Portes-lès-Valence
Portes-lès-Valence est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Portes-lès-Valence | |||||
L'hĂ´tel de ville. | |||||
HĂ©raldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | DrĂ´me | ||||
Arrondissement | Valence | ||||
Intercommunalité | Valence Romans Agglo | ||||
Maire Mandat |
Geneviève Girard 2020-2026 |
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Code postal | 26800 | ||||
Code commune | 26252 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Portois, Portoises | ||||
Population municipale |
10 526 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 729 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 44° 52′ 27″ nord, 4° 52′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 106 m Max. 183 m |
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Superficie | 14,43 km2 | ||||
Unité urbaine | Valence (banlieue) |
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Aire d'attraction | Valence (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Valence-3 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : DrĂ´me
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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Ses habitants sont dénommés les Portois et les Portoises.
GĂ©ographie
Localisation
La commune de Portes-lès-Valence est située dans l'agglomération valentinoise, au sud de la ville de Valence (préfecture).
Valence Soyons (Ardèche) |
Valence | Valence Montéléger |
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Soyons (Ardèche) | N | Montéléger | ||
O Portes-lès-Valence E | ||||
S | ||||
Soyons (Ardèche) Étoile-sur-Rhône |
Étoile-sur-Rhône | Beauvallon |
Relief et géologie
La commune est située à environ 119 mètres d'altitude. Elle est constituée de plusieurs terrasses (101 m d'altitude en moyenne).
Sites particuliers :
Hydrographie
La commune est arrosée par les cours d'eau suivants :
Climat
Le climat à Portes-lès-Valence présente déjà des caractéristiques de climat méditerranéen[2] par rapport au nord du valentinois, le tout avec une influence semi-continentale.
Ces caractéristiques sont soulignées par la présence d'une sécheresse estivale, de possibles vagues de chaleur, d'un automne très pluvieux lié à la remontée des épisodes méditerranéens, d'un hiver froid mais sec et du mistral qui souffle fréquemment et qui se renforce descendant la vallée du Rhône.
Voies de communication et transports
La commune de Portes-lès-Valence se trouve à 20 kilomètres au sud de la gare de Valence-TGV et à 8 kilomètres de celle de Valence-Ville.
L'autoroute A7 (péage de Valence Sud) permet de joindre Lyon (100 kilomètres au nord) et Marseille (220 kilomètres au sud).
L'autoroute A49, via le périphérique valentinois, permet de joindre Grenoble (100 kilomètres au nord-est).
Transports en commun
La ville de Portes-lès-Valence est desservie par le réseau de bus Citéa (lignes 9 et 10).
Urbanisme
Typologie
Portes-lès-Valence est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].
Elle appartient à l'unité urbaine de Valence, une agglomération inter-départementale regroupant 10 communes[6] et 131 695 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8].
La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9] - [10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (47,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (35 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (29,8 %), zones urbanisées (17,5 %), eaux continentales[Note 3] (4,1 %), cultures permanentes (4 %), forêts (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (2 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Site GĂ©oportail (carte IGN)[1] :
- Bois des Rebatières
- Bos Codoyer
- Bressac
- Chaternay
- Cité Jardins
- Dandor
- Faravel
- Ferme Peyral
- Gauthier
- Grangeneuve
- la Chaffine
- la Couronne
- la Houppe
- la Motte
- la Station
- le Colombier
- les Brûlats
- les Chaux
- les Galles
- les Gaulets
- les Grands Mernes
- les Lacs
- les Mernes
- les Quérats
- les Rebatières
- les Sapins
- les Vallats
- Marcon
- Margier
- Miaille
- Monerit
- Morlon
- Neyremand
- Olagnet
- Peyrollet
- Rivecourt
- Rostagnon
- Saint-Gervais
- Tache
- TĂ©genas
Risques naturels et technologiques
Le Rhône a toujours été redouté pour ses crues (1812, 1840, 1856 ou 1993).
Toponymie
La commune se nomme Pòrtas en provençal.
Attestations
Avant 1908, la commune de Portes-lès-Valence portait le nom de Fiancey.
Fiancey
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[12] :
- 1157 : castrum Finciaci, Franciaci et Faiciaci (Gall. christ., XVI, 104).
- 1157 : mention de la paroisse : ecclesia de Finzeo (cartulaire de Saint-Chaffre, 33).
- 1158 : de Finceu (Gall. christ., XVI, 106).
- 1228 : castrum Franciacii (Gall. christ., XVI, 114).
- 1332 : Finsax (Gall. christ., XVI, 130).
- 1349 : mention du mandement : mandamentum Finceasi (archives de la DrĂ´me, fonds de Saint-Ruf).
- 1470 : dominus Fianciacii (archives de la DrĂ´me, E 2531).
- 1483 : Finsey et Finscasi (terrier de Beaumont-lès-Valence).
- 1495 : Fienceyacum (archives de la DrĂ´me, E 2554).
- 1540 : villa Finciacum (A. du Rivail, De Allobrog., 77).
- 1644 : Saint Gervais de Fiancey (archives de la DrĂ´me, B 128).
- 1705 : Fiancée (dénombrement du royaume).
- XVIIIe siècle : Fiancées près la Vache (inventaire de la chambre des comptes).
- 1891 : Fiancey, commune du canton de Valence, dont le chef-lieu est au village de Portes.
Portes
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[13] :
- 1100 : locus de Portis (de Coston, Étymologie de la Drôme).
- 1474 : mention de l'Ă©glise Notre-Dame : eclesia Beate Marie de Portis in mandamento de Fiancey (inventaire de Saint-Apollinaire [Valence]).
- 1650 : mention de l'Ă©glise Notre-Dame : Nostre Dame de Portes (inventaire de Saint-Apollinaire).
- 1891 : Portes, village, chef-lieu de la commune de Fiancey.
Portes-lès-Valence
En 1908, la commune de Fiancey change de nom et devient Portes-lès-Valence.
Histoire
Préhistoire
Vestiges de cabanes préhistoriques[14].
Protohistoire
Le territoire fait partie de la tribu gauloise des Segovellaunes.
Relais routier et port fluvial pour le commerce grec de Massalia (Marseille)[14].
Antiquité : les Gallo-romains
Une villa gallo-romaine, dite de Saint Gervais a été retrouvée et partiellement fouillée dans les quartiers du Colombier et des Chaux (Valette, 1935, 1952 et 1962 – Club Archéologique Crouzet, 1979 – Tarpin, 1997 à 2000)[15].
Fiancey
La seigneurie[12] :
- Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) était du fief des comtes de Valentinois et de l'arrière-fief des évêques de Valence.
- Avant 1464 : possession de Guillaume de Poitiers, seigneur de Barry.
- 1464 : elle est confisquée et donnée à François d'Eurre, « valet de chambre » du roi Louis XI.
- 1470 : possession des Silve (qui la possédaient encore en 1583).
- Avant 1626 : acquise par les Dorne.
- 1680 : léguée aux Lescot.
- Passe (par héritage) aux Baronnat.
- Vers 1723 : passe aux Rostaing, derniers seigneurs de Fiancey.
1789 (démographie) : 43 chefs de famille[12].
Avant 1790, Fiancey était une communauté de l'élection et subdélégation et du bailliage de Valence.
Elle formait au XIIe siècle une paroisse du diocèse de Valence dont l'église, sous le vocable de Saint-Gervais, dépendait premièrement de l'abbaye de Saint-Victor de Valence, et ensuite de l'abbaye de Saint-Ruf qui y prenait la dîme et pourvoyait au service paroissial. Unie dans le cours du XVe siècle à la paroisse de la Vache, cette paroisse forma, au siècle suivant, la paroisse de Portes[12].
Portes
La seigneurie[13] :
- Au point de vue féodal, Portes était une terre (ou seigneurie) du fief des évêques de Valence, distincte de celle de Fiancey.
- Elle est probablement la possession des Eurre.
- 1598 : possession des Monery.
- 1638 : elle passe (par mariage) aux Meysonnier.
- Passe aux Dorne.
- Passe (par héritage) aux Lescot.
- 1697 : passe (par héritage) aux Baronnat.
- Avant 1723 : vendue aux Rostaing-Champferrier, derniers seigneurs de Portes.
Avant 1790, Portes était le chef-lieu d'une paroisse du diocèse de Valence qui, ayant remplacé, vers le milieu du XVe siècle, celle de Saint-Gervais-de-Fiancey, avait l'abbé de Saint-Ruf pour décimateur et son église sous le vocable de Notre-Dame. Le mandement de Fiancey avait la même étendue que la commune de ce nom[13].
De la RĂ©volution Ă nos jours
En 1790, Fiancey (dont Portes) devient une municipalité du canton d'Etoile. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une commune du canton de Valence[12].
1908 : Fiancey devient Portes-lès-Valence
En 1908, la commune abandonne son nom de Fiancey et choisit celui de Portes-lès-Valence[16].
Seconde Guerre mondiale
Pendant la deuxième guerre mondiale, la commune est bombardée à plusieurs reprises peu avant la Libération.
La gare de triage est le théâtre d'une action de la résistance le qui détruit plusieurs locomotives et fait sauter un local administratif (quinze personnes sont tuées, dont trois français). En représailles, les Allemands amènent deux jours plus tard trente prisonniers de la prison de Montluc (Lyon) et les fusillent sur les lieux de l'explosion[17].
Le , Yves Farge, ancien Commissaire de la République à Lyon, et Claude Alphandéry, ancien Président du Comité Départemental de Libération, remettent à la commune de Portes-lès-Valence la Croix de Guerre 1939-1945[18] qui vient de lui être décernée[19].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Depuis 1908, la commune a été dirigée par des maires classés à gauche jusqu'à la seconde guerre mondiale.
À la Libération, la ville cheminote passe dans le giron communiste avec l'élection en 1946 de Gabriel Coullaud, puis de Jean-Guy Pinède.
En 1989, Jean-Guy Pinède qui a annoncé, l'année précédente, son soutien à un candidat communiste rénovateur lors de la présidentielle, est exclu du PCF. C'est donc sous l'étiquette à gauche autrement qu'il est réélu.
En 2001, à la faveur d'une triangulaire, la ville passe à droite et Geneviève Girard devient maire. Le PCF reprend la mairie en 2008 mais la perd en 2014 avec la réélection de Geneviève Girard, cette fois dans le cadre d'un duel classique.
Administration municipale
À la suite des élections municipales françaises de 2020, le conseil municipal est composé du maire, de 8 adjoints et de 24 conseillers municipaux[20].
Liste des maires
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La Ville de Portes-lès-Valence fait partie du Département de la Drôme, faisant elle-même partie de la Région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle est membre de la Communauté d'agglomération Valence Romans Agglo. Elle fait aussi partie de l’Arrondissement de Valence. Pour ce qui est du découpage électoral, la ville fait partie de la Deuxième circonscription de la Drôme, ce qui fait de Lisette Pollet sa députée. Enfin, elle fait partie du Canton de Valence-3 pour les Élections départementales, ce qui fait de la Maire de Portes-lès-Valence, Geneviève Girard, et de l’Adjoint du Maire de Valence, Franck Soulignac.
Espaces verts et fleurissement
En 2014, la commune se maintient au niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[21].
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[22] - [Note 4].
En 2020, la commune comptait 10 526 habitants[Note 5], en augmentation de 5,54 % par rapport Ă 2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Services et Ă©quipements
- Caserne de sapeurs pompiers composée de 21 personnels, armée de quatre véhicules (FPT, VLHR, VL, UPMA).
Enseignement
- Collège Jean Macé[24].
Loisirs
- Une piscine[14] intercommunale qui porte le nom de Camille Muffat.
- Une salle de spectacle : Le Train Théâtre[25].
Cultes
- Église Réformée de Portes-lès-Valence, rue Émile Zola[26].
Économie
Industrie
- Zone industrielle des Auréats (sur les communes de Portes-lès-Valence et de Valence).
- Zone de Morlon.
- Zone de Grangeneuve.
- Port fluvial de commerce de la DrĂ´me.
- Port céréalier[14].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Flore
- L'essence dominante de la commune est le chĂŞne pubescent ;
- chĂŞnes verts ;
- thym.
Faune
- Cannes de Provence.
HĂ©raldique, logotype et devise
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Portes-lès-Valence possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
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Annexes
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Portes-lès-Valence sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2008.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- https://www.valence.fr/fr/re-decouvrir-la-ville/ville-vigilante-1/les-risques-majeurs-a-valence/les-aleas-climatiques.html
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Valence », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 144 (Fiancey).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 284 (Portes).
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Portes-lès-Valence.
- « Étoile-sur-Rhône », sur Archéologie de la France, informations (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Stèle des fusillés », sur museedelaresistanceenligne.org (consulté le ).
- « Portes-lès-Valence reçoit la Croix de guerre - 1949 - Films de montagne - Cinémathèque d'images de montagne », sur Portes-lès-Valence reçoit la Croix de guerre - 1949 - Films de montagne - Cinémathèque d'images de montagne (consulté le )
- « Portes-lès-Valence en 1939-1945 », sur www.ajpn.org (consulté le )
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- https://college-jean-mace-portes-les-valence.web.ac-grenoble.fr/.
- « Le Train Théâtre – Régie – Comité national de liaison des EPCC » (consulté le ).
- « Église Réformée de Portes-lès-Valence ».