Rouvres-en-Xaintois
Rouvres-en-Xaintois est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.
Rouvres-en-Xaintois | |
L'église Saint-Élophe. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Vosges |
Arrondissement | Épinal |
Intercommunalité | Communauté de communes de Mirecourt Dompaire |
Maire Mandat |
Marie-Brigitte Frament 2020-2026 |
Code postal | 88500 |
Code commune | 88400 |
Démographie | |
Gentilé | Roburiens, Roburiennes |
Population municipale |
268 hab. (2020 ) |
Densité | 24 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 18′ 37″ nord, 6° 01′ 57″ est |
Altitude | Min. 302 m Max. 421 m |
Superficie | 11,19 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Mirecourt (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Mirecourt |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Ses habitants sont appelés les Roburiens.
Géographie
Comme son nom l'indique pour le distinguer de Rouvres-la-Chétive, le village fait partie de la région du Xaintois (peut-être dérivé du nom de la région voisine : Saintois, voir "Toponymie"), à mi-chemin entre Mirecourt et Châtenois. C'est un village en creux, avec une côte au nord orienté sud. Il y a une petite bosse en allant vers Dombasle-en-Xaintois: le lieu s'appelle le bien-nommé "Quatre-vents". La côte au nord, entre Rouvres et Baudricourt, orientée sensiblement est-ouest avec un saillant vers le sud à mi-chemin, s'élève avec le Cochon à son pied. Son versant est orienté sud et était couvert de vignes avant 1900 (le lieu-dit est : les Grandes Vignes). Le haut de la côte est à 352 m pour un village qui est à 313 m.
Communes limitrophes
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant du Rhin et le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meusele bassin versant de la Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Cochon, le ruisseau du Groseillier et le ruisseau du Puits de Haie[1] - [Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe des Grès du Trias Inférieur ». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux[Note 2] de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges[2].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Rouvres-en-Xaintois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [3] - [4] - [5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mirecourt, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[6] - [7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,8 %), forêts (30,3 %), prairies (15,6 %), zones urbanisées (4,4 %), cultures permanentes (2,8 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Hydrographie
- Ruisseau Gebe
- Ruisseau du Puits de Haie
- Ruisseau des Fontaines
- Ruisseau le Canal de l'Etang
- Ruisseau du Groseillier
- Ruisseau le Cochon: le Cochon (autrefois le Rupt de Rouvres) a une longueur de 8 600 m. Il rejoint le Val d'Harol à Domvallier, lequel se jette dans le Madon, rive gauche, à Mirecourt à 265 m d'altitude[10].
- Ruisseau du Pre de la Blanche
Toponymie
Attestée sous la forme Ruver dès 1109[11]. On trouve les noms : Rouvre en Seintois (1261), Rouvre en Saintoix (1463), Roux en Sainctois (1622). On trouve Rouvres en Xaintois tardivement, en 1711[12].
Rouvres a pour origine le latin robur (c'est pourquoi les habitants sont des roburiens) qui signifie vigueur, force, dureté et désigne une variété de chêne (Quercus Robur), de haute élévation, aux branches tortueuses et noueuses. Ces arbres sont abondants dans le bois du Chanot situé au sud-ouest du village qui autrefois formait une vaste et unique forêt avec le bois de Haye jusqu'à Gemmelaincourt (carte de Cassini).
Seules trois communes voisines, Ménil, Dombasle et Rouvres sont "en-Xaintois". La lettre x a eu différentes prononciations dans les Vosges. Dans les noms de communes, Pouxeux (qui s'écrivait Poucheux sur la carte de Cassini), Uxegney, Xaronval, le x se prononçait autrefois ch, [ʃ], selon Albert Dauzat[13]. La prononciation française [ks] a cependant toujours existé pour le nom de la commune de Xertigny. Dans Bouxières-aux-Bois, Jeuxey, Jorxey, Maxey-sur-Meuse, Saulxures-lès-Bulgnéville, Ubexy et Vouxey, le x se prononce encore maintenant ss, [s][14].
Ainsi, le glissement de [s] en [ks] pour Rouvres-en-Xaintois au xviiie siècle pourrait s'apparenter à une influence française dans la plaine des Vosges.
Histoire
Le village comprenait deux seigneuries, distinctes dans la répartition des affouages : la grande avait pour seigneurs les sieurs de Removille et du Châtelet, puis après 1621 les marquis de Removille dont les derniers représentants de la maison de Bassompierre résidaient à Baudricourt ; la petite dépendait de Châtenois et appartenait au duc de Lorraine puis au roi. L’abbé de Chaumousey possédait autrefois d’autre part quelques droits seigneuriaux. Sous l’Ancien Régime, Rouvres-en-Xaintois appartenait au bailliage de Mirecourt.
En 1790, Rouvres-en-Xaintois fut désignée pour chef-lieu du sixième canton du district de Mirecourt. Ce canton a subsisté jusqu’au 19 vendémiaire an X.
Une ordonnance du a réuni à cette commune le bois dit le Pransieux, précédemment enclave de Baudricourt. L’église actuelle a été construite en 1856. La mairie et l’école des garçons ont été construites en 1833 ; l’école des filles en 1836[11].
Le village était vinicole au XIXe siècle. Il y avait beaucoup de vignerons et des marchands de vins. La côte lieu-dit "les Grandes Vignes" était couverte de vignes jusqu'à la fin du XIXe siècle. Mais l'épidémie de phylloxéra atteint les Vosges en 1894. Le département est déclaré officiellement phyloxéré en 1905. Les vignes sont détruites. Elles seront partiellement replantées, notamment en plants Kuhlmann et Oberlin, mais les terrains seront surtout reconvertis en vergers de mirabelliers.
Lieux et monuments
Église
L’église, dédiée à Saint Élophe, était du diocèse de Toul, doyenné de Porsas. La cure était du diocèse de Toul et, antérieurement, à la collation du chapitre de Brixey.
L'ancien édifice était au même endroit que l'actuel mais orienté sensiblement suivant un axe est-ouest, légèrement incliné vers le sud, le chœur étant vers l'est[15]. Le cimetière était de chaque côté de l'église.
L'église actuelle est orientée sud-ouest. L'édifice a trois nefs et cinq travées. L'abside offre cinq grandes fenêtres. Les vitraux sont en grisaille de l'atelier Pierre Napoléon Rives, peintre-verrier à Nancy. Elle a coûté trente-deux mille francs, ce qui semble raisonnable pour la qualité et l'époque, selon l'abbé Chapia qui en fait la description dans L'ami de la religion et du Roi[16]. L'église a été consacrée le par l'évêque de Saint-Dié (Vosges)[16]. Toutefois, compte-tenu des fonds disponibles, l'église est sans clocher ! Il ne sera construit que 30 ans plus tard. Les cloches sont entreposées dans un hangar à la toiture incertaine (il s'agit donc des cloches de l'ancienne église). Sur un devis de 34 650 francs, la commune demande une subvention de 10 000 francs au Conseil Général des Vosges. La séance du , sous la présidence de Jules Ferry lui-même, est houleuse, le devis semblant trop élevé et la tour trop haute : 41 m. Une somme de 5 000 francs seulement sera accordée[17].
Lors de la réalisation du réseau communal d'eau potable, vers 1957, les tranchées creusées pour poser les tuyaux le long de la rue allant de la place de l'Église à la rue du Haut-de-l'Âtre (sur la photo de l'église : à l'endroit de la bordure de trottoir), ont révélé un grand nombre d'ossements (fémur, crânes…), témoins de l'ancien cimetière[18].
Vers la même époque, l'église a été rénovée : peinture intérieure; le coq, endommagé à la guerre 39-40, a été remplacé; des vitraux de l'église ont été remplacés. Les chutes de verres colorés ont été utilisées par les enfants qui les broyaient et en faisait des décorations collées avec de la colle de farine sur du carton, du bois…[18]. D'importants travaux d'entretien sont à nouveau réalisés en 1991-1992.
Le clocher de l'église abrite cinq cloches :
- Cloche 1 : Se nomme Thérèse, elle chante le do3, pèse 1811 kg et mesure 1450 mm de diamètre. C'est la plus grosse cloche et la plus grave : elle est dite « le bourdon ». Elle date de 1923 car l'ancienne cloche, fondue par Jules Robert en 1887 à Nancy, avait été fêlée à l'armistice de 1918 car les habitants l'avaient trop fait sonner ! Elle a été réalisée par la fonderie de cloches Farnier (sous la direction de Georges Farnier) à Robécourt (Vosges)[19], et baptisée le mardi en présence de Mgr Foucault, évêque de Saint-Dié (le Télégramme des Vosges du vendredi 20 juillet 1923, page 2). La marraine est Andrée Eury (plus tard, épouse Didierlaurent).
- Cloche 2 : Se nomme Victoire, elle chante le fa3, elle a été fondue en 1887 par Jules Robert à Nancy.
- Cloche 3 : Chante le sol3, elle a été fondue par Jules Robert en 1887 à Nancy.
- Cloche 4 : Chante le la3, elle a été fondue par Jules Robert en 1887 à Nancy.
- Cloche 5 : Se nomme Laetitia, elle chante le do4, elle a été fondue par Jules Robert en 1887 à Nancy.
Le plénum à cinq cloches peut-être écouté ici[20].
Croix de mission
Au sommet de la côte "les Grandes Vignes" se trouve une imposante croix de mission en béton, de 10 m de hauteur, tenue par des haubans, datant de la mission catholique de 1933. Elle a été restaurée en 2018.
Il y a aussi la présence de deux vieilles croix identiques anciennes (dont la date est inconnue), une avant la sortie du village en direction d'Offroicourt, et l'autre proche de la sortie sur la route départementale en direction de Dombasle-en-Xaintois et Ménil-en-Xaintois.
Monument aux morts
Le monument aux morts de la commune est placé dans le cimetière de la commune. La structure est un pilier commémoratif avec des décorations végétales avec des guirlandes, des palmes, des palmes avec ruban, des couronnes de lauriers mais aussi des décorations religieuse comme une croix latine en son sommet. Il est aussi décoré en son contour des bornes et des chaînes.
Politique et administration
Avec Aouze, Soulosse-sous-Saint-Élophe et Grand, Rouvres est l'une des quatre communes vosgiennes « candidates » (sans consultation populaire) à l'implantation d'un site d'enfouissement de déchets nucléaires (type FAVL).
- Les maires élus entre 1746 et 1900 ont été trouvés grâce aux registres d'état civil et registres paroissiaux de la commune de Rouvres en Xaintois.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].
En 2020, la commune comptait 268 habitants[Note 5], en diminution de 5,96 % par rapport à 2014 (Vosges : −2,99 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Société
Vote lors des élections
Lors du premier tour de l’élection présidentielle de 2012, le dimanche , le taux d’abstention à Rouvres-en-Xaintois était de 16,23 % (265 inscrits, 222 votants pour 219 exprimés)[27], ce qui est inférieur à l'abstention nationale (20,52 %) mais supérieur à celle de la commune lors du premier tour de la dernière élection présidentielle (11,79 % en 2007)[27].
Lors de ce scrutin, les Roburiens se sont exprimés comme suit :
Marine Le Pen | François Hollande | Nicolas Sarkozy | Jean-Luc Mélenchon | François Bayrou | Nicolas Dupont-Aignan | Philippe Poutou | Jacques Cheminade | Eva Joly | Nathalie Arthaud |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
25,11 % | 24,20 % | 22,37 % | 11,42 % | 10,96 % | 1,83 % | 1,37 % | 1,37 % | 0,91 % | 0,46 % |
Ce scrutin montre une percée du Front national qui arrive en tête, ainsi que de l'extrême gauche (surtout à travers le Front de gauche) dans la commune, au détriment de Nicolas Sarkozy qui recule nettement.
Lors du deuxième tour de l’élection présidentielle de 2012, le dimanche , le taux d’abstention à Rouvres en Xaintois était de 13,58 % (265 inscrits, 229 votants pour 208 exprimés)[28], ce qui est inférieur à l'abstention nationale (19,66 %) mais supérieur à celle des seconds tours des deux dernières élections présidentielles (respectivement de 8,37 % en 2007 et 12,92 % en 2002)[28].
Lors de ce scrutin, les Roburiens se sont exprimés comme suit :
François Hollande | Nicolas Sarkozy |
---|---|
53,37 % | 46,63 % |
Ce scrutin montre un très bon report des voix de gauche (mais aussi des électeurs de François Bayrou et Nicolas Dupont-Aignan) en faveur de François Hollande. Le score de Nicolas Sarkozy est en effet inférieur au total additionné des voix UMP et FN du premier tour.
Personnalités liées à la commune
- Saint Basle, ermite installé à la limite de la ferme de Bellevue sur la route d'Offroicourt.
- Laprevotte Nicolas François (1796-?) Né à Rouvres-en-Xaintois en 1796. Adjudant dans l'armée puis Sergent dans la gendarmerie, il est membre de la 2 ème compagnie de gendarmes vétéran lorsqu'il est fait chevalier de la légion d'honneur en 1847.
- 6 prix 1 (2003-), vidéaste nancéien originaire de la commune.
Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- La ligne de partage des eaux entre le le bassin versant du Rhin et le bassin versant de la Meuse est représentée par une ligne verte en tirets-points.
- Une zone de répartition des eaux est une zone comprenant les bassins, sous-bassins, fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères définis dans le décret du 29 avril 1994, où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle des ressources par rapport aux besoins.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Rouvres-en-Xaintois » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
Références
- « Fiche communale de Rouvres-en-Xaintois », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le )
- « SAGE Nappe des Grès du Trias Inférieur », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mirecourt », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Adolphe Joanne, Dictionnaire géographique et administratif de la France et de ses colonies, Paris, 1890-1905.
- Archives Départementales des Vosges E dpt. 407, Archives communales de Rouvres-en-Xaintois (1746-1943)
- Paul Marichal, Dictionnaire topographique du département des Vosges, Paris, , 698 p. (lire en ligne), page 374.
- Albert Dauzat, Les noms de lieux, Paris, Delagrave, , 260 p., page 69, note de bas de page n°1.
- Annales de la Société d'émulation du département des Vosges, Société d'émulation du département des Vosges, (lire en ligne).
- Archives Départementales des Vosges, « Cadastre de Rouvres-en-Xaintois. Section C. Feuille unique. », Note:le nord n'est pas vers le haut de la feuille, (consulté le ).
- Abbé Chappia, « Diocèse de Saint-Dié », L'Ami de la religion et du Roi,‎ , page 33 (lire en ligne).
- « Séance du Conseil Général des Vosges », Le Mémorial des Vosges,‎ , p. 2 (lire en ligne).
- Témoignage personnel
- L'ancienne fonderie de cloches de Robécourt. http://www.clocherobecourt.com/Robecourt/AccueilRobecourt.php
- P.E. Rose, « Plénum des cinq cloches de Rouvres-en-Xaintois », (consulté le )
- « rouvres-en-xaintois. Bernard Charles nous a quittés », sur www.vosgesmatin.fr (consulté le ).
- Bernard Charles est réputé proche de l'extrême-droite car il a été membre du comité de parrainage de l'édition 2011 du défilé de Jeanne d'Arc, comité qui comprend de nombreuses figures de la droite nationale.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Tous les résultats du premier tour par commune et département », sur humanite.fr (consulté le ).
- « Tous les résultats du second tour par commune et département », sur humanite.fr (consulté le ).