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Ribemont-sur-Ancre

Ribemont-sur-Ancre est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Ribemont-sur-Ancre
Ribemont-sur-Ancre
L'église Saint-Vaast.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Somme
Maire
Mandat
Hervé Léger
2020-2026
Code postal 80800
Code commune 80672
Démographie
Gentilé Ribemontois
Population
municipale
633 hab. (2020 en diminution de 0,16 % par rapport à 2014)
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 57′ 39″ nord, 2° 33′ 59″ est
Altitude Min. 32 m
Max. 115 m
Superficie 9,23 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Corbie
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Ribemont-sur-Ancre
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Ribemont-sur-Ancre

    Géographie

    Nature du sol et du sous-sol

    Le sol de la commune est pour l'essentiel composé du limon des plateaux argilo-sableux reposant sur une formation crayeuse. Sur les pentes, à l'ouest, la craie blanche à silex affleure. Il s'agit de la craie à Micraster tandis qu'à l'est, il s'agit de la craie à Bélemnites. Les fonds de vallons et les pentes avoisinantes sont formés de dépôts meubles de couleur rouge (terre à brique). Dans la vallée de l'Ancre, on rencontre des dépôts alluviaux et de la tourbe là où le sol est perméable[1].

    Relief, paysage, végétation

    Le relief de la commune est celui d'une vallée et de vallons secs venant de Baizieux et de Bresle qui contournent le plateau. Le point culminant de la commune se situe à 91 mètres d'altitude[1].

    Hydrographie

    La commune est traversée par la rivière Ancre, un affluent de la rive droite de la Somme et par plusieurs petits ruisseaux affluents de l'Ancre. La nappe phréatique se situe à une dizaine de mètres au-dessous du sol[1].

    Climat

    Le climat de Ribemont-sur-Ancre est tempéré océanique avec vents dominants d'ouest.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,1 %), zones humides intérieures (7,3 %), zones urbanisées (3,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[2].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[3].

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Urbanisme et aménagement du territoire

    La commune offre un habitat groupé le long de la vallée de l'Ancre et n'est séparée du village voisin de Méricourt-l'Abbé que par la rivière.

    Activités économiques et de services

    La commune dispose :

    • d'une école maternelle (regroupement avec les communes voisines : Heilly, Méricourt-l'Abbé et Bresle) avec une cantine scolaire (150 repas par jour + 50 petits déjeuners) ;
    • d'un accueil périscolaire et centre de loisirs ;
    • d'un lycée agricole ;
    • d'un bureau de poste ;
    • d'un foyer rural : établissement de prestation et de location ainsi qu'un centre équestre ;
    • d'une bibliothèque ;
    • d'un camping ;
    • de professionnels de santé de proximité : médecin (qui a rejoint la maison médicale de Warloy Baillon en ), pharmacien ;
    • d'un café-tabac (maintenant fermé depuis 2014).

    Transports et voies de communications

    • Chemin de fer : Ribemont-sur-Ancre est desservie par la gare sur la ligne Paris - Lille.
    • Transports en commun routiers : la localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France (ligne no 37)[4].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Ribemont-sur-Ancre
    Baizieux Bresle Laviéville
    Ribemont-sur-Ancre Buire-sur-l'Ancre
    Heilly Méricourt-l'Abbé

    Urbanisme

    Typologie

    Ribemont-sur-Ancre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [5] - [6] - [7].

    Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8] - [9].

    Toponymie

    On trouve plusieurs formes pour désigner Ribemont-sur-Ancre dans les textes anciens. Nous avons Ribotmons 1133[10], Ribeumont 1148[10], Ribemont 1148[10], Ribodimons 1175[10], Ribemond 1224[10], Ribaumont, Ribumont, Riboumont (1224)[1], Ribemont v.1757[11], v. 1850[12], Ribemont-sur-Ancre vers le milieu du XXe siècle.

    Selon E. Nègre le toponyme serait un mot composé du NP germ. Ricbodus + lat. montem "mont"[10]. D'où "Mont de Ribot ou Ribaut"[1]. RicBodus est également un nom composé du germ. Ric "puissant" + Bodus "envoyé, messager"[13], qui pourrait signifier "le Messager du Puissant(e)" à rapprocher du temple gallo-romain retrouvé sur les fouilles des années 1980, dédié à Mercure, messager des dieux.

    L'Ancre est une rivière du nord du département de la Somme et du Pas-de-Calais, dans la nouvelle région Hauts-de-France, affluent droit du fleuve la Somme.

    Histoire

    • Au XIXe siècle ont été retrouvées au lieu-dit Cor Wargnier des armes de pierre, des sépultures, une statuette de bronze (Silène couché sur son outre) déposée au musée de Picardie à Amiens.
    • Au IIIe siècle av. J.-C., sur les hauteurs de Ribemont, les Belges (Ambiens) affrontèrent victorieusement les Armoricains et fondèrent un vaste sanctuaire sur les lieux de la bataille.
    • À la fin du Ier siècle av. J.-C., les Romains fondèrent un sanctuaire à l'emplacement du sanctuaire gaulois.
    • Au XIe siècle, on comptait plusieurs fiefs sur le territoire de Ribemont : Villecourt, Gomicourt, Hauteville, Carentan…
    • Au XIIe siècle, un prieuré Saint-Laurent-au-Bois existait avant 1168. Il dépendait de l'abbaye de Corbie. La chapelle qui figurait encore sur le plan de Cassini, a disparu en 1780[14]. Elle était située sur la voie antique reliant Amiens à Albert (D929), dans la commune de Ribemont à sa limite ouest, formant une enclave carrée.
    • En 1830, des fouilles archéologiques au lieu-dit la Maldrerie, ont mis au jour une vingtaine de sarcophages avec squelette et coutelas en fer et vase de terre. Selon la tradition orale, il s'agirait d'un cimetière de templiers.
    • Les Anglais saccagèrent Ribemont pendant la guerre de Cent Ans en 1359, 1369 et 1373.
    • En 1578, Ribemont fut pillée et brulée par les Espagnols et à nouveau en 1636.
    • Ribemont était jusqu'à la fin de l'Ancien Régime domaine du seigneur d'Heilly.
    • Au cours de la guerre franco-prussienne de 1870-1871, onze jeunes gens de la commune ont combattu et un fut tué[1].
    • Pendant la Grande Guerre, en mars 1918, les soldats australiens se retranchèrent derrière des barricades dans le village.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1881 1923 Paul Hourdequin Industriel
    1923 Stéphane Camus
    1977 Robert Léger
    1977 1995 Christian Lecomte
    juin 1995[15] mai 2020 Henri Gérard Vice-président de la CC de Val de Somme ( ? → 2020)
    Président de l’association des maires et élus du Val de Somme
    mai 2020[16] - [17] mars 2022 Daniel Duquenoy Démission
    mai 2022[18] En cours Hervé Léger

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de Ribemont-sur-Ancre, comme ceux de Ribemont (département de l'Aisne, commune homonyme) s'appellent des Ribemontois[19]. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

    En 2020, la commune comptait 633 habitants[Note 3], en diminution de 0,16 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    320375415464517527538533530
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    495489474487500532481514478
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    447439441449472494482498466
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    470476545577566616642650611
    2015 2020 - - - - - - -
    650633-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'enseignement élémentaire local est assuré dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal qui comprend les communes d'Heilly, Ribemont-sur-Ancre, Bresle et Méricourt-l'Abbé. L'école Jacques-Prévert de Méricourt accueille 57 élèves pour l'année scolaire 2014-2015. Cantine et garderie complètent le dispositif[24].

    Culture, fêtes, sport et loisirs

    • Depuis 2002, le Foyer rural de Ribemont-sur-Ancre organise chaque année, en avril-mai, une exposition d’œuvres d'art ouverte aux artistes contemporains, régionaux, nationaux et internationaux qui s'intitule : L'Art du temps.

    Sports

    Une équipe de football défend les couleurs locales.

    L'équipe de ballon au poing a été championne de France plusieurs fois, notamment en 2015.

    Archéologie

    Le sanctuaire gallo-romain de Ribemont-sur-Ancre est situé sur la rive droite de l'Ancre, affluent de la Somme, et a fait l'objet de nombreuses publications dès les années 1960 (Centre de recherches archéologiques de l'université de Picardie) avant celles concernant le sanctuaire gaulois. Le site gallo-romain apparaît d'autant plus important qu'il succède à un remarquable sanctuaire celtique.

    Le site a été découvert par prospection aérienne en 1962 par Roger Agache[25] - [26] - [27].

    En 1982, furent trouvées les premières traces du fossé celtique. La poursuite des fouilles a été menée par Jean-Louis Brunaux[28].

    Sur 800 m de long, les bâtiments se répartissent le long de trois cours étagées en terrasses et selon un axe orienté vers le sud-est, du centre du temple, au sommet du plateau crayeux, jusqu'au centre des thermes, en bordure du marais. L'orientation du fossé celtique de La Tène II et III est la même, grossièrement selon le soleil levant du solstice d'hiver.

      • le fanum : les fouilles de 1968 à 1970 ont mis au jour un abondant ensemble de fragments sculptés (décor architectonique, végétaux, animaux et humains). Ces sculptures présentent des dimensions exceptionnelles et une ordonnance symétrique[31];
      • le théâtre de 3 000 places ;
      • les thermes ;
      • l'habitat.

    Une partie des découvertes sont présentées au musée de Picardie (Amiens).

    Un Centre de conservation et d'étude archéologique financé par le conseil départemental de la Somme est installé au centre du village de Ribemont-sur-Ancre.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Cimetière militaire (498 soldats de plusieurs nationalités inhumés).
    • Oratoire dédié à la Vierge. Tout en brique, il est protégé par une grille au dessin original[34].
    • Chapelle funéraire. Appartenant à la famille Vadier-Demosy, son fronton exhibe une mitre d'évêque sur une coquille Saint-Jacques[34].
    • Le cimetière militaire britannique est derrière le cimetière communal, avec un accès sur la gauche de celui-ci.
      Le cimetière militaire britannique est derrière le cimetière communal, avec un accès sur la gauche de celui-ci.
    • Carré militaire vu de la route d'Heilly.
      Carré militaire vu de la route d'Heilly.
    • Panneau d'entrée du village, juste après le cimetière militaire.
      Panneau d'entrée du village, juste après le cimetière militaire.

    Personnages liés à la commune

    • Timoléon de Rély, prêtre mort à Ribemont en 1728.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Notice historique et géographique sur la commune de Ribemont-sur-Ancre, rédigée par M. Dobelle, instituteur, 1899, Archives départementales de la Somme.
    2. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    3. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    4. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. NEGRE (E.) Toponymie générale de la France (1996), t. 2, p. 919.
    11. IGN, Plan de Cassini.
    12. IGN, carte d'État-Major 1820-1866.
    13. FERGUSON (Robert) The Teutonic Name-system, Applied to the Family Names of France, England and … (1864), p. 343, 454.
    14. Beauvillé (Victor de) Recueil de documents inédits concernant la Picardie (1860), p. 5, n. 5.
    15. « Le maire de Ribemont-sur-Ancre, Henri Gérard, fait le point avant de se décider : Lors de ses vœux, qui ont réuni de nombreux Ribemontois et élus du territoire, samedi soir, dans la salle du château, Henri Gérard a promis d’annoncer prochainement sa décision en ce qui concerne les prochaines municipales », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après 37 ans de présence au sein du conseil municipal, dont 12 en tant que conseiller municipal sous les mandats de Christian Lecomte, puis 25 dans le fauteuil de maire, Henri Gérard a fait le point samedi sur son implication personnelle dans la vie communale et communautaire ».
    16. « Pas de second tour finalement, à Ribemont-sur-Ancre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « une erreur matérielle n’avait pas permis à Solène Leban de faire partie des personnes élues alors qu’elle avait obtenu, en voix, le quart des inscrits et la majorité absolue des suffrages exprimés. Le tribunal administratif a confirmé son élection par jugement, mercredi 27 mai. Les quinze membres de la liste emmenée par Daniel Duquenoy sont donc élus ».
    17. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    18. « Le conseil municipal de Ribemont-sur-Ancre est au complet », Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    19. habitants.fr, « Somme > Ribemont (80800) » (consulté le ).
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    24. Site communal de Méricourt-l'Abbé.
    25. Agache R., 1962 - Vues aériennes de la Somme et recherche du passé. Bulletin de la Société Préhistorique du Nord, Amiens, n° spécial 5, 73 p.
    26. Agache R., 1964 - La prospection aérienne sur sols nus et l'inventaire archéologique de la Somme. Actes du colloque international d'archéologie aérienne, du 31/08 au 3/09/1963, SEVPEN, Paris, 49-58
    27. Agache R., 1964 - Archéologie aérienne de la Somme. Bulletin de la Société préhistorique du Nord, n° spécial 6, 67 p.
    28. Brunaux J.-L., 2000 - Les religions gauloises. Nouvelles approches sur les rituels celtiques de la Gaule indépendante. Ed. Errance, Paris, 272p. (ENS, Paris)
    29. Site du Centre archéologique départemental de Ribemont-sur-Ancre
    30. Culture.gouv
    31. Cadoux J.-L. et Delaunay F., 1995 - Les sculptures du temple gallo-romain de Ribemont-sur-Ancre : une retractatio. Revue archéologique de Picardie 1/2
    32. Clochers.org
    33. 40000clochers.com
    34. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 191 (ASIN B000WR15W8).
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