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Registre de langue

En sociolinguistique, le terme registre de langue dĂ©nomme un type de variĂ©tĂ© de langue dont on connaĂźt des interprĂ©tations diverses, et pour laquelle on trouve d’autres appellations aussi, en fonction de l’école linguistique ou du linguiste[1].

Dans la linguistique de langue anglaise, pour certains auteurs, par exemple Joshua Fishman, un registre est une variĂ©tĂ© de langue choisie par le locuteur en fonction de la situation de communication. Ainsi, il y a des registres en fonction du domaine de la communication (des registres techniques et non techniques), en fonction des moyens et de la maniĂšre de la communication (certains registres spĂ©cifiques Ă  l’écrit et d’autres Ă  l’oral) et en fonction de ce que Fishman appelle le style de la communication, dĂ©terminĂ© par la relation entre participants (certains registres spĂ©cifiques au style officiel et d’autres au style familier)[1]. Dans la linguistique anglophone on trouve en tant qu’exemples de registres le scientifique, le religieux (par exemple celui d’un sermon), celui employĂ© par les parents avec leurs enfants, celui utilisĂ© par un employĂ© avec son supĂ©rieur, etc.[2] - [3].

Avec une interprĂ©tation similaire, d’autres linguistes, par exemple William Labov, utilisent le terme « style » Ă  la place de « registre »[1].

D’autres linguistes utilisent, avec une interprĂ©tation semblable, les termes « registre », « style » et « code » en tant que synonymes[4].

Dans la linguistique roumaine traditionnelle on trouve seulement le terme « syle », avec l’épithĂšte « fonctionnel », limitĂ© Ă  ce qu’on y appelle « langue littĂ©raire », autrement dit la variĂ©tĂ© standard, et interprĂ©tĂ© autrement que ci-dessus. Ion Coteanu, par exemple, a traitĂ© de trois styles : celui de la littĂ©rature artistique, le scientifique et le juridique-administratif. À ceux-ci, d’autres auteurs ont ajoutĂ©, par exemple, le style de la presse, celui de la conversation, l’oratoire, l’épistolaire et le tĂ©lĂ©graphique[5].

De maniÚre semblable, dans la linguistique hongroise traditionnelle, on distingue deux catégories de styles de la « langue littéraire » : sa variété écrite, avec les styles scientifique, juridique-administratif, de la presse et de la littérature artistique, et sa variété orale, avec les styles oratoire et celui de la conversation[6].

Dans la linguistique française, certains auteurs utilisent les termes « registre de langue » et « niveau de langue » en tant que synonymes[7]. D’autres emploient les deux en rapport avec la mĂȘme rĂ©alitĂ©, mais ils les distinguent pour dĂ©nommer deux aspects qu’ils lui trouvent. D’autres auteurs encore ne distinguent pas les niveaux des registres et utilisent soit le terme « niveau »[8], soit le terme « registre »[9].

Parmi les auteurs qui distinguent les niveaux des registres il y en a chez lesquels on trouve des maniĂšres diffĂ©rentes de considĂ©rer ce que dĂ©signent ces termes. L’une de ces maniĂšres part de la diffĂ©rence saussurienne entre langue en tant qu’abstraction et parole en tant que sa rĂ©alisation concrĂšte. ConformĂ©ment Ă  cette conception, pour Jean Dubois, par exemple, les niveaux tiennent de la langue et les registres – de la parole. Ainsi, les registres reprĂ©senteraient les façons d’utilisation concrĂšte, par chaque locuteur, des niveaux de langue[1] - [10].

Selon certains autres linguistes, les niveaux correspondraient au degrĂ© de connaissance de la variĂ©tĂ© standard de la langue, c’est-Ă -dire leur utilisation dĂ©pendrait du niveau d’instruction des locuteurs. Dans cette vision, on peut distinguer un niveau intellectuel, un niveau moyen et un niveau populaire. Par contre, les registres seraient en rapport avec les situations de communication et peuvent ĂȘtre maĂźtrisĂ©s par un mĂȘme locuteur, qui peut les utiliser en fonction de celles-ci[11].

Dans une autre conception, la notion de « style » est également introduite, les niveaux de langue étant considérés la langue écrite, la langue soutenue, la langue courante et la langue parlée, qui auraient pour sous-catégories les registres ou les styles, dont font partie le registre familier, le style littéraire, le style poétique, etc.[12].

Qu’elles soient appelĂ©es registres, niveaux, styles ou codes, les variĂ©tĂ©s de langue ainsi nommĂ©es sont utilisĂ©es en fonction de deux aspects : les caractĂ©ristiques du locuteur et les caractĂ©ristiques de la situation de communication[alpha 1]. Ce qui tient du locuteur, c’est son niveau d’instruction[11], la catĂ©gorie sociale Ă  laquelle il appartient, ses intentions, son « vouloir-paraĂźtre »[13], son Ă©ducation familiale, sa capacitĂ© ou sa disponibilitĂ© Ă  utiliser un registre ou un autre[14]. La situation de communication comporte les caractĂ©ristiques du/des destinataire(s) de la communication du mĂȘme type que celles du locuteur, le degrĂ© d’intimitĂ© entre le locuteur et le(s) destinataire(s), ainsi que le rapport hiĂ©rarchique entre eux[14].

Les registres de langue

Il n’y a pas de limites nettes entre les registres. Ils constituent un continuum oĂč des influences s’exercent entre registres voisins. Dans la littĂ©rature linguistique on rencontre des Ă©chelles de registres du plus spontanĂ© (instinctif) au plus Ă©laborĂ© (dans la linguistique française), ou du plus informel au plus formel (dans la linguistique anglophone) :

À cause du flou Ă  la limite entre les registres, l’appartenance de certains faits de langue Ă  l’un ou Ă  l’autre de deux registres voisins est en grande partie subjective, ce qu’on peut voir parfois dans l’indication diffĂ©rente d’un dictionnaire Ă  l’autre du registre auquel appartient tel ou tel mot, ou dans l’indication de deux registres pour un mĂȘme mot. Par exemple thune est marquĂ© argotique et populaire dans le TLFi[15], et familier dans le Larousse en ligne[16], ou flic est marquĂ© populaire et familier dans le TLFi[17], mais seulement populaire dans le Larousse[18].

L’un des phĂ©nomĂšnes de l’histoire des langues est le passage des faits de langue d’un registre Ă  l’autre, dans le sens non standard – standard. Ainsi, les mots d’argot perdent dans le temps leur caractĂšre secret et entrent dans des registres non standard, puis certains passent dans des registres standard, par exemple, en français, maquiller ou mĂ©got[19].

Les caractéristiques linguistiques des registres sont décrites par rapport à celles de la variété standard. La distinction se fait mieux dans le domaine du lexique et moins bien dans celui du phonétisme et celui de la grammaire[20].

Dans la linguistique française

Dans la linguistique française on distingue d’ordinaire trois registres principaux (familier, courant et soutenu), et d’autres Ă  part ceux-ci, qui peuvent ĂȘtre diffĂ©rents d’un auteur Ă  un autre.

Colette StourdzĂ© a proposĂ© l’échelle des registres ci-dessous (variĂ©tĂ©s qu’elle appelle « langues »)[14] :

POPULAIRE
BON USAGE
→
familiĂšre
→
courante orale – courante Ă©crite
←
soignée
←
littéraire[alpha 2]
INSTINCTIVE→ÉLABORÉE

Registre populaire

C’est le registre le plus spontanĂ©. Il est utilisĂ© dans toute situation par les personnes qui n’ont pas un niveau d’instruction suffisant pour maĂźtriser la variĂ©tĂ© standard et qui, de ce fait, ne peuvent pas utiliser d’autres registres[14] - [11]. La langue des petits enfants prĂ©sente des analogies avec ce registre[11]. Il se caractĂ©rise par des Ă©carts frĂ©quents et importants par rapport au standard. Charles A. Ferguson a qualifiĂ© ce registre de variĂ©tĂ© « basse », dĂ©pourvue de prestige social[21].

Exemples de registre populaire[11] - [alpha 3] :

°Je m’ai blessĂ© pour Je me suis blessĂ©[11] ;
°colidor pour corridor[11] ;
°Vous disez pour vous dites[11] ;
°les chevals pour les chevaux[11] ;
°Si vous m’auriez appelĂ©... pour Si vous m’aviez appelĂ©...[22].

Registre familier

Ce registre est en gĂ©nĂ©ral utilisĂ© dans des situations de communication orales sans contraintes, par des personnes qui connaissent la variĂ©tĂ© standard, pouvant ainsi passer au moins au registre courant, mais avec les personnes qu’elles tutoient, c’est-Ă -dire en famille, avec des amis, Ă©ventuellement des collĂšgues de travail du mĂȘme niveau hiĂ©rarchique, etc., ils utilisent le registre familier. Celui-ci aussi se caractĂ©rise par la spontanĂ©itĂ©, son modĂšle Ă©tant oral. À l’écrit il est employĂ© dans la correspondance familiale ou amicale et, dans la littĂ©rature artistique, pour rendre la parole dans le mĂȘme registre. C’est une forme filtrĂ©e du registre populaire, dont une partie des faits non standard sont Ă©liminĂ©s par l’apprentissage du standard. Cependant, le registre populaire influence le registre familier, qui en prend des mots argotiques Ă  l’origine et des mots vulgaires, mais son vocabulaire est majoritairement formĂ© de mots courants et de mots caractĂ©ristiques pour le registre familier. Le locuteur cherche Ă  ĂȘtre expressif en rĂ©alisant des effets de style. Du point de vue grammatical, le registre familier utilise des phrases brĂšves, parfois elliptiques, plutĂŽt que des phrases complexes. De mĂȘme, il se permet des Ă©carts par rapport au standard, tout en restant dans le cadre du bon usage[14] - [11]. Des exemples de faits de langue du registre familier français sont :

  • dans le vocabulaire : claquĂ©[14], Ă©reintĂ©, esquintĂ©, vannĂ© pour fatiguĂ© Ă  l’excĂšs[23] ;
  • dans la grammaire :
    • l’omission systĂ©matique de la nĂ©gation ne : j’suis pas v’nu[14], Tu sais pas[11] ;
    • l’interrogation par la simple intonation : Quand il vient ?[12]

Registre courant

Ce registre est beaucoup moins spontanĂ© que les prĂ©cĂ©dents, comme une consĂ©quence de l’apprentissage du standard. Son emploi est caractĂ©ristique entre personnes qui ne se connaissent pas et ont des contacts dans la vie quotidiennes (achats, demande d’informations, contacts avec l’administration, relations professionnelles, etc.) ou entre personnes qui se connaissent sans ĂȘtre proches, qu’ils soient au mĂȘme niveau hiĂ©rarchique ou non. Les mots de ce registre sont ceux compris par quiconque. La grammaire du registre courant est en gĂ©nĂ©ral conforme au standard, avec des phrases simples. Ce registre est neutre, le locuteur ne cherchant pas Ă  ĂȘtre expressif par des figures de style. Le registre courant a un aspect oral et un autre Ă©crit (ce dernier dans certains articles de presse, par exemple), qui diffĂšrent entre eux par de lĂ©gers Ă©carts par rapport au standard dans le premier, tandis que le second le respecte plus scrupuleusement. Ce registre est dĂ©jĂ  une variĂ©tĂ© « haute », de prestige, selon Ferguson[21].

Des exemples du registre courant parlĂ© sont, selon StourdzĂ© 1971, des expressions comme ne vous en faites pas ou ĂȘtre collĂ© Ă  un examen[14].

Registre soutenu

Ce registre, appelĂ© aussi « soignĂ© », a un modĂšle Ă©crit, se situant Ă  l’opposĂ© du registre familier. Il n’est pas du tout spontanĂ© mais soignĂ© d’une façon consciente. Il est utilisĂ© par des personnes ayant acquis une culture relativement vaste, dans des milieux socioculturels Ă©levĂ©s, dans des communications trĂšs polies, dans des cours, des discours, des homĂ©lies, etc., et souvent Ă  l’écrit. C’est un registre influencĂ© par la langue de la littĂ©rature artistique traditionnelle. Le vocabulaire de ce registre est riche, incluant aussi certains mots rares. Du point de vue grammatical, le standard est scrupuleusement respectĂ©, les phrases sont complexes et bien construites, avec des formes verbales modales et temporelles plus variĂ©es que dans les autres registres. Le locuteur cherche parfois Ă  rĂ©aliser des effets de style[14].

Des exemples de registre soutenu sont :

Il faut respecter la libertĂ© d’autrui pour 
 des autres[24] ;
On a interrogĂ© les tĂ©moins de l’accident, lesquels ont donnĂ© diffĂ©rentes versions des faits pour 
 qui ont donné [25] ;
À quatre-vingts ans, il se levait à 7 heures du matin, ainsi qu’il l’avait toujours fait pour 
 comme il l’avait toujours fait[26] ;
Le préfet de police ordonna que la foule se dispersùt pour 
 a ordonné que la foule se disperse[27].

Registre littéraire ou trÚs soutenu

Selon StrourdzĂ© 1971, ce registre correspond Ă  la langue de la littĂ©rature artistique traditionnelle[14]. EmployĂ© dans la communication orale, il est appelĂ© « trĂšs soutenu » ou « recherchĂ© » par Grevisse et Goosse 2007, son utilisation impliquant le souci de ses utilisateurs de le distinguer de l’usage ordinaire. Il devient affectĂ© ou prĂ©cieux quand il est menĂ© Ă  l’excĂšs ou quand il est inadĂ©quat dans une certaine situation de communication[11].

Exemples contrastés de registres différents

FamilierCourantSoutenu
passer l’arme Ă  gauchemourirtrĂ©passer[28].
J’en sais rienJe ne sais pasJe ne saurais vous le dire[14]
Quand il vient ?Quand est-ce qu’il vient ?Quand vient-il ?[12]

Dans la linguistique anglophone

L’une des Ă©chelles de registres de cette linguistique est celle ci-dessous, proposĂ©e par Martin Joos[29]. Les registres qu’il a distinguĂ©s ne correspondent que partiellement Ă  ceux de la linguistique française, principalement parce qu’il n’a pas pris en compte le niveau d’instruction des locuteurs.

Le registre intime est le plus informel, employĂ© par des interlocuteurs trĂšs proches, des couples, des membres de la mĂȘme famille, des amis intimes. Il se caractĂ©rise par des phrases brĂšves, souvent elliptiques, sans souci pour le choix des mots et pour le respect des rĂšgles grammaticales. Il inclut aussi des messages non verbaux.

Le registre dĂ©sinvolte (en anglais casual) est employĂ© entre amis non intimes, des collĂšgues au travail, des gens rĂ©unis par leurs loisirs. Il implique des mots non standard, y compris argotiques, des Ă©noncĂ©s pas trĂšs bien structurĂ©s, elliptiques, avec des rĂ©pĂ©titions. Les interruptions du discours de l’interlocuteur sont habituelles.

Le registre consultatif est moins spontanĂ© que le dĂ©sinvolte. Il est employĂ© par exemple au travail, lors de discussions en groupe, lors de nĂ©gociations, ou avec des interlocuteurs non natifs. Il est aussi utilisĂ© par des interlocuteurs entre lesquels il y a une certaine diffĂ©rence de statut, par exemple professeur – Ă©lĂšve ou Ă©tudiant, mĂ©decin – patient, spĂ©cialiste – novice, etc., mais la communication est bidirectionnelle. Les interlocuteurs peuvent s’interrompre l’un l’autre. Du point de vue grammatical, ce registre est proche du standard, mais comporte des Ă©noncĂ©s brefs. Il peut intĂ©grer certains mots argotiques ou des mots improprement choisis.

Le registre formel est utilisé dans des situations officielles, lors de discussions sur des questions sérieuses, souvent dans des communications unidirectionnelles, par exemple lors de conférences. Les interlocuteurs ne se coupent pas la parole. Le vocabulaire, le phonétisme et les traits grammaticaux de ce registre sont conformes au standard.

Le registre figĂ© (en anglais frozen ou static) est le plus formel, Ă©tant principalement Ă©crit. C’est celui de textes comme le Serment d'allĂ©geance au drapeau des États-Unis. Il est parlĂ© dans des cĂ©rĂ©monies, se caractĂ©risant par un vocabulaire contenant des mots rares, y compris archaĂŻques, et par des phrases complexes dĂ©veloppĂ©es.

Emploi des registres

L’utilisation des registres de façon adĂ©quate aux situations de communication est une exigence sociale. Leur emploi inappropriĂ© reprĂ©sente un Ă©cart par rapport aux normes de comportement[4]. Un locuteur qui apprend une langue, ou mĂȘme un locuteur natif, peut faire non seulement des erreurs de prononciation, lexicales et grammaticales, mais aussi de registre, si celui qu’il emploie n’est pas appropriĂ© Ă  la situation de communication dans laquelle il se trouve. Si, par exemple, dans un entourage oĂč tous utilisent le registre courant, une personne s’exprime en langue soutenue, les autres ressentent comme une fausse note[14].

Les locuteurs qui maĂźtrisent au moins le registre courant, sont capables de ce qu’on appelle « alternance codique », c’est-Ă -dire d’employer les registres qu’ils connaissent, conformĂ©ment aux situations de communication qui les exigent, mais aussi d’introduire des Ă©lĂ©ments de registres diffĂ©rents dans le cadre de la mĂȘme situation, pour nuancer l’expression, par exemple pour exprimer du sĂ©rieux Ă  un moment et de l’ironie Ă  un autre[30].

Notes et références

Notes

  1. Dans ce qui suit, seul le terme registre est employé.
  2. Entendue ici comme la langue de la littérature artistique traditionnelle. Les flÚches indiquent le sens des influences.
  3. Le signe ° devant les exemples marque des faits de langue en dehors du bon usage.

Références

  1. Bidu-Vrănceanu 1997, p. 407.
  2. Bussmann 1998, p. 994.
  3. Crystal 2008, p. 409.
  4. KĂĄlmĂĄn et TrĂłn 2007, p. 37-38.
  5. Cf. Bidu-Vrănceanu 1997, p. 471.
  6. Zsemlyei 2009, p. 10.
  7. Par exemple Chartrand et al. 1999, p. 301, cité par David 2008.
  8. Par exemple Stourdzé 1971.
  9. Par exemple Wachs 2005.
  10. Dubois 2002, p. 406.
  11. Grevisse et Goosse 2007, p. 23-24.
  12. Kalmbach 2017, p. 584.
  13. Dubois 2002, p. 324.
  14. Strourdzé 1971, p. 39-43.
  15. TLFi, article thune.
  16. Larousse, article thune.
  17. TLFi, article flic.
  18. Larousse, article flic.
  19. Grevisse et Goosse 2007, p. 161.
  20. Wachs 2005, p. 170.
  21. Ferguson 1959, cité par Bidu-Vrănceanu 1997, p. 169.
  22. Grevisse et Goosse 2007, p. 1095
  23. Larousse, article claquer.
  24. Delatour 2004, p. 65.
  25. Delatour 2004, p. 205.
  26. Delatour 2004, p. 296.
  27. Delatour 2004, p. 139.
  28. Larousse, article mourir.
  29. Joos 1961, cité par Burridge et Stebbins 2016, p. 253.
  30. Bussmann 1998, p. 194.

Voir aussi

Sources bibliographiques

Articles connexes

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