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Monthureux-sur-Saône

Monthureux-sur-Saône est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.

Monthureux-sur-Saône
Monthureux-sur-Saône
Au cœur commerçant du village.
Blason de Monthureux-sur-Saône
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Neufchâteau
Intercommunalité Communauté de communes des Vosges côté Sud Ouest
Maire
Mandat
Pierre Sylvestre
2020-2026
Code postal 88410
Code commune 88310
Démographie
Gentilé Monthurolais, Monthurolaises
Population
municipale
896 hab. (2020 en augmentation de 4,92 % par rapport à 2014)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 01′ 50″ nord, 5° 58′ 23″ est
Altitude 253 m
Min. 238 m
Max. 339 m
Superficie 19,02 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Darney
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Monthureux-sur-Saône
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Monthureux-sur-Saône
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Monthureux-sur-Saône
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Monthureux-sur-Saône
Liens
Site web www.monthureux.fr

    Ses habitants sont appelés les Monthurolais.

    Géographie

    Localisation

    Le village de Monthureux s'allonge en une rue sur l'échine gréseuse d'un très étroit lobe de méandre de la Saône. De nombreux ponts s'en échappent : pont du Faubourg et pont des Prussiens au sud, pont Colas puis pont de la Perche au nord. La commune se complète des quelques hameaux : Mont de Savillon sur la D 480 en direction de Saint-Julien à l'ouest, le Ricageot, le quartier de la Gare et la zone industrielle à l'est. Vittel est à 28 km, Épinal à 50 km.

    Communes limitrophes de Monthureux-sur-Saône
    Bleurville Attigny
    Saint-Julien Monthureux-sur-Saône Claudon
    Godoncourt Regnévelle Martinvelle

    Géologie et relief

    La forêt s'étend sur 762 ha : bois de la Mause, de Chat Clairey, Bois ban, devant le Château, de la Poste tétiote.

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin versant de la Saône au sein du bassin Rhône-Méditerranée-Corse. Elle est drainée par la Saône, la Mause, le fossé Sauvage, le ruisseau de la Deuille, le ruisseau de la Gouine, le ruisseau de la Voivre et le ruisseau de Préfonrupt[Carte 1].

    La Saône prend sa source à Vioménil au pied du Ménamont, au sud des monts Faucilles à 405 m d'altitude. Elle conflue avec le Rhône à Lyon, à l'altitude de 163 mètres après avoir traversé le val de Saône[1].

    La Mause, d'une longueur totale de 16,7 km, prend sa source dans la commune de Gignéville et se jette dans la Saône sur la commune, après avoir traversé cinq communes[2].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Monthureux-sur-Saône.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe des Grès du Trias Inférieur ». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux[Note 1] de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges[3].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Urbanisme

    Typologie

    Monthureux-sur-Saône est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [4] - [5] - [6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (47,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,5 %), prairies (29 %), zones agricoles hétérogènes (13,1 %), zones urbanisées (8,3 %), cultures permanentes (2,2 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Le nom de Monasteriolum (petit monastère, église) n'est pas attesté avant la fin du IXe et début du Xe siècle. Ensuite, on trouve les formes Monstreuil au XIVe siècle, puis Montreuil, Montreux, Montureux. La graphie avec H est due à l'erreur d'un copiste sur un document qui, en 1628, écrivit Montheureux.

    Histoire

    Inscription funéraire gallo-romaine dédiée à Sextius Juventus.
    Musée départemental d'art ancien et contemporain d'Épinal.

    L'origine de Monthureux-sur-Saône n'est pas connue avec certitude. Il est probable qu'à l'époque gauloise, l'emplacement qu'il occupe aujourd'hui était recouvert par la forêt[11].

    Lorsque l'on évoque Monthureux, on se réfère souvent au cimetière gallo-romain et au château féodal. En fait, le site était habité depuis longtemps lorsque les Romains firent la conquête de la Gaule[12]. Le territoire de Monthureux est bordé au nord par celui de Bleurville sur lequel fut découvert au XIXe siècle, au centre du village actuel, une importante villa gallo-romaine dotée de bains de grandes dimensions.

    Le territoire des Lingons, capitale Langres, auquel appartenait Monthureux, s'étendait jusqu'à la Saône supérieure et l'immense forêt de Darney.

    L'armée romaine fit construire de nombreuses voies militaires (une voie romaine venant de Langres passait par Monthureux et se dirigeait vers Baccarat). Peu à peu, les indigènes celtes se romanisèrent pour devenir des Gallo-romains.

    Au Bas Empire commence l'installation de lètes et de colons germaniques, puis la conquête proprement-dite par les Francs et les Burgondes qui se disputent la région. Les noms en -court, puis en -ville, -velle de la région par exemple, montre l'emprise croissante de ces Francs qui se romanisent.

    Il est probable qu'à l'époque, le seul endroit habité devait être les plateaux et les pentes de la Vignotte.

    Il faut s'arrêter et flâner le long des rues ou des ruelles pour découvrir un autre aspect du bourg. : les vestiges de son passé lointain qui racontent une histoire vieille de près de 2000 ans.

    C'est dans le hall de la mairie que l'on peut voir les témoins de cette époque : des stèles gallo-romaines datant du Ier siècle de notre ère. Des fouilles faites à la Vignotte au début du siècle, ont mis au jour des sarcophages recelant des objets précieux (collection privée et musée d'Epinal). On trouve encore des traces de voies romaines et le Pont du diable au pied de la côte Sainte-Anne.

    Après un grand saut dans le temps, nous trouvons le souvenir du monastère qui a donné son nom à la bourgade : Monasteriolum (devenu Monstreuil) puis Montreux et enfin Monthureux, il pourrait remonter à l'époque carolingienne.

    L'église actuelle, qui fut celle du prieuré, a été agrandie et entièrement refaite au XVIe siècle. Cependant on distingue encore le tracé de grandes arcades romanes (XIe) sur le mur extérieur nord qui domine la rue.

    Du prieuré lui-même, il ne subsiste plus que deux piliers ronds et massifs qu'encadrent la porte-cochère située au pied du vieil escalier de pierre conduisant à l'ancien cimetière.

    Dépendant de l'abbaye de Luxeuil, le prieuré bénédictin possédait la partie est de Monthureux, la plus ancienne, où l'on peut encore voir le puits qui a donné son nom à la "rue du Puits-Châné" (puits à chaîne), la maison du guetteur avec sa fenêtre d'angle et de très belles portes à frontons.

    La rue du Gros-Tilleul a un ensemble de fermes bien lorraines avec portes de granges et œils de bœuf, sans oublier la goulotte de la pierre à eau et le traditionnel usoir entre maison et rue.

    Du pont près de la place (ancien pont-levis), on voit encore très bien la base des trois tours qui furent démantelées par les Suédois en 1635. Au pied du château se pressaient des petites maisons en partie troglodytes dont plusieurs cavités sont encore visibles dans la roche. La place toute fleurie, forme un ensemble autour de sa fontaine ronde à étages. Elle se prolonge par une allée bordée de tilleuls qui fut le promenoir des Moines au XVIIe. Tout au bout de cette allée, le couvent des Tiercelins a gardé de beaux vestiges.

    Politique et administration

    L'hôtel de ville.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1862 1873 Édouard Bresson Propriétaire d'une filature.
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1876 mars 1911 Édouard Bresson Centre gauche (1876-1885)
    Union des gauches (1885-1889)
    puis proche Républicains progressistes
    Député des Vosges (1876-1889)
    Conseiller général du canton de Darney (1870-1907)
    1911 1919 Théophile Cœurdacier (1869-1934)
    1919 1923 Bernard Bliquez
    1923 1925 Henri Gérard
    1925 1929 Théophile Cœurdacier (1869-1934) Conseiller général du canton de Monthureux-sur-Saône (1928-1934)
    1929 1937 Léon Poupé
    1937 1947 Robert Bellin (1894-1980) Radical Conseiller général du canton de Monthureux-sur-Saône (1945-1949)
    1947 1959 Léon Lambert
    1959 mars 1977 Jean Cayotte (1902-2001) DVD Médecin
    Conseiller général du canton de Monthureux-sur-Saône (1961-1979)
    Conseiller régional (1974-1979)
    mars 1977 mars 1983 Rolande Lambert (1915-2012) DVG Retraitée de l'Éducation nationale (proviseur dans l'Orne)
    mars 1983 mars 2008 Henri Didier (1940-) UDF-PR Chef d'entreprise
    Conseiller général du canton de Monthureux-sur-Saône (1979-1992)
    Conseiller régional (1985-1991)
    mars 2008 En cours
    (au 18 février 2015)
    Raynald Magnien Modem Conseiller en gestion et management

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[14].

    En 2020, la commune comptait 896 habitants[Note 3], en augmentation de 4,92 % par rapport à 2014 (Vosges : −2,99 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
    1 3401 3511 4141 4241 6181 7951 7811 6931 594
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 6011 6561 5161 5341 5081 5881 5141 5111 364
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 3531 2841 1561 2171 1031 1101 0931 0861 085
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
    1 1661 1561 1111 0651 004959948938854
    2019 2020 - - - - - - -
    909896-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[16].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Michel[17] et son orgue[18] et son sépulcre "mise au tombeau" de l'école rhénane[19] .
    • De nos jours le couvent de Monthureux subsiste encore, vendu avec les biens nationaux à la Révolution, il abrita pendant près de deux siècles une communauté de moines tiercelins. Il est aujourd'hui visible au bout de l'allée des Moines (le long de la départementale 460).
    • Château de Monthureux (IXe siècle), vestiges[20].
    • Projet de Parc Naturel Régional, Vosges/Haute-Saône/Haute-Marne. Lorraine/Franche-Comté/Champagne-Ardenne[21].
    • Monument aux morts[22].
    • Les jardins du Presbytère - Chaque été la Cie l'Odyssée y organise pendant 1 semaine de grands spectacles populaires. En 2018 : "Don Camillo, la mystérieuse prophétie" du 7 au .

    Galerie

    • Mise au tombeau (détail)
      Mise au tombeau (détail)
    • Intérieur de l'église et orgue (XIXe MH)
      Intérieur de l'église et orgue (XIXe MH)
    • Mise au tombeau de l'école Rhénane (XVe MH)
      Mise au tombeau de l'école Rhénane (XVe MH)
    • Notre dame des 12 étoiles (XVIe MH)
      Notre dame des 12 étoiles (XVIe MH)
    • Mise au tombeau (détail)
      Mise au tombeau (détail)

    Personnalités liées à la commune

    • Charles Lévy (1805-1872), né à Monthureux-sur-Saône et mort à Bains-les-Bains, dépose un brevet pour une machine à clou dont l'usage améliora la production. Une rue de Bains-les-Bains porte son nom[23].
    • Christian Kiener (1807-1896) a dirigé une importante filature à Monthureux-sur-Saône. Il a été conseiller général des Vosges pour le canton de Monthureux-sur-Saône de 1871 à 1886, et sénateur des Vosges de 1882 à 1896, date de sa mort. Élu en , membre de la chambre de commerce des Vosges créée par décret du il a assuré sa présidence de 1867 à 1877.
    • Édouard Bresson (1826-1911), député des Vosges, ancien maire
    • Charles Godard (1827-1899) est né à Monthureux-sur-Saône le . Ancien élève de l'école des Beaux-Arts, il travaille à l'agence des travaux diocésains de Langres et est connu de Viollet-le-Duc. Il est nommé inspecteur des édifices diocésains de Langres le . Il est nommé membre du conseil des bâtiments civils de la Haute-Marne et officier d'académie le . Il a construit neuf églises en Haute-Marne, deux églises dans la Haute-Saône, la chapelle des Dominicains et la maison des Dames de Saint-Maur de Langres, des écoles, des fontaines et a dirigé divers chantiers de restauration.
    • Maurice Jacob, né le à Paris et décédé à Monthureux-sur-Saône en 1932. Il vécut à Villenauxe-la-Grande, fut notaire jusqu'en 1913 puis se maria et, tout en poursuivant une activité de journaliste à Paris, il devint rédacteur en chef de la revue du Monde Illustré. Il habita rue du Château et s'éteignit auprès de son épouse née Brouland, modiste, qui lui survécut jusqu'en 1935.
    • Jules Boiteux né à Saint-Ouen-lès-Parey le et mort à Nancy le . Issu d'une famille de sculpteurs, fils de Pierre Jules Boiteux et de Marie Lorange, Jules Boiteux arrive à Nancy pour travailler dans les ateliers de Majorelle où il se spécialise dans la sculpture sur bois. Il passe ensuite chez Émile Gallé. Dans le style art nouveau dit de "l'École de Nancy", il exécute un grand nombre de travaux dont les façades des magasins aujourd'hui disparues. Deux témoins de son art sont encore conservés à Nancy : la vitrine de la boulangerie Wursthom rue des Dominicains et le plafond, classé, de la brasserie de l'Excelsior. Puis il est engagé comme chef de l'atelier créé par Jules Cayette et se spécialise dans le mobilier religieux. Il est le restaurateur de la piéta de l'église de Senonges. Il a longtemps habité à Monthureux-sur-Saône avec sa fille Simone où sa maison existe toujours, rue du Gros-Tilleul. Il est enterré à Monthureux.
    • Colonel Marie, fils adoptif de Maurice Jacob. Né dans le Calvados le , il devint en 1918, à 23 ans, pilote d'aviation. Ses actes de bravoure pendant la grande guerre lui valut la Médaille militaire et la Croix de guerre, de capitaine il devint colonel et le titre de commandeur de la Légion d'honneur lui fut accordé. On retrouve une photographie de lui avec le capitaine Jean Baradez convoyant un avion Farman 192 destiné à être offert au négus éthiopien pour son couronnement en 1930. Décédé le , il repose aux côtés de ses parents "adoptifs" le couple Jacob.
    • Henri Poincelot (1902-1980), né à Monthureux-sur-Saône et mort à Vittel. Homme politique et sénateur sous la IVe République, il est l'une des figures phare de la résistance vosgienne[24].

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    D'azur, à trois losanges d'or, ordonnés 2 - 1 et chargés d'un M antique de gueules.
    Commentaires : Ce sont les armes de Guillaume, sire de Monstreuil, que l'on peut déjà voir sur un sceau de 1321.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une zone de répartition des eaux est une zone comprenant les bassins, sous-bassins, fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères définis dans le décret du 29 avril 1994, où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle des ressources par rapport aux besoins.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Monthureux-sur-Saône » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )

    Références

    1. Sandre, « la Saône »
    2. Sandre, « la Mause »
    3. « SAGE Nappe des Grès du Trias Inférieur », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Origine de Monthureux sur Saône
    12. La région de Monthureux : géographie et histoire
    13. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    14. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    17. Les curiosités
    18. Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 395 à 397
      Présentation de l'orgue de l’église Saint-Michel sur la commune de Monthureux-sur-Saône
      .
    19. Francis Salet, « Le sépulcre de Monthureux-sur-Saône », Bulletin Monumental, vol. 124, no 4, , p. 419–420 (lire en ligne, consulté le )
    20. Revue historique de la Lorraine
    21. Projet de Parc Naturel Régional
    22. Monument aux morts, Conflits commémorés 1914-1918 et 1939-1945
    23. « Biographie de Charles Lévy », sur le site personnel de Bernard Visse (consulté le ).
    24. « Biographie de Henri Georges Poincelot », sur le site personnel de Bernard Visse (consulté le ).
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