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Marcelle Loubchansky

Marcelle Loubchansky est une artiste peintre française née à Paris le et morte dans la même ville le [1] - [2] - [3] - [4]. Elle est une figure majeure de l'abstraction lyrique[5].

Biographie

Ses Ă©tudes artistiques dĂ©butent aux Beaux-Arts et aux Arts dĂ©co de Paris, mais sont vite interrompues par la Seconde Guerre mondiale, en 1942, l’obligeant Ă  se rĂ©fugier Ă  Cannes, oĂą elle exerce la cĂ©ramique. Elle pratique activement la peinture abstraite Ă  partir de 1946, dès son retour Ă  Paris[6] Elle frĂ©quente alors le monde littĂ©raire et artistique de Saint-Germain-des-PrĂ©s, notamment le milieu surrĂ©aliste oĂą elle est vite remarquĂ©e par AndrĂ© Breton, le critique d'art Charles Estienne, et le galeriste Jean Fournier[5].

Grâce à Camille Bryen, elle expose en 1948 pour la première fois ses toiles à la galerie des Deux-Îles, quai aux Fleurs à Paris[7].

La galerie Breteau, qui deviendra une des galeries attitrée du mouvement nuagiste, organisera la même année une exposition de ses œuvres avec un autre peintre, Mandorlo[7].

Après avoir participé en 1950 au Salon des réalités nouvelles, Marcelle Loubchansky voit sa première exposition personnelle organisée par Suzanne de Coninck à la galerie de Beaune en 1951.

Ses toiles de la première période se caractérisent par une abondance de formes enchevêtrées et quelques graphismes errants, loin encore de la transparence et de la fluidité qu’elle va développer quelques années plus tard. Son activité est alors intense et son audience internationale s’affirme.

Elle figure dans le comité d’organisation du Salon d'octobre de 1952 en compagnie notamment de Jean Degottex, René Duvillier, Alexandre Istrati, Jean Messagier et James Pichette. Elle participe à de nombreuses expositions collectives, en particulier à celle des « Peintres de la nouvelle École de Paris » à la galerie de Babylone en 1952, puis, la même année à Édimbourg dans le groupe Young Painters of École de Paris, à l’initiative du British Council, et, à New York, au musée Solomon R. Guggenheim à l’exposition « Younger European Painters ». Le critique d’art Charles Estienne, promoteur du tachisme, avec qui elle se lie d’amitié, la fait participer à des expositions d’envergure, telles que « La Coupe et l’épée », en 1953, en compagnie de Degottex, Duvillier et Simon Hantaï à la galerie À l’Étoile scellée, marquée par le surréalisme défendu par André Breton, puis à la galerie Craven pour l'exposition « Nouvelles propositions du réel »[7]

Le surréalisme et le tachisme entretiennent alors une proximité évidente et renvoient à une conception de la peinture à laquelle adhère Marcelle Loubchansky, qui affirme :

« Le but de la peinture me semble être en premier lieu l’expression de soi-même. De plus, je pense que le surréalisme est un des courants fondamentaux de notre temps. L’abstraction, cependant, est à mon avis un passage nécessaire, comme la synthèse du surréalisme et du classicisme, du contenu et de la forme[8]. »

Une nouvelle exposition personnelle est organisée à la galerie Craven en 1954, année de la rencontre avec Jean Fournier, jeune directeur de la galerie Kléber. Charles Estienne présente le dans cette galerie l'exposition « Alice in Wonderland », où Loubchansky expose au côté de Degottex, Duvillier, Roger-Edgar Gillet, Hantaï, Toyen et Thanos Tsingos[7].

Lors de son exposition personnelle, dans la même galerie, en 1956, André Breton signe une préface enthousiaste :

« Nul n’a su comme elle libĂ©rer et rendre tout essor Ă   ces formes issues du sein de la terre et participant Ă  la fois de l’humiditĂ© et de la flamme qui attestent une nouvelle gestation[9]. »

Lors de cette exposition apparaissent déjà ces grandes plages de couleur irisée de lumière, grâce à une technique consistant à faire couler une peinture préalablement diluée à l’essence directement sur la toile et à manipuler celle-ci pour obtenir des zones de nuances et d’ombres d’une grande fluidité, puis en travaillant à la brosse ses couleurs.

À partir de la fin des années 1950, Julien Alvard (en) l’intègre au groupe nuagiste. Elle participe à l’exposition « Le vide et l’obscurité », présenté par Alvard à la galerie Kléber en 1958, mais surtout à l'exposition « Antagonismes » au musée des Arts décoratifs de Paris en 1960[7].

Ses peintures des années 1960 sont marquées par un dépouillement et par une communion avec la nature que l’on retrouve dans ses titres L’Avant-aube, Avec le soleil, ainsi que par l’utilisation de couleurs transparentes, avec des roses, des jaunes et toujours des rouges intenses (Espace rouge, 1961)[10].

À l’exposition personnelle au palais des beaux-arts de Bruxelles, en 1963, les thèmes naturalistes sont également omniprésents, de même qu’à la rétrospective que lui consacre Jean Fournier dans sa nouvelle galerie de la rue du Bac en 1965. Dans sa préface, Geneviève Bonnefoi insiste sur le « sentiment cosmique » qui inspire les toiles de la dernière décennie, version moderne et amplifiée du célèbre « sentiment de la nature » des romantiques[7].

Elle fait partie de l’exposition nuagiste organisée par Julien Alvard à la saline royale d'Arc-et-Senans en 1966 (La Civilisation des cimes ou Pourquoi nous combattons) avec Frédéric Benrath, René Laubiès, Pierre Graziani, Fernando Lerin et Nasser Assar[7].

Maryse Haerdi, dans sa préface à l’exposition « Fusion » présentée à la galerie Zodiaque à Genève en 1970, qualifie pour sa part l’œuvre de Marcelle Loubchansky de « peinture d’expression cénesthésique-cosmique »[7].

Au cours des années 1980, Marcelle Loubchansky participe à de nombreuses expositions collectives, sous l’impulsion notamment de Geneviève Bonnefoi dans le cadre de la collection de l'abbaye de Beaulieu-en-Rouergue, mais aussi dans le cadre d’hommages à Charles Estienne ou à Michel Ragon[7].

Son décès en interrompt son œuvre. Après le rachat de la moitié de son atelier, la galerie Carole Brimaud présente en 1991 un hommage à l'artiste, qui précède la rétrospective couvrant les années 1950 à 1988 organisée à l'abbaye de Beaulieu-en-Rouergue par Geneviève Bonnefoi en 1992[11].

Marcelle Loubchansky sut durant toutes ces années renouveler la manière de traiter ses thèmes favoris, ses formes issues du cosmos, de la terre et de l’eau, en créant un langage où les couleurs et la transparence suscitent une tension lyrique indéfinissable.

Expositions

Principales expositions personnelles

  • 1948 : galerie des Deux-ĂŽles[alpha 1], Paris
  • 1951 : galerie de Beaune[alpha 2], Paris
  • 1953 : galerie Ex-Libris, Bruxelles
  • 1954 : galerie Craven[alpha 3], Paris, prĂ©face de Charles Estienne
  • 1956 : galerie KlĂ©ber[alpha 4] - [alpha 5], Paris, prĂ©face d’AndrĂ© Breton
  • 1956 : galerie Aujourd’hui, Bruxelles, prĂ©face de P. Janlet
  • 1957 : galerie KlĂ©ber[alpha 6], Paris, prĂ©face de RenĂ©e Beslon
  • 1960 : galerie KlĂ©ber[alpha 7], Paris, prĂ©face de Charles Estienne
  • 1963 : Palais des Beaux-Arts, Bruxelles, prĂ©face de R.V. Gindertael
  • 1965 : galerie Fournier[alpha 8] - [alpha 9], Paris, prĂ©face de Geneviève Bonnefoi
  • 1970 : « Fusion Â», galerie Zodiaque, Genève, prĂ©face de Maryse Haerdi
  • 1991 : galerie Carole Brimaud, Paris
  • 1992 : abbaye de Beaulieu-en-Rouergue, « RĂ©trospective 1950-1988 »
  • 1993 : mairie du 6e arrondissement de Paris, « Hommage Ă  Marcelle Loubchansky 1917-1988 »
  • 2001 : galerie Le Sphinx, Montauban
  • 2009 : galerie Carole Brimaud, Paris ; publication d'un catalogue : Marcelle Loubchansky, les moires de la mĂ©moire, 1948-1980, avec reproduction en fac-similĂ© du manuscrit de La Ronde des menhirs, poème de Charles Estienne dĂ©diĂ© Ă  Marcelle Loubchansky[5]
  • 2009 : galerie Convergences, Paris
  • 2014 : « Espaces cosmiques Â», galerie 53, Paris
  • 2017 : galerie Convergences, Paris ; publication d'un catalogue : Effusion colorĂ©e

Expositions collectives (sélection)

  • 1948 : « Loubchansky et Mandorlo. Peintures rĂ©centes », galerie RenĂ© Breteau, 70, rue Bonaparte Ă  Paris, . PrĂ©face de Charles Estienne.
  • 1948 « PrĂ©sente un groupe de peintres non figuratifs. La rose des vents », exposition collective : Bandeira, Boumeester, Bryen, Loubchansky, Marc, Russel, Schöffer, Selim. Vernissage vendredi . Galerie des Deux ĂŽles, 1 Quai aux Fleurs 75004 Paris.
  • 1950 : Salon des rĂ©alitĂ©s nouvelles, Paris.
  • 1952 : « Peintres de la Nouvelle École de Paris », -, galerie de Babylone, 38, Boulevard Raspail Ă  Paris. Premier groupe : Jean Bazaine, Berçot, Jean Deyrolle, Maurice Estève, Hans Hartung, Hilaireau, AndrĂ© Lanskoy, Charles Lapicque, Jean Le Moal, Alfred Manessier, Richard Mortensen, Jean Piaubert, Édouard Pignon, Serge Poliakoff, Marie Raymond, GĂ©rard Schneider, Surgier, Pierre Soulages, Nicolas de StaĂ«l, Pierre Tal Coat, Raoul Ubac, Victor Vasarely, Maria-Elena Vieira da Silva. Secod groupe, vernissage le : François Arnal, Jean Michel Atlan, Jean-Marie Calmettes, Jules Chapoval, Denise Chesnay, Jean Degottex, Cicero Dias, Pierre Dmitrienko, RenĂ© Duvillier, Roberta Gonzalez, Robert Lapoujade, Marcelle Loubchansky, Jean Messagier, Mehmed Devrim Nejad, James Pichette, Jean Pons, Bernard Quentin, Serge Rezvani, Fahr-el-Nissa Zeid[12].
  • 1952 : « Rose de l’insulte », librairie-galerie La Hune, 170, Boulevard Saint-Germain Ă  Paris. Marc Chagall, Jean Degottex, Jean Deyrolle, RenĂ© Duvillier, Fahr-el-Nissa-Zeid, Roberta Gonzalez, Marcelle Loubchansky, Jean Messagier, Richard Mortensen, Mehmed Devrim Nejad, James Pichette, Serge Poliakoff, Marie Raymod, Hans Reichel.
  • 1952 : « Marcel Duchamp ou la Joconde mise Ă  nu », Salon d’octobre, salle AndrĂ© BaugĂ©, 1952 [p. 40-42.]. Premier Salon d’octobre. Hommage Ă  Marcel Duchamp et rĂ©trospective Chapoval. Salle AndrĂ© BaugĂ©[13].
  • 1952 : « Young Painters of Ecole de Paris », Ă  l’initiative du British Council, Édimbourg.
  • 1952 : « Younger European Painters », Solomon Guggenheim Museum, New York.
  • 1953 : « La coupe et l’épĂ©e » (Degottex, Loubchansky, Duvillier, Messagier), galerie Ă€ L’Étoile scellĂ©e, 11 rue du PrĂ©-aux-Clercs Ă  Paris, du 10 au . Texte de Charles Estienne.
  • 1953 : « Nouvelles propositions du rĂ©el », galerie Craven, 5, rue des Beaux-Arts Ă  Paris, . (Arnal, Degottex, Duvillier, Fahr-el-Nissa Zeid, Loubchansky, Messagier, Ossorio).
  • 1953 : deuxième Salon d’octobre. Hommage Ă  Picabia, galerie Craven. 5 rue des Beaux-Arts Ă  Paris, du 1er au [14].
  • 1954 Exposition collective : « Appel, Arnal, Bryen, Burri, Capogrossi, Dova, Dodeigne, Claire Falkenstein, Sam Francis, Ruth Francken, Gillet, Hartung, Hultberg, Kline, Loubchansky, Etienne Martin, Mathieu, Ossorio, Poliakoff, Pollock, Riopelle, Ronet, Sallès, Serpan, Soulages,  Tobey, Wols » ; Galerie Rive Droite, 82, rue du Faubourg Saint-HonorĂ©, 5-.
  • 1955 : ouverture de la librairie-galerie KlĂ©ber, 24, avenue KlĂ©ber Ă  Paris, directeur : Jean Fournier. Seconde exposition (la première est une exposition de l’artiste Abidine en ) : « Alice in Wonderland », du 1er au (Bernard Childs, Corneille, Jean Degottex, RenĂ© Duvillier, Fahr-el-Nissa Zeid, Roger-Edgar Gillet, Simon HantaĂŻ, Jan Krizek, Marcelle Loubchansky, Wolfgang Paalen, Toyen,  Thanos Tsingos).
  • 1955 : « Encres et aquarelles », librairie-galerie KlĂ©ber, 24, avenue KlĂ©ber Ă  Paris, juin-septembre (Degottex, Duvillier, Krizek, Loubchansky). Chaque carton d’invitation au vernissage Ă©tait ornĂ© d’une Ĺ“uvre originale d’un des quatre artistes, une encre de couleurs ou une aquarelle non signĂ©e.
  • 1955 : « PĂ©rennitĂ© de l’Art Gaulois Â», musĂ©e pĂ©dagogique de Paris, prĂ©sentation d’AndrĂ© Breton et texte de Charles Estienne.
  • 1956 : Salon de Mai, musĂ©e d’Art moderne de la ville de Paris. Participe au mĂŞme Salon en 1957, 1958, 1959, 1960, 1962, 1965, 1966, 1968.
  • 1956 : « L’île de l’homme errant », librairie-galerie KlĂ©ber, 24, avenue KlĂ©ber Ă  Paris, du au (Chagall, Compard, Degottex, Duvillier, Fahr-el-Nissa Zeid, Loubchansky, Toyen).
  • 1958 : « Le vide et l’obscuritĂ© », prĂ©sentĂ© par Julien Alvard, galerie KlĂ©ber, 24, Avenue KlĂ©ber Ă  Paris.
  • 1960 : « Antagonismes », musĂ©e des arts dĂ©coratifs, Paris, fĂ©vrier-.
  • 1960 : participe Ă  l’exposition W.W.I.C., Londres.
  • 1963 : « Le SurrĂ©alisme Â», galerie Charpentier, commissaire : Patrick Waldberg.
  • 1966 : exposition « Nuagiste » organisĂ©e par Julien Alvard Ă  la salines royale d’Arc-et-Senans (La civilisation des cimes ou Pourquoi nous combattons) avec Nasser Assar, FrĂ©dĂ©ric Benrath, Pierre Graziani, RenĂ© Laubiès, Fernando Lerin.
  • 1967 : « Dix ans de peinture vivante Â», Fondation Maeght, Saint-Paul-de-Vence, commissaire : François Wherlin.
  • 1967 : « Une aventure dans l’art abstrait, 50-57 Â», musĂ©e Galliera, Paris, suivi d’une exposition itinĂ©rante aux musĂ©es de Brest, de Nantes, de Reims. PrĂ©sentation de Michel Ragon.
  • 1968 : « Le musĂ©e dans l’usine, Peter Stuyvesant Collection Â», Amsterdam, Stratford et MontrĂ©al (publication d'un catalogue).
  • 1969 : participe au prix d’Europe, Kultureel Centrum Ostende, Belgique.
  • 1973 : « Espace lyriques depuis 45 » (Geneviève Bonnefoi), CAC Abbaye de Beaulieu.
  • 1974 : « Cenesthesic Art Â», exposition par Maryse Haerdi, galerie du Manoir, La-Chaux-de-Fonds, Suisse et universitĂ© de Bâle (ILMAC).
  • 1975 : « Certitude de l’incertain Â», collection du musĂ©e Cantini, Marseille, prĂ©sentĂ©e par Marielle Latour.
  • 1980 : « Autour d’une collection 1945-1980, Donation Geneviève Bonnefoi et les Amis de Beaulieu », abbaye de Beaulieu.
  • 1985 : « La couleur Â», musĂ©e de Rennes, de Morlaix et de Saint-Malo avec le FRAC Bretagne.
  • 1986 : « La Collection de Beaulieu », abbaye de Beaulieu.
  • 1990 : « La Collection de Beaulieu-1945-1990, XXIe anniversaire du centre d’art contemporain Â», abbaye de Beaulieu-en-Rouergue.
  • 2008 : « Les Nuagistes », collĂ©giale Saint-AndrĂ©, Chartres, -. Commissaires : Michel Calmon et Nadine Berthelier. HĂ´tel du dĂ©partement, Chartres, -. Commissaire : Jean-Claude Lethiais (publication d’un catalogue conçu par Michel Calmon). Nasser Assar, FrĂ©dĂ©ric Benrath, Manuel Duque, RenĂ© Duvillier, Pierre Graziani, RenĂ© Laubiès, Fernando Lerin, Marcelle Loubchansky et Karl Godeg.
  • 2011 : « L’Aventure de l’Art Abstrait, Charles Estienne, critique d’art des annĂ©es 50 », musĂ©e des Beaux-Arts de Brest, commissaire : Françoise Daniel et Catherine Elkar, du au .
  • : galerie HervĂ© Courtaigne, Paris. Expositions collectives.

Ĺ’uvres dans les collections publiques

Notes et références

Notes

  1. 1, quai aux Fleurs, 75004
  2. Directrice : Suzanne de Coninck.
  3. Directeur : John Craven.
  4. Directeur : Jean Fournier.
  5. 24 avenue Kléber, 75116.
  6. Directeur : Jean Fournier.
  7. Directeur : Jean Fournier.
  8. Directeur : Jean Fournier.
  9. 22 rue du Bac, 75007.

Références

  1. Relevé des fichiers de l'Insee
  2. Super User, « Loubchansky Marcelle », sur hervecourtaigne.com (consulté le ).
  3. « Disparition de la collectionneuse et critique d'art Geneviève Bonnefoi », Connaissance des Arts,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. Adélie Floch, « Brest. Le combat des femmes artistes continue », Ouest France,‎ (lire en ligne).
  5. « Marcelle Loubchansky | Cnap », sur www.cnap.fr (consulté le )
  6. « Loubchansky Marcelle », sur www.hervecourtaigne.com (consulté le )
  7. Geneviève Bonnefoi, « Marcelle Loubchansky, Effusion colorée », Galerie Convergence,‎ (lire en ligne)
  8. Geneviève Bonnefoi, « Marcelle Loubchansky ou "le dépouillement par l'espace" », sur galerieconvergences.com, (consulté le ).
  9. André Breton, Œuvres complètes, Gallimard, (ISBN 978-2-07-011692-8, lire en ligne)
  10. (en) Natalie Adamson, "Painting, Politics and the Struggle for the ?ole de Paris, 1944?964 ", Routledge, (ISBN 978-1-351-55519-7, lire en ligne)
  11. Geneviève Abbaye de Beaulieu et Impr. Grapho), Marcelle Loubchansky, Association culturelle de l'abbaye de Beaulieu, (ISBN 2-902697-10-4 et 978-2-902697-10-6, OCLC 463948823, lire en ligne)
  12. « PrĂ©-vernissage des peintres de la Nouvelle École de Paris. Devant ma toile, Charles Estienne dit Ă  Duvillier qu’il montrera Ă  ceux  qui recherchent l’espace avec des tire-lignes et des compas, qu’on peut le rechercher aussi avec du flou ! » - Jean Messagier, Journal, 1952, citĂ© in Jean Messagier, Traces, par Francette Messagier, Ă©ditions NĂ©o, 2006, p. 24.
  13. Salon crĂ©Ă© le par Charles Estienne, oĂą exposent Pierre Alechinsky, Angel Alonso, Avni Arbas, François Arnal, Geneviève Asse, Baram, Barta, Claude Bellegarde, Gianni Bertini, Huguette Arthur Bertrand, Bloch, Roger Bissière, Francis Bott, Christine Boumeester, Michel Bouqueton, Alain de la Bourdonnaye, Braun, Manolis Calliyannis, Jean-Marie Calmettes, Charbonnel, Michel Carrade, Carrey, Carton, Oscar Chelimsky, Denise Chesnay, Collignon, Constant, Jean-Michel Coulon, PIerre Courtin, Olivier DebrĂ©, Jean Degottex, Pierre Dmitrienko, Jacques Doucet, Bernard Dufour, Natalia Dumitresco, Dumulon, RenĂ© Duvillier, Marcel Fiorini, Oscar Gauthier, Jacques Germain, Gilbert, Émile Gilioli, Georges Goulet, Guba, Hoerdur, Alexandre Istrati, Joly, Ida Karskaya, Kilic, John-Franklin Koenig, Georges Koskas, Lambert, David Lan-Bar, Charles Lapicque, Laviolle, RenĂ© Legrand, Marcelle Loubchansky, Marc-Antoine Louttre, Manton, Maryan, Jean-RenĂ© Megard, Jean Messagier, Wilfrid Moser, Moti, Nadal, Louis Nallard, Mehmed Devrim Nejad, Jean Perrier, James Pichette, Serge Poliakoff, Jean Pons, Marcel Pouget, Proweller, Riba Rovira, Risi, Sauer, Schaar, Schelchow, Stoloff, Wiking Swensson, Shinkichi Tajiri, Uriber, Van Haardt, Vega,  Waldberg, Wendt, Zao-Wou Ki.
  14. ComitĂ© d’honneur : AndrĂ© BeaugĂ©, Georges Boudaille, Palma Bucarelli, Pierre Courthion, Sonia Delaunay, Charles Estienne, Bernard Gheerbrandt, Roger Van Gindertael, Nina Kandinsky, Jacques Lassaigne, Frans Meyer, Roland Penrose, A. Rudlinger, Willem Sandberg, Michel Seuphor, J.J.Sweeney. ComitĂ© actif : Pierre Alechinsky, François Arnal, Denise Chesnay, Jean Degottex, Bernard Dufour, RenĂ© Duvillier, Jan Krizek, Marcelle Loubchansky, Jean Messagier, James Pichette, Jean Pons. Du 1er au : Pierre Alechinsky, François Arnal, Pierre Baltensberger, Laci Barta, Marcelle Baumann, Claude Bellegarde, Huguette Bertrand, Michel Bouqueton, Alain de la Bourdonnaye, Camille Bryen, Manolis Calliyannis, Carrey [« Nous apprenons la mort de notre camarade, survenue brusquement le 26 aoĂ»t au Zoute, Belgique], Denise Chesnay, Corneille, Jean-Michel Coulon, Olivier DebrĂ©, Jean Degottex, Roger Derieux, Pierre Dmitrienko, Jacques Doucet, Gianni Dova, Bernard Dufour, Natalia Dumitresco, RenĂ© Duvillier, Fahr-el-Nissa Zeid, Sonja Ferlov, Marcel Fiorini, Ruth Francken, Oscar Gauthier, Claude Georges. Du 15 au : Jacques Germain, Roger-Edgar Gillet, Van Ginneken, Georges Goulet, Otto Greis, RenĂ© Guiette, Alexandre Istrati, Siegfried Jonas, [Kallos], Ivan Kawun, Jan Krizek, Charles Lapicque, RenĂ© Legrand, Bengt Lindström, Marcelle Loubchansky, Marc-Antoine Louttre, Suzanne Masse, Jean Messagier, SiryĂą Morita, Moti, Francisco Nieva, James Pichette, Serge Poliakoff, Jean Pons, Marcel Pouget, AndrĂ©e Rouvel, Saint Maur, Iaroslav Serpan, Kumi SugaĂŻ, Wiking Svensson, Shinkichi Tajiri.
  15. Voir sur galerieconvergences.com.

Annexes

Monographies et principaux catalogues d’exposition

  • Loubchansky, catalogue de l’exposition Ă  la Galerie KlĂ©ber, Paris, 1956, prĂ©face d’AndrĂ© Breton
  • Loubchansky, catalogue de l’exposition Ă  la Galerie KlĂ©ber, Paris, 1960, prĂ©face de Charles Estienne
  • Loubchansky, catalogue de l’exposition au Palais des Beaux-Arts, Bruxelles, 1963, prĂ©face de R.V. Gindertael
  • Loubchansky, catalogue de l’exposition Ă  la Galerie Jean Fournier, Paris, 1965, prĂ©face de Geneviève Bonnefoi
  • Loubchansky, catalogue de l’exposition Ă  la Galerie Zodiaque, Genève, 1970, prĂ©face de Maryse Haerdi

Varia

  • Charles Estienne, « Une rĂ©volution : le Tachisme. Historique-EsthĂ©tique. », Combat-Art, no 4, .
  • Le surrĂ©alisme, mĂŞme, revue trimestrielle, 5 volumes (livraisons), directeur : AndrĂ© Breton, Ă©diteur : Jean-Jacques Pauvert, du no 1 () au no 5 (). 5 volumes de : 156 + 168 + 96 + 64 + 64 pp, petits in-4 brochĂ©s, couvertures imprimĂ©s.
  • Charles Estienne, « L’art d’aujourd’hui : morts et vivants », Combat-Art, no 85, .
  • Charles Estienne & l’Art Ă  Paris, 1945-1966, Centre national des arts plastiques/Fondation nationale des arts graphiques et plastiques, -. Commissaire : Jean-Clarence Lambert. Organisation de l’exposition : Marie-Claude Volfin, Lina Nahmias. Textes de GĂ©rald Gassiot-Talabot (pp.7-8.), Jean-Clarence Lambert (« DĂ©terrons le feu ») (p. 9-12.)
  • Nathalie Reymond, « Dictionnaire, mode d’emploi », UniversitĂ© de Paris I, UER des arts plastiques et sciences de l’art, p. 15-95.
  • Charles Estienne, une idĂ©e de nature, exposition rĂ©alisĂ©e Ă  partir des collections du Fonds rĂ©gional d’art contemporain, musĂ©e des Beaux-Arts de Brest, -. Exposition rĂ©alisĂ©e par Françoise Chatel et RenĂ© Le Bihan.
  • L’Aventure de l’Art Abstrait, Charles Estienne, critique d’art des annĂ©es 50, musĂ©e des Beaux-Arts de Brest, commissaire : Françoise Daniel et Catherine Elkar, -. Exposition regroupant 35 peintres et sculpteurs.
  • Henri BelbĂ©och, RenĂ© Le Bihan, 100 peintres en Bretagne, Quimper, Ă©ditions Palantines, 1995.
  • Jean-Clarence Lambert, « Charles Estienne », in Adam Biro, RenĂ© Passeron, Dictionnaire gĂ©nĂ©ral du SurrĂ©alisme et de ses environs, Paris, Presses Universitaires de France, 1982, p. 152.
  • Marguerite Bonnet et Jacqueline ChĂ©nieux-Gendron, Revues surrĂ©alistes françaises/Autour d’AndrĂ© Breton, 1948-1972, Millwood, New York & London, England, Kraus International Publications, 1982.
  • AndrĂ© Breton, Le SurrĂ©alisme et la Peinture, Paris, Gallimard, 1965.
  • AndrĂ© Breton, Le SurrĂ©alisme et la Peinture, Ĺ’uvres complètes, tome IV, Écrits sur l'art et autres textes, Bibliothèque de la PlĂ©iade, Paris, Gallimard, 2008. Édition publiĂ©e sous la direction d'Étienne-Alain Hubert avec la collaboration de Philippe Bernier et Marie-Claire Dumas.
  • GĂ©rard Durozoi, Histoire du Mouvement SurrĂ©aliste, Paris, Hazan, 1997, « Apports de Charles Estienne », p. 548-553., « Notice : Charles Esienne », p. 672. [p. 512, 532, 535, 549, 550, 553, 556, 559, 579].
  • Charles Estienne, L’Art Abstrait est-il un acadĂ©misme ?, Paris, Éditions de Beaune, coll. « Le Cavalier d’épĂ©e »., 1950.
  • Charles Estienne, Le SurrĂ©alisme, Aimery Somogy/GrĂĽnd, coll. « Tendances de la peinture moderne », 1956.
  • Jean-Michel Goutier, Benjamin PĂ©ret, Paris, Henry Veyrier, 1982.
  • Lydia Harambourg, L'École de Paris 1945-1965 : dictionnaire des peintres, Neuchâtel, Éd. Ides et Calendes, (1re Ă©dition 1993).
  • Jean-Clarence Lambert, La peinture abstraite, Lausanne, Éditions Rencontre, 1967.

Liens externes

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