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Najia Mehadji

Najia Mehadji, née en 1950 à Paris d'un père marocain et d'une mère française, est une artiste franco-marocaine. Elle vit et travaille entre Paris et Lamssasa(près d' Essaouira)

Najia Mehadji
Najia Mehadji lors de l'exposition « 20 ans d'œuvres » à l'Atelier 21.
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Sa double origine l'amène à créer très tôt dans ses œuvres une synthèse entre cultures occidentale et orientale et à s'ouvrir à d'autres expressions comme la performance et la musique dans un processus expérimental.

Le travail de Najia Mehadji peut se diviser en plusieurs grandes périodes de création. Après des peintures d'empreintes (1980-1990) influencées par la musique contemporaine, puis des peintures/dessins, monochromes sur tissu de lin, aux formes symboliques universelles (1990-2010). Elle développe depuis 2010 des œuvres centrées sur le geste en s'inspirant de la calligraphie orientale, du soufisme et de la danse. Elle crée ainsi sa propre écriture tout en lignes continues et dynamiques, dans une performance physique et mentale. Elle réalise parallèlement des oeuvres numériques engagées contre la barbarie de la guerre (notamment sur le sort des femmes) et contre la peine de mort dans le monde .

Biographie

Najia Mehadji est une artiste reconnue internationalement pour avoir exposé depuis les années 1980 dans plusieurs grands musées dont celui du centre Pompidou à Paris (exposition collective), le musée de l'Institut du monde arabe à Paris (expositions collectives), les musées des beaux arts de Caen et de Poitiers (expositions personnelles en 1986 et 1987), le musée de Montbéliard (expositions collectives), le musée d'art moderne de Céret (rétrospective en 2018), le musée de Gajac (rétrospective en 2019), le MACAAL à Marrakech (expositions collectives), la villa des arts de Casablanca et de Rabat (rétrospective en 2019) le musée d'art moderne et contemporain Mohammed-VI à Rabat (expositions collectives).

Années 1970

Najia Mehadji étudie à l'école des Beaux Arts de Paris et obtient, au milieu des années 1970, une maîtrise d’arts plastiques et d’histoire de l’art à Paris I sur Paul Cézanne, ainsi qu’une licence de théâtre à Paris VIII. Cette dernière lui donne l’occasion de travailler avec Peter Brook et le Living Theatre, groupe d’avant-garde engagé ouvert aux cultures dites « extra-européennes » et à la performance, avec lesquels elle explorera un travail inédit sur le corps et le geste qui marquera profondément sa démarche picturale en lui donnant une singularité et un style inédits.

Durant ces années de recherche, elle effectue des performances avec des instrumentistes en musique contemporaine, dessinant sur de grandes feuilles de papier préalablement sonorisées par des microcontacts, notamment au CAPC de Bordeaux en 1979. Elle fréquente, à la même époque, le collectif Femmes/Art[1] et participe à la revue de femmes Sorcières où elle publie ses premiers dessins en noir et blanc rappelant l'aspect vibratoire d'un sonogramme. Elle enseignera de 1973 à 1980 au conservatoire expérimental de musique de Pantin, crée en 1968, ou elle donnera des cours en collaboration avec des compositeurs de musique contemporaine sur la relation entre son et dessin, timbre et diagramme.

Années 1980

Pendant la période des années 1980-90, elle est représentée par la galerie Montenay à Paris et par la galerie L'Atelier à Rabat.

En 1985, elle part un an à Essaouira avec une bourse « Villa Médicis Hors les murs » et y retournera régulièrement jusqu'à y installer un atelier. C’est durant ce séjour qu’elle peint ses premières toiles autour du mythe d’Icare, « symbole de la prise de risque de toute liberté », sur de grandes toiles brutes où se juxtaposent l’empreinte de gestes corporels et des collages transparents aux formes géométriques très architecturées : ces œuvres sont montrées pour sa première exposition personnelle aux musées des beaux arts de Caen et de Poitiers en 1986-87 et figurent aujourd'hui dans plusieurs collections muséales prestigieuses dont celle du Centre Pompidou à Paris.

Années 1990

En 1991-92 elle crée une série d'œuvres géométriques à partir de polyèdres en référence au Timée de Platon : les Rhombes. Puis de 1993 à 1995, réagissant aux crimes de guerre commis contre les Bosniaques en ex-Yougoslavie, elle crée la série des Coupoles, qui atteste de son intérêt pour les formes universelles dans l’architecture (notamment l’octogone), tout en faisant référence à la représentation de la cosmologie dans les arts de l’Islam. Plus tard, en 2005, elle reviendra sur ce drame avec les œuvres numériques War Flower.

En 1998, elle enseigne le dessin à l'École nationale supérieure des beaux arts de Paris en tant qu'artiste invitée pour l'année par son directeur Alfred Pacquement.

Années 2000

À partir de 1996 et pendant une quinzaine d'années, Najia Mehadji dessine sur des toiles brutes de grand format avec des craies à l’huile de couleur intense ses célèbres peintures/dessins monochromes issues de formes et thèmes symboliques universaux tels que la sphère, l'arborescence (ou arbre de vie), la fleur de Grenade, la pivoine, etc. qu’elle décline en autant de « structures de flux » captant aussi bien l’éphémère de la vie, le passage, que la notion d'infini ou encore la dualité entre Eros et Thanatos.

Elle change de technique en 2010 en peignant avec un très large pinceau des lignes courbes en « arabesques » très lumineuses sur fond noir. Elle invente ainsi une gestuelle singulière qui deviendra sa marque dans un geste continu et dynamique, en expansion, incarnant la synthèse du corps et de la pensée.

Parallèlement à sa pratique de la peinture et du dessin, poursuivant son engagement contre les violences de la guerre, notamment contre les civils et les femmes, elle crée, à partir de 2005, des œuvres numériques en y intégrant des détails agrandis de gravures de Goya (La Tauromachie et Les Désastres de la guerre) au sein de peintures de fleurs fluorescentes — dans une tension entre vie et mort, opposant la beauté à la barbarie.

Années 2010

Pendant une dizaine d'années, elle crée de nouvelles séries de peintures et d'images numériques de grand format qui donnent un aspect sculptural à ses gestes en les dynamisant : ce sont les Volutes, Arabesque,Mystic Dance, Enroulement, Vague, dont les lignes continues, la gestualité libre, et les références à la calligraphie orientale et au soufisme, sont autant de propositions formelles qui lui permettent de s'approprier, en tant que femme et de façon personnelle, des pratiques habituellement dévolues aux hommes.

Elle invente ainsi une peinture et un style libérés de toute tradition . Elle peint également une série d'œuvres d'après la toile L'Espolio du Greco, puis en référence à la célèbre sculpture La Valse de Camille Claudel ou encore à la danse toute en volute de Loïe Fuller.

Elle passe ensuite du rythme révélateur du drapé à la métaphore soufie de la vague dans son mouvement de flux et de reflux avec ses séries Blue Wave (2016), Vague (2017) et Chute (2018).

Années 2020

En 2020 et 2021 en pleine pandémie du Covid-19, elle réalise les œuvres Ligne de vie et Liberté, j'écris ton nom en hommage au poème de Paul Éluard et contre toute forme d'enfermement.

Une partie de ces œuvres figurent dans l'exposition collective contre la peine de mort Le Droit de vivre au musée d'Art et de Culture de Marrakech, puis à la TGCC à Casablanca,ainsi que dans l'exposition personnelle Ligne de vie à la galerie l'Atelier 21 à Casablanca en -janvier 2022.

En 2022, elle crée l'ensemble d'œuvres intitulées W&W (pour " War and Women ") en peignant sur de grandes sérigraphies de 200 x 150 cm réalisées à partir d'images de destructions d'immeubles et de visages de femmes dans les guerres contemporaines.

Vie artistique

Ses principales expositions personnelles ont eu lieu, en France, aux musées des beaux-arts de Poitiers, de Caen, d’Épinal, de Céret et de Villeneuve-sur-Lot ; à la galerie Montenay (Paris), Claude-Lemand (Paris) et La Navire (Brest). Au Maroc, à la galerie nationale Bab-Rouah (Rabat) ; à l’espace Actua de l’Attijariwafabank (Casablanca) ; à la galerie Delacroix (Tanger) ; à la galerie Shart et à la galerie l'Atelier 21 (Casablanca) ; à la villa des arts de Casablanca et de Rabat ainsi que dans les instituts français d'Essaouira, de Rabat, de Fès et de Tétouan. En Tunisie, à la galerie Le Violon bleu (Sidi Bou Said). Elle a également exposé à Amman en Jordanie (Fondation Shoman), à la foire de Bâle, à l’Arco de Madrid, à l'Alliance française de New York, à l'institut français de Bamako au Mali et dans de nombreuses autres institutions dans le monde.

Elle participe en 2009 à l'exposition elles@centrepompidou au musée national d'Art moderne du centre Georges-Pompidou (Paris) qui révélera sa série de dessins Fleur de Grenade, et celle de Traversées à Rabat avec ses War Flower.

En 2010, à la Foire d'art contemporain de Dubaï, à l'exposition Résonances au musée de Marrakech ainsi qu'à Marrakech Art Fair avec la galerie Shart de Casablanca.

En 2011, Ă  l'exposition collective Architectures/Dessins/Utopies au musĂ©e national d'art contemporain de Bucarest ; Ă  Nature et Paysages Ă  l'espace d'art de la SociĂ©tĂ© gĂ©nĂ©rale de Casablanca ; et Ă  Drawing Now Paris au Carrousel du Louvre. Elle expose dans Sens & Essences Ă  l'institut français de New York et Ă  la villa Roosevelt Ă  Casablanca sa sĂ©rie Mystic Dance.

Elle est l'une des artistes présentes à « Traits d'Union - Paris et l'art contemporain arabe » à la villa Emerige à Paris : exposition muséale réalisée par la revue Art absolument regroupant une douzaine d'artistes, qui sera présentée également à Beyrouth, Sanaa, et Rabat.

En 2012-2013, elle expose à la galerie Shart, à Casablanca ; à Proche à la galerie Albert Benamou à Paris et à Art Paris Art Fair. Elle expose ses œuvres numériques Mystic Dance à 25 ans de créativité arabe à l'Institut du monde arabe qui ira ensuite à Emirates Palace à Abu Dhabi, et à Manama au Barheïn.

Elle participe en 2013 à la vente aux enchères Syriart, à Paris et à Beyrouth, pour soutenir les victimes civiles du peuple syrien en révolte.

Début 2014 elle fait une exposition personnelle New Arabesque à la galerie Le Violon bleu à Tunis. Elle participe à Art Dubai (Selma Feriani Gallery Londres) ainsi qu'à Art Paris Art Fair (galerie Claude-Lemand, Paris). En été 2014, sa série d'œuvres numériques Suites goyesques ; Tauromachie sont montrées au musée d'art moderne de Céret dans Le Peintre et l'Arène : art et Tauromachie de Goya à Barceló[2]. Elle participe à l'exposition inaugurale du musée Mohammed VI d'art moderne et contemporain de Rabat « 1914-2014, 100 ans d'art au Maroc », ainsi qu'à celle de l'Institut du monde arabe à Paris, « Le Maroc contemporain ». En , elle expose 20 ans d'œuvres à la galerie l'Atelier 21 à Casablanca qui lui organise sa première rétrospective au Maroc. Elle est présentée à Art Paris Art Fair, au Grand palais, par la galerie Claude-Lemand. En 2016 elle inaugure le MACMA à Marrakech avec l'exposition Najia Mehadji / Mahi Binebine : Face à l'Histoire et participe à l'exposition Femmes artistes marocaines de la modernité 1960\2016 au musée d'art moderne et contemporain Mohammed-VI à Rabat.

En 2018, une rĂ©trospective[3] de son Ĺ“uvre se tient au musĂ©e d'art moderne de CĂ©ret, en France[4] pendant quatre mois (du au ) et remporte un grand succès avec plus de 35 000 visiteurs. Par ailleurs une exposition personnelle L'invention du geste a lieu Ă  la galerie l'Atelier 21[5], Ă  Casablanca en octobre. La donation France et Claude Lemand inaugurĂ©e le fait entrer 17 Ĺ“uvres majeures de l'artiste au musĂ©e de l'Institut du monde arabe Ă  Paris.

En 2019 une nouvelle rétrospective de son œuvre a lieu simultanément aux Villas des arts de Casablanca et de Rabat[6]. Le musée de Gajac à Villeneuve-sur-Lot[7] lui organise une importante exposition personnelle, Le Temps de la ligne durant l'été. Elle est présentée également dans des expositions collectives au musée des Beaux arts de Rennes Créatrices, l'émancipation par l'art, et au musée Camille-Claudel à Nogent sur Seine À rebrousse Temps. En elle expose à la galerie Le Violon bleu à Sidi Bou Said Les Fleurs du temps, une exposition rétrospective dont le fil conducteur est le motif de la fleur comme symbole de paix et de volupté en contrepoint aux violences contemporaines.

En , elle montre des œuvres numériques Mystic Dance et Arabesque à Art Paris Art Fair, au Grand Palais sur le stand de la galerie Véronique-Rieffel (Paris/Abidjan). Les œuvres Ligne de Vie réalisées pendant le confinement sont un hymne à la vie et seront montrées à la galerie l'Atelier 21[8] à Casablanca en juin ainsi qu'en ligne à la foire d'art contemporain africain AKAA (galerie Véronique-Rieffel)

En 2021, elle crée la série d'œuvres Liberté j'écris ton nom pour une exposition contre la peine de mort, qui juxtapose des sérigraphies de grand format à exemplaire unique et des lignes sinueuses qui expriment aussi le désir de liberté face à l'enfermement lié à la pandémie de Covid-19. Une rétrospective de ses œuvres numériques White Dance se tient à la chapelle des Dames blanches à La Rochelle en juin/juillet. Elle expose en septembre les peintures Ligne de vie dans l'espace de la galerie Véronique-Rieffel à Art Paris/Art Fair au Grand Palais éphémère. Puis dans l'exposition pour l'abolition de la peine de mort Le Droit de vivre au MACMA de Marrakech d' à et à la TGCC à Casablanca jusqu'à fin .

En 2023 elle participe ,au musée Mohammed VI de Rabat, à l'exposition Modernités Arabes,collections de l'Institut du monde arabe,Paris.

Puis à Arco Lisboa Art Fair sur le stand de la galerie l 'Atelier 21 avec les oeuvres W&W qu'elle montre pour la première fois.

Les œuvres de Najia Mehadji sont présentes dans de nombreuses collections publiques dont une salle au musée d'art moderne et contemporain Mohammed-VI à Rabat, au musée national d'Art moderne (centre Pompidou)[9] à Paris, à l'Institut du monde arabe[10] à Paris, au musée des beaux arts de Caen, au musée de Montbéliard, au musée d'art moderne de Céret, au musée de Gajac (Villeneuve-sur-Lot) ainsi que dans les collections marocaines de la Société générale à Casablanca, de la Fondation ONA à Rabat, de l'Attijari Waffabank à Casablanca, de l'OCP à Casablanca, du MACAAL à Marrakech et de la TGCC à Casablanca.

Expositions Personnelles

  • Entre ciel et terre, galerie nationale Bab-Rouah, Rabat, 2008
  • Fleur flux, galerie La Navire Brest, 2009
  • Najia Mehadji – Mark Brusse, galerie La Navire, Brest, 2010
  • Mystic Dance, espace Art Roch, Paris, 2012
  • It Smells Like Freedom, Anima Gallery Lounge, Doha, Qatar, 2012
  • Accrochage 1, Ĺ“uvres musĂ©ales de l’artiste : 2001/2013, La rĂ©serve, Lamssasa, Essaouira, 2013
  • DrapĂ©s, galerie La Navire, le Quartz, Brest, 2013
  • AnnĂ©es 2000, espace Claude-Lemand, Paris, 2013
  • New Arabesque, galerie le Violon bleu, Tunis, 2014
  • Najia Mehadji - Flower power, espace Gainville, Aulnay-sous-Bois, 2015
  • 20 ans d'Ĺ“uvres, galerie d'art l'Atelier 21, Casablanca, 2015
  • Najia Mehadji, gouaches rĂ©centes, 2010/2013, espace Claude-Lemand, Paris, 2016
  • Najia Mehadji - Gnawa Soul, institut français d'Essaouira, 2017
  • Invention du geste, galerie l'Atelier 21, Casablanca, 2018
  • Najia Mehadji. La trace et le souffle, musĂ©e d'art moderne, CĂ©ret, 2018
  • Les Fleurs du temps, galerie Le Violon bleu, Sidi Bou SaĂŻd, 2019
  • Le Temps de la ligne, musĂ©e de Gajac, Villeneuve-sur-Lot, 2019  
  • Le Flux et la Danse, 2011-2018, villa des arts de Rabat, Rabat, , 2019
  • Le Trait et la Forme, 1985-2018, villa des arts de Casablanca, Casablanca, 2019
  • Najia Mehadji - Ligne de Vie, galerie L'Atelier 21, Casablanca, , 2021
  • White Dance, La Chapelle des Dames blanches, La Rochelle, 2021

Bibliographie

  • Najia Mehadji, Édition Somogy, 2008. Textes d'Alain TapiĂ©, Christine Buci-Glucksmann, Jean-Louis Baudry, Mohamed Rachdi et Henri-François Debailleux. 160 pages, textes français/anglais, 130 illustrations couleur.
  • Revue Ă©toiles d'encre no 42, 2010, « CĂ©lĂ©bration », entretien avec Peggy Inès Sultan
  • Monographie Najia Mehadji , Les Éditions Art Point, collection Moroccan Art Books, 2012 : textes de Pascal Amel, RĂ©mi Labrusse, VĂ©ronique Rieffel, Christine Buci-Glucksmann, Ghita Triki, Philippe Piguet, Anne Dagbert, Peggy Inès Sultan, Mohamed Rachdi, Henri-François Debailleux. 280 pages, 10 textes français/anglais, 330 illustrations couleur.
  • La rĂ©vĂ©lation du geste, Édition Somogy, 2011, Textes de Pascal Amel, VĂ©ronique Rieffel, Abdelwahab Meddeb, RĂ©mi Labrusse et Christine Buci-Glucksmann. 160 pages, textes français/anglais.
  • Najia Mehadji, La trace et le souffle, Co-Ă©dition Édition Somogy / MusĂ©e d'art moderne de CĂ©ret, 2018. Textes de Pascal Amel, Christine Buci-Glucksmann, Nathalie Galissot, Mohamed Rachdi.
  • Sur les traces d'EmpĂ©docle, 60 poèmes de Pascal Amel et 60 dessins en noir et blanc de Najia Mehadji. 134 pages, Editions Mare Martin (Paris), 2019.
  • Catalogue des expositions Le trait et la forme 1985-2018 Ă  Villa des arts de Casablanca et Le flux et la danse 2011-2018 Ă  Villa des arts de Rabat (Textes de N. Gallissot, B. Azami, C.Buci-Glucksmann et M. Rachdi), 2019, Fondation ONA

Notes et références

  1. « Le collectif Femmes/Art à Paris dans les années 1970 : une contribution à l'étude du mouvement des femmes dans l'art - Les Pénélopes », sur penelopes.rezo.net (consulté le )
  2. Le peintre et l'arène : art et Tauromachie de Goya à Barceló
  3. Samantha Deman, « Du geste de Najia Mehadji naît la résistance », sur ArtsHebdoMédias, (consulté le )
  4. Tom Laurent, « Najia Mehadji, Danser la peinture », art absolument,‎ (ISSN 1634-6556)
  5. « Exposition de l’artiste Najia Mehadji «L’invention du geste» à L'Atelier 21 - Arts & Culture », sur Plurielle, (consulté le )
  6. « Najia Mehadji : l’insoutenable légèreté du geste ! | Challenge.ma », sur www.challenge.ma (consulté le )
  7. « Villeneuve-sur-Lot. La pureté de la ligne de Najia Mehadji », sur ladepeche.fr (consulté le )
  8. Nadia Ouiddar, LE MATIN, « Najia Mehadji présente «Ligne de vie» à L'Atelier 21 », sur Le Matin (consulté le )
  9. centre Georges Pompidou
  10. Institut du Monde Arabe

Liens externes

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