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Sacey

Sacey est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Manche en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 516 habitants[Note 1].

Sacey
Sacey
L'Ă©glise Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Manche
Arrondissement Avranches
Intercommunalité Communauté d'agglomération Mont-Saint-Michel-Normandie
Maire
Mandat
Didier Noël
2020-2026
Code postal 50170
Code commune 50443
DĂ©mographie
Gentilé Sacéen
Population
municipale
516 hab. (2020 en diminution de 3,37 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 34 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 30â€Č 34″ nord, 1° 27â€Č 00″ ouest
Altitude Min. 6 m
Max. 74 m
Superficie 15,27 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pontorson
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Pontorson
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Sacey
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Sacey
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Sacey

    GĂ©ographie

    La commune est Ă  l'extrĂȘme sud-ouest de la Normandie et de l'Avranchin, limitrophe du pays de Dol et du Coglais (Bretagne). Son bourg est Ă  km au nord d'Antrain, Ă  km au sud-est de Pontorson et Ă  11 km Ă  l'ouest de Saint-James[1].

    Le point culminant (74 m) se situe au sud-est, prĂšs du lieu-dit le MĂ©e. Le point le plus bas (m) correspond Ă  la sortie du Couesnon du territoire, au nord-ouest, Ă  la confluence du Loison.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 770 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Pontorson », sur la commune de Pontorson, mise en service en 1997[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 838,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11].

    Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et Ă  38 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  11,9 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Sacey est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pontorson, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe cinq communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (98 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (98,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (73,6 %), prairies (14,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (10,3 %), zones urbanisĂ©es (2 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Sacé au XIIe siÚcle[23].

    Le toponyme serait issu d'un anthroponyme latin[24] ou roman[25] tel que Sassius.

    Le gentilé est Sacéen.

    Histoire

    Moyen Âge

    Au Xe siÚcle, la paroisse était entre les mains d'un seigneur breton, Bodiac de Sacey[26]. La Manche était alors contrÎlé par les Bretons.

    La seigneurie de Sacey passa Ă  la famille de Malesmains[27]. En 1271, Gilbert de Malesmains, devait le service de deux chevaliers pour quarante jours[28].

    Seconde Guerre mondiale

    Le dimanche 28 fĂ©vrier 1943, un Stirling I R9349 WP-'U' de la RAF se dirigeant sur Saint-Nazaire, touchĂ© Ă  22 heures par la dĂ©fense antiaĂ©rienne, s'est Ă©crasĂ© prĂšs de Montanel, ou plus prĂ©cisĂ©ment, selon les sources britanniques, dans un champ du Clos-sous-Bois, situĂ© Ă  Carnet, Ă  un kilomĂštre de Saint-James. Une autre source, française, mentionne le champ de M. Louis Bossard, sis Ă  Sacey[29]. Des sept occupants, deux sergents britanniques de la RAF, J. McGhie et K H. Jackson ont rĂ©ussi Ă  sauter en parachute et ont Ă©tĂ© faits prisonniers. Leurs cinq compagnons, quatre Anglais et un NĂ©o-ZĂ©landais, n'ont pas survĂ©cu. Le commandant allemand Arthur Von Pasquali Farawall, chef du district (Kreiskommandant) d'Avranches, a donnĂ© l'ordre de leur rendre les honneurs militaires et de les faire enterrer au cimetiĂšre d'Avranches] le oĂč leurs tombes ont Ă©tĂ© fleuries, malgrĂ© l'interdiction, pendant toute l'Occupation.

    La Commonwealth War Grave Commision[30] fournit les renseignements suivants sur ces aviateurs :

    • sergeant Robert George Frederick Byant, matricule 1334545, navigateur-bombardier ;
    • sergeant Leonard Joseph Humphrey, vingt-six ans, matricule 1395877, mitrailleur ;
    • flying Officer Edward (Teddy) Lear, vingt-deux ans, matricule 126018, navigateur ;
    • sergeant Ronald Vivian Steven Rooke, vingt-deux ans, matricule 1376950, opĂ©rateur-radio/mitrailleur ;
    • pilot officer Vernon Enright Spain, vingt-neuf ans, matricule 413499, pilote, Royal New Zealand Air Force ;

    Les aviateurs appartenaient au 3e groupe du 90e escadron des volontaires de réserve de la RAFAir Force.

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1995[31] En cours Alain Cudelou[32] SE Infirmier
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[32].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[34].

    En 2020, la commune comptait 516 habitants[Note 9], en diminution de 3,37 % par rapport Ă  2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Au premier recensement rĂ©publicain, en 1793, Sacey comptait 1 544 habitants, population jamais atteinte depuis.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5441 2541 3011 5271 3641 3561 3341 3501 369
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3391 3591 2601 2251 2271 1911 1861 1001 041
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0041 0511 053864872855852818808
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    784648601506500516515509545
    2015 2020 - - - - - - -
    524516-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • ChĂąteau de Sacey. Sa chapelle Notre-Dame-de-PitiĂ© et ses douves ont Ă©tĂ© inscrites en 1992 aux Monuments historiques[37]. En 1549, Charles de Couvren, est dit sieur et chĂątelain de Sacey[38]. Jean-Baptiste de GuĂ©briant (1602-1643), baron de Sacey, marĂ©chal de France et son Ă©pouse, RenĂ©e de GuĂ©briant († 1659), diplomate, utilisĂšrent le chĂąteau de Sacey comme base de prĂ©paration de leurs missions[39].
    • Ruines du chĂąteau de Charuel Ă©rigĂ© par au XIe siĂšcle par Robert le Magnifique face au chĂąteau breton d'Antrain[39].
    • Église Saint-Martin du XIe siĂšcle, trĂšs remaniĂ©e, classĂ©e ainsi que son cimetiĂšre au titre des monuments historiques depuis le [40].
    • Ancien prieurĂ© bĂ©nĂ©dictin, l'Ă©glise est aujourd'hui celle de la paroisse[41].
    • L'Ă©glise paroissiale Saint-Martin.
      L'Ă©glise paroissiale Saint-Martin.
    • La chapelle Notre-Dame-de-PitiĂ©.
      La chapelle Notre-Dame-de-Pitié.

    Activité et manifestations

    Sports

    L'Association sportive Sacey-Tanis fait Ă©voluer une Ă©quipe de football en division de district[42].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distances routiĂšres les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Pontorson - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Sacey et Pontorson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Pontorson - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Sacey et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station mĂ©tĂ©orologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la pĂ©riode 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    14. « Station mĂ©tĂ©orologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la pĂ©riode 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    15. « Station mĂ©tĂ©orologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la pĂ©riode 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    23. Ernest NÚgre - 1990 - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 508.
    24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    25. RenĂ© Lepelley, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de communes de Normandie, CondĂ©-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 214.
    26. AndrĂ© Davy, Les barons du Cotentin, CondĂ©-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « InĂ©dits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 76.
    27. Originaire du comté de Mortain.
    28. Rolle de l'Ost de Foix.
    29. Toutes ces communes se situent Ă  moins de 10 km les unes de autres. Il est donc trĂšs difficile de dĂ©limiter avec exactitude Ă  laquelle appartient l'espace aĂ©rien parcouru par un bombardier Ă  une heure prĂ©cise.
    30. (en) CWGC, « Avranches Communal Cemetery | Cemetery Details », sur CWGC (consulté le )
    31. « Municipales à Sacey. Un quatriÚme mandat pour Alain Cudelou », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    32. Réélection 2014 : « Sacey (50170) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. « Ancien chùteau de Sacey », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    38. Georges Bernage, « Le manoir du Dick », Vikland, la revue du Cotentin, no 1,‎ avril-mai-juin 2012, p. 30 (ISSN 0224-7992).
    39. RenĂ© Gautier et al. (prĂ©f. Jean-François Le Grand, postface DaniĂšle PolvĂ©-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « InĂ©dits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 497.
    40. « Église et le cimetiĂšre qui l'entoure », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
    41. Fondé en 1090 par Robert de Bodiac, moine de l'abbaye de Marmoutier, pour à l'origine trois religieux.
    42. « A.S. Sacey Tanis », sur Site officiel de la Ligue de Normandie (consulté le ).
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