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Max Brisson

Max Brisson, né le à Bayonne, est un homme politique français.

Max Brisson
Illustration.
Fonctions
Sénateur français
En fonction depuis le
(5 ans, 9 mois et 1 jour)
Élection 24 septembre 2017
Circonscription Pyrénées-Atlantiques
Groupe politique LR
Conseiller général puis départemental
des Pyrénées-Atlantiques
En fonction depuis le
(8 ans et 3 mois)
Avec MaĂŻder Arosteguy (2015-2021)
Martine Vals (depuis 2021)
Élection 29 mars 2015
RĂ©Ă©lection 27 juin 2021
Circonscription Canton de Biarritz
Président Jean-Jacques Lasserre
Groupe politique LR
Prédécesseur Canton créé
–
(17 ans et 11 jours)
Élection 22 mars 1998
RĂ©Ă©lection 28 mars 2004
27 mars 2011
Circonscription Canton de Biarritz-Ouest
Président François Bayrou
Jean-Jacques Lasserre
Jean Castaings
Georges Labazée
Prédécesseur Armand Saury
Successeur Canton supprimé
Premier vice-président du conseil départemental des Pyrénées-Atlantiques
–
(2 ans, 6 mois et 22 jours)
Élection 29 mars 2015
Président Jean-Jacques Lasserre
Successeur Claude Olive
Conseiller régional d'Aquitaine
–
(8 ans, 10 mois et 28 jours)
Élection 22 mars 1992
RĂ©Ă©lection 15 mars 1998
Circonscription Pyrénées-Atlantiques
Président Jacques Valade
Alain Rousset
Groupe politique RPR
Successeur Juliette Séguéla
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Bayonne (France)
Nationalité Française
Parti politique UDR (1975-1976)
RPR (1976-2001)
UMP (2002-2015)
LR (depuis 2015)
Profession Fonctionnaire (Inspecteur gĂ©nĂ©ral de l'Éducation nationale)

Biographie

CarriĂšre professionnelle

Max Brisson a Ă©tĂ© tout au long de sa carriĂšre professionnelle professeur agrĂ©gĂ© (1980), puis de Chaire supĂ©rieure (1999) et enfin Inspecteur gĂ©nĂ©ral de l'Éducation nationale (2009). Il a pris sa retraite en 2018. PassionnĂ© d'histoire, il a l a publiĂ© en 2001 aux Ă©ditions Atlantica : 1900, Quand les Français dĂ©testaient les Anglais[1].

AprĂšs des Ă©tudes universitaires d'histoire Ă  Bordeaux, il passe avec succĂšs le concours de l’agrĂ©gation d’histoire (session de 1980)[2]. Il enseigne dans divers Ă©tablissements, d’abord dans l’enseignement secondaire puis en Classes PrĂ©paratoires aux Grandes Ecoles (CPGE), avant d'ĂȘtre nommĂ© Inspecteur GĂ©nĂ©ral de l’Education Nationale[3] (IGEN) en 2009[4]. Il est IGEN honoraire depuis octobre 2018.

Vie personnelle

Max Brisson est mariĂ© et pĂšre de deux filles. Il est fait chevalier (2010)[5] puis officier de l'Ordre des palmes acadĂ©miques (2016). Il fut lorsqu‘il Ă©tait en activitĂ© membre de l’AMOPA[6] et de la SociĂ©tĂ© des agrĂ©gĂ©s[7].

Il siùge dans divers conseils d’administration et commissions :

Mandats Ă©lectoraux

Conseiller municipal dans la majorité

Élu pour la premiĂšre fois conseiller municipal de Biarritz en 1989[8], Max Brisson se voit confier la dĂ©lĂ©gation de la jeunesse et des sports sous la mandature du maire RPR Bernard Marie.

Il continue Ă  siĂ©ger en tant que conseiller municipal, dans l'opposition, Ă  la suite des Ă©lections municipales[9] de 1991 et de 1995, dont Didier Borotra (UDF) est vainqueur. En 2001, il rejoint son Ă©quipe municipale de rassemblement et devient adjoint au maire, chargĂ© des travaux, de l’urbanisme, de l’environnement[10]. RĂ©Ă©lu au cĂŽtĂ© de Didier Borotra en 2008, il occupe la mĂȘme dĂ©lĂ©gation en tant que premier adjoint au maire[11]. En 2001, Max Brisson est exclu du RPR pour son ralliement Ă  l'Ă©quipe transpartisane de Didier Borotra. Il intĂšgre l'Union pour un mouvement populaire (UMP) lors de sa fondation en 2002. Il est aujourd'hui membre du parti Les RĂ©publicains.

Élection municipale de 2014 et son entrĂ©e dans l'opposition

En 2014, alors que le maire sortant dĂ©cide de ne pas se reprĂ©senter, il est candidat aux Ă©lections municipales sous l'Ă©tiquette UMP. Michel Veunac, membre de la prĂ©cĂ©dente majoritĂ© municipale lui aussi, se prĂ©sente sous les couleurs du MoDem. Max Brisson arrive en tĂȘte au premier tour mais perd les Ă©lections municipales[12] de Biarritz devancĂ© par Michel Veunac qui est alors Ă©lu maire.

AprĂšs son Ă©lection au SĂ©nat en septembre 2017 et en application de la loi concernant le cumul des mandats, il annonce, le , dans une tribune[13] au Huffington Post, renoncer Ă  son mandat de conseiller municipal d'opposition de la Mairie de Biarritz. Lors des municipales de 2020, il a soutenu l’autre membre de son binĂŽme au Conseil dĂ©partemental des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques, Maider Arosteguy, qui est devenue maire de Biarritz le 3 juillet 2020.

Mandat régional

En 1992, Max Brisson devient conseiller rĂ©gional d’Aquitaine[14] dans l’équipe de Jacques Valade (RPR) oĂč il prend en charge la prĂ©sidence de la commission « enseignement et recherche »[15]. Il a depuis quittĂ© ces fonctions.

Mandat départemental : Conseiller général puis Conseiller départemental du canton de Biarritz

Il est élu en 1998 conseiller général du canton de Biarritz Ouest face à Michel Veunac[16] (UDF). François Bayrou alors président du Conseil général des Pyrénées-Atlantiques lui confie la responsabilité de la politique de la Ville.

En 2001, il prend Ă©galement la prĂ©sidence de la commission « Ă©ducation, culture, jeunesse et sport » au DĂ©partement. En 2004, rĂ©Ă©lu conseiller gĂ©nĂ©ral, il est portĂ© par l’assemblĂ©e dĂ©partementale au poste de premier vice-prĂ©sident[17] et exerce la dĂ©lĂ©gation de la culture et des langues rĂ©gionales.

Il est Ă©galement, Ă  cette mĂȘme Ă©poque, prĂ©sident du groupe UMP au sein de la collectivitĂ©[18]. Il prĂ©side[19] HĂ©lioparc[20], le technopĂŽle de Pau.

En 2004, sous son influence, est fondĂ© l’Office public de la langue basque (OPLB) qu’il prĂ©side jusqu’en 2011[21].

En 2008, il prend Ă©galement en charge au sein du dĂ©partement la dĂ©lĂ©gation des collĂšges et de l’éducation sous la prĂ©sidence de l’UMP Jean Castaings.

Il conserve son siĂšge de conseiller gĂ©nĂ©ral et la prĂ©sidence du groupe UMP[22] aprĂšs les Ă©lections de 2011 mais cette fois dans l’opposition Ă  Georges LabazĂ©e (PS).

En 2015, il est réélu[23] conseiller départemental cette fois en binÎme avec Maïder Arostéguy[24]. Il occupe à nouveau les fonctions de premier vice-président[25] du conseil départemental, chargé des finances, des ressources humaines, des politiques contractuelles et devient le délégué du président Jean-Jacques Lasserre pour les finances, le budget, le patrimoine départemental et le tourisme.

Il prĂ©side l’Agence d’attractivitĂ© et de dĂ©veloppement touristique (AaDT) du BĂ©arn et du Pays basque jusqu‘en avril 2018, date Ă  laquelle il en devient le premier vice-prĂ©sident sous la prĂ©sidence de Jacques PedehontaĂ . En 2021, conformĂ©ment Ă  la tradition d'une prĂ©sidence tournante entre les deux groupes dĂ©partementaux majoritaires, Max Brisson est de nouveau Ă©lu prĂ©sident de l'AaDT[26] - [27].

A ce titre, il s'investit pleinement dans la promotion du département des Pyrénées-Atlantiques en prenant part notamment aux Folies Béarnaises et à la transhumance organisée sur les Champs-Elysées le 6 mars 2022, en présence du Premier ministre Jean Castex[28].

AprĂšs son Ă©lection en tant que sĂ©nateur en 2017, il conserve sa fonction de Conseiller dĂ©partemental des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques mais abandonne conformĂ©ment Ă  la loi ses fonctions exĂ©cutives. Il est rĂ©Ă©lu le 27 juin 2021 en binĂŽme avec Martine Vals, adjointe au Maire de Biarritz, avec laquelle il se prĂ©sente sous les couleurs de la MajoritĂ© dĂ©partementale d‘union de la droite et du centre. AprĂšs avoir obtenu 32% au premier tour et ĂȘtre arrivĂ©s en tĂȘte face Ă  6 autres candidatures, Martine Vals et Max Brisson se retrouvent face Ă  un binĂŽme EELV et obtiennent 53,79% des suffrages exprimĂ©s. Dans la foulĂ©e, Max Brisson est Ă©lu prĂ©sident du groupe "La Droite rĂ©publicaine pour le 64", un des deux groupes constituant la majoritĂ© dĂ©partementale. Il prĂ©side la cinquiĂšme commission : Finances et Administration gĂ©nĂ©rale[29].

Sénateur des Pyrénées-Atlantiques

Élu en troisiĂšme position avec 311 voix sur 1 789[30] lors des Ă©lections sĂ©natoriales de 2017 dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques, sur la liste « La force des territoires, majoritĂ© sĂ©natoriale, union de la droite et du centre »[31]. Il s'en est fallu de quatorze voix que ce ne soit Kotte Ecenarro, le maire d'Hendaye et second de la liste « Pour des communes vivantes (LSOC) » menĂ©e par FrĂ©dĂ©rique Espagnac, qui soit Ă©lu en troisiĂšme position[32].

Il s'inscrit dans le groupe Les RĂ©publicains au SĂ©nat et devient membre puis en 2019 Vice-PrĂ©sident de la Commission de la Culture, de l'Éducation et de la Communication. AprĂšs le renouvellement de 2020, il est Ă©lu coordonnateur des sĂ©nateurs LR de la commission. Il s'investit pleinement dans les affaires Ă©ducatives et culturelles. Il apporte son expertise sur les sujets de l'Education et dĂ©fend avec passion une Ecole de qualitĂ© adaptĂ©e Ă  la diversitĂ© de nos territoires.

En juillet 2018, il est co-auteur d'un rapport sur le mĂ©tier d'enseignant intitulĂ© "MĂ©tier d'enseignant : un cadre rĂ©novĂ© pour renouer avec l'attractivitĂ©"[33]. Dans le premier semestre de l'annĂ©e 2019, il est le rapporteur[34] du projet de Loi pour une École de la Confiance, adoptĂ© en juillet 2019 par les deux chambres du Parlement aprĂšs une Commission mixte paritaire[35]. En octobre 2019, il est Ă©galement rapporteur de la proposition de loi visant Ă  l'interdiction des signes religieux ostensibles pour les accompagnateurs scolaires[36].

En juin 2020, il rédige aux cÎtés de Françoise Laborde un rapport d'information sur la situation des directeurs d'école intitulé "Mettre fin à un statu quo intenable : 16 préconisations pour améliorer la situation des directeurs d'école"[37]. En décembre 2020, il réalise un rapport d'information avec Pierre Ouzoulias baptisé "Le retour des biens culturels aux pays d'origine : un défi pour le projet universel des musées français"[38]. En octobre 2021, il dépose une proposition de loi avec Catherine Morin-Desailly et Pierre Ouzoulias faisant suite à ce rapport. Intitulée "Proposition de loi relative à la circulation et au retour des biens culturels appartenant aux collections publiques", elle est examinée et adoptée par le Sénat le 10 janvier 2022[39].

En dĂ©cembre 2021, il est l'un des fervents soutiens de la proposition de loi de CĂ©cile Rilhac visant Ă  crĂ©er la fonction de directrice ou de directeur d'Ă©cole. Relai au SĂ©nat, il participe Ă  la commission mixte paritaire sur le texte de loi et permet ainsi son adoption. En fĂ©vrier 2022, il est co-auteur d'un rapport sur le bilan des mesures Ă©ducatives du quinquennat, oĂč il dresse un Ă©tude approfondie des rĂ©formes menĂ©es par Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Education nationale de 2017 Ă  2022[40].

Max Brisson est aussi Vice-Président de la Délégation aux Droits des femmes et à l'Egalité des chances entre les hommes et les femmes. A ce titre, il prend part activement aux travaux de la délégation. En juillet 2020, il publie en tant que co-auteur un rapport d'information intitulé "Violences envers les femmes et les enfants : un confinement sans fin"[41]. En septembre 2020, il est co-auteur du rapport d'information "L'engagement des femmes dans la Résistance"[42].

ParallĂšlement Ă  ces fonctions, il est membre actif de plusieurs groupes d'Ă©tudes :

  • DĂ©veloppement Ă©conomique de la montagne
  • Mer et Littoral
  • Pratiques sportives et grands Ă©vĂšnements sportifs
  • Statut, rĂŽle et place des Français Ă©tablis hors de France.

Engagement politique

AprĂšs que sa vie professionnelle l’a conduit comme professeur agrĂ©gĂ© Ă  exercer au Maroc puis dans La Manche, c'est lors de son retour en 1986[43] dans le Sud-Ouest qu'il s’engage politiquement alors au cĂŽtĂ© de Bernard Marie, Maire de Biarritz et de Jean Gougy dĂ©putĂ© et secrĂ©taire dĂ©partemental du RPR. Proche de MichĂšle Alliot-Marie, il devient dĂ©lĂ©guĂ© RPR de la 6e circonscription et secrĂ©taire dĂ©partemental adjoint chargĂ© du Pays basque en 1992[44].

En 2001, il est exclu[45] du RPR pour avoir rejoint Didier Borotra aux Ă©lections municipales de Biarritz mais il intĂšgre[10] l’UMP dĂšs sa crĂ©ation l’annĂ©e suivante. En 2004, il devient membre de son Conseil national.

Il est nommĂ© secrĂ©taire dĂ©partemental en janvier 2011[46], fonction qu’il occupe jusqu’en avril 2016[47].

Max Brisson s’est Ă©galement fortement engagĂ© dans toutes les dĂ©marches de prospectives territoriales menĂ©es Ă  partir des annĂ©es 1990 en particulier Pays basque 2010[48] et 2020[49]. Il figure parmi les fondateurs du conseil de dĂ©veloppement en 1997[50], dont il est restĂ© membre du bureau jusqu'en 2017. Il devient la mĂȘme annĂ©e membre du conseil d’administration du Conseil des Élus du Pays basque[51].

Dans le cadre de ces dĂ©marches de prospective territoriale, il se spĂ©cialise dans les questions culturelles et linguistiques. Il s’implique dans la conception et le dĂ©veloppement d’une politique linguistique, que ce soit pour le basque ou l’occitan. C’est d’ailleurs dans ce cadre qu’il lance Iniciativa pour l’occitan comme il l'avait fait pour le basque avec l'OPLB.

Il intervient particuliÚrement sur le statut de la langue basque en France[52], le rapprochement des prisonniers[53] ou le processus de paix[54]. Il s'engage également sur l'épineuse question du logement sur la cÎte basque et, de maniÚre plus générale, dans les territoires touristiques en militant pour une harmonisation et un renforcement des rÚgles applicables aux locations saisonniÚres de courte durée, sujet d'une proposition de loi déposée au Sénat en septembre 2020. En février 2022, il densifie le corps de cette proposition de loi, qu'il redépose sous le nom de "Proposition de loi visant à réguler le marché locatif en zones tendues et à renforcer les rÚgles applicables aux locations saisonniÚres de courte durée afin de mieux les encadrer sur l'ensemble du territoire"[55].

En 2016, Ă  l'occasion des primaires de la Droite et du Centre, il apporte son soutien Ă  Alain JuppĂ© dont il devient le rĂ©fĂ©rent dĂ©partemental pour les PyrĂ©nĂ©es Atlantiques[56]. Il rallie la candidature de François Fillon mais quitte le 3 mars 2017 le bureau dĂ©partemental de soutien du candidat Les RĂ©publicains[57]. Il adhĂšre au parti Libres! de ValĂ©rie PĂ©cresse tout en restant membre de son parti lorsque la PrĂ©sidente de la rĂ©gion Île-de-France le quitte en juin 2019. Il avait auparavant parrainĂ© Laurent Wauquiez pour le congrĂšs des RĂ©publicains de 2017[58], scrutin lors duquel il est Ă©lu le prĂ©sident du parti[59]. Il a apportĂ© son soutien Ă  Christian Jacob lors de son Ă©lection consĂ©cutive Ă  la dĂ©mission de Laurent Wauquiez en juin 2019. Celui-ci lui a confiĂ© la co-animation d'un forum consacrĂ© Ă  l'avenir des jeunes dans le cadre de la prĂ©paration d'un projet d'alternance qui a rendu ses conclusions en mai 2021.

A l'occasion des primaires de la Droite et du Centre 2021, Max Brisson s'engage derriÚre la candidature de Valérie Pécresse[60], qu'il parraine. Il est nommé référent Education et Enseignement supérieur[61]. Investie candidate à l'élection présidentielle 2022, Valérie Pécresse lui renouvelle sa confiance et le nomme alors référent Education. Il anime un groupe de travail autour de l'Ecole, chargé de la rédaction du programme éducatif de la candidate.

En marge de l'élection interne pour désigner le président du parti Les Républicains de décembre 2022, il annonce soutenir la candidature de Bruno Retailleau[62].

Il s'engage pour le rapprochement des 62 prisonniers basques (49 hommes et 13 femmes)[63]. Membre d'une dĂ©lĂ©gation d'Ă©lus du Pays basque qui travaille en Ă©troite collaboration avec le mouvement de l’association Bake Bidea, il participe Ă  la manifestation du 9 dĂ©cembre Ă  Paris qui rassemble plusieurs milliers de personnes (10 000 selon les organisateurs, 6 200 selon la police)[64]. Il est le seul membre des RĂ©publicains Ă  s'engager[65] pour cette cause[66].

Notes et références

  1. « 1900 Quand les français détestaient les anglais - broché - Max Brisson - Achat Livre - Achat & prix | fnac », sur livre.fnac.com (consulté le ).
  2. « Municipales Ă  Biarritz : Max Brisson, celui qui s’attache Ă  faire vivre l’Histoire », sur SudOuest.fr (consultĂ© le ).
  3. « Municipales à Biarritz : le candidat UMP donné gagnant », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  4. « Version électronique authentifiée publiée au JO n° 0228 du 02/10/2009 | Legifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Max Brisson, conseiller général, 1er adjoint au Maire de Biarritz », sur ump-6eme-circonscription.hautetfort.com (consulté le ).
  6. Alain de Tinteniac, « Page d'accueil de l'AMOPA », sur www.amopa.asso.fr (consulté le ).
  7. Bertrand Vieille, « SociĂ©tĂ© des agrĂ©gĂ©s de l'UniversitĂ© – Accueil principal », sur www.societedesagreges.net (consultĂ© le ).
  8. « Elections régionales : à Biarritz, Max Brisson a fait son choix », sur SudOuest.fr (consulté le ).
  9. « Didier Borotra remporte l'élection municipale de Biarritz », sur lesechos.fr, (consulté le ).
  10. « euskalherria.com - Le JPB - Paperezkoa », sur www.lejpb.com (consulté le ).
  11. (en) « BIarritz Magazine 173 - Avril 2008 », sur issuu (consulté le ).
  12. « Municipales à Biarritz : Michel Veunac a « mis une gauche à la droite » », sur SudOuest.fr (consulté le ).
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  17. « Membres, qualité du HCE ».
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  26. « Agence d'attractivité et de Développement Touristiques », sur pro.tourisme64.com (consulté le )
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Liens externes

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