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Ricardo Cavallo

Ricardo Cavallo est un artiste peintre français d'origine argentine[1], né le à Buenos Aires (Argentine). Il vit en France depuis 1976, et à Saint-Jean-du-Doigt (Finistère) depuis 2003.

Ricardo Cavallo
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Naissance
Nationalité
Activité

Biographie

Formation

D'ascendance italienne par son père, espagnole par sa mère, Ricardo Cavallo, né en à Buenos Aires, dessine passionnément dès l'âge de trois ans. D'un tempérament ascétique et érémitique dès l'adolescence (son père lui construit une cellule dans le jardin familial où, végétarien, il pratique le yoga, les lectures et méditations spirituelles), il fréquente dès l'âge de quinze ans la Communauté de l'Arche, rencontre Lanza del Vasto, effectue une retraite au monastère de la Trappe d'Azul en Argentine et un périple en auto-stop au Pérou (1971)[2].

Après son baccalauréat obtenu en 1971, Ricardo Cavallo est en 1973 simultanément élève de l'École des beaux-arts et de l'école vétérinaire de Buenos Aires, pour suivre en 1974 les cours particuliers de peinture et de dessin de José Rueda, de taille de pierre de Ramon Castejon. Arrivant en France en 1976, il est élève de l'École nationale supérieure des beaux-arts, dans un premier temps suivant les cours libres de Gustave Singier et se trouvant dans la proximité de ce maître naturellement dirigé vers l'abstraction. Les cours de psychologie de l'art qu'il reçoit de Christian Gaillard, ceux de morphologie donnés par Jean-Pierre Debord, ses fréquentations assidues du musée du Louvre et du Muséum national d'histoire naturelle où il travaille sur le motif, mais aussi sa fascination pour Diego Vélasquez (qui se révèle lors d'un séjour à Madrid avec ses parents en 1977)[2], confortent Ricardo dans sa réelle vocation à la peinture figurative : en 1982, il peint à l'huile en prenant pour modèle ses propres sculptures qu'il façonne dans son atelier[2]. Dora Vallier écrit : « Ricardo Cavallo avait été initié à la peinture abstraite. Puis ce fut la rupture. Premier geste : s'enfermer dans le noir. Ne rien voir, faire le vide. Puis le dévorant désir de tout apprendre, de tout reprendre par le commencement. Trois ans de modelage : des sculptures en terre glaise avec modèle vivant, au fur et à mesure détruites et retravaillées »[3]. Une rencontre importante est en 1983 celle de Karl Flinker, qui l'expose dès 1984 à la Foire internationale d'art contemporain de Paris, et dont le soutien sera plus tard maintenu par son successeur, Pierre Brullé.

Paris

C'est en 1985, explique Ricardo Cavallo[4], qu'il exécute La ville, première grande œuvre peinte constituée de plaques assemblées. Ce support, petit format en tant que fragment du monumental, sera appelé à caractériser son œuvre et trouve son origine dans le vaste panorama à 270° qui lui est offert à peindre depuis les deux chambres de bonnes jouxtées où il habite et a son atelier (situées au 6e étage de l'immeuble faisant face à la place Parmentier de Neuilly-sur-Seine), espace dont l'exiguïté ne permet à l'encontre que de peindre par fragments. « Par la suite, j'ai découvert dans ce procédé de fragmentation beaucoup de possibilités, évoque-t-il, et c'est une méthode que je continue à utiliser. C'est comme si un principe fondamental avait fait irruption, principe que je n'allais pas cesser de poursuivre et d'approfondir ensuite »[4]. « Dans cette toute petite pièce, confirme un ami visiteur, le cinéaste Barbet Schroeder, il avait fait dans un tableau quelque chose d'énorme, il avait eu une vision amplifiée, magique du lieu »[5]. De fait, lorsqu'en 1995 l'une des deux chambres lui est retirée, les thèmes du Bois de Boulogne et du hêtre du Pré Catelan[6], qui succèdent à celui des toits de la Porte Maillot, sont travaillés de même à partir des fragments s'assemblant en grands formats[2].

La Bretagne

L'Ă©cole de peinture de Bleimor, Saint-Jean-du-Doigt

En 2003, Ricardo Cavallo s'installe à Saint-Jean-du-Doigt. Il confie : « […] Je pouvais rayonner sur toute cette côte qui est absolument fabuleuse; à marée basse je descends et je découvre un univers où l'on perd trace de toute personne humaine […] C'est hors du temps, c'est un non-espace; c'est un monde d'une grande complexité. Sur cette portion de côte entre Saint-Jean et Beg An Fri, vous trouvez du gabbro, c'est une pierre qui a 350 millions d'années, c'est plus vieux que le granite […] Cette pierre-ci a un aspect torturé, assez tragique, qui se trouvait en relation avec mon imaginaire […] Elle présente une difficulté comme s'il y avait des runes avec un code à déchiffrer. Pour moi, c'est un miracle que je sois tombé dans cet endroit ; il y a un très beau mot pour définir ce qui s'est passé ici, c'est “l'épiphanie”, c'est-à-dire l'apparition d'une chose parce qu'il y a réunion entre un intérieur qui était prêt et un extérieur qui coïncide »[7].

À partir de 2007, alors que les expositions le conduisent à s'en retourner fréquemment à Paris, puis à effectuer deux voyages à New York en 2008 et 2009 (« choc visuel énorme » lui donnant à nouveau le désir de peindre La ville, à la source de la part de son œuvre qu'il consacre à la ville de Morlaix de 2009 à 2011)[8], Ricardo ouvre à Saint-Jean-du-Doigt sa propre école de peinture qui prendra le nom d'« école de Bleimor »[9].

Frédéric Pajak estime : « la peinture de Cavallo est précise, elle a un sujet et ce peintre croit au naturalisme, il croit qu'on n'est pas allé jusqu'au bout du naturalisme et, dans cette représentation de la nature, il va où personne n'est allé et il est unique »[10].

Œuvres référencées

  • La ville de Morlaix apprĂ©hendĂ©e depuis les jardins en terrasses situĂ©s au pied du viaduc, Ă  partir de 2009, peinture[8].
  • Estampe pour la ville de Lorient, 2013[11].

Expositions

Expositions particulières

  • Art Forum, Bad Kissingen, 1985.
  • Église San-Cristoforo de Lucques, 1992.
  • Galerie Pierre BrullĂ©, Paris, 1994, 1997, 1999, mai-, 2002, 2004, avril-, - , octobre-, avril-, 2013, - .
  • Institut culturel d'AmĂ©rique Latine, Rome, 1994.
  • Galerie Patrick Veret, Arras, 2004.
  • Ricardo Cavallo, new paintings, Earl McGrath Gallery, New York, - [12].
  • Atelier Raspail, Paris, [13].
  • Kasino, Saint-Jean-du-Doigt, [14], [15], 2014[16].
  • RĂ©trospective Ricardo Cavallo, Galerie du FaouĂ«dic, Lorient, - [17] - [18] - [19] - [20].
  • Ricardo Cavallo - Sur le motif (avec Jean-Jacques Dournon et Jacques Le Bruscq), Domaine du KerguĂ©hennec, Bignan, - [21] - [22].
  • Ricardo Cavallo: sur les toits de Morlaix, MusĂ©e des beaux-arts de Morlaix, avril-[23] - [24] - [25] - [26].

Expositions collectives

RĂ©ception critique

  • « Ricardo Cavallo, esprit mĂ©thodique, a pris pied dans le XIXe siècle, avec l'impĂ©rieuse nĂ©cessitĂ© de reparcourir tout ce que celui-ci, Ă  cĂ´tĂ© du neuf, charriait encore de l'ancienne tradition, disparue sous le coup des avant-gardes. » - Dora Vallier[3]
  • « D'emblĂ©e, l'ensemble des peintures de Ricardo Cavallo nous plonge dans l'univers minĂ©ral, celui des gabbros, ces rochers de la cĂ´te Finistère. SuccĂ©dant au cycle des arbres, celui des falaises granitiques aux impressionnants Ă©boulis sur le littoral, autour de Saint-Jean-du-Doigt, lui dicte une sorte d'Ă©chelle. Son choix de formats dĂ©libĂ©rĂ©ment imposants rĂ©pond Ă  la dĂ©mesure de ces volumes abstraits et cependant bien rĂ©els... Cette gĂ©ologie intemporelle, bien que soumise aux transformations d'une Ă©rosion qui renouvelle ce paysage cyclopĂ©en, est celle d'une fiction dont la peinture prend le relais... Comme les marĂ©es qui recouvrent et dĂ©couvrent, la peinture sonde le rĂ©el, son image sans cesse fragilisĂ©e par l'imaginaire. Le trouble est d'autant plus prĂ©gnant que Cavallo peint avec un rĂ©alisme incitant au vertige. Sa palette, d'une extrĂŞme richesse, dĂ©veloppe les gammes de verts, de bruns et de terre ocre jaune, ocre rouge, des couleurs cernĂ©es de noir, Ă©claboussĂ©es d'une lumière qui souligne et cisèle les Ă©lĂ©ments pour une vision vibrante » - Lydia Harambourg[29]
  • « Quelque chose de l'atmosphère d'un purgatoire vit dans cette Ĺ“uvre oĂą seul le minĂ©ral prend possession de l'espace qu'il a conquis. Il y a une sĂ»retĂ© puissante dans cet assemblage de carrĂ©s, de rectangles peints Ă  l'huile, qui peut se voir comme un puzzle sur l'archĂ©ologie de l'art oĂą le peintre pose la question: "Et maintenant?" Un temps nouveau va naĂ®tre. Il y a Ă©videmment la promesse d'une Ă©poque future chez Cavallo. Le spirituel traverse toute pierre. Il y a une attente dans ce lieu fictif imaginĂ©, construit par le peintre, que sont les cĂ´tes du Finistère. L'attente d'un homme absent, encore en exil. L'artiste, dĂ©libĂ©rĂ©ment, fait le sacrifice de l'humain. » - Judith Brouste[30]
  • « Ricardo Cavallo se sent aujourd'hui dans la "pierre vive", un Ă©lĂ©ment minĂ©ral animĂ© par le souffle, le pneuma. LittĂ©ralement, "Ă©piphanie" signifie apparition... Pour James Joyce, qu'aime citer Cavallo, l'Ă©piphanie est une fixation de l'insaisissable... Pour Ricardo Cavallo, c'est peut-ĂŞtre une rĂ©appropriation de la première stupeur. La structure du rocher, ses couleurs, sa perspective: c'est cela l'Ă©piphanie, ce n'est pas une attente mystique, c'est le lent retour de la nature dans la peinture... Cavallo montre cette crique oĂą il est restĂ© dix ans: "Ici, lorsque j'aurai fini de peindre, il n'y aura plus rien". » - Philippe Garnier[2]
  • « C'est d'abord une affaire d'Ă©largissement de l'horizon. Cavallo voit Paris d'une chambre oĂą il dispose de quatre balcons. Vision clivĂ©e, qu'il ne cherche pas Ă  abolir par la peinture, tentant plutĂ´t, par l'invention d'un art fait de fragments, de faire rentrer le paysage, morceau par morceau, dans l'espace confinĂ© de la chambre... Cavallo parcourt un chemin, puis un autre, il passe, repasse et recommence dans une pĂ©rĂ©grination sans fin jusqu'Ă  ce que quelque chose apparaisse: montĂ©e de la forme rĂ©sultant d'une errance dans le paysage, pinceau Ă  la main; il y a comme un hĂ©ritage de la peinture romantique du Wanderer chez cet artiste, dans sa quĂŞte de l'unitĂ© comme dans sa manière de cheminer, entre dĂ©sir de fusion et aveu de son impossibilitĂ©. » - Pierre Wat[31]

Ĺ’uvres dans les collections publiques

En France
En Italie
En Suède

Bibliographie

  • Jean Clair, Ricardo Cavallo, in Giovane pittura d'Europa, Éditions Palazzo delle Albere, Trente (Italie), 1991.
  • Maurice Rheims, Les petits dieux peintres, in catalogue d'exposition Ricardo Cavallo, Ă©glise San-Cristoforo, Lucques (Italie), 1992.
  • Dora Vallier, Ricardo Cavallo - Peinture au long cours, Éditions Galerie Pierre BrullĂ©, Paris, 1994.
  • Emmanuel BĂ©nĂ©zit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, GrĂĽnd, 1999.
  • Jean Daive, Ricardo Cavallo - Une mĂ©thode de dĂ©programmation, suivi de Entretien avec Ricardo Cavallo, Éditions Galerie Pierre BrullĂ©, 1999.
  • Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, GrĂĽnd, 2001[32].
  • Marie du Bouchet, Ricardo Cavallo - Un théâtre de la peinture, Éditions Galerie Pierre BrullĂ©, 2006.
  • Dominique Bourgès, Portrait - Ricardo Cavallo, peintre, in An Nor Digor, bulletin communal de GuimaĂ«c, no 38, , pages 23–24[7].
  • Lydia Harambourg, Ricardo Cavallo, in La Gazette de l'HĂ´tel Drouot, .
  • Judith Brouste, Ricardo Cavallo, une scène mythologique, immĂ©moriale, Éditions Galerie Pierre BrullĂ©, 2011.
  • Denise Delouche, Les peintres de la Bretagne, Éditions Palantine, Quimper, 2011[33].
  • Philippe Garnier, Jean Clair, Jean Daive, Pierre Wat, Dora Vallier, Pierre BrullĂ©, Marie du Bouchet, Judith Brouste (textes), Lea Lund (photos), Cavallo - Paysage imminent, Éditions Les cahiers dessinĂ©s, 2013.
  • Denise Delouche, Ricardo Cavallo peint des rochers, in Bretagne Magazine, no 74, novembre-, pages 44–51.
  • Lydia Harambourg, Ricardo Cavallo - Habiter le monde en peinture, in La Gazette de l'HĂ´tel Drouot, .
  • Ricardo Cavallo et Pierre Wat (avant-propos d'Agnès Le Brun, prĂ©face de Patrick Jourdan et BĂ©atrice Riou), Ricardo Cavallo: sur les toits de Morlaix, Éditions du MusĂ©e de Morlaix, 2016.

Filmographie

  • Isabelle Rèbre, Ricardo Cavallo ou le rĂŞve de l'Ă©pervier, Ă€ gauche en montant Productions et Senso Films, en coproduction avec TVR Rennes, TĂ©bĂ©o et Ty TĂ©lĂ©, 2013 (durĂ©e: 52 min)[34] - [35] - [36] - [37] - [38].
  • Barbet Schroeder, Exposition Ricardo Cavallo Ă  KerguĂ©hennec - Toute l'exposition en un seul plan de quatorze minutes, 2013[22].
  • IllĂ©s Sakantyu, Ricardo Cavallo au pays du Non-OĂą, 2013. DurĂ©e: 62 min.

Télévision

  • ChaĂ®ne TV5MONDE, Littoral, magazine de la mer, Ă©mission du dimanche : Didine et Ricardo, la poissonnière du nord et le peintre du grand sud. Synopsis: « A Saint-Jean-du-Doigt, Ricardo Cavallo, peintre argentin, crapahute sur les rochers de la baie de Morlaix et transmet aux habitants son immense envie de dessiner: mille morceaux de rivage »[39].

Notes et références

  1. Naturalisé français en 1995.
  2. Ouvrage collectif, Cavallo - Paysage imminent, Éditions Les cahiers dessinés, 2013.
  3. Dora Vallier, Ricardo Cavallo - Peinture au long dours, Éditions Galerie Pierre Brullé, 1994.
  4. Ricardo Cavallo, « Réflexions rétrospectives sur la technique employée et son évolution », in Ricardo Cavallo sur les toits de Morlaix, Éditions du Musée de Morlaix, 2016, pages 10-13.
  5. Interview de Barbet Schroeder figurant en bonus du film sur DVD Ricardo Cavallo ou le rĂŞve de l'Ă©pervier, POM Films/Les Ă©ditions de l'Ĺ’il, 2013.
  6. Pierre Brullé, Devant et derrière le hêtre pourpre, in revue Pleine Marge"", n°32, 2000.
  7. >An Nor Digor, bulletin n°38, décembre 2008, voir pages 23-24
  8. Musée de Morlaix, Échange avec l'artiste : Ricardo Cavallo présente son œuvre, février 2016
  9. Escale de Trobodes, Bleimor, une Ă©cole de peinture Ă  Saint-Jean-d-Doigt, publication du 12 avril 2012
  10. Interview de Frédéric Pajak, écrivain et éditeur des Cahiers dessinés, figurant en bonus du film sur DVD Ricardo Cavallo ou le rêve de l'épervier, POM Films/Les éditions de l'Œil, 2013.
  11. Archives de Lorient, Ricardo Cavallo - Le stade de Lorient vu du haut des Ă©chasses, 2013
  12. Earl McGrath Gallery, Ricardo Cavallo, 2009
  13. L'atelier Raspail, Ricardo Cavallo, 2009
  14. Office de tourisme de Plougasnou, Exposition inédite de Ricardo Cavallo Voir également: Le Télégramme, Gros succès de l'exposition Cavallo, 9 mars 2011.
  15. Ouest-France, Semaine artistique avec Ricardo Cavallo, septembre 2013
  16. Ouest-France, Ricardo Cavallo: son Ĺ“uvre grandeur nature, 16 juillet 2014
  17. Isabelle Nivet, Ricardo Cavallo, la tête au carré, Sortiesdesecours.com, 2013
  18. Gildas Jaffré, La vitalité picturale de Ricardo Cavallo fascine, in Ouest-France, 17 décembre 2013
  19. Master Patrimoine de l'Université de Lorient, Rétrospective Ricardo Cavallo, le vernissage, 25 décembre 2013
  20. Master Patrimoine de l'Université de Lorient, Rétrospective Ricardo Cavallo, la visite en compagnie de l'artiste, 20 janvier 2014
  21. Domaine de Kerguéhennec, Sur le motif, dossier de presse, 2013
  22. Barbet Schrœder, Ricardo Cavallo à Kerguéhennec, toute l'exposition en un seul plan de quatorze minutes Source:YouTube, durée:14 min 25 s.
  23. Le musée de Morlaix, Ricardo Cavallo, 2016
  24. Musée de Morlaix, Ricardo sur les toits de Morlaix, dossier de presse, 2016
  25. Adeline Bertin, Ricardo Cavallo peint "sur les toits de Morlaix", in Ouest-France, 2 et 3 avril 2016
  26. Expo in the city, Ricardo Cavallo, 2016
  27. Marie-Caroline Carrère, Ricardo Cavallo, un argentin devenu breton, in Ouest-France, 31 juillet 2014
  28. Ouest-France, Exposition d'arts dans le manoir de Pony Ar Gler, 5 mai 2015
  29. Lydia Harambourg, Ricardo Cavallo, in La Gazette de l'Hôtel Drouot, 11 décembre 2009.
  30. Judith Brouste, Ricardo Cavallo, une scène mythologique, immémoriale, Éditions Galerie Pierre Brullé, 2011.
  31. Pierre Wat, Ricardo Cavallo - Faire un avec l'instant du monde, in Ricardo Cavallo sur les toits de Morlaix, Éditions du Musée de Morlaix, 2016.
  32. Jean-Pierre Delarge, Ricardo Cavallo, in Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains
  33. Claudine Chevrel, Les peintres de la Bretagne, présentation de l'ouvrage de Denise Delouche pour la revue SABF
  34. Catalogue Films Bretagne, Ricardo Cavallo ou le rĂŞve de l'Ă©pervier, dossier du film
  35. Isabelle Rèbre, Ricardo Cavallo ou le rêve de l'épervier, synopsis et bande-annonce, A perte de vue film, 2013
  36. Périphérie Asso, Ricardo Cavallo ou le rêve de l'épervier, présentation du film
  37. Ouest-France, Le peintre et la cinéaste, la rencontre de deux personnalités, 9 juin 2014
  38. Isabelle Rèbre, Ricardo Cavallo ou le rêve de l'épervier, extrait Source: Vimeo.com, durée: 10 min 06 s.
  39. TV5MONDE, programme du dimanche 3 avril 2016.

Annexes

Liens externes

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