AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Parti du peuple cambodgien

Le Parti du peuple cambodgien (cambodgien: Kanakpak Pracheachon Kùmpuchéa, KPK) parfois appelé parti populaire cambodgien, est la formation politique actuellement au pouvoir au Cambodge.

Parti du peuple cambodgien
(km) គណបក្សប្រជាជនកម្ពុជា
Présentation
Président Hun Sen
Fondation [1]
SiĂšge 203 Preah Norodom Boulevard, Phnom Penh, Cambodge
Vice-prĂ©sidents Say Chhum (en)
Sar Kheng (en)
Positionnement Depuis 1991 :
Droite[2] - [3] - [4]

1951-1991 :
ExtrĂȘme gauche

Idéologie Depuis 1991 :
Monarchisme[5] - [6]
Conservatisme[7]
Libéralisme économique

1951-1991 :
Marxisme-léninisme[8]

Affiliation internationale Internationale démocrate centriste
AdhĂ©rents 6 millions (2020)[9]
Couleurs Bleu et orange
Site web cpp.org.kh
Représentation
Députés
125 / 125
SĂ©nateurs
58 / 62
Maires (en)
1645 / 1646
Conseillers municipaux (en)
11051 / 11572
Conseillers locaux[10]
4034 / 4114

Anciennement communiste, l'actuel Parti du peuple a été parti unique sous le régime de la république populaire du Kampuchéa : il portait à l'époque le nom de Parti révolutionnaire du peuple khmer, également traduit par Parti révolutionnaire du peuple du Kampuchéa (PRPK).

De par sa structure et son implantation (une antenne du parti existe jusque dans le moindre village ou hameau cambodgien[11]), le parti est rĂ©guliĂšrement accusĂ© d’ĂȘtre un rouage important dans le contrĂŽle de l’administration et la transmission des prĂ©bendes et autres passe-droits qui enrichissent les dirigeants nationaux au dĂ©triment des intĂ©rĂȘts du pays[12].

Le parti est affilié à l'Internationale démocrate centriste[13].

Historique

Le parti unique de la république populaire du Kampuchéa

Du 5 au 8 janvier 1979, au beau milieu de l'offensive vietnamienne contre le régime khmer rouge, Heng Samrin réunit un « troisiÚme congrÚs » qui se voulait ainsi le prolongement du Parti révolutionnaire du peuple khmer fondé en 1951 entre autres par Son Ngoc Minh, Tou Samouth et Sieu Heng, mais sans reconnaßtre les congrÚs du parti communiste du Kampuchéa de 1963, 1975 et 1978 organisés par les proches de Pol Pot[14].

Peu d’informations ont filtrĂ© sur cette rĂ©union si ce n’est que Pen Sovan a Ă©tĂ© Ă©lu premier secrĂ©taire du comitĂ© central et que le parti comptait alors une soixantaine de membres rĂ©partis entre deux tendances parfois opposĂ©es au cours de l’histoire du communisme cambodgien : les « Khmers Việt Minh », d'anciens cadres Khmers issarak qui Ă©taient restĂ©s au ViĂȘt Nam depuis des annĂ©es, et les dissidents khmers rouges, pour la plupart issus du commandement de l'ancienne Zone Est du KampuchĂ©a dĂ©mocratique[15] - [16]. Les premiers nommĂ©s, plus au fait du fonctionnement de l’appareil vietnamien seront dans un premier temps favorisĂ©s et occuperont les principaux postes Ă  responsabilitĂ© dans le premier comitĂ© central[17].

Le passĂ© de certains des membres du parti et son idĂ©ologie communiste seront dans un premier temps occultĂ©s auprĂšs d’une population qui venait de subir les brutalitĂ©s du KampuchĂ©a dĂ©mocratique. La fracture avec le rĂ©gime prĂ©cĂ©dent apparaĂźtra de maniĂšre visible dans le rapport que Pen Sovan prĂ©sente lors du 4e congrĂšs, tenu du 26 au , qui prĂ©sente les membres du parti communiste du KampuchĂ©a comme des traĂźtres Ă  la nation et au parti[18].

Il sera aussi dĂ©cidĂ© lors de ce quatriĂšme congrĂšs d’opĂ©rer dĂ©sormais Ă  visage dĂ©couvert, sĂ»rement parce que les dirigeants de la rĂ©publique dĂ©mocratique du KampuchĂ©a avaient gagnĂ© en confiance quant Ă  la pĂ©rennitĂ© de leur gouvernement mais aussi parce qu’ils avaient besoin de l’aide de toute la population pour reconstruire le pays. Il Ă©tait aussi adoptĂ© cinq « principes de base de la ligne du parti » Ă  savoir : porter haut les couleurs du patriotisme et de la solidaritĂ© internationale prolĂ©tarienne, dĂ©fendre la patrie, rĂ©tablir et dĂ©velopper l’économie et la culture dans le but de prĂ©parer la voie au socialisme, dĂ©ployer un parti marxiste-lĂ©niniste et renforcer la coopĂ©ration militaire avec le ViĂȘt Nam, le Laos, l’Union des rĂ©publiques socialistes soviĂ©tiques et les autres nations socialistes. Il fut aussi dĂ©cidĂ© de conserver le nom de Parti rĂ©volutionnaire du peuple khmer afin de se diffĂ©rencier du « parti rĂ©actionnaire polpotiste » et promouvoir de meilleures pratiques au sein du parti. Le congrĂšs proclamait Ă©galement son intention de lutter contre « la doctrine ultranationaliste de Pol Pot », d’encourager un gouvernement centralisĂ© et une direction collective, enfin de rejeter le culte de la personnalitĂ©. La « doctrine ultranationaliste » fait sans Ă©quivoque allusion au racisme anti-vietnamien des responsables khmers rouges. Enfin, les 162 dĂ©lĂ©guĂ©s Ă©lisaient les 21 participants au comitĂ© central qui confirmait Pen Sovan au poste de secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral et les sept membres du bureau politique initial[19] - [20].

En 1981, le parti rĂ©volutionnaire du peuple khmer comptait entre 600 et 1 000 membres, ce qui reprĂ©sentait un accroissement considĂ©rable comparĂ© Ă  1979, mais il n’était prĂ©sent qu’à Phnom Penh et dans les chefs-lieux provinciaux dont certains ne comportaient qu’un seul adhĂ©rent. Kompong Cham, la province la plus peuplĂ©e avec plus d’un million d’habitants, ne pouvait par exemple se prĂ©valoir de plus de 30 militants[21].

Mais trĂšs vite, au sein du parti, les anciens partisans de Pol Pot supplantent les anciens Khmers Issarak aux postes Ă  responsabilitĂ©. Plusieurs raisons ont Ă©tĂ© avancĂ©es Ă  cette Ă©volution : les premiers nommĂ©s se seraient montrĂ©s moins sensibles Ă  la corruption financiĂšre que les seconds qui auraient eu une meilleure connaissance des rĂ©alitĂ©s politiques vietnamiennes et par consĂ©quent une plus grande capacitĂ© Ă  tenir tĂȘte Ă  leurs protecteurs; enfin, les dissidents khmers rouges, ayant le plus Ă  perdre d'un retour de leurs anciens collĂšgues, auraient Ă©tĂ© jugĂ©s plus dociles. En dĂ©cembre 1981, Pen Sovan est brusquement limogĂ©, probablement pour s'ĂȘtre opposĂ© Ă  la politique d'immigration vietnamienne au Cambodge, et pour avoir manifestĂ© trop de vellĂ©itĂ©s d'indĂ©pendance. Heng Samrin lui succĂšde comme secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du parti[22] - [23].

Le parti tient son 5e congrÚs du 13 au 16 octobre 1985 au cours duquel il dresse un bilan des cinq derniÚres années et défini une ligne pour le futur[24].

Il se prĂ©vaut de 7 500 membres rĂ©guliers dont 4 000 depuis le dĂ©but de l’annĂ©e 1985 et peut aussi compter sur pas moins de 37 000 sympathisants parmi lesquels il peut susciter de nouvelles adhĂ©sions. D’aprĂšs le rapport de Heng Samrin, le PRPK dispose de 22 comitĂ©s rĂ©gionaux et d’un nombre indĂ©fini de cercles et cellules au sein du gouvernement, des forces armĂ©es, des organisations de masse, des entreprises, des usines et des exploitations agricoles. Le rapport se fĂ©licite ainsi de la progression du parti depuis 1981 mais regrette une implantation Ă  la base et au niveau des districts qui reste Ă  amĂ©liorer[25].

Il note aussi avec satisfaction que l’administration de Heng Samrin, avec l’aide de « volontaires vietnamiens » a dĂ©truit « tout type » de base de rĂ©sistance de la guĂ©rilla[26].

Le rapport se targue aussi d’avoir Ă©cartĂ© la menace « d’autoritarisme » grĂące au dĂ©veloppement du centralisme dĂ©mocratique et du leadership collectif (en) malgrĂ© une Ă©ducation politique des masses en retrait. Le soutien et la confiance de la population sont aussi parfois contrariĂ©s par l’étroitesse d’esprit, l’arrogance et la bureaucratie de certains dirigeants. Heng Samrin dĂ©plore aussi l’absence de documents sur l’histoire du PRPK qui permettrait de mieux illustrer les « bonnes traditions du parti »[25].

Un autre problĂšme est le manque de cadres politiques et techniques, ce qui entrave la reconstruction du pays. L’économie s’en trouve dĂ©sĂ©quilibrĂ©e et en retard avec des indicateurs en deçà de leurs niveaux d’avant-guerre, le pays souffrant en outre d’une pĂ©nurie de carburant, de matiĂšres premiĂšres et de piĂšces dĂ©tachĂ©es de toutes sortes. D’aprĂšs Heng Samrin, une telle situation ne permettrait pas une transition vers le socialisme avant « des douzaines d’annĂ©es »[27].

Le rapport prĂ©sente aussi un plan sur la pĂ©riode 1986-1990 avec trois principaux objectifs. Le premier objectif concerne la maĂźtrise militaire « Ă  la frontiĂšre et Ă  l’intĂ©rieur du pays » afin d’annihiler toute activitĂ© hostile Ă  la rĂ©publique populaire du KampuchĂ©a[25].

Le second objectif est de dĂ©velopper le potentiel Ă©conomique et politique pour, malgrĂ© les embĂ»ches, permettre d’accĂ©der au socialisme. Une mobilisation de masse de la population est pour cela jugĂ©e primordiale. Il est ainsi prĂ©vu de tolĂ©rer « l’économie privĂ©e » afin d’accomplir la « tĂąche trĂšs dure et trĂšs complexe » pour amener les « composants non-socialistes » Ă  un niveau avancĂ©. Sur le plan politique, le rapport prĂ©conise aussi la promotion d’un « homme socialiste nouveau » qui doit ĂȘtre loyal envers sa patrie et le socialisme, avoir une bonne connaissance scientifique et respecter la discipline, la propriĂ©tĂ© publique, la production et le travail manuel[28].

Enfin, le troisiĂšme objectif est relatif Ă  l’accroissement des liens entre le Cambodge et le ViĂȘt Nam, le Laos, l’Union soviĂ©tique et les autres pays socialistes. Heng Samrin recommande de garantir cette alliance par une loi pour assurer le succĂšs de la rĂ©volution cambodgienne et demande aux Cambodgiens de rejeter toute attitude ou acte opportuniste ou chauvin de nature Ă  aller Ă  l’encontre de l’amitiĂ© avec les voisins indochinois – une allusion au ressentiment trĂšs prĂ©sent quant Ă  la prĂ©sence des troupes et colons vietnamiens[29].

Avant de clore le congrĂšs, les 250 dĂ©lĂ©guĂ©s Ă©lisent les 45 membres du nouveau comitĂ© central (31 titulaires et 14 supplĂ©ants) qui Ă  leur tour reconduisent Heng Samrin comme secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral, choisissent les neuf participants (sept titulaires et deux supplĂ©ants) du bureau politique, les 5 de son secrĂ©tariat et les 7 de sa commission de contrĂŽle[30].

Au mĂȘme moment, les dirigeants vietnamiens, dĂ©sireux de se dĂ©pĂȘtrer du bourbier cambodgien, semblent enclins Ă  favoriser l’émergence de dirigeants plus indĂ©pendants Ă  leur Ă©gard, tant qu'ils ne permettent pas pour autant un retour du rĂ©gime khmer rouge ni ne remettent en cause la sĂ©curitĂ© au sud du ViĂȘt Nam[31].

Mutation dans le multipartisme

Le PRPK prend son nom de parti du peuple cambodgien lors d'un congrÚs extraordinaire du PRPK qui eut lieu les 17 et 18 octobre 1991 en vue de modifier ses statuts afin de pouvoir participer aux élections de 1993. Outre le changement de nom, le congrÚs adoptait plusieurs décisions dont les plus notables furent le renoncement au marxisme-léninisme et le ralliement au multipartisme[32] - [note 1].

Mais cette Ă©volution n’était pas forcĂ©ment aisĂ©e pour tout le monde et les annĂ©es qui suivront seront Ă©maillĂ©es de violences dont il est difficile de faire la part entre les actions concertĂ©es en haut lieu, les actes isolĂ©s de militants ayant du mal Ă  composer avec des contradicteurs et enfin des faits qui n’avaient pas de motivations politiques[34].

AprĂšs sa dĂ©faite aux Ă©lections de 1993, le PPC a imposĂ© une coalition gouvernementale au FUNCINPEC, sorti vainqueur des urnes[35], coalition qu'il reconduira par la suite en tant que parti majoritaire[36], et ce jusqu’en 2008, annĂ©e oĂč le poids de la formation royaliste Ă©tait devenu insignifiant (deux dĂ©putĂ©s sur 120)[37].

La triarchie du parti, inchangée du début des années 1990 à 2015

Situation actuelle

une vache pait au bord d'une route en latĂ©rite sous un panneau bleu dĂ©lavĂ© oĂč l'on peut lire le sigle et nom du parti du peuple cambodgien en khmer et en anglais.
Le Parti du peuple cambodgien est implanté jusque dans le plus petit village du Cambodge, ici dans la province de Kampot.

Le parti du peuple cambodgien dispose d'une majorité absolue d'élus à l'Assemblée nationale[38]. L'actuel Premier ministre, Hun Sen en est le président[39].

Si les partis d’opposition ont l’habitude de se dĂ©chirer dans des luttes intestines, certaines sources y voient la main du PPC qui les aurait fait infiltrer par des personnes Ă  sa solde pour semer la zizanie[40] - [41]. Ces explications ne peuvent nĂ©anmoins expliquer Ă  elles-seules la facilitĂ© avec laquelle ces scissions se produisent[42]. Ainsi, si le doute est permis pour un Nguon SƓur dont le dĂ©part du parti de la nation khmĂšre pour se rapprocher de Hun Sen obligera les fidĂšles de Sam Rainsy Ă  rebaptiser leur mouvement[43] ou pour un Ieng Mouly (en) qui provoquera une crise fatale au parti libĂ©ral dĂ©mocratique bouddhiste[44] avant d’occuper des postes ministĂ©riels dans des gouvernements PPC[45], les accusations par exemple portĂ©es contre Kem Sokha Ă  qui on reprochait d’avoir Ă©tĂ© encouragĂ© Ă  crĂ©er le parti des droits de l’homme pour diviser l’opposition, paraissent peu crĂ©dibles[46].

En contrepartie, le parti du peuple cambodgien donne l’image d’une certaine stabilitĂ©, si on excepte les menaces de sĂ©cession de Hun Sen en 1992 et Norodom Chakrapong (en) en 1993 qui semblent par contre en ĂȘtre restĂ©es au stade des intentions. En fait, rĂ©miniscence ou non de la pĂ©riode du parti unique, les dissensions semblent se rĂ©gler en interne, mais pas toujours de maniĂšre pacifique. Des rumeurs insistantes ont ainsi fait Ă©tat de divergences entre Hun Sen et Chea Sim et certains actes de violence contre eux ou leurs proches durant les annĂ©es 1990 seraient liĂ©es Ă  ces querelles[47].

Lors des Ă©lections du , le parti aurait emportĂ© 114 siĂšges de la chambre basse[48].

Annexes

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. La rĂ©fĂ©rence au PRPK n’est pas pour autant abandonnĂ©e et de nos jours encore le parti continue de revendiquer 1951 comme annĂ©e de sa fondation ce qui lui vaut rĂ©guliĂšrement d’ĂȘtre accusĂ© par ses opposants d’ĂȘtre restĂ© communiste[33].

Références

  1. (en) Chheng Niem, « CPP set to mark anniversary, vows to maintain public trust », The Phnom Penh Post,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  2. (en) Larry Diamond, « Elections Without Democracy: Thinking About Hybrid Regimes », Journal of Democracy, vol. 13, no 2,‎ , p. 31, 32 (lire en ligne, consultĂ© le )
  3. (en) Duncan McCargo, « Cambodia: Getting Away with Authoritarianism? », Journal of Democracy, vol. 16, no 4,‎ , p. 98 (DOI 10.1353/jod.2005.0067, lire en ligne, consultĂ© le )
  4. (en) Caroline Hughes, « Consolidation in the Midst of Crisis », Asian Survey, vol. 49, no 1,‎ january–february 2009, p. 211–212 (ISSN 1533-838X, DOI 10.1525/as.2009.49.1.206, lire en ligne, consultĂ© le )
  5. (en) Chan Thul Prak, « Cambodian government criminalizes insult of monarchy », Reuters,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  6. (en) Reaksmey Hul, « Hun Sen, Former Opposition Leader in Row Over 'Loyalty to Royals' », Voice of America,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  7. (en) Casey Quackenbush, « 40 Years After the Fall of the Khmer Rouge, Cambodia Still Grapples With Pol Pot's Brutal Legacy », TIME,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  8. (en) « Khmer People's Revolutionary Party (KPRP) », Global Security, (consulté le )
  9. (en) Vicheika Kann, « Ruling Party’s New Headquarters Funded by Members and Costs $40M: CPP Spokesperson », VOA,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  10. (en) Savi Khorn, « Ministry: Councillors to be appointed by next Monday », The Phnom Penh Post,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  11. (en) Florence Compain, « Hun Sen, l'inusable petit commandant khmer rouge », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  12. Henri Locard, Pourquoi les Khmers rouges, Paris, Éditions VendĂ©miaire, coll. « RĂ©volutions », , 352 p. (ISBN 9782363580528, prĂ©sentation en ligne), « AprĂšs le totalitarisme », p. 302-306
  13. (es) « Partidos Archivo - idc-cdi », sur idc-cdi (consulté le )
  14. (en) David M. Ayres, Anatomy of a Crisis : Education, Development, and the State in Cambodia, 1953-1998, Université d'Hawaï, , 304 p. (ISBN 978-0-8248-2238-5, présentation en ligne), p. 125-127
  15. François Ponchaud, Une BrÚve Histoire du Cambodge, Nantes/Laval, Siloë, , 142 p. (ISBN 978-2-84231-417-0, présentation en ligne), « De la libération à l'occupation (1979 - 1989) », p. 96-98
  16. Cheng Guan Ang, Singapore, ASEAN and the Cambodian Conflict, 1978-1991, Singapour, Université nationale de Singapour, , 196 p. (ISBN 978-9971-69-704-4, lire en ligne), chap. 2 (« From the Invasion of Kampuchea to the formation of the CGKD »), p. 19-22
  17. (en) Michael Vickery, Kampuchea : Politics, economics, and society, L. Rienner Publishers, coll. « Marxist regimes », , 1re éd., 211 p. (ISBN 978-0-931477-73-7), p. 79-82
  18. (en) Sorpong Peou, Intervention & Change in Cambodia : Towards Democracy?, Palgrave Macmillan, , 602 p. (ISBN 978-0-312-22717-3), p. 93-96
  19. (en) Joseph Liow et Michael Leifer, Dictionary of the Modern Politics of Southeast Asia, Routeledge, , 444 p. (ISBN 978-0-415-62532-6), p. 209-210
  20. (en) Wim Swann, 21st Century Cambodia : View and Vision, Global Vision Publishing House, , 372 p. (ISBN 978-81-8220-278-8), p. 110-115
  21. (en) Ben Kiernan, « Origins of khmer communism », Southeast Asian Affairs, Institute of Southeast Asian Studies,‎ , p. 167-176 (JSTOR 27908428)
  22. Soisick Crochet, Le Cambodge, Éditions Karthala, coll. « MĂ©ridiens », , 272 p. (ISBN 978-2-86537-722-0, lire en ligne), p. 133-134
  23. François Ponchaud, Une BrÚve Histoire du Cambodge, Nantes/Laval, Siloë, , 142 p. (ISBN 978-2-84231-417-0, présentation en ligne), « De la libération à l'occupation (1979 - 1989) », p. 96-97
  24. (en) Ronald Bruce St John, Revolution, Reform and Regionalism in Southeast Asia : Cambodia, Laos and Vietnam, Routledge, coll. « Contemporary Southeast Asia », , 272 p. (ISBN 978-0-415-70184-6), p. 183-186
  25. (en) Russell R. Ross, The KPRP
  26. (en) James Morley et Masashi Nishihara, Vietnam Joins the World, M.E. Sharpe, , 232 p. (ISBN 978-1-56324-974-7, présentation en ligne), « Detaching from Cambodia », p. 146
  27. (en) Sujian Guo, The Political Economy of Asian Transition from Communism, Ashgate Publishing Limited, , 222 p. (ISBN 978-0-7546-4735-5, lire en ligne), « Historical Background and Pre-Transition Models », p. 34-36
  28. (en) David M. Ayers, Anatomy of a Crisis : Education, Development, and the State in Cambodia, 1953-1998, University of Hawai'i Press, , 304 p. (ISBN 978-0-8248-2238-5, présentation en ligne), « The State in Transition - the PRK and the SOC », p. 140-145
  29. (en) David W.P. Elliott, Changing Worlds : Vietnam's Transition from Cold War to Globalization, Oxford University Press, , 448 p. (ISBN 978-0-19-937758-9, présentation en ligne), p. 163-165
  30. (en) Jacques Bekenart, Cambodian Diary : A Long Road to Peace 1987-1993, White Lotus Co Ltd, , 512 p. (ISBN 978-974-8434-16-2), p. 279
  31. Alain Forest (dir.) et al., Cambodge contemporain, Les Indes savantes, , 525 p. (ISBN 9782846541930), partie I, chap. 1 (« Pour comprendre l'histoire contemporaine du Cambodge »), p. 108
  32. (en) David Lea (dir.), Colette Milward (dir.) et al., Political Chronology of South-East Asia and Oceania, Routeledge, coll. « Political Chronology of the World series », , 244 p. (ISBN 978-1-85743-117-9, lire en ligne), p. 32
  33. (en) Alex Willemyns et Mech Dara, « CPP Celebrates 64 Years Since Communist Birth », The Cambodia Daily,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  34. Romain Bertrand, « Cambodge : le carnaval démocratique », Fonds d'analyse des sociétés politiques, (consulté le )
  35. Raoul-Marc Jennar, « L'ONU au Cambodge. Les leçons de I'APRONUC », Études internationales, Institut quĂ©bĂ©cois des hautes Ă©tudes internationales, vol. 26, no 2,‎ , p. 291-314 (ISSN 0014-2123, DOI 10.7202/703457ar, lire en ligne, consultĂ© le )
  36. Dorian Malovic, « Elections au Cambodge : l’opposition unie face Ă  Hun Sen », La Croix,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  37. (en) Allen Hicken (dir.) et Erik Martinez Kuhonta (dir.), Party System Institutionalization in Asia : Democracies, Autocracies, and the Shadows of the Past, New York, Cambridge University Press, , 374 p. (ISBN 978-1-107-04157-8, présentation en ligne), « Party and Party System Institutionalization in Cambodia », p. 219
  38. « Cambodge ‱ PercĂ©e de l'opposition dans des Ă©lections contestĂ©es », Courrier international,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  39. (km) « សមាជិកគណបក្សប្រជាជនកម្ពុជា », sur គណបក្សប្រជាជនកម្ពុជា - Parti du peuple cambodgien (consultĂ© le )
  40. Les 8 plumes, « Sihanouk le roi insubmersible de Jean-Marie CambacĂ©rĂšs et Un pĂšlerin d’Angkor de Pierre Loti », L'Express,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  41. François Ponchaud et Dane Cuypers, L'impertinent du Cambodge : Entretiens, Magellan & Cie, coll. « Les Ancres contemporaines » (no 2), , 180 p. (ISBN 978-2-35074-238-0), p. 174
  42. Gregory Mikaelian et Alain Forest (dir.), Cambodge contemporain, Les Indes savantes, , 525 p. (ISBN 9782846541930), partie II, chap. 2 (« Pour une relecture du jeu politique cambodgien : le cas du Cambodge de la reconstruction (1993-2005) »), p. 158-159
  43. (en) Kay Kimsong, « Nguon Soeur Advocates Solitary CPPRule », The Cambodia Daily,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  44. (en) Jason Barber, « Mouly's history : the disputes that split a party », Phnom Penh Post,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  45. « Un ministre cambodgien en visite Ă  Lesneven », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  46. « Élections au Cambodge : le Parti des droits de l'Homme, un outsider Ă  prendre au sĂ©rieux ? », Ka-Set,‎
  47. Gregory Mikaelian et Alain Forest (dir.), Cambodge contemporain, Les Indes savantes, , 525 p. (ISBN 9782846541930), partie II, chap. 2 (« Pour une relecture du jeu politique cambodgien : le cas du Cambodge de la reconstruction (1993-2005) »), p. 159-160
  48. The Phnom Penh Post 30 juillet 2018
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.