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Quispamsis

Quispamsis est une ville situĂ©e dans la vallĂ©e de Kennebecasis, dans le sud-ouest du Nouveau-Brunswick, 22 km au nord de la ville de Saint-Jean, le centre Ă©nergĂ©tique de l'Est du Canada.

Quispamsis
Quispamsis
HĂ´tel de ville
Administration
Pays Drapeau du Canada Canada
Province Drapeau du Nouveau-Brunswick Nouveau-Brunswick
Subdivision régionale Kings
Statut municipal Ville
Mairesse
Mandat
Libby O'Hara
2021-2025
Constitution 1982
DĂ©mographie
Population 17 886 hab. (2011 en augmentation)
DensitĂ© 313 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 26′ 45″ nord, 65° 55′ 43″ ouest
Superficie 5 706 ha = 57,06 km2
Divers
Langue(s) Anglais (officielle)
Fuseau horaire UTC-4
Indicatif +1-506
Code géographique 1305057
Localisation
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Quispamsis
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouveau-Brunswick
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Quispamsis
Liens
Site web http://www.quispamsis.ca

    Toponyme

    Les premiers habitants étaient des Malécites qui nommèrent cette zone qospemsis, qui signifie petit lac, en référence au lac Ritchie. Le village fut ensuite connu sous les noms Wetmore's, Gondola Point Road et Lakefield avant d'être renommé Quispamsis par le Chemin de fer European & North American en 1857[1].

    GĂ©ographie


    Quispamsis est une des villes néo-brunswickoise qui grandit le plus rapidement mais pourtant, elle contient un caractère de petite ville avec une excellente qualité de vie. Le centre-ville de Quispamsis a été zoné principalement à des fins commerciales.

    Situation

    Quispamsis est située sur les rives des rivières Kennebecasis et Hammond et possède un lac, le lac Ritchie, en plein centre-ville. À 15 minutes est situé la ville de Saint-Jean. Sussex est localisé à 45 minutes. Pour Moncton et Frédéricton, 1 heure 30 minutes est nécessaire pour arriver à ces destinations.

    Logements

    La ville comptait 5324 logements privĂ©s en 2006, dont 5200 occupĂ©s par des rĂ©sidents habituels[2]. Parmi ces logements, 88,1 % sont individuels, 0,8 % sont jumelĂ©s, 1,0 % sont en rangĂ©e, 3,5 % sont des appartements ou duplex et 1,3 % sont des immeubles de moins de cinq Ă©tages. Enfin, 5,5 % des logements entrent dans la catĂ©gorie autres, tels que les maisons-mobiles[3]. 95,9 % des logements sont possĂ©dĂ©s alors que 4,1 % sont louĂ©s[3]. 58,8 % ont Ă©tĂ© construits avant 1986 et 6,1 % ont besoin de rĂ©parations majeures[3]. Les logements comptent en moyenne 8,2 pièces et 0,0 % des logements comptent plus d'une personne habitant par pièce[3]. Les logements possĂ©dĂ©s ont une valeur moyenne de 167 725 $, comparativement Ă  119 549 $ pour la province[3].

    Histoire

    Le chemin de fer European and North American Railway est construit en 1857[4]. La localité est rurale jusque vers les années 1960, bien qu'elle soit un lieu de villégiature. Par la suite, Qusipamsis devient graduellement une banlieue de Saint-Jean[4].

    L'Ă©cole Ă©lĂ©mentaire de Quispamsis est inaugurĂ©e en 1960[5]. Quispamsis est constituĂ© en village en 1966, avant de devenir une ville le [4]. La localitĂ© redevient un village et annexe Gondola Point, qui avait Ă©tĂ© constituĂ© en 1966[4]. L'Ă©cole Ă©lĂ©mentaire Lakefield ouvre ses portes en 1978[5]. Quispamsis est Ă  nouveau une ville depuis le [6]. Le conseiller municipal Gerry Maher milite durant les annĂ©es 2000 en faveur de la crĂ©ation de la ville de Kennebecassis Valley, qui regrouperait Quispamsis et Rothesay. Le conseil municipal votre contre cette proposition prĂ©fĂ©rant crĂ©er un comitĂ© conjoint pour Ă©tudier la question[7]. Le centre QPlex est inaugurĂ© le au coĂ»t de 24,5 millions $[8].

    DĂ©mographie

    La ville comptait 15 239 habitants en 2006, soit une hausse de 10,8 % en cinq ans[2]. Il y a en tout 5200 mĂ©nages dont 4585 familles[3]. Les mĂ©nages comptent en moyenne 2,9 personnes tandis que les familles comptent en moyenne 3,1 personnes[3]. Les mĂ©nages sont composĂ©s de couples avec enfants dans 45,1 % des cas, de couples sans enfants dans 33,6 % des cas et de personnes seules dans 11,5 % des cas alors que 9,7 % des mĂ©nages entrent dans la catĂ©gorie autres (familles monoparentales, colocataires, etc.)[3]. 84,2 % des familles comptent un couple mariĂ©, 7,1 % comptent un couple en union libre et 8,7 % sont monoparentales[3]. Dans ces dernières, une femme est le parent dans 71,3 % des cas[3]. L'âge mĂ©dian est de 37,5 ans, comparativement Ă  41,5 ans pour la province[2]. 78,6 % de la population est âgĂ©e de plus de 15 ans, comparativement Ă  83,8 % pour la province[2]. Les femmes reprĂ©sentent 50,5 % de la population, comparativement Ă  51,3 % pour la province[2]. Chez les plus de 15 ans, 24,8 % sont cĂ©libataires, 64,5 % sont mariĂ©s, 2,4 % sont sĂ©parĂ©s, 4,7 % sont divorcĂ©s et 3,6 % sont veufs[2]. De plus, 5,3 % vivent en union libre[2].

    Évolution démographique de Quispamsis depuis 1981
    1981 1986 1991 1996 2001 2006 2011
    6 0227 1858 4468 83913 75715 23917 886
    2016 - - - - - -
    18 245------
    (Sources : [9] - [10] - [11])

    Les autochtones représentent 0,3 % de la population[12] et 1,4 % des habitants font partie d'une minorité visible[13]. Les immigrants représentent 4,1 % de la population et 0,1 % des habitants sont des résidents permanents[14]. 1,1 % des habitants ne sont pas citoyens canadiens et 86,8 % des habitants âgés de plus de 15 ans sont issus de familles établies au Canada depuis trois générations ou plus[14]. En date du , 90,8 % des gens avaient la même adresse depuis au moins un an alors que 3,2 % habitaient auparavant ailleurs dans la même ville, que 4,0 % habitaient ailleurs dans la province, que 2,0 % habitaient ailleurs au pays et que 0,1 % habitaient ailleurs dans le monde[15]. À la même date, 66,5 % des gens avaient la même adresse depuis au moins cinq ans alors que 12,6 % habitaient auparavant ailleurs dans la même ville, que 13,4 % habitaient ailleurs dans la province, que 6,8 % habitaient ailleurs au pays et que 0,6 % habitaient ailleurs dans le monde[15].

    La langue maternelle est le français chez 4,6 % des habitants, l'anglais chez 93,3 % et les deux langues chez 0,4 % alors que 1,6 % sont allophones[16]. Les deux langues officielles[Note 1] sont comprises par 20,0 % de la population alors que 0,4 % des habitants sont unilingues francophones, que 79,6 % sont unilingues anglophones et que personne ne connait ni l'anglais ni le français[16]. Le français est parlé à la maison par 2,0 % des gens, l'anglais par 97,2 %, les deux langues officielles par 0,3 % et une langue non officielle seule par 0,4 %[16]. Le français est utilisé au travail par 1,4 % des travailleurs et l'anglais par 98,1 % alors que 0,4 % des travailleurs utilisent les deux langues officielles[17].

    Chez les plus de 15 ans, 15,7 % n'ont aucun certificat, diplôme ou grade, 25,4 % ont uniquement un diplôme d'études secondaires ou l'équivalent et 58,8 % détiennent aussi un certificat, un diplôme ou un grade post-secondaire; par comparaison, ces taux s'élèvent à 29,4 %, 26,0 % et 44,6 % au provincial[18]. Parmi la même tranche d'âge, 9,8 % des gens possèdent un diplôme d'un programme d'un an au CCNB ou l'équivalent, 23,5 % détiennent un diplôme d'un programme de trois ans au CCNB ou l'équivalent, 3,5 % ont un diplôme ou un certificat universitaire inférieur au baccalauréat et 22,0 % ont un certificat, un diplôme ou un grade universitaire plus élevé[18]. Parmi ces diplômés, 8,2 % sont formés en enseignement, 1,3 % en arts ou en communications, 4,0 % en sciences humaines, 5,3 % en sciences sociales ou en droit, 27,0 % en commerce, en gestion ou en administration, 3,6 % en sciences et technologies, 4,0 % en mathématiques ou en informatique, 25,8 % en architecture, en génie ou dans des domaines connexes, 0,7 % en agriculture, en ressources naturelles ou en conservation, 14,4 % en santé, parcs, récréation ou conditionnement physique, 5,7 % en services personnels, de protection ou de transport et aucun dans d'autres domaines[18]. Les diplômés post-secondaires ont terminé leurs études à l'extérieur du pays dans 3,5 % des cas[18].

    Économie

    Le recensement de 2006 de Statistique Canada fournit aussi des données sur l'économie. Chez les habitants âgés de plus de 15 ans, le taux d'activité était alors de 73,8 %, le taux d'emploi était de 69,9 % et le taux de chômage était de 5,3 %; à titre de comparaison, ceux de la province étaient respectivement de 63,7 %, 57,3 % et 10,0 %[19].

    Évolution du taux de chômage à Quispamsis
    Sources[20] - [21] - [19]:

    On dénombrait 3,1 % des emplois dans l'agriculture, la pêche et les autres ressources, 6,5 % dans la construction, 10,1 % dans la fabrication, 5,4 % dans le commerce de gros, 13,2 % dans le commerce de détail, 5,6 % dans la finance et l'immobilier, 11,8 % dans la santé et les services sociaux, 7,2 % dans l'éducation, 20,0 % dans les services de commerce et 16,9 % dans les autres services[19].

    Chez les personnes âgĂ©es de 15 ans et plus, 9 325 ont dĂ©clarĂ© des gains et 11 285 ont dĂ©clarĂ© un revenu en 2005[22]. 92,7 % avaient aussi dĂ©clarĂ© des heures de travail non rĂ©munĂ©rĂ©es[19]. Le revenu mĂ©dian s'Ă©levait alors Ă  30 565 $ avant et Ă  26 753 $ après impĂ´t, comparativement Ă  la moyenne provinciale de 22 000 $ avant et 20 063 $ après impĂ´t; les femmes gagnaient en moyenne 6 715 $ de moins que les hommes après impĂ´t, soit 20 038 $[22]. En moyenne, 83,6 % du revenu provenait de gains, 7,3 % de transferts gouvernementaux et 9,1 % d'autres sources[22]. 2,6 % de toutes les personnes dans les mĂ©nages avaient un faible revenu après impĂ´t, une proportion descendant Ă  2,3 % pour les moins de 18 ans[22].

    Parmi la population active occupée, 6,2 % des gens travaillaient à domicile, 0,4 % travaillaient à l'extérieur du pays, 9,1 % n'avaient pas de lieu de travail fixe et 84,3 % avaient un lieu de travail fixe[23]. Parmi les travailleurs ayant un lieu de travail fixe, 10,8 % travaillaient en ville, 13,7 % travaillaient ailleurs dans le comté, 74,6 % travaillaient dans un autre comté et 0,8 % travaillaient dans une autre province[23].

    Entreprise Saint-Jean, membre du Réseau Entreprise, a la responsabilité du développement économique[24].

    Administration

    Conseil municipal

    Le conseil municipal est formé d'un maire et de sept conseillers généraux[6].

    Le conseil municipal actuel est Ă©lu lors de l'Ă©lection quadriennale du [25].

    Anciens conseils municipaux

    Un conseil est formé à la suite de l'élection du [26]. La conseillère Libby O'Harra est élue lors d'une élection partielle tenue le [27], en remplacement de Gerry Maher, qui démissionna le [7]. Le conseil municipal suivant est élu lors de l'élection quadriennale du [6].

    Mandat Fonctions Nom(s)
    2012 - 2016 Maire Murray Driscoll
    Conseillers généraux Gary D. Clark, Lisa Loughery, Kirk R. Miller, Libby O'Harra, Emil T. Olsen, J. Pierre Rioux, Beth Thompson
    Mandat Fonctions Nom(s)
    2008 - 2012 Maire Murray Driscoll
    Conseillers Daryl Ronald Bishop, Gary Donald Clark, Lisa M. Loughery, Libby O'Harra, Emil T. Olsen, Pierre Rioux et Beth Thompson.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2008 en cours Murray Driscoll
    2001 2008 Ron Maloney
    1995 2001 Bob A. Peters MĂ©decin
    Leslie Hamilton Brown
    Les données manquantes sont à compléter.

    Commission de services régionaux

    Quispamsis fait partie de la Région 9[28], une commission de services régionaux (CSR) devant commencer officiellement ses activités le [29]. Quispamsis est représenté au conseil par son maire[30]. Les services obligatoirement offerts par les CSR sont l'aménagement régional, la gestion des déchets solides, la planification des mesures d'urgence ainsi que la collaboration en matière de services de police, la planification et le partage des coûts des infrastructures régionales de sport, de loisirs et de culture; d'autres services pourraient s'ajouter à cette liste[31].

    Représentation et tendances politiques

    Quispamsis est membre de l'Union des municipalités du Nouveau-Brunswick[32].

    Drapeau du Nouveau-Brunswick Nouveau-Brunswick: La circonscription provinciale de Quispamsis comprend tout le territoire de la ville. Elle est représentée à l'Assemblée législative du Nouveau-Brunswick par Blaine Higgs, du Parti progressiste-conservateur. Il fut élu en 2010.

    Drapeau du Canada Canada: La majeure partie de Quispamsis est comprise dans la circonscription fédérale de Fundy Royal. Cette circonscription est représentée à la Chambre des communes du Canada par Rob Moore, du Parti conservateur. Une portion du territoire, à la frontière avec Rothesey, est plutôt incluse dans la circonscription fédérale de Saint John, qui est représentée par Rodney Weston, du Parti conservateur.

    Culture

    Langues

    Selon la Loi sur les langues officielles, Quispamsis est officiellement anglophone[33] puisque moins de 20 % de la population parle le français[16].

    Architecture et monuments

    Quispamsis est l'emplacement de Stoneycroft, l'ancienne « Twelve Mile House », construite vers 1800 et aujourd'hui lieu historique provincial depuis 1977. Il s'agit d'une maison loyaliste reflétant avec exactitude la vie des premiers colons.

    Un pont couvert traverse la rivière Hammond à French Village, près du pont de la route 1. Il fut construit en 1912 et mesure 55,2 mètres de long[34].

    Vivre Ă  Quispamsis

    Éducation

    Quispamsis compte deux écoles publiques anglophones faisant partie du district scolaire #6. L’école élémentaire Lakefield et l'école élémentaire de Quispamsis accueillent les élèves de la maternelle à la 5e année. Les élèves peuvent poursuivre leurs études à Rothesay. Quispamsis possède la bibliothèque publique Kennebecasis.

    La ville est incluse dans le territoire du sous-district 9 du district scolaire Francophone Sud[35]. L'école Samuel-de-Champlain de Saint-Jean est l'établissement francophone le plus proche alors que les établissements d'enseignement supérieurs les plus proches sont dans le Grand Moncton.

    Autres services publics

    La ville bénéficie d'un foyer de soins agréés, le Kings Way Care Centre.

    Un traversier relie la ville à la péninsule de Kingston par la rivière Kennebecasis.

    La Rothesay Regional Police est basée à Quispamsis et dessert aussi la ville de Rothesay. Le service dispose de 31 policiers, de 6 répartiteurs, de 2 employés civils et de 7 auxiliaires[36]. Le détachement de la Gendarmerie royale du Canada le plus proche est à Hampton.

    Il y a un comptoir postal.

    La plage de Gondola Point est une plage d'eau douce surveillée, disposant de vestiaires et d'une aire de pique-nique.

    Le QPlex comprend un patinoire de la taille réglementaire de la Ligue nationale de hockey, une piscine à vagues, un bassin récréatif, une piscine olympique, une piste de marche intérieure à trois couloirs, un centre communautaire YMCA-YWCA, un terrain de jeu adapté avec surface en caoutchouc, une salle multifonctionnelle et une salle d'exposition[8]. Le centre est accessible aux handicapées et est certifié LEED[8].

    Les anglophones bénéficient du quotidien Telegraph-Journal, publié à Saint-Jean, et du Kings County Records, de Sussex. Les francophones bénéficient quant à eux du quotidien L'Acadie nouvelle, publié à Caraquet, ainsi que l'hebdomadaire L'Étoile, de Dieppe.

    Religion

    L'église St. Augustine's et l'église St. Luke's dans le centre de la ville ainsi que l'église Holy Trinity à Hammond River sont des lieux de cultes anglicans. Quispmasis compte aussi une église catholique romaine, l'église St. Mark's, faisant partie du diocèse de Saint-Jean.

    Notes et références

    Notes

    1. Le Nouveau-Brunswick est officiellement bilingue, c'est-à-dire que l'anglais et le français ont un statut égal.

    Références

    1. (en) Alan Rayburn, Geographical Names of New Brunswick, Énergie, Mines et Ressources Canada, Ottawa, 1975, p. 226.
    2. « Profils des communautés de 2006 - Quispamsis - Population », sur Statistique Canada (consulté le ).
    3. « Profils des communautés de 2006 - Quispamsis - Familles et ménages », sur Statistique Canada (consulté le ).
    4. Burton Glendenning, « Quispamsis », sur L'encyclopédie canadienne.
    5. [PDF] « Anglophone South », sur Ministère de l'Éducation du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
    6. « Élections quadriennales municipales, le 14 mai 2012, Rapport du directeur général des élections municipales » [archive du ], sur Élections N.-B. (consulté le )
    7. (en) « Quispamsis councillor resigns », CBC News,‎ (lire en ligne)
    8. « Quispamsis souligne l’inauguration de qplex », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le )
    9. « 1986 (2A) questionnaire abrégé des provinces aux municipalités », sur Statistique Canada (consulté le ).
    10. « Profils des communautés de 1996 - Quispamsis - Population », sur Statistique Canada (consulté le ).
    11. « Statistique Canada - Profils des communautés de 2016 - Quispamsis » (consulté le )
    12. « Profils des communautés de 2006 - Quispamsis - Peuples autochtones », sur Statistique Canada (consulté le ).
    13. « Profils des communautés de 2006 - Quispamsis - Minorité visible », sur Statistique Canada (consulté le ).
    14. « Profils des communautés de 2006 - Quispamsis - Immigration et citoyenneté », sur Statistique Canada (consulté le ).
    15. « Profils des communautés de 2006 - Quispamsis - Mobilité et migration », sur Statistique Canada (consulté le ).
    16. « Profils des communautés de 2006 - Quispamsis - Langue », sur Statistique Canada (consulté le ).
    17. « Profils des communautés de 2006 - Quispamsis - Langue de travail », sur Statistique Canada (consulté le ).
    18. « Profils des communautés de 2006 - Quispamsis - Scolarité », sur Statistique Canada (consulté le ).
    19. « Profils des communautés de 2006 - Quispamsis - Travail », sur Statistique Canada (consulté le ).
    20. « Profils des communautés de 1996 - Quispamsis - Revenu et travail », sur Statistique Canada (consulté le ).
    21. « Profils des communautés de 2001 - Quispamsis - Travail », sur Statistique Canada (consulté le ).
    22. « Profils des communautés de 2006 - Quispamsis - Revenu et gains », sur Statistique Canada (consulté le ).
    23. « Profils des communautés de 2006 - Quispamsis - Lieu de travail », sur Statistique Canada (consulté le ).
    24. « Réseau Entreprise » (consulté le ).
    25. « Les résultats non officiels des élections (2016-05-10) » [archive du ], sur Élections N.-B. (consulté le )
    26. « Événements électoraux locaux de 2008 », sur Élections N.-B. (consulté le )
    27. « Les résultats non officiels des élections partielles municipales - 9 mai 2011 » [archive du ], sur Élections N.-B. (consulté le )
    28. « Les communautés dans chacune des 12 Commissions de services régionaux (CSR) », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
    29. « Conseils d'administration des commissions de services régionaux annoncés », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
    30. « Gouvernance des nouvelles commissions de services régionaux », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
    31. « Services obligatoires », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
    32. « Liste des zones », sur Union des municipalités du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
    33. Canada, Nouveau-Brunswick. « Loi sur les langues officielles », art. 35, 36, 37, 38 [lire en ligne (page consultée le 15 mars 2011)].
    34. (fr) Ministère des Transports du Nouveau-Brunswick, « Ponts couverts - Comté de Kings »
    35. [PDF] « Francophone Sud », sur Ministère de l'Éducation du Nouveau-Brunswick (consulté le )
    36. (en) Rothesay Regional Police - FAQ

    Voir aussi

    Bibliographie

    • (en) William F. Ganong, A Monograph of the Origins of the Settlements in New Brunswick, Ottawa, J. Hope, , 185 p.
    • (en) Alan Rayburn, Geographical Names of New Brunswick, Ottawa, Énergie, Mines et Ressources Canada,

    Articles connexes

    Liens externes

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