Marcoux (Alpes-de-Haute-Provence)
Marcoux /maÊ.ku/ est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement des Alpes-de-Haute-Provence en rĂ©gion Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur.
Marcoux | |||||
Village de Marcoux et colline Saint-Michel. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Provence-Alpes-CĂŽte dâAzur | ||||
DĂ©partement | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Digne-les-Bains | ||||
Intercommunalité | Provence-Alpes Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Christian Boyer 2020-2026 |
||||
Code postal | 04420 | ||||
Code commune | 04113 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Marcousiens | ||||
Population municipale |
449 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 44° 07âČ 45âł nord, 6° 16âČ 39âł est | ||||
Altitude | Min. 604 m Max. 1 311 m |
||||
Superficie | 32,17 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Digne-les-Bains (commune de la couronne) |
||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Digne-les-Bains-1 | ||||
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
GĂ©olocalisation sur la carte : Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur
| |||||
Le nom de ses habitants est Marcousiens[1].
GĂ©ographie
Localisation
Commune située à 7 km de Digne-les-Bains[2].
Voies routiĂšres
Commune desservie par la D 900.
Transports en commun
- Transport en Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur
Commune desservie par le réseau des lignes réguliÚres de transport des Alpes-de-Haute-Provence[3]
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau sur la commune ou Ă son aval[4] :
- riviÚre la Bléone,
- torrents le bouinenc, le bĂšs,
- ruisseaux le mardaric, de l'escure,
- ravin de mouiroués.
Marcoux dispose de la station d'épuration intercommunale de Digne nouvelle, d'une capacité de 35 000 équivalent-habitants[5].
GĂ©ologie et relief
Le village est situĂ© Ă 730 m dâaltitude[6]. La commune est traversĂ©e par la BlĂ©one.
La commune compte 1 035 ha de bois et forĂȘts[1]. Elle comporte plusieurs entitĂ©s distinctes :
- le Liman (versant est) ;
- la vallée de la Bléone dont le plan de Marcoux. La vallée s'élargit sur deux kilomÚtres de large, ce qui contraste avec la vallée de la Bléone en aval ;
- la Grande Colle, relief situé entre la Bléone et le Mardaric, dont l'extrémité nord-est forme la colline Saint-Michel ;
- la vallĂ©e de l'Escure, site caractĂ©ristique pour ses terres noires, et oĂč passe une partie du raid VTT des Terres-Noires ;
- la vallée du Bouinenc (empruntée par la route menant à Draix et Archail) et de la Cougourde.
- Vue de la vallée de la Bléone et de la commune de Marcoux.
- Paysage de terres noires Ă l'adret de l'Escure.
Risques naturels et technologiques
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Digne-les-Bains-Est auquel appartient Marcoux est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[8]. La commune de Marcoux est également exposée à trois autres risques naturels[8] :
- feu de forĂȘt ;
- inondation (dans la vallée de la Bléone) ;
- mouvement de terrain.
La commune de Marcoux est de plus exposĂ©e Ă un risque dâorigine technologique, celui de transport de matiĂšres dangereuses par route[9]. La dĂ©partementale RD900 (ancienne route nationale 100) peut ĂȘtre empruntĂ©e par les transports routiers de marchandises dangereuses[10].
Aucun plan de prĂ©vention des risques naturels prĂ©visibles (PPR) nâexiste pour la commune [9] et le Dicrim nâexiste pas non plus[11].
La commune a ressenti quelques tremblements de terre. Un seul lâa Ă©tĂ© fortement, en atteignant une intensitĂ© macro-sismique ressentie de V sur lâĂ©chelle MSK (dormeurs rĂ©veillĂ©s, chutes dâobjets), celui du 8 fĂ©vrier 1974, dont lâĂ©picentre Ă©tait situĂ© Ă Thorame[12] - [13].
Urbanisme
Typologie
Marcoux est une commune rurale[Note 1] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (81,1 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (82,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (35,9 %), forĂȘts (26,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (19 %), terres arables (11 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (7 %), zones urbanisĂ©es (0,9 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[20].
Toponymie
Le nom de la localitĂ© apparaĂźt pour la premiĂšre fois dans les textes en 1113 (de Marculfo), et provient dâun nom propre dâorigine germanique, Marcolfus[21].
Histoire
Dans lâAntiquitĂ©, les Bodiontiques (Bodiontici) peuplaient la vallĂ©e de la BlĂ©one, et Ă©taient donc le peuple gaulois qui vivait dans lâactuelle commune de Marcoux. Les Bodiontiques, qui sont vaincus par Auguste en mĂȘme temps que les autres peuples prĂ©sents sur le TrophĂ©e des Alpes (avant 14 av. J.-C.), sont rattachĂ©s Ă la province des Alpes-Maritimes lors de sa crĂ©ation[22].
Environ un siĂšcle aprĂšs lâabandon de lâorganisation administrative de lâEmpire romain, le territoire de Marcoux est signalĂ©, dĂšs 814, dans le polyptyque de Wadalde : deux colonges sây trouvent[23]. Les moines de lâabbaye Saint-Victor de Marseille perdent ensuite leurs biens dans la commune. Lâabbaye Saint-Honorat de LĂ©rins y a aussi possĂ©dĂ© un prieurĂ©[24].
En 1122, Guillaume Marcoux Ă©tait seigneur de Marcoux[25].
Le village et le chĂąteau fort appartenaient aux Ă©vĂȘques de Digne[26], jusquâĂ la RĂ©volution[23]. Les Ă©glises relevaient du chapitre de Digne, qui cĂšde lâĂ©glise paroissiale et les revenus attachĂ©s Ă lâĂ©vĂȘque en 1476 (contre celle de Courbons)[23]. La communautĂ© relevait de la baillie de Digne[23].
Le chĂąteau est vendu en 1525 par les Ă©vĂȘques qui participent ainsi au paiement de la rançon de François Ier, fait prisonnier Ă la bataille de Pavie en 1525.
Saint-Martin constituait un fief distinct au Moyen Ăge[27].
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée aprÚs la fin de 1792[28]. La chapelle Saint-Martin est vendue comme bien national, et a disparu depuis[23].
Comme de nombreuses communes du dĂ©partement, Marcoux se dote dâĂ©coles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possĂšde deux, qui dispensent une instruction primaire aux garçons, la premiĂšre Ă©tant situĂ©e au chef-lieu[29] et la seconde au hameau des Granges[30]. Aucune instruction nâest donnĂ©e aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose lâouverture dâune Ă©cole de filles aux communes de plus de 800 habitants[31], ni la premiĂšre loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil Ă 500 habitants, ne concernent Marcoux[32]. Si la commune profite des subventions de la deuxiĂšme loi Duruy (1877) pour construire une Ă©cole neuve aux Granges (achevĂ©e en 1883) et rĂ©nover celle du chef-lieu[33] - [30], ce nâest quâavec les lois Ferry que les filles de Marcoux sont rĂ©guliĂšrement scolarisĂ©es.
Jusquâau milieu du XXe siĂšcle, la vigne Ă©tait cultivĂ©e dans la commune, uniquement pour lâautoconsommation. Cette culture, qui s'Ă©tait maintenue dans l'entre-deux-guerres mondiales malgrĂ© la crise phylloxĂ©rique[34], a depuis Ă©tĂ© abandonnĂ©e[35].
En 1945, lâĂ©cole des Granges est fermĂ©e, Ă cause de la dĂ©sertification. Puis on la rouvre en 1950-1951, et en 1953. En 1954, elle sâinstalle dans un bĂątiment neuf. Elle est finalement fermĂ©e au milieu des annĂ©es 1960[30].
Ăconomie
Aperçu général
En 2009, la population active sâĂ©levait Ă 247 personnes, dont 14 chĂŽmeurs[38] (20 fin 2011[39]). Ces travailleurs sont majoritairement salariĂ©s (80 %)[40] et travaillent majoritairement hors de la commune (84 %)[40].
Agriculture
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pĂȘche) comptait 16 Ă©tablissements actifs au sens de lâInsee (exploitants non-professionnels inclus) et aucun emploi salariĂ©[41].
Le nombre dâexploitations professionnelles, selon lâenquĂȘte Agreste du ministĂšre de lâAgriculture, est de 14 en 2010. Il Ă©tait de 12 en 2000[42], de 24 en 1988[43]. Actuellement, ces exploitants sont essentiellement tournĂ©s vers les grandes cultures. Quatre exploitations pratiquent la polyculture[42]. De 1988 Ă 2000, la surface agricole utile (SAU) avait un peu augmentĂ©, de 909 Ă 1 047 ha[43], avant de fortement rĂ©gresser lors de la derniĂšre dĂ©cennie, reculant Ă 601 ha[42].
Industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait 10 Ă©tablissements, nâemployant aucun salariĂ©[41].
Activités de service
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait 14 Ă©tablissements (avec onze emplois salariĂ©s), auxquels sâajoutent les cinq Ă©tablissements du secteur administratif (regroupĂ© avec le secteur sanitaire et social et lâenseignement), salariant deux personnes[41].
D'aprĂšs lâObservatoire dĂ©partemental du tourisme, la fonction touristique est secondaire pour la commune, avec moins dâun touriste accueilli par habitant[44], lâessentiel de la capacitĂ© d'hĂ©bergement Ă©tant non-marchande[45]. Les structures dâhĂ©bergement Ă finalitĂ© touristique sont peu nombreux Ă Marcoux, et se limitent Ă des meublĂ©s labellisĂ©s[46] et non-labellisĂ©s[47]. Les rĂ©sidences secondaires apportent un complĂ©ment apprĂ©ciable Ă la capacitĂ© dâaccueil[48] : au nombre de 53, elles reprĂ©sentent logement sur cinq[49] - [50].
Restaurant Bistrot de pays Le Cheval blanc[51] - [52].
Politique et administration
Municipalité
Budget et fiscalité 2017
En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[56] :
- total des produits de fonctionnement : 253 000 âŹ, soit 479 ⏠par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 256 000 âŹ, soit 485 ⏠par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 311 000 âŹ, soit 591 ⏠par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 217 000 âŹ, soit 412 ⏠par habitant ;
- endettement : 207 000 âŹ, soit 392 ⏠par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 7,21 % ;
- taxe fonciÚre sur les propriétés bùties : 12,36 % ;
- taxe fonciÚre sur les propriétés non bùties : 38,11 % ;
- taxe additionnelle à la taxe fonciÚre sur les propriétés non bùties : 0,00 % ;
- cotisation fonciĂšre des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clĂ©s Revenus et pauvretĂ© des mĂ©nages en 2015 : mĂ©diane en 2015 du revenu disponible, par unitĂ© de consommation : 21 795 âŹ[57].
Intercommunalité
Marcoux fait partie :
- de 2002 à 2013, de la communauté de communes des Trois Vallées ;
- de 2013 à 2017, de la communauté de communes Asse Bléone Verdon ;
- depuis le , de la communauté d'agglomération Provence-Alpes.
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[59].
En 2020, la commune comptait 449 habitants[Note 3], en diminution de 13,15 % par rapport Ă 2014 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,39 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lâhistoire dĂ©mographique de Marcoux, aprĂšs la saignĂ©e des XIVe et XVe siĂšcles et le long mouvement de croissance jusquâau dĂ©but du XIXe siĂšcle, est marquĂ©e par une pĂ©riode dâ« Ă©tale » oĂč la population reste relativement stable Ă un niveau Ă©levĂ©. Cette pĂ©riode dure de 1836 Ă 1856. Lâexode rural provoque ensuite un mouvement de recul dĂ©mographique de longue durĂ©e. En 1936, la commune a perdu plus de la moitiĂ© de sa population par rapport au maximum historique de 1841[62]. Le mouvement de baisse se poursuit jusquâaux annĂ©es 1960. Marcoux connait ensuite une croissance rapide, triplant sa population en trente ans.
Enseignement
Ătablissements d'enseignements[63] :
- Ăcoles maternelles et primaires Ă La Javie, Digne-les-Bains,
- CollĂšges Ă Digne-les-Bains,
- Lycées à Digne-les-Bains.
Santé
Professionnels et établissements de santé[64] :
- MĂ©decins Ă Le Brusquet, Digne-Les-Bains,
- Pharmacies Ă Digne-Les-Bains,
- Centre hospitalier de Digne-les-Bains.
Cultes
- Culte catholique, Paroisse Marcoux - Digne - Riez - Sisteron[65], DiocĂšse de Digne.
Lieux et monuments
Le chĂąteau, rĂ©sidence dâĂ©tĂ© des Ă©vĂȘques de Digne, est partiellement en ruines. Un papier peint de lâĂ©poque de Louis XIII y a Ă©tĂ© retrouvĂ©. Une corniche de gypseries ornĂ©e dâentrelacs dĂ©core la grande salle[66].
LâĂ©glise Saint-Ătienne (fin du XIIe/dĂ©but du XIIIe siĂšcle) est inscrite aux monuments historiques[67]. Un des contreforts date de 1434, un autre est construit dans les annĂ©es 1960, avec la grande campagne de consolidation et de restauration (pose de tirants, rĂ©fection de la charpente). La nef Ă trois travĂ©es, voĂ»tĂ©e en berceau, est longue de 21,6 m et large de 5,9 m. Le campanile du XIXe siĂšcle est posĂ© sur le clocher construit en 1888-1889[68]. Sa cloche date de 1699 (classĂ©e au titre objet[69]). Lâautel, en bois dorĂ©, date du XVIIe siĂšcle (classĂ©[70]).
La chapelle de la PeyriĂšre est peut-ĂȘtre lâancien prieurĂ© Saint-Marcellin[23] (actuellement indiquĂ©e comme Sainte-Marthe).
Le monument aux morts. Conflits commémorés : Guerres 1914-1918 et 1939-1945[71].
Personnalités liées à la commune
- saint Jacques Chastan (1803-1839), nĂ© Ă Marcoux, martyr de lâĂglise catholique en CorĂ©e.
Voir aussi
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- Sous la direction d'Ădouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principautĂ© dâOrange, comtĂ© de Nice, principautĂ© de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
- Marcoux, sur le site http://dignois.fr/
- Marcoux, Saint Etienne, paroisse
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Livres
- Marie-Paule Baume, Tranches de vie à Marcoux du XIVe au XIXe siÚcle, Digne-les-Bains, Communauté de communes des 3 Vallées, 2003, (ISBN 2-9520539-0-1)
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Marcoux sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministÚre français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), MédiathÚque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction RĂ©gionale de lâEnvironnement, de l'AmĂ©nagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections rĂ©glementaires de l'environnement des communes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Roger Brunet, « Cantons de Digne-les-Bains », Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013
- Lieux et itinéraires
- Réseau des lignes réguliÚres de transport des Alpes-de-Haute-Provence
- L'eau dans la commune
- Description de la station
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
- MinistĂšre de lâĂcologie, du dĂ©veloppement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de donnĂ©es Gaspar, mise Ă jour le 27 mai 2011, consultĂ©e le 2 aoĂ»t 2012
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 96
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80
- Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 2 août 2011
- BRGM, « Ăpicentres de sĂ©ismes lointains (supĂ©rieurs Ă 40 km) ressentis Ă Marcoux », Sisfrance, mis Ă jour le 1er janvier 2010, consultĂ© le 2 aoĂ»t 2012
- BRGM, « fiche 40317 », Sisfrance, consultée le 2 août 2012
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, GenÚve, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne). § 14919, p. 851.
- Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
- Daniel Thiery, « Marcoux », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2010, mis à jour le 4 décembre 2011, consulté le 2 août 2012
- Jean-François BouĂ©, « Implantation des ordres rĂ©guliers au Moyen Ăge », CG 06.
- Marie-ZĂ©phirin Isnard, Ătat documentaire et fĂ©odal de la Haute-Provence : nomenclature de toutes les seigneuries de cette rĂ©gion et de leurs possesseurs depuis le XIIe siĂšcle jusqu'Ă l'abolition de la fĂ©odalitĂ© ; Ă©tat sommaire des documents d'archive communales antĂ©rieures Ă 1790 ; bibliographie et armoiries, Digne, Vial, 1913, p. 221
- Sous la direction d'Ădouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principautĂ© dâOrange, comtĂ© de Nice, principautĂ© de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 181
- Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 196
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298.
- Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons dâĂ©cole, Digne-les-Bains, Archives dĂ©partementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
- Labadie, op. cit., p. 52.
- Labadie, op. cit., p. 16.
- Labadie, op. cit., p. 18.
- Labadie, op. cit., p. 11.
- Paul Minvielle, « La viticulture dans les Alpes du Sud entre nature et culture », Méditerranée, 107 | 2006, mis en ligne le 1er décembre 2008, consulté le 12 juillet 2013.
- AndrĂ© de RĂ©paraz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXeâââXXIe siĂšcles », MĂ©diterranĂ©e, 109 | 2007, p. 56 et 59
- Banque du Blason
- Dominique Cureau, « Asse Bléone Verdon (Trois Vallées) : Marcoux », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
- Insee, Dossier local - Commune : Marcoux, p. 5 (mis Ă jour le 28 juin 2012)
- Insee, Dossier local, p. 8
- Insee, Dossier local, p. 7
- Insee, Dossier local, p. 16
- MinistĂšre de l'Agriculture, « Orientation technico-Ă©conomique de lâexploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
- Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
- Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 7
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 36
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
- Insee, Dossier local, op. cit., p. 17
- Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
- La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays
- Fédération nationale des bistrots de pays
- [Sébastien Thébault, ThérÚse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
- Répertoire national des élus (RNE) - version de juillet 2020, consulté le 3 juillet 2020
- « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version octobre 2021 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'Ătat (consultĂ© le )
- Les comptes de la commune
- Chiffres clĂ©s Ăvolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siÚcle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 288.
- Ătablissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Marcoux - Digne - Riez - Sisteron
- Comtesse du Chaffaut, Gypseries en Haute-Provence : cheminĂ©es et escaliers (XVIeâââXVIIe siĂšcles), Turriers, Naturalia publications, (ISBN 2-909717-22-4), p 78
- « Eglise : inscription par arrĂȘtĂ© du 7 juin 1927 », notice no PA00080430, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture consultĂ©e le 11 juin 2010
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 111-112
- Notice no PM04000782, base Palissy, ministÚre français de la Culture consultée le 11 juin 2010
- Notice no PM04000234, base Palissy, ministÚre français de la Culture consultée le 11 juin 2010
- Monument aux morts