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Monnières (Loire-Atlantique)

Monnières est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Monnières
Monnières (Loire-Atlantique)
L'église Sainte-Radegonde.
Blason de Monnières
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Intercommunalité Clisson Sèvre et Maine Agglo
Maire
Mandat
Benoît Couteau
2020-2026
Code postal 44690
Code commune 44100
Démographie
Gentilé Monnièrois
Population
municipale
2 316 hab. (2020 en augmentation de 12,37 % par rapport à 2014)
Densité 237 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 07′ 57″ nord, 1° 21′ 17″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 61 m
Superficie 9,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Clisson
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Monnières
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Monnières
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Monnières
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Monnières
Liens
Site web http://www.mairie-monnieres.fr/

    Géographie

    Situation de la commune de Monnières dans le département de la Loire-Atlantique.

    Localisation

    Monnières est situé dans le Vignoble nantais, dans la vallée de la Sèvre nantaise, à 20 km au sud-est de Nantes et 10 km au nord-ouest de Clisson.

    Accès et transport

    La commune est traversée dans le sens nord-sud par la route départementale 7 entre Le Pallet et Maisdon-sur-Sèvre et dans le sens est-ouest par la route départementale 76 entre Gorges et Maisdon-sur-Sèvre

    Communes limitrophes de Monnières
    Le Pallet
    Maisdon-sur-Sèvre Monnières Gorges
    Saint-Lumine-de-Clisson

    Géologie

    La Commune de Monnières a une géologie diversifiée. On y trouve principalement du gabbro, des amphibolites, des gneiss, du quartz, de la pegmatite et de la leptynite et aussi quelques roches granits et orthogneiss.

    Hydrographie

    La Sèvre nantaise, affluent de la Loire, sert de limite entre Monnières et les communes du Pallet et de Gorges[1]. Le pont de Monnières est la limite amont de navigabilité de la Sèvre nantaise.

    Climatologie

    Le climat de la Loire-Atlantique, est de type tempéré océanique. L'influence de ce climat est largement facilitée par l'estuaire de la Loire et l'absence de relief notable[2]. Les hivers sont doux (min −5 °C / max 10 °C) et pluvieux et les étés relativement beaux et doux également (min 17 °C / max 35 °C). Les pluies sont fréquentes mais peu intenses. Les précipitations annuelles sont d'environ 820 mm[3] et peuvent fortement varier d'une année à l'autre. Les chutes de neige y sont exceptionnelles.

    Urbanisme

    Typologie

    Monnières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (63,1 %), zones agricoles hétérogènes (18,2 %), prairies (11,3 %), zones urbanisées (6,3 %), forêts (1,1 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme de Molneriis en 1179[11].

    Monnières est située à la limite entre poitevin et gallo. Son nom en gallo est Monierr (écriture ELG)[12].

    La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Meliner[11].

    Histoire

    Antiquité

    Pendant l'Antiquité, Monnières se situe dans le pays des Pictons dans l'Aquitaine seconde.

    Moyen Âge

    Monnières est la commune d'origine de Jean Meschinot. Né au domaine des Mortiers, Jean Meschinot fut écuyer de Pierre II de Bretagne, et participa à la Guerre de Cent Ans. Il fut aussi poète à la cour des ducs de Bretagne écrivant diverses ballades et rondeaux.

    XVIIe siècle

    Au XVIIe siècle, les Barrin de la Galissonnière s’installent au château seigneurial de la Janière. Jacques Barrin étend ses possessions sur plusieurs communes aux alentours. L’un de ses descendants, Rolland-Michel Barrin, devint gouverneur de la Nouvelle-France.

    XVIIIe siècle

    En 1792, dans l’optique du resserrement des paroisses, Monnières se voit amputé de deux tiers de ses habitants au profit de la paroisse du Pallet.

    Pendant les guerres de Vendée, Le , comme beaucoup d’autres paroisses de la région, Monnières est entraînée dans l'insurrection générale. Le château de la Galissonnière devient un quartier général pour les généraux vendéens. En , Charrette y séjourne avant le siège de Nantes. En , Bonchamps et Lyrot et leurs 7 000 combattants de la Grande Armée essayent de stopper le général Canclaux et ses troupes dans leur retraite vers Nantes après la défaite de la Bataille de Torfou. Après un long combat dans les environs du château contre les 15 000 Mayançais de Canclaux, Bonchamps ordonne la retraite sur Aigrefeuille. Un groupe de soldats de républicain traverse la Sèvre et dans leur poursuite des Royalistes, ils incendient le bourg et l’église.

    Le , une des colonnes infernales incendie le château de la Galissonnière puis le bourg de Monnières. En poursuivant vers Saint-Lumine-de-Clisson, ils incendient aussi de nombreux hameaux de la commune.

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    D'azur à l'écusson de gueules chargé d'une grappe de raisin d'argent, accompagné en chef dextre d'une clef versée, en chef senestre d'un moulin à vent, et en pointe d'un papillon, le tout d'or ; au chef d'hermine.
    Commentaires : Le chef d'hermine évoque le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. Le papillon d'or rappelle les armoiries de la Famille Barrin.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    ca. 1920 Pierre Lusseaud[Note 3] Viticulteur, propriétaire
    ca. 1950 1964 Paul de Cornulier-Lucinière[13]
    (1897-1968)
    Ancien capitaine de frégate
    1964
    (décès)
    Henri Gaborit[14] - [Note 4] Viticulteur
    [15]
    (démission)
    Prosper Chéneau Viticulteur
    Albert Méchineau[16] - [Note 5] Viticulteur
    Claude Carteron[Note 6] SE Cadre commercial retraité
    En cours Benoît Couteau[Note 7] SE Chef d'entreprise
    Vice-président Clisson Sèvre et Maine Agglo
    Réélu pour le mandat 2020-2026

    Population et société

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Monnières fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie de Clisson. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[17]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 99 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 1 % dans des zones « très peu denses »[18].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20].

    En 2020, la commune comptait 2 316 habitants[Note 8], en augmentation de 12,37 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1006671 0289781 0951 0349121 0241 079
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0771 0671 0761 0421 0581 0421 000958931
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9018908698139889429208931 004
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    9539411 0191 2351 3791 5431 6911 7141 932
    2015 2020 - - - - - - -
    2 1252 316-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,3 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 127 hommes pour 1 136 femmes, soit un taux de 50,2 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[23]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2
    90 ou +
    0,3
    3,6
    75-89 ans
    5,2
    12,2
    60-74 ans
    13,1
    22,7
    45-59 ans
    19,1
    22,4
    30-44 ans
    25,0
    13,1
    15-29 ans
    14,4
    25,8
    0-14 ans
    23,0
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[24]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Économie

    Monnières dispose d'un parc d'activités : le parc d'activités de la Malvineuse. L'économie de Monnières est essentiellement axée sur l'artisanat et le commerce. On y trouve une activité viticole avec la production de muscadet (muscadet-sèvre-et-maine (AOC) ). Les commerces sont liés aux services de proximité : une boulangerie, un traiteur, un salon de coiffure, un bar, un petit magasin d'alimentation.

    Vie locale

    Monnières dispose de salles municipales, d'une bibliothèque, d'une cantine scolaire, un espace jeunes. une halte-garderie, une micro-crèche, un accueil périscolaire et un centre de loisirs sont à disposition des habitants.

    Un sentier pédestre est accessible sur la commune. Le circuit des Moulins propose au visiteur de parcourir les chemins à travers les vignes, les bords de la Sèvre, l'étang des Tuileries puis les différents moulins à vent qui jalonnent encore la commune.

    Santé

    Monnières dispose d'un cabinet médical, d'un cabinet de kinésithérapie, d'un cabinet d'orthophonie,de permanences d'infirmières et d'un cabinet de pédicure-podologue.

    Enseignement

    La commune possède deux écoles (à la fois maternelle et primaire) : l'école publique Les Trois-Moulins et l'école privée Saint-Joseph.

    Cultes

    La Paroisse Sainte Marie Du Val De Sèvre regroupe les communautés de Boussay, Clisson, Gétigné, Gorges, Saint-Hilaire de Clisson, Monnières et Saint-Lumine de Clisson.

    Lieux et monuments

    • L'église Sainte-Radegonde édifice roman (XIe – XIXe siècle). L’église est bâtie au XIe – XIIe siècle avant de subir de profondes transformations. De l’édifice roman subsiste la façade ouest et une partie du mur nord. L’église est agrandie vers l’est dans le style gothique flamboyant au XVe siècle. On lui ajoute un bas-côté au sud au XVIIe siècle[25]. Elle subit un incendie le . L’édifice est restauré. Il fait l’objet d’une nouvelle restauration en 1911[26]. La façade ouest se signale par son clocher-peigne roman à deux ouvertures de plein cintre surmontées d’un fronton. Ce type de clocher est rare en Bretagne et rappelle les constructions templières[27]. On peut le rapprocher de celui de la chapelle des Templiers de Clisson, toute proche. Le mur nord est épaulé par des contreforts plats datant de l’époque romane[28]. À l’intérieur, le mur nord est percée de deux niches de plein cintre abritant des statues, restes des fenêtres romanes[25]. Le chÅ“ur est éclairé par une maîtresse-vitre flamboyante à remplage du XVe siècle. Il est couvert d’une voûte en bois en vaisseau renversé[27]. L’église abrite l’enfeu des seigneurs de La Galissonnière, crypte voûtée de 3 mètres par 2,25 mètres[26]. Sous la tribune, le sol est pavé de pierres tombales de Templiers, très usées. Leurs dessins (épées, croix ancrées et pattées) ont été relevés par Paul de Berthou au début du XXe siècle alors qu'ils étaient encore lisibles[28]. Les vitraux de l’église sont l’œuvre de Robert Duvoucoux, des ateliers Jacques Grüber[26] - [27]. L’église contient plusieurs objets mobiliers protégés au titre des Monuments Historiques :
    Monument Date Notice Type de
    protection
    protection Photographie
    dalle funéraire de François Derville 1er quart du 18e siècle Notice no PM44000269 classé
    dalle funéraire d'une dame 18e siècle Notice no PM44000679 classé
    deux statues (statuettes) : Anges 1ère moitié du 19e siècle Notice no PM44000959 inscrit
    statue : Christ en croix 1ère moitié du 19e siècle Notice no PM44000957 inscrit
    statue : Sainte Radegonde 1ère moitié du 19e siècle Notice no PM44000956 inscrit
    statue : Saint Louis 1ère moitié du 19e siècle Notice no PM44000955 inscrit
    croix (crucifix) 18e siècle Notice no PM44000958 inscrit
    tableau : La prédication au bord du lac de Tibériade 2e quart du 20e siècle Notice no PM44001469 inscrit
    • Moulins à vent. Beaucoup de moulins étaient présents sur la commune. Beaucoup disparurent. À l'origine, il existait 8 moulins à vent à Monnières. Aujourd'hui, il n'en reste plus que 3 : les moulins de la Bidière, de la Justice et de la Minière.
    • Château Le Plessis Brézot

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Réélu en 1925, 1929 et 1935.
    4. Réélu en 1965.
    5. Réélu en 1971, 1977 et 1983.
    6. Réélu en 1995, 2001 et 2008.
    7. Petit-fils d'Henri Gaborit.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. sur viamichelin
    2. climat de la Loire-Atlantique
    3. nantes.fr Climat
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    12. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    13. Officiers et anciens élèves : Paul Marie Albert Christian de CORNULIER-LUCINIÈRE (1897-1968)
    14. Les habitants ont découvert la nouvelle mairie
    15. « M. Prosper Chéneau élu maire de Monnières », Presse Océan (archives du journal),‎
    16. « Albert Méchineau passe la main : Vingt années de concorde à Monnières », Ouest-France,‎
      « En 1969, de guerre lasse, M. Cheneau démissionne de ses fonctions de premier magistrat pour redevenir simple conseiller. Contre toute attente, Albert Méchineau, conseiller depuis seulement deux ans, obtient la confiance de ses pairs. ».
    17. « Commune de Monnières (44100) », Insee (consulté le ).
    18. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Monnières (44100) », (consulté le ).
    24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
    25. « Eglise Sainte-Radegonde (XI-XII-XV-XVII-XVIII-XIXème siècle). », sur lafrancedesclochers.clicforum.com (consulté le ).
    26. « Monnières », sur infobretagne.com (consulté le ).
    27. « L’église Sainte Radegonde », sur mairie-monnieres.f (consulté le ).
    28. « Moyen Age : templiers et pèlerins », sur mairie-monnieres.fr (consulté le ).
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