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Marainville-sur-Madon

Marainville-sur-Madon est une commune française située dans le département des Vosges, en Lorraine, dans l'actuelle région Grand Est.

Marainville-sur-Madon
Marainville-sur-Madon
Vue du village.
Blason de Marainville-sur-Madon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Épinal
Intercommunalité Communauté de communes de Mirecourt Dompaire
Maire
Mandat
Anne Simonin
2020-2026
Code postal 88130
Code commune 88286
Démographie
Gentilé Marainvilloises, Marainvillois
Population
municipale
97 hab. (2020 en augmentation de 4,3 % par rapport à 2014)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 23′ 55″ nord, 6° 10′ 12″ est
Altitude 300 m
Min. 247 m
Max. 307 m
Superficie 4,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Charmes
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Marainville-sur-Madon
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Marainville-sur-Madon
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Marainville-sur-Madon

    Géographie

    Localisation

    Localisation dans le département.
    Situation géographique de Marainville-sur-Madon.

    Marainville est la dernière commune vosgienne traversée par le Madon avant que celui-ci pénètre en Meurthe-et-Moselle. Son territoire est voué à l'agriculture et ne possède pas de forêts.

    Communes limitrophes

    Rose des vents Saint-Firmin
    Meurthe-et-Moselle
    Jevoncourt
    Meurthe-et-Moselle
    Bralleville
    Meurthe-et-Moselle
    Rose des vents
    Diarville
    Meurthe-et-Moselle
    N Battexey
    O Marainville-sur-Madon E
    S
    Pont-sur-Madon Xaronval

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le Madon et le ruisseau le Beaulong[1] - [Carte 1].

    Le Madon, d'une longueur totale de 96,9 km, prend sa source dans la commune de Vioménil et se jette dans la Moselle à Pont-Saint-Vincent, après avoir traversé 47 communes[2].

    Le ruisseau le Beaulong, d'une longueur totale de 10,7 km, prend sa source dans la commune de They-sous-Vaudemont et se jette dans le Madon à Battexey, après avoir traversé six communes[3].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Marainville-sur-Madon.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe des Grès du Trias Inférieur ». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux[Note 1] de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges[4].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Urbanisme

    Typologie

    Marainville-sur-Madon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [5] - [6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,6 %), prairies (41 %), forêts (5,7 %), zones urbanisées (5,6 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Le nom du village est attesté dès 1402 sous la forme latine de Mareinvilla.

    Histoire

    Période de l'Ancien Régime

    En 1608, la seigneurie de Marainville est donnée par le duc de Lorraine à Nicolas de Gleisenove, en échange des fiefs et des « coppels » de Charmes ; Nicolas de Gleisenove fait construire le château de Marainville.

    La paroisse[Note 4] relève du bailliage de Mirecourt ; du point de vue religieux, elle dépend de l’abbaye Notre-Dame-de-l'Assomption de Flabémont.

    Le , la « terre et seigneurie » de Marainville est érigée en comté en faveur de Charles-Antoine Royer (mort en 1731), dont la fille Charlotte est l'épouse d'Étienne Julien Locquet de Grandville, lieutenant général des armées du roi[12]. Vers 1750, le comté passe à Charles-Joseph de Rutant, époux de Marguerite Locquet de Grandville[13]. Après la mort de Charles-Joseph (vers 1780), la seigneurie est vendue au comte d'origine polonaise Michał Pac, qui la revend vers 1785. La Franc-maçonnerie à Marainville a été très active au XVIIIe siècle. Le comte Julien Locquet-de-Granville était franc-maçon à la loge de Lunéville et son épouse, Élisabeth Charlotte Léopoldine Royer bien que non maçonne[14] était considérée comme telle par les maçons parisiens qui l'appelaient "notre chère free massone"[15]. Leur gendre, le comte Charles-Joseph de Rutant était aussi un franc-maçon avéré, mais membre de la loge maçonnique de Mirecourt.

    1771 est l'année de la naissance à Marainville de Nicolas Chopin, père du compositeur et pianiste Frédéric Chopin.

    Marainville depuis la Révolution

    En 1790, la commune[16] de Marainville fait partie du canton et du district de Mirecourt.

    En 1801, elle est transférée au canton de Charmes.

    Par décret du , Marainville prend le nom de Marainville-sur-Madon.

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 mars 2001 Jacques Clément
    mars 2001 mars 2008 Maryse Ohnenstetter UDF
    mars 2008 En cours
    (au 18 février 2015)
    Anne Simonin

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18].

    En 2020, la commune comptait 97 habitants[Note 5], en augmentation de 4,3 % par rapport à 2014 (Vosges : −2,99 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
    274249261256280284258237217
    1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    203199185186188160136136141
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    12710811510710589879096
    1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
    816876858687869398
    2020 - - - - - - - -
    97--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Martin.
    Le château d'eau.

    Une tombe à char sous tumulus datant du VIIe siècle av. J.-C., découverte en 1977 et fouillée entre 1986 et 1988, a livré un mobilier d'un grand intérêt[21]. Elle est sans doute liée au site fortifié de Saxon-Sion en Meurthe-et-Moselle[22].

    Personnalités liées à la commune

    François Chopin (1738-1814) est, dans les années 1770-1780, syndic de la paroisse et se trouve de ce fait en contact avec le seigneur de l'époque, Michel Jean Pac, un noble polonais du grand-duché de Lituanie, et surtout avec son intendant, Adam Weydlich, lui aussi Polonais[24]. En 1787, après la mort de Michel Pac, la seigneurie de Marainville est revendue ; la famille Weydlich repart en Pologne, emmenant avec elle Nicolas Chopin qui se fixe définitivement dans ce pays et s'y marie en 1806 ; Frédéric Chopin naît en 1810.

    En Pologne, Nicolas Chopin indiquait en général, comme lieu de naissance : « aux environs de Nancy »[25], mais son dossier administratif de professeur, retrouvé en 1923, indique bien « Marainville » (à la suite de quoi son acte de baptême a été à son tour retrouvé et publié en 1926). Il n'a, semble-t-il, pas maintenu de liens avec sa famille ; le seul document retrouvé est une lettre de 1790[26]. Il n'a pas été partie prenante de la succession de son père en 1814[27]. Il ne semble pas que Frédéric Chopin, qui a vécu en France de 1831 à sa mort, ait su qu'il avait deux tantes à Marainville.

    La maison natale de Nicolas Chopin n'est pas celle qui a été détruite en 1982[28] par un agriculteur, mais la maison mitoyenne, celle des beaux-parents[29]. L'association « Les amis de Nicolas Chopin » de Marainville et le centre de recherche culturel Chopin[30] de Charmes organisent régulièrement des concerts et des conférences sur Chopin.

    • Michel Jean Pac (Michał Jan Pac[31], 1730-1787).

    Cet aristocrate polonais est issu d'une très grande famille de Lituanie. Lui-même a été chambellan du roi de Pologne Auguste III (1734-1763), puis sous le règne de Stanislas II Auguste, un des chefs de la rébellion de 1768 (« Confédération de Bar »). Il vient en France à la suite de l'échec de cette aventure. Il acquiert le château de Marainville en 1780 et le revend en 1785[32]. Il est apparenté[33] à Louis Michel Pac (Michał Ludwik Pac, 1778-1835), né en France, général dans les armées napoléoniennes.

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    De gueules à la roue de char celte d'or, le moyeu d’argent, accostée de deux clefs de sol d'argent; au chef triangulaire, ondé et cousu d'azur, chargé d'une croisette fleuronnée d'or.
    Commentaires : La croix fleuronnée est celle des Gleissnove, seigneur du lieu. La roue est celle d'un char découvert sous un tumulus à Marainville sur Madon en 1980. Les clefs de sol évoquent Frédéric Chopin dont le père était natif du village. Armoiries composées par R.A. Louis et B. Georgin, adoptées le 26 janvier 2018[34].

    Pour approfondir

    Bibliographie sur Chopin et sur la franc-maçonnerie à Marainville

    Toutes les biographies de Frédéric Chopin comportent un aperçu plus ou moins détaillé des origines lorraines de son père, notamment :

    • Marie-Paule Rambeau, Chopin : l'enchanteur autoritaire, Paris Budapest Torino, L'Harmattan, coll. « Univers musical », , 957 p. (ISBN 978-2-7475-8788-4), chap. 1
    • Tadeusz A Zieliński (trad. Marie Bouvard, Laurence Dyèvre, Blaise et Krystyna de Obaldia), Frédéric Chopin [« Chopin : życie i droga twórcza »], Paris, Fayard, (ISBN 978-2-213-59352-4, BNF 36958592)

    Les ouvrages les plus importants sont ceux de Gabriel Ladaique, professeur d'université, par ailleurs vice-président du Centre culturel Chopin de Charmes :

    • Les Ancêtres paternels de Frédéric Chopin, thèse d'État sous la direction de Danièle Pistone (Université Paris IV, 1986), Lille, Atelier national Reproduction des thèses, 1987 (ISBN 2-905-05341-0)
    • Les Origines lorraines de Frédéric Chopin, Sarreguemines, Pierron Éditions, 1999 (ISBN 2-708-50208-5)
    • Chopin et sa filiation française, 2011 (édité par l'auteur)
    • Chollet Jack. La Franc-maçonnerie à Mirecourt du XVIIIe siècle à nos jours. Éditions Gérard Louis, Haroué, 2013 (ISBN 978-2-35763-046-8)
    • Chollet Jack et Andriot Cédric, Les Mystères de la Franc-maçonnerie à Lunéville. Éditions Gérard Louis, Haroué, 2016 (ISBN 978-2-35763-098-7)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une zone de répartition des eaux est une zone comprenant les bassins, sous-bassins, fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères définis dans le décret du 29 avril 1994, où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle des ressources par rapport aux besoins.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Il n'y a pas de « communes » à cette époque ; les paroisses servent aussi de circonscription administrative de base, par exemple pour les impôts direct.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Marainville-sur-Madon » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )

    Références

    1. « Fiche communale de Marainville-sur-Madon », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le )
    2. Sandre, « le Madon »
    3. Sandre, « le ruisseau le Beaulong »
    4. « SAGE Nappe des Grès du Trias Inférieur », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Cf. Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la… - François-Alexandre Aubert de la Chesnaye des Bois, Badier - Google Livres
    13. Cf. Charles Joseph de Rutant - Essai de Généalogie, par Alain Garric - GeneaNet.
    14. Andriot Cédric et Chollet Jack, Les Mystères de la Franc- Maçonnerie à Lunéville : enquête sur la franc-maçonnerie, de la première loge en Lorraine ducale du XVIIIe siècle à nos jours, Haroué 54740, Gérard Louis, , 363 p. (ISBN 978-2-35763-098-7).
    15. Chollet Jack, La Franc-Maçonnerie à Mirecourt du XVIIIe siècle à nos jours, Haroué (54740), Gérard Louis, , 293 p. (ISBN 978-2-35763-046-8).
    16. Les communes, cantons, districts et départements sont créés fin 1789 par l'Assemblée constituante.
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    21. La tombe à char de Marainville-sur-Madon.
    22. Venceslas Kruta, Les Celtes, histoire et dictionnaires, collection Bouquins, Robert Laffont, 2005.
    23. Acte de baptême (16 avril) de Nicolas Chopin, disponible en ligne : Archives départementales des Vosges (AD 88), Marainville-sur-Madon, 1771, reg. paroissiaux, baptêmes, vue 25/31. La mention en marge indique « François » au lieu de « Nicolas ».
    24. Weydlich, marié à Françoise Schelling, a un fils, Michel Joseph, qui naît à Maraiville le . Cf. AD 88, Marainville, 1783, reg. paroissiaux, baptêmes, vue 23/36.
    25. Cf. son oraison funèbre par Jan Dekert, un de ses anciens élèves, citée par Rambeau, ch. 1, note 5.
    26. Actuellement à la BnF. Cf. Ziélinski, qui la cite intégralement.
    27. Rambeau, p. 17.
    28. Vieilles Maisons Françaises, no 109, septembre-octobre 1985, page 69
    29. http://histoirepatrimoinebleurvillois.hautetfort.com/archive/2013/11/23/marainville-sur-madon-88-la-maison-chopin-retrouvee-5222328.html Est Républicain du 11 novembre 2013
    30. Centre de Recherche Culturel Chopin.
    31. Cf. page polonaise Michał Jan Pac (pl) et page anglaise Michał Jan Pac (en).
    32. Cf. exposition du Centre Chopin de Charmes.
    33. mais il n'est pas son père.
    34. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
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