

Saint Crépin-Ibouvillers est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Saint-Crépin-Ibouvillers
De haut en bas et de gauche à droite: l'église de Saint-Crépin-Ibouvillers; l'église de Montherlant;
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes des Sablons
Maire
Mandat
Alain Letellier
2020-2026
Code postal 60149 et 60790
Code commune 60570
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Crépiniens
Population
municipale
1 578 hab. (2020)
DensitĂ© 109 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 15â€Č 50″ nord, 2° 04â€Č 24″ est
Altitude Min. 97 m
Max. 168 m
Superficie 14,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Chaumont-en-Vexin
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Crépin-Ibouvillers
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Saint-Crépin-Ibouvillers
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Saint-Crépin-Ibouvillers
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Saint-Crépin-Ibouvillers
Liens
Site web http://www.vivrastcrepin.fr

    Elle est née le avec le statut de commune nouvelle aprÚs la fusion de l'ancienne commune de Saint-Crépin-Ibouvillers et de la commune voisine Montherlant[1] - [2].

    GĂ©ographie

    Localisation

    Les informations relatives à la géographie de cette commune sont la fusion des informations des deux communes fusionnées.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 693 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Jamericourt », sur la commune de JamĂ©ricourt, mise en service en 1990[9] et qui se trouve Ă  15 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 700,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, mise en service en 1944 et Ă  22 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  10,6 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Crépin-Ibouvillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (90,9 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (91,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (90,9 %), forĂȘts (4,7 %), zones urbanisĂ©es (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,3 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le village fut successivement nommé Saint-Crespin, puis Saint-crépin-D'Hibouvillers, Ibouviller, Saint-Crépin-en-Vexin, Hibouvillers, Yboviller, Eybiviller pour finir avec le nom de Saint Crépin-Ibouvillers.

    Ibou- dans Ibouvillers correspond Ă  l'anthroponyme Ingbold composĂ© de Ing- qui dĂ©signe le nom de Ingvi, un dieu germanique et qui est en mĂȘme temps une alternance de l'adjectif jung "jeune" car Ingvi est le dieu du printemps, et suivi de -Bold qui en germanique lui aussi est d'une part un adjectif signifiant "hardi" et Ă©galement le nom d'un dieu majeur.

    Histoire

    L'histoire de Saint-CrĂ©pin-Ibouvillers remonte aux Gaulois. Elle est bordĂ©e Ă  l'est de l'ancienne voie romaine dite "de la Reine Blanche". La commune dĂ©pendait jadis de la seigneurie de Marivaux. Au Moyen Âge, une partie de la commune formait la seigneurie de Marivault qui par mariage passa Ă  la maison de l'Isle-Adam au XVe siĂšcle. L'autre partie formait la seigneurie d'Haillancourt, cette derniĂšre fut vendue au chapitre de la cathĂ©drale de Beauvais au XIVe siĂšcle.

    Le , l'ancienne commune de Saint-Crépin-Ibouvillers a fusionné avec sa voisine Montherlant pour donner naissance à la commune nouvelle nommée également Saint-Crépin-Ibouvillers. Les deux communes fusionnées sont à cette occasion devenues des communes déléguées. Initialement, le projet de rapprochement concernait également Pouilly[23].

    Politique et administration

    La mairie.

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune nouvelle se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisiÚme circonscription de l'Oise.

    Elle fait partie du canton de Chaumont-en-Vexin.

    Intercommunalité

    La commune nouvelle est membre de la communauté de communes des Sablons, comme l'étaient les anciennes communes qui constituent Saint-Crépin-Ibouvillers.

    Liste des communes déléguées

    Liste des communes déléguées
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (derniÚre pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Saint-Crépin-Ibouvillers
    (siĂšge)
    60P01CC des Sablons14,431 483 (2014)103


    Montherlant60417CC des Sablons5,18155 (2014)30

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    janvier 2015 En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Alain Letellier LR Médecin retraité
    Maire de l'ancienne commune de Saint-CrĂ©pin-Ibouvillers (1989 → 2015)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de MĂ©ru (1982 → 2015)
    Conseiller dĂ©partemental de Chaumont-en-Vexin (2015 → )
    PrĂ©sident de la communautĂ© de communes des Sablons (1992 → 2020)
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[24]

    Population et société

    DĂ©mographie

    Évolution dĂ©mographique du territoire de la commune nouvelle
    tel qu'existant au
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    6707146988361 1521 2851 3951 526
    Nombre retenu Ă  partir de 1968 : population sans doubles comptes.
    Les données mentionnées ci-dessus sont établies à périmÚtre géographique constant, dans la géographie en vigueur au .
    (Source : INSEE RGP 2016[25])

    Enseignement

    La commune nouvelle dispose d'une Ă©cole publique (de la maternelle au CM2). Un systĂšme de ramassage scolaire est mis en place pour les Ă©lĂšves vivant Ă  Montherlant.

    En , Sylvie d'Esclaibes ouvre d'une école Montessori Athéna dans les locaux de l'ancienne mairie-école de Montherlant. Cette école privée hors contrat complÚte l'offre scolaire de ce mouvement pédagogique, déjà implanté dans l'Oise à Margny-lÚs-CompiÚgne, Chantilly, et Senlis[26] - [27].

    Économie

    L'entreprise « EJ Â», spĂ©cialiste des plaques en fonte d’infrastructure, dispose d'un Ă©tablissement dans la commune qui emploie 700 salariĂ©s en 2019, prĂ©voit d'accroĂźtre sa production et d'embaucher une centaine de personnes supplĂ©mentaires[28].

    Un centre commercial a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ© en 2017 dans une ancienne ferme rachetĂ©e par la commune, le « CarrĂ© Ricour Â», comprenant une boulangerie et la boucherie du village, ainsi qu'un salon de coiffure-esthĂ©tique, une Ă©picerie fine de produits locaux et une supĂ©rette Proxy[29].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Crépin-Ibouvillers Blason
    D'argent au chevron de gueules accompagné de trois merlettes contournées de sable[30].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Bernhard Duhamel, Paris, Éditions du Valhermeil, 1988, 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 236-237

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Références

    1. ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral page 17/42.
    2. ArrĂȘtĂ© du 30 septembre 2014 portant crĂ©ation de la commune nouvelle de Saint-CrĂ©pin-Ibouvillers.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    9. « Station Météo-France Jamericourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Crépin-Ibouvillers et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Jamericourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Crépin-Ibouvillers et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    23. « Saint-CrĂ©pin-Ibouvillers et Montherlant se disent oui : En janvier 2015, ces deux communes du canton de MĂ©ru fusionneront sous le nouveau statut dit de la commune nouvelle. Une premiĂšre en Picardie. », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    24. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    25. INSEE, Recensement général de la population 2016, Document mentionné en liens externes.
    26. Farida Chadri, « Montherlant, 150 habitants, relĂšve le dĂ©fi d’accueillir une Ă©cole Montessori », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    27. Sylvie d’Esclaibes, « Nouvelle Ă©cole Montessori AthĂ©na Ă  Montherlant (60) », LycĂ©e International Montessori – Ecole AthĂ©na – Le blog de Sylvie d'Esclaibes., (consultĂ© le ).
    28. Gael Rivallain, « Oise: «EJ» Ă  fond pour recruter 100 personnes supplĂ©mentaires : Le spĂ©cialiste des plaques en fonte d’infrastructure, installĂ© Ă  Saint-CrĂ©pin-Ibouvillers, veut lancer en juin prochain une Ă©quipe additionnelle de week-end, pour accompagner la croissance de son activitĂ© », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    29. Patrick Caffin, « Saint-CrĂ©pin-Ibouvillers : un centre commercial remplace l’ancienne ferme », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    30. « Blason
 », sur armorialdefrance.fr.
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