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Marcus Atilius Regulus (consul en -267)

Marcus Atilius Regulus est un personnage politique et militaire de la République romaine, appartenant à la gens Atilia, originaire de Campanie. Commandant malheureux durant la premiÚre guerre punique, il est une figure mythique parmi les Romains célÚbres.

Marcus Atilius Regulus
Regulus retournant Ă  Carthage, - Andreis Cornelis Lens (1791)
Fonctions
Consul suffect
Consul
SĂ©nateur romain
Biographie
Naissance
DĂ©cĂšs
Époque
Activités
Famille
Atilii Reguli (d)
PĂšre
Inconnu
MĂšre
Inconnue
Fratrie
Conjoint
Marcia (d)
Enfants
Gens
Statut

Biographie

Famille

Marcus Atilius Regulus, fils de Marcus, qui fut consul en -294[1], descend d’une ancienne famille campanienne. Il Ă©pouse une Marcia, et a au moins deux fils[2] et une fille, et ses deux fils sont consuls : Marcus en 227 av. J.-C. et Caius en 225 av. J.-C..

Le domaine familial apparaßt modeste, sept arpents selon le chapitre de ValÚre Maxime sur la frugalité des anciens Romains. Il est cultivé avec l'aide d'un seul intendant, qui décÚde pendant que Regulus est en Afrique. Le domaine risquant de tomber à l'abandon et priver les siens de moyens de subsistance, le Sénat fournit une aide alimentaire à sa famille[3].

Son frĂšre ou son cousin, Caius Atilius Regulus Serranus, est deux fois consul en 257 av. J.-C. et en 250 av. J.-C.

Premier consulat

Il est Ă©lu consul une premiĂšre fois en 267 av. J.-C.. AprĂšs la prise de Tarente en 272 av. J.-C., les Romains achĂšvent la conquĂȘte du sud de l'Italie en soumettant les peuples des Pouilles. Regulus bat les Salentins et s'empare de leur capitale Brindisi, port le plus proche de la GrĂšce et lieu idĂ©al pour le dĂ©veloppement des relations avec le monde hellĂ©nique[4]. Pour cette victoire, il se voit dĂ©cerner les honneurs du triomphe[5].

Second consulat

Pendant la premiÚre guerre punique, il est consul suffect en 256 av. J.-C. en remplacement du consul Quintus Caedicius, décédé pendant son mandat. Il commande la flotte romaine et vient mouiller devant Tyndaris, sur la cÎte nord de la Sicile. Il attaque une escadre carthaginoise avec une avant-garde de dix navires, mais les Carthaginois encerclent l'escadre romaine dont ils coulent neuf navires. Le navire de Regulus qui a pu fuir de justesse est rejoint par le gros de la flotte romaine, qui contre-attaque, capture dix navires et en coule huit, tandis que les autres se replient sur les ßles Lipari[6].

AprÚs cet engagement, les Romains préparent un débarquement en Afrique, pour que Regulus et son collÚgue L. Manlius Vulso portent la guerre aux portes de Carthage. Leur flotte particuliÚrement nombreuse (330 vaisseaux) contourne la Sicile par l'est puis le sud, et se heurte à une escadre carthaginoise au cap Ecnome. Les navires romains parviennent à forcer les Carthaginois à se retirer[7].

Regulus et Vulso dĂ©barquent prĂšs de Carthage avec une armĂ©e romaine forte de quatre lĂ©gions. Selon le De viris illistribus, il s'empara de 200 villes et de 200 000 hommes[8]. Plusieurs auteurs rapportent un Ă©pisode d'allure lĂ©gendaire, Ă  la fois prodige et prĂ©sage favorable : prĂšs du fleuve Bagrada (Aujourd'hui la Medjerda), les Romains se heurtent Ă  un serpent monstrueux dont ils ne viennent Ă  bout qu'avec une machine de guerre et dont la dĂ©pouille est envoyĂ©e Ă  Rome[9]. Regulus rencontre les armĂ©es puniques Ă  Adys et remporte la victoire. Confiants dans une situation Ă  leur avantage, et habituĂ©s Ă  dĂ©mobiliser leurs lĂ©gions en fin d'annĂ©e, les Romains dĂ©cident de rĂ©duire leur corps expĂ©ditionnaire : tandis que Vulso ramĂšne en Italie une partie de l'armĂ©e et la flotte chargĂ©e de butin, Regulus passe l'hiver sur place avec 15 000 hommes et 500 cavaliers. La demande qu'il adresse au SĂ©nat pour ĂȘtre remplacĂ© par son successeur n'est pas suivie d'effet[10]. L'annĂ©e suivante, en 255 av. J.-C., Regulus reprend la guerre et s'empare de Tunis, position qui menace directement Carthage. Des nĂ©gociations avec Carthage n'aboutissent pas, les Carthaginois refusent les exigences excessives de Regulus, qui veut leur imposer l’abandon de la Sicile et de la Sardaigne, le paiement des frais de la guerre, un tribut annuel, la reddition des prisonniers sans rançon, l’interdiction de faire la paix et la guerre sans l’autorisation du SĂ©nat romain, l’obligation de secourir Rome en cas de besoin, la limitation de la marine de guerre[11].

Carthage préfÚre résister, engage le général spartiate Xanthippe et des mercenaires grecs, et mobilise ses citoyens. Grùce à ses éléphants de guerre et sa cavalerie, Xanthippe anéantit l'armée de Regulus à la bataille de Tunis et le fait prisonnier, seuls 2000 Romains peuvent s'échapper[12].

DĂ©veloppement d'un mythe

Les historiens antiques vont tirer des leçons morales du destin de Regulus. La premiÚre est une réflexion sur le retournement complet de situation, de vainqueur à vaincu et captif, et la versatilité de la Fortune, personnification du destin. Polybe souligne que son refus d'indulgence aux Carthaginois vaincus se retourna contre lui[13]. Diodore de Sicile reprend l'argument, disant que par son comportement insultant face aux malheurs des vaincus, il avait offensé la divinité et forcé les vaincus à se remobiliser[14].

La seconde vision est un récit édifiant qui fait de Regulus le synonyme du courage face à un sort qu'il devine cruel et de la virtus romaine du respect absolu de la parole donnée, qualité sacrée et divinisée par les Romains sous le nom de Fides populi romani[15]. Elle est aussi pour ValÚre-Maxime la justification de la destruction de Carthage lors de la troisiÚme guerre punique, « la juste expiation de tant de cruauté envers un homme d'un esprit si profondément religieux[16] ».

Selon les annalistes romains, les Carthaginois proposent Ă  Regulus de rentrer Ă  Rome pour obtenir soit la cessation des combats, soit au moins un Ă©change de prisonniers, sous rĂ©serve de sa parole d'honneur de rentrer Ă  Carthage si sa mission Ă©choue. La date de cet Ă©pisode est incertaine, et pourrait ĂȘtre situĂ©e vers 251 av. J.-C.. Au moment de prendre la parole au SĂ©nat romain, il dĂ©conseille, Ă  la surprise gĂ©nĂ©rale, le choix de l'une de ces options, puis — fidĂšle Ă  son serment — rentre Ă  Carthage. Le rĂ©sumĂ© de Tite-Live indique seulement qu’il est exĂ©cutĂ©[18] tandis que Florus et Eutrope disent qu’il est horriblement torturĂ© Ă  mort[19]. D’autres sources abondent en dĂ©tails, sans toujours concorder : Aulu-Gelle cite les Histoires de TubĂ©ron, auteur de la fin de la RĂ©publique dont rien ne nous est parvenu, et affirme que les Carthaginois avaient administrĂ© un poison lent Ă  Regulus avant de l'envoyer Ă  Rome, pour le forcer Ă  revenir Ă  Carthage ; Ă  son retour, ils l’auraient enfermĂ© dans l’obscuritĂ© puis aveuglĂ© en l’exposant face au soleil, les yeux exposĂ©s paupiĂšres cousues[20]. Silius Italicus, Appien et l'auteur du De viris illustribus urbis Romae racontent qu’on l’enferma dans une cage dont les multiples pointes lui interdisaient tout appui, et qu’il mourut de privation de sommeil[21] - [22].

Diodore de Sicile rapporte que la veuve de Regulus et ses fils se vengÚrent de la mort de leur mari et pÚre en maltraitant deux prisonniers carthaginois, les enfermant dans un local minuscule et les privant de nourriture, ou selon Aulu-Gelle en les enfermant dans une caisse hérissée de pointes[20]. L'un, nommé Bodostor, en meurt, l'autre, un Hamilcar inconnu par ailleurs, est sauvé de justesse et libéré par l'intervention des tribuns, alertés par les esclaves des Atilii que le sort des captifs avait apitoyés[23].

Postérité de Regulus

PĂ©riode antique

Les auteurs romains vont placer Regulus au rang de leurs hĂ©ros nationaux. CicĂ©ron Ă©voque Ă  plusieurs reprises son exemple dans ses discours et ses traitĂ©s[24]. L’aide-mĂ©moire de Lucius Ampelius mentionne Regulus dans la liste des Romains qui se sont sacrifiĂ©s pour la patrie[25], de mĂȘme que l'anonyme De viris illustribus urbis Romae[22].

Regulus apparaĂźt comme un symbole multiple : gĂ©nĂ©ral plusieurs fois vainqueur, puis battu, capturĂ© et mis Ă  mort, il est chez Tite-Live un exemple frappant des vicissitudes de la fortune[26], ce qui devient un lieu commun repris au IVe siĂšcle par Ammien Marcellin[27]. Il reprĂ©sente la fidĂ©litĂ© au serment, poussĂ©e jusqu’à la mort. Dans une de ses Odes, Horace loue son refus de concĂ©der aux Carthaginois un rachat des prisonniers romains, et le courage de son attitude[28].

Le sort de Regulus alimente les rĂ©flexions de SĂ©nĂšque sur la Providence. Il rĂ©sout le paradoxe d'un homme vertueux accablĂ© par une Fortune qui serait versatile en considĂ©rant que cette Fortune lui fournit en rĂ©alitĂ© l'occasion de faire preuve de sa valeur et de donner une grande leçon d'hĂ©roĂŻsme : « En quoi la Fortune l’a-t-elle maltraitĂ©, lorsqu’elle a fait de lui le modĂšle de la loyautĂ©, le modĂšle de la constance ? [...] Plus vive est la torture, plus grande sera la gloire »[29].

Les premiers auteurs chrĂ©tiens, qui sont formĂ©s Ă  la rhĂ©torique latine et qui utilisent les mĂȘmes rĂ©fĂ©rences historiques que les auteurs classiques, utilisent Ă  leur tour Regulus, figure qui prĂ©fĂšre affronter la mort plutĂŽt que de renoncer Ă  son engagement : Tertullien dans son apologie du martyr vante son courage face Ă  la mort, et le qualifie de « vainqueur dans la captivitĂ© Â»[30]. Certains dont Cyprien de Carthage Ă©tayent leur dĂ©monstration de la faussetĂ© des dieux romains et des augures en soulignant que son respect des augures n’avait pas garanti la victoire pour Regulus, et plus largement les succĂšs de Rome[31].

Plus tard au Ve siÚcle, Augustin d'Hippone dans la Cité de Dieu tire argument du destin malheureux de Regulus en dépit de sa religion et le généralise à celui de Rome saccagée par les barbares « qu'ils reconnaissent donc que le malheur de Régulus peut arriver à une ville aussi fidÚle que lui au culte des dieux »[32].

PĂ©riode moderne

L’édifiante et hĂ©roĂŻque histoire de Regulus figure en bonne place dans le cĂ©lĂšbre manuel scolaire de latin De viris illustribus, recueil de biographies simplifiĂ©es rĂ©digĂ© par l'abbĂ© Lhomond au XVIIIe siĂšcle Ă  destination des classes de sixiĂšme, et qui est restĂ© en usage en France jusqu'au milieu du XXe siĂšcle, ce qui contribue Ă  populariser le destin de Regulus, tel que l'ont rapportĂ© les auteurs anciens.

Le public cultivĂ© Ă©tait donc familier du destin tragique de Regulus, et les artistes pouvaient crĂ©er des Ɠuvres sur ce thĂšme.

ƒuvres Ă©crites

En France, dÚs 1582, Jehan de Beaubrueil produit une tragédie Regulus : Tragédie dressée sur un faict des plus notables qu'on puisse trouver en toute l'histoire romaine. Jean Desmarets de Saint-Sorlin compose en 1671 un poÚme héroïque Régulus, ou le Vrai généreux, et Nicolas Pradon rédige une tragédie Regulus en 1688. En Angleterre, le drame héroïque est en vogue, et le dramaturge John Crowne joue un Regulus en 1692.

Au siĂšcle suivant, Claude Joseph Dorat Ă©crit une tragĂ©die en vers en trois actes, intitulĂ©e Regulus, reprĂ©sentĂ©e pour la premiĂšre fois au ThĂ©Ăątre français le 31 juillet 1773, tandis que M. Poujade compose en 1770 une hĂ©roĂŻde Regulus au SĂ©nat. À son tour, le dramaturge autrichien Heinrich Joseph von Collin rĂ©dige en 1802 une tragĂ©die en cinq actes Regulus, qu'Agostino Peruzzi adapte en italien en 1806[33]. En 1822, le dramaturge français Lucien Arnault obtient un grand succĂšs pour son RĂ©gulus, tant grĂące Ă  la prestation de Talma qu'Ă  la rĂ©fĂ©rence Ă  peine voilĂ©e Ă  NapolĂ©on.

Peintures

« Regulus retourne à Carthage», huile de André Corneille Lens, 1791, musée de l'Ermitage

L'artiste baroque italien Salvator Rosa peint vers 1651 La mort de Regulus, les Préparatifs de son supplice, dont le dessin est au Louvre, et le tableau final au Virginia Museum of Fine Arts.

Le départ de Regulus quittant les siens pour retourner à Carthage, certain de son futur supplice, a inspiré plusieurs tableaux :

« Regulus part pour Carthage, retenu par ses parents Â», tempera sur papier de Michel Ghislain Stapleaux, 1832

Le peintre anglais William Turner, dans Regulus, un tableau peint en 1828, traduit l'Ă©blouissement par le soleil que subit Regulus lors de son supplice[35].

Opéras

L'histoire de Regulus inspira plusieurs opéras :

Critique historique

Le rĂ©cit de la fin de Regulus prĂȘte le flanc Ă  la critique historique moderne. Tandis que Polybe, auteur rĂ©putĂ© fiable, omet la fin de Regulus, les auteurs antiques suivants s'encombrent de l'Ă©pisode douteux du serpent monstrueux et divergent sur les supplices infligĂ©s Ă  Regulus. DĂšs 1837, Niebuhr exprime son hĂ©sitation[36] puis Theodor Mommsen n'y voit pas de fait dĂ©montrĂ©[37]. Ce rĂ©cit est une pure invention selon l'avis d'historiens modernes comme Claudia Moatti[38] et Serge Lancel[39]. En revanche l'historien tunisien HĂ©di Dridi reprend le rĂ©cit des auteurs antiques, tout en signalant la mise en doute de Lancel[40].

Toutefois, Yann Le Bohec admet la possible vĂ©racitĂ© du sort de Regulus. Il considĂšre que le silence de Polybe ne prouve rien, et que les arguments critiques sur le manque de fiabilitĂ© de ses successeurs peuvent ĂȘtre rĂ©futĂ©s. Les actes de cruautĂ© en temps de guerre envers un captif ne lui paraissent pas invraisemblables, pas plus que l'obligation de respecter un serment. Il rappelle que durant la deuxiĂšme guerre punique, des Romains faits prisonniers Ă  Cannes par Hannibal ont servi de nĂ©gociateurs forcĂ©s de façon semblable : ils furent envoyĂ©s Ă  Rome pour nĂ©gocier un rachat des prisonniers, aprĂšs avoir fait le serment de revenir dans le camp d'Hannibal. Un des Romains qui rusait pour contourner ce serment fut contraint par le SĂ©nat de revenir auprĂšs d'Hannibal et subir le sort honteux des captifs. Pour Le Bohec, Regulus avait l'obligation religieuse par son serment et sociale par son rang aristocratique d'obĂ©ir Ă  son engagement et de garantir son honneur, quel qu'en soit le prix[41].

Notes et références

  1. Tite-Live Histoire romaine, X, 32.1
  2. Silius Italicus, Puniques, VI, vers 403
  3. ValÚre Maxime, Faits et paroles mémorables, IV, 6
  4. Florus, I, 15 ; Eutrope, II, 17
  5. Fasti triumphales (en)
  6. Polybe, Histoires, I, 25
  7. Polybe, Histoires, I, 26-28
  8. Il est précisé que seul le DVI donne ces chiffres et curieusement, n'évoque ni l'épisode du serpent, ni les négociations avec Carthage. Anonyme (trad. Paul Marius Martin), Les hommes illustres de la ville de Rome, Les Belles Lettres, coll. « Collection des universités de France "Budé" », (ISBN 9782251014708), p. 46 (note 85)
  9. Periochae de Tite-Live, XVIII ; Aulu-Gelle, Nuits Attiques, VI, 4 ; Pline l'Ancien, Histoires naturelles, VIII, 14 ; Silius Italicus, Punica, VI
  10. Periochae de Tite-Live, 18 ; ValÚre Maxime, Faits et paroles mémorables, IV, 6
  11. Dion Cassius, Fragments, CL
  12. Polybe, Histoires, livre I, 29-35 ; Diodore de Sicile, livre XXIII, 12 ; Periochae de Tite-Live, 18 ; Eutrope, Abrégé de l'histoire romaine, livre II, 11 ; Appien, Histoire de Rome, les guerres puniques, 3
  13. Polybe, I, 35
  14. Diodore de Sicile, livre XXIII
  15. Pierre Grimal, La civilisation romaine, Flammarion, Paris, 1981, réédité en 1998, (ISBN 2-080-81101-0), p. 74-75
  16. ValÚre-Maxime, Faits et paroles mémorables, I, 1, 14
  17. Turner, Tate
  18. Periochae de Tite-Live, 18
  19. Florus, Histoire romaine, livre II, 2 ; Eutrope, Abrégé de l'histoire romaine, livre II, 14
  20. Aulu-Gelle, Nuits Attiques, livre VI, 4, lire en ligne
  21. Silius Italicus, Puniques, VI, 540 et suivants ; Appien, Guerres puniques, 5
  22. anonyme ou pseudo-Aurelius Victor, De viris illustribus urbis Romae, 40
  23. Diodore de Sicile, fragments du livre XXVIII, 12
  24. Cicéron, Pro Sestio, 127 ; De finibus, livre II, XX, 65; De Officiis (Des Devoirs), III, 99sq
  25. Lucius Ampelius, MĂ©morial, XX
  26. Tite-Live, Histoire romaine, XXVIII, 42
  27. Ammien Marcellin, Histoire de Rome, XIV, XI, 32
  28. Horace, Odes, III, 5
  29. SĂ©nĂšque, De providentia, III, 9.
  30. Tertullien, Apologétique, L, 5
  31. Cyprien de Carthage, De la vanité des idoles ; Minucius Felix, Octavius, 25
  32. Augustin d'Hippone, La cité de Dieu, 1, 15
  33. Auteurs trouvés sur BoolButler, mot-clé Regulus
  34. François MacĂ© de LĂ©pinay, Autour de «La FĂȘte de la FĂ©dĂ©ration», Charles ThĂ©venin et la RĂ©volution 1789-1799, Revue de l'Art, 1989, no 83, p. 52
  35. Regulus sur tate.org.uk, consulté le 9 février 2011.
  36. Barthold Georg Niebuhr, Histoire romaine, 1837, p. 367
  37. Theodor Mommsen, Histoire romaine, chapitre II
  38. Claudia Moatti, Les guerres puniques, Gallimard, coll. « Folio classique », 2008, 732 p., (ISBN 978-2-07-041942-5), p. 543
  39. Serge Lancel, Carthage, Fayard, 1992, (ISBN 2-213-02838-9), p. 387
  40. HĂ©di Dridi, Carthage et le monde punique, Ă©d. Les Belles Lettres, Paris, 2006 (ISBN 2251410333), p. 42
  41. Le Bohec 1997, p. 87-93

Bibliographie

  • Yann Le Bohec, « L'honneur de RĂ©gulus », AntiquitĂ©s africaines, no 33,‎ , p. 87-93 (lire en ligne)
  • (de) Kuno Graf von DĂŒrckheim, Marcus Atilius Regulus : Geschichte eines Römers aus dem Ersten Punischen Krieg, 1941, ASIN B00184RU6O
  • Jean Graton - Grandeur d'Ăąme - Histoire de RĂ©gulus en BD in Spirou belge 808 du 8 octobre 1953
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