Accueil🇫🇷Chercher

Pioneer Venus Multiprobe

Pioneer Venus Multiprobe ou Pioneer Venus 2 (ou Pioneer 13) est une sonde spatiale de la NASA lancée en 1978 qui a étudié in situ l'atmosphère de la planète Vénus. La sonde spatiale est développée dans le cadre du programme Pioneer Venus qui comprenait également l'orbiteur Pioneer Venus Orbiter. Elle emporte 4 sondes atmosphériques larguées en différents points de la planète qui, durant leur descente jusqu'au sol, ont recueilli des données sur la composition de l'atmosphère. La mission a été une réussite et les informations ont permis de compléter les données collectées par les sondes spatiales du programme spatial soviétique Venera.

Pioneer Venus Multiprobe
Description de cette image, également commentée ci-après
Le largage des sondes atmosphériques de Pioneer Venus Multiprobe (vue d'artiste).
Données générales
Organisation NASA - Ames
Programme Pioneer Venus
Domaine Étude de l'atmosphère de Vénus
Type de mission Sondes atmosphériques
Statut Mission achevée
Autres noms Pioneer Venus 2, Pioneer 13
Lancement
Lanceur Atlas Centaur
Durée 4 mois et 1 jour
Identifiant COSPAR 1978-078A
Caractéristiques techniques
Masse au lancement 904 kg
Pioneer Venus 2 avec ses sondes atmosphériques reconnaissables à leur bouclier thermique de forme conique.

Contexte

Le programme Pioneer Venus marque le retour de la NASA à l'étude de Vénus. Après le survol réussi de cette planète réalisé par Mariner 2 (1962) et Mariner 5 (1967), l'agence spatiale américaine a concentré ses efforts sur l'exploration de la planète Mars (Programme Viking) et des planètes externes du système solaire (Programme Voyager). Au début des années 1970, le centre de recherche Ames de l'agence spatiale américaine tente de développer des compétences dans le domaine de l'exploration du système solaire. En 1971, le centre a développé et lancé un prototype de sonde atmosphérique (PAET Planetary Atmosphere Experiment Test) pour tester le recueil de données scientifiques au cours d'une rentrée atmosphérique. Il étudie la réalisation d'un ensemble de missions à destination de Vénus comprenant au moins un orbiteur et des sondes atmosphériques. Une coopération avec l'agence spatiale européenne de l'époque, l'ESRO, est étudiée en 1972 puis abandonnée. Finalement, la NASA décide en de développer toute seule deux sondes spatiales pour la fenêtre de lancement de 1978. L'appel d'offres pour la réalisation des deux sondes spatiales est remportée par la société Hughes Aircraft. Le coût des missions est relativement modique (200 millions de dollars de l'époque) notamment grâce à l'utilisation d'une plateforme développée pour les satellites de télécommunications de ce constructeur en maintenant 78 % des éléments communs entre les deux sondes spatiales. La première sonde spatiale, Pioneer Venus Orbiter est chargée de se placer en orbite autour de Vénus et de recueillir des données grâce à une batterie de 17 instruments dont un radar rudimentaire. La deuxième sonde spatiale, Pioneer Venus Multiprobe, doit analyser l'atmosphère de la planète grâce à quatre sondes atmosphériques[1].

VĂ©nus : Ă©tat des connaissances

Au milieu des années 1970, les missions soviétiques du programme Venera ont collecté suffisamment de données pour permettre de dresser une image relativement complète de Vénus. L'atmosphère est constituée de 96,5 % de dioxyde de carbone et de 3,5 % d'azote. À la surface, la pression atteint 92 fois celle de la Terre au niveau des océans. Entre les altitudes de 50 et 70 km, on trouve des nuages d'acide sulfurique. Il n'existe que des traces infimes d'eau : 100 parties par million dans l'atmosphère et aucune étendue d'eau libre à la surface. La température en surface est très élevée atteignant 735 kelvin (462 °C). L'ionosphère est comparable à celle de la Terre mais la planète est dépourvue de champ magnétique significatif. Les plateaux et montagnes de Vénus atteignent des altitudes supérieures à ce qu'on trouve sur Terre mais les parties basses n'atteignent qu'un cinquième de la profondeur des abysses terriennes[2].

Objectifs

Les objectifs de la mission Pioneer Venus Multiprobe sont d'Ă©tudier[3] :

  • la structure et la composition des nuages depuis la surface jusqu'Ă  la couche la plus haute ;
  • la composition et la structure de l'atmosphère depuis la surface jusqu'aux altitudes hautes ;
  • les principales caractĂ©ristiques de la circulation gĂ©nĂ©rale de l'atmosphère ;
  • les interactions entre le vent solaire et l'environnement de la planète.

Caractéristiques techniques

Pioneer Venus Multiprobe a une masse totale de 904 kg dont 51 kg d'instruments scientifiques. La sonde spatiale comprend la plateforme commune aux deux sondes du programme Pioneer Venus modifiĂ©e pour permettre l'emport de 4 sondes atmosphĂ©riques. La plateforme est un cylindre de 2,8 mètres de diamètre et de 1,4 mètre de haut. Les quatre sondes atmosphĂ©riques, fixĂ©es sur sa partie supĂ©rieure, portent sa hauteur Ă  2,9 m. La sonde atmosphĂ©rique principale est fixĂ©e sur le tube axial de la plateforme tandis que les trois petites sondes sont fixĂ©es sur son pourtour. La plateforme est construite autour d'un tube solidaire du lanceur durant la mise en orbite et occupant l'axe du cylindre. Ce tube sert d'axe Ă  un plateau circulaire d'une superficie de 4,37 m2 sur lequel sont fixĂ©s les Ă©quipements. Un panneau solaire cylindrique est fixĂ© sur le pourtour du plateau par 24 poutrelles. Sous le plateau se trouvent deux rĂ©servoirs de 33 cm de diamètre dans lesquels est stockĂ©e l'hydrazine utilisĂ©e par les moteurs chargĂ©s d'effectuer les corrections de trajectoire et les changements d'orientation. La sonde spatiale est stabilisĂ©e par rotation Ă  5 tours par minute. Elle dispose de 7 propulseurs tous fixĂ©s sur le plateau d'Ă©quipement, quatre pointant selon un axe perpendiculaire Ă  celui du cylindre et trois pointant vers l'avant et l'arrière du cylindre. L'orientation est dĂ©terminĂ©e Ă  l'aide de senseurs de Soleil et un viseur d'Ă©toiles. La sonde spatiale dispose de deux antennes omnidirectionnelles se trouvant au sommet de mâts fixĂ©s au-dessus et en dessous du cylindre de manière Ă  Ă©mettre sur 180°. Elles sont complĂ©tĂ©es par une antenne cornet moyen gain fixĂ©e sur le pont supportant les Ă©quipements et dirigĂ©e vers l'arrière. Des persiennes assurent le contrĂ´le thermique. Le panneau solaire d'une superficie de 6,9 m2 est constituĂ© de cellules solaires de 2 x 2 cm fournissant en tout 214 watts au niveau de l'orbite terrestre et 241 watts au niveau de celle de VĂ©nus[4].

Une fois les sondes atmosphĂ©riques Ă©jectĂ©es, la plateforme de Pioneer Venus Multiprobe se comporte elle-mĂŞme comme une sonde atmosphĂ©rique. Elle seule fournit des donnĂ©es sur les couches atmosphĂ©riques les plus Ă©levĂ©es jusqu'Ă  ce qu'elle atteigne l'altitude de 115 km. N'Ă©tant pas protĂ©gĂ©e par un bouclier thermique, elle est dĂ©truite Ă  cette altitude par l'Ă©chauffement liĂ© Ă  la rentrĂ©e atmosphĂ©rique. Elle emporte deux instruments ayant une masse totale de 21,4 kg : un spectromètre de masse pour particules neutres et spectromètre de masse pour ions.

Pioneer Venus Multiprobe emporte quatre sondes atmosphĂ©riques qui ont Ă©tĂ© conçues pour rĂ©sister aux conditions rencontrĂ©es jusqu'au niveau du sol. Elles doivent rĂ©sister au violent Ă©chauffement et Ă  la dĂ©cĂ©lĂ©ration dĂ©coulant de leur entrĂ©e Ă  grande vitesse (41 600 km/h soit 11,6 km/s) dans l'atmosphère de VĂ©nus, Ă  la pression qui atteint 100 fois celle de la Terre Ă  la surface, Ă  des tempĂ©ratures de 450 °C et aux composants très corrosifs de l'atmosphère. Toutes les sondes ont la mĂŞme forme gĂ©omĂ©trique et sont composĂ©es d'une enceinte pressurisĂ©e sphĂ©rique contenant les instruments scientifiques et les systèmes de production d'Ă©nergie, de gestion des donnĂ©es et de communication. le tout est encapsulĂ© dans un bouclier thermique dont l'avant en forme de cĂ´ne Ă  45° permet de stabiliser la trajectoire. Pour que les instruments puissent analyser l'atmosphère ou l'observer, des passages sont amĂ©nagĂ©s dans la coque pressurisĂ©e et des petits hublots rĂ©alisĂ©s en saphir ou en diamant y sont insĂ©rĂ©s[5].

  • SchĂ©ma gĂ©nĂ©ral de la sonde spatiale

Sonde atmosphérique principale

La sonde atmosphĂ©rique principale a une masse de 316 kg et mesure 1,5 mètre de diamètre. La capsule pressurisĂ©e a un diamètre de 73 cm et est rĂ©alisĂ©e en titane, mĂ©tal Ă  la fois rĂ©sistant et lĂ©ger. La structure du bouclier thermique qui est larguĂ© Ă  haute altitude est rĂ©alisĂ©e en aluminium. Elle est recouverte par un matĂ©riau ablatif rĂ©alisĂ© en composite carbone phĂ©nolique chargĂ© de protĂ©ger de la chaleur la capsule. La sonde dispose d'un parachute pilote de 76 cm de diamètre et d'un parachute principal de 4,9 mètres de diamètre. La capsule pressurisĂ©e est isolĂ©e thermiquement par une protection interne en kapton de 2,5 cm d'Ă©paisseur. Les Ă©quipements et instruments sont disposĂ©s sur deux Ă©tagères rĂ©alisĂ©es en bĂ©ryllium qui servent de puits de chaleur. La capsule pressurisĂ©e comporte neuf fenĂŞtres d'observation pour les instruments et trois entrĂ©es pour recueillir des Ă©chantillons de l'atmosphère. Les instruments sont alimentĂ©s par une batterie argent zinc de 40 ampères-heures. La sonde dispose d'une capacitĂ© de stockage des donnĂ©es recueillies de 3072 bits. Les donnĂ©es sont transmises par un Ă©metteur radio de 40 watts de puissance avec un dĂ©bit de 256 bits par seconde. La sonde atmosphĂ©rique emporte 28 kg d'instruments dont deux pour identifier les composants de l'atmosphère et cinq pour identifier les nuages, la structure de l'atmosphère, la distribution de l'Ă©nergie et la circulation atmosphĂ©rique[6] :

  • un spectromètre de masse ;
  • un chromatographe en phase gazeuse pour mesurer la composition de l'atmosphère,
  • des capteurs de pression et de tempĂ©rature ainsi que des accĂ©lĂ©romètres ;
  • un radiomètre Ă  infrarouge pour mesurer le rayonnement infrarouge ;
  • un spectromètre pour Ă©tudier la composition des nuages ;
  • un radiomètre pour Ă©tudier la pĂ©nĂ©tration du rayonnement solaire ;
  • un nĂ©phĂ©lomètre pour analyser les particules dans les nuages.
  • SchĂ©mas de la sonde atmosphĂ©rique principale

Les petites sondes atmosphériques

Les 3 petites sondes atmosphĂ©riques ont des caractĂ©ristiques identiques. Chacune d'elles a un diamètre de 80 cm et une masse de 90 kg. Elle comprend une capsule sphĂ©rique pressurisĂ©e encapsulĂ©e dans un bouclier thermique destinĂ© Ă  la protĂ©ger de la chaleur durant le dĂ©but de la rentrĂ©e atmosphĂ©rique Ă  très grande vitesse. Mais contrairement Ă  la sonde atmosphĂ©rique principale, le bouclier thermique n'est pas Ă©jectĂ© après que la sonde a ralenti et la sonde est dĂ©pourvue de parachute. Le bouclier thermique comme la capsule sont rĂ©alisĂ©s dans les mĂŞmes matĂ©riaux que ceux utilisĂ©s pour la sonde principale. Sept ouvertures sont pratiquĂ©es dans la capsule pressurisĂ©e pour permettre le passage des câbles des capteurs. Trois portes s'ouvrent dans la partie arrière du bouclier thermique lorsque l'altitude de 70 km est atteinte pour permettre le passage des trois sondes utilisĂ©es pour mesurer l'atmosphère. Un dispositif aĂ©rodynamique placĂ© de quelques cm² solidaire du capteur de pression garantit que la sonde se met en rotation durant la descente de manière que les instruments puissent balayer 360°. Les donnĂ©es recueillies sont stockĂ©es dans une mĂ©moire d'une capacitĂ© de 3072 bits et transmises avec un dĂ©bit de 64 bits par seconde jusqu'Ă  une altitude de 30 km puis Ă  raison de 16 bits par seconde jusqu'Ă  la surface. L'Ă©metteur radio a une puissance de 10 watts. L'antenne assurant la transmission est de forme hĂ©misphĂ©rique et placĂ©e au sommet de la partie arrière du bouclier thermique. L'Ă©nergie Ă©lectrique est fournie par une batterie de 1 ampère-heure. Chaque sonde atmosphĂ©rique emporte 3 instruments (masse totale de 3,5 kg) pour Ă©tudier l'atmosphère qui sont aussi prĂ©cis que les instruments Ă©quivalents emportĂ©s par la sonde atmosphĂ©rique principale[7] :

  • un nĂ©phĂ©lomètre ;
  • des capteurs de tempĂ©rature, pression et accĂ©lĂ©ration ;
  • un radiomètre pour mesurer la distribution de l'Ă©nergie radiative.
  • SchĂ©mas des petites sondes atmosphĂ©riques

DĂ©roulement de la mission

Transit entre la Terre et VĂ©nus des deux sondes Pioneer Venus.
Éjection et point d'arrivée des sondes atmosphériques.
SĂ©quence de descente de la sonde principale.

La sonde Pioneer Venus Multiprobe est lancée le par une fusée Atlas Centaur. Quelques jours avant l'arrivée, la sonde atmosphérique principale est larguée le et placée sur une trajectoire qui doit l'amener côté jour non loin de l'équateur. Les trois sondes de petite taille sont larguées 4 jours plus tard le . Deux d'entre elles, désignées Nord et Sud, doivent pénétrer dans la partie de Vénus plongée dans l'obscurité tandis que la troisième, baptisée Jour, doit pénétrer dans la partie éclairée. Le , quelques heures avant l'arrivée, la plateforme manœuvre pour également pénétrer dans l'atmosphère côté jour. Les 4 sondes pénètrent ce jour-là dans l'atmosphère de Vénus suivies de peu par la plateforme elle-même[8].

La sonde principale arrive Ă  une vitesse de 11,6 km/s et sa dĂ©cĂ©lĂ©ration brutale atteint un pic de 280 g qui la ralentit Ă  200 m/s en 38 secondes.

Les trois sondes de petite taille dĂ©roulent 5 minutes avant la rentrĂ©e atmosphĂ©rique un yoyo formĂ© de deux câbles longs de 2,4 mètres qui rĂ©duit leur vitesse de rotation de 48 Ă  15 tours par minute. Après une dĂ©cĂ©lĂ©ration encore plus brutale, elles commencent Ă  recueillir des donnĂ©es Ă  partir d'une altitude de 70 km. Leur descente jusqu'au sol dure entre 53 et 56 minutes. La sonde dite Jour continue Ă  Ă©mettre après avoir touchĂ© le sol durant 67 minutes jusqu'Ă  ce que la tempĂ©rature croissante ait raison de ses Ă©quipements[8], tandis que les deux autres petites sondes ont cessĂ© d'Ă©mettre après leur impact. La plateforme elle-mĂŞme bien que non Ă©quipĂ©e pour effectuer une rentrĂ©e atmosphĂ©rique parvient Ă  retourner des donnĂ©es durant 63 secondes avant de se dĂ©sintĂ©grer.)

RĂ©sultats scientifiques

Au-dessous de l'altitude de 50 km, les tempĂ©ratures mesurĂ©es par les quatre sondes sont identiques Ă  quelques degrĂ©s près. Ă€ 40 km, la tempĂ©rature est de 116 °C[8]. Les tempĂ©ratures sont comprises entre 448 et 459 °C en surface. La pression au sol est comprise entre 86,2 et 94,5 bars. Les nĂ©phĂ©lomètres ont identifiĂ© trois couches de nuages aux caractĂ©ristiques diffĂ©rentes. La dĂ©couverte la plus remarquable concerne le ratio des isotopes Argon 36/Argon 40 cent fois plus Ă©levĂ© que dans l'atmosphère terrestre qui semble indiquer que la genèse de l'atmosphère vĂ©nusienne est très diffĂ©rente de celle de la Terre[8]. La trajectoire reconstituĂ©e des sondes atmosphĂ©riques a permis de dĂ©terminer que le vent soufflait en moyenne Ă  une vitesse de 200 m/s dans la couche nuageuse mĂ©diane, Ă  50 m/s Ă  la base de ces nuages et tout juste 1 m/s au niveau du sol. Dans l'ensemble, les donnĂ©es fournies par les sondes atmosphĂ©riques ont confirmĂ©, tout en les prĂ©cisant, les donnĂ©es obtenues par les sondes spatiales soviĂ©tiques du programme Venera qui les avaient prĂ©cĂ©dĂ©es[9].

Notes

    Références

    1. Ulivi et Harland 2007, p. 262-276
    2. (en) W.T. Kasprzak, The Pioneer Venus Orbiter : 11 years of data, NASA, , p. 6
    3. The Pioneer Venus Program 1977, p. 50
    4. Pioneer Venus Press kit 1978, p. 53-62
    5. Pioneer Venus Press kit 1978, p. 63
    6. Pioneer Venus Press kit 1978, p. 63-70
    7. Pioneer Venus Press kit 1978, p. 70-77
    8. Le Monde du 12 décembre 1978.
    9. Ulivi et Harland 2007, p. 275-276

    Bibliographie

    • (en) Paolo Ulivi et David M. Harland, Robotic Exploration of the Solar System Part 1 The Golden Age 1957-1982, Chichester, Springer Praxis, , 534 p. (ISBN 978-0-387-49326-8)
    • (en) Pioneer Venus Press kit, NASA, (lire en ligne)
    • (en) Lawrence Colin et Charles F. Hall, « The Pioneer Venus Program », Space Science Reviews, vol. 20,‎ , p. 283-306
      Description des deux missions du programme Pioneer Venus
    • (en) T. Donahue, « Why explore Venus ? », Space Science Reviews, vol. 20,‎ , p. 259-263
      Pourquoi doit on envoyer une mission vers VĂ©nus
    • (en) Lawrence Colin, « The exploration of Venus », Space Science Reviews, vol. 20,‎ , p. 249-258
      Histoire du programme Pioneer Venus
    • (en) Lawrence Colin et D.M. Hunten, « Pioneer Venus Experiment Description », Space Science Reviews, vol. 20,‎ , p. 451-525
      Description de quelques expériences scientifiques embarquées à bord des sondes Pioneer Venus
    • (en) D.M. Hunten, « Current knowledge of Venus », Space Science Reviews, vol. 20,‎ , p. 265-282
      Les éléments dont disposent les scientifiques sur Vénus à l'époque de la conception de la mission
    • (en) Bernard J. Bienstock, « Pioneer Venus and Galileo entry probe heritage », ?,‎ , p. 1-9 (lire en ligne [archive du ])
      Leçons tirées des sondes atmosphériques de Pioneer Venus et Galileo

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.