Malintrat
Malintrat est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Malintrat | |||||
Grand-Rue de Malintrat et abri du XIXe siècle. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Puy-de-Dôme | ||||
Arrondissement | Riom | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Riom Limagne et Volcans | ||||
Maire Mandat |
André Magnoux 2020-2026 |
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Code postal | 63510 | ||||
Code commune | 63204 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Malintraires | ||||
Population municipale |
1 134 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 139 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 48′ 57″ nord, 3° 11′ 12″ est | ||||
Altitude | Min. 313 m Max. 332 m |
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Superficie | 8,16 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Aire d'attraction | Clermont-Ferrand (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Gerzat | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | malintrat.fr | ||||
Les habitants de la commune se nomment les Malintraires.
Malintrat fait partie de l'aire urbaine de Clermont-Ferrand.
Géographie
Localisation
La commune de Malintrat est située, à vol d'oiseau, à peu près à égale distance de la préfecture, Clermont-Ferrand (8,8 km au sud-ouest[1]) et de la sous-préfecture, Riom (10,1 km au nord-ouest[2]), ainsi qu'à une trentaine de kilomètres d'Issoire (au sud[3]) et de Thiers (à l'est[4]) et une cinquantaine de kilomètres d'Ambert (au sud-est[5]).
Cinq communes sont limitrophes de Malintrat, six en incluant le quadripoint avec Clermont-Ferrand[6] :
Hydrographie
La commune est traversée par le ruisseau des Guelles, appelé aussi ruisseau des Ronzières, affluent du Bédat long de huit kilomètres, prenant sa source près de la route départementale 770 à l'est de Clermont-Ferrand et se jetant près du village d'Épinet (commune de Saint-Beauzire), à la frontière avec Chappes[7].
Climat
La station météorologique la plus proche est située à Aulnat. Les relevés sont les suivants :
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −0,1 | 0,3 | 2,7 | 4,7 | 8,7 | 11,9 | 14 | 13,7 | 10,6 | 7,9 | 3,3 | 0,8 | 6,6 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,6 | 9,2 | 13,1 | 15,7 | 19,9 | 23,4 | 26,5 | 26,1 | 22,3 | 17,6 | 11,3 | 8 | 16,8 |
Record de froid (°C) | −23,1 | −29 | −21,3 | −7,1 | −4,2 | 1 | 3,8 | 2,4 | −3 | −9,2 | −11,8 | −25,8 | |
Record de chaleur (°C) | 22,1 | 25,9 | 26,6 | 31,3 | 33 | 37,4 | 40,7 | 39,6 | 36,8 | 29,7 | 24,3 | 21,9 | |
Ensoleillement (h) | 88,9 | 108,4 | 161,4 | 173,5 | 197,9 | 225,2 | 249,2 | 234,8 | 185,4 | 135,1 | 84 | 69,2 | 1 913 |
Précipitations (mm) | 26,7 | 21,8 | 25,8 | 53,4 | 76,8 | 72,9 | 54,9 | 61,9 | 65,6 | 49 | 39,5 | 30,6 | 578,9 |
Voies routières
L'A89 (liaison de Bordeaux à Lyon) passe au nord de la commune. La route départementale 2 traverse la commune et relie à l'ouest les communes de Cébazat et Blanzat et à l'est Pont-du-Château (il existe également une RD 2d) ; la départementale 54 relie Lussat et Aulnat[6].
Transports collectifs
La gare la plus proche est celle de Clermont-Ferrand et l'aéroport de Clermont-Ferrand-Auvergne n'est qu'à quelques kilomètres de Malintrat.
La ligne 65 du réseau Transdôme reliait le centre de la commune au collège de Gerzat ou à la gare routière de Clermont-Ferrand[9]. Cette ligne est devenue une ligne scolaire ouverte en septembre 2017 (LS424 et LS425).
Depuis le 3 septembre 2018, Malintrat est desservie par la ligne TAD 5 du réseau RLV Mobilités qui permet de se rendre au centre commercial Riom Sud, à Ennezat ou à la gare de Riom où sont possibles des correspondances avec les lignes régulières du réseau[10].
Urbanisme
Typologie
Malintrat est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [11] - [12] - [13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14] - [15].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,5 %), zones urbanisées (8 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %)[16].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Protohistoire
Découvert à l'occasion de la construction d'un lotissement au début des années 2010, le site de Champ-Gaillard, dans la rue du même nom en bordure sud du bourg, a livré des vestiges d'occupation domestique de l'âge du fer : Hallstatt C et début D1-2 (VIIIe – VIe siècle av. J.-C.). L'exploration s'est faite sur presque 1/2 hectare (4 930 m2) et n'a pas atteint les limites de la zone archéologique, sauf peut-être sur le côté est. L'érosion, typique de cette partie de la plaine de la Limagne, a supprimé les traces les plus récentes. Restent quelques trous de poteau plus ou moins identifiés ; quelques fosses de fonction indéterminée, à l'angle d’un enclos fossoyé dont la taille est restée elle aussi non déterminée car il est situé principalement hors de l'emprise de la fouille ; des structures de cuisson de type four qui semblent avoir été utilisées de façon similaire aux fours de type tandour ; et, atypiques pour des vestiges du premier âge du fer dans la région, treize puits à eau de formes et de tailles variées[17].
Ces puits, dont quelques-uns sont assez profonds, atteignent pour la plupart le niveau actuel de la nappe phréatique. Ils sont tous équipés d'un escalier creusé dans la roche, qui permet l’accès à la nappe d'eau. Ils ont servi ensuite de dépotoirs, livrant un mobilier abondant et diversifié : vaisselle céramique (512 récipients), outillage domestique (21 meules dormantes et 8 broyons, 8 fusaïoles, 6 pesons, 1 aiguisoir…), et quelques objets de parure (2 bracelets en terre cuite et 2 épingles en alliage cuivreux)[17].
La céramique est typique de la céramique auvergnate du premier âge du fer dans la région. Une grande partie du mobilier est attribuée indifféremment à la fin de l'âge du bronze et au premier âge du fer ; mais des éléments assez nombreux, notamment de la céramique fine, sont caractéristiques du Hallstatt C. Un petit nombre de pièces de céramique à décor graphité présentes dans quasiment tous les ensembles y compris dans les plus anciens, et des épingles à tête enroulée dans un ensemble incluant de la céramique évoluée, permettent de placer l'ensemble du lot entre le début du VIIIe siècle av. J.-C. (période d’apparition des décors géométriques réalisés au graphite) et le début VIe s. av. J.-C. (date la plus basse connue pour ce type d’objet)[17].
Il y a peu de restes de faune, qui incluent les mêmes espèces que les autres sites contemporains connus localement : boeuf puis porc/sanglier ou mouton/chèvre, puis cheval et chien[17].
Les vestiges de végétaux indiquent une consommation associant des céréales (orge principalement, avoine, millet, blés vêtus secondairement) et des légumineuses (lentille, vesce, fève), avec quelques oléagineux (cameline), fruits de cueillette (prunelle, sureaux) et une plante médicinale (pavot)[17].
Il n'y a pas de traces d'activité artisanale. L'orientation agricole du site est déduite plus par abstentia que par preuves directes ; mais aussi de ce que la plaine de la Limagne, et surtout les piémonts qui la bordent, a livré des traces d'un peuplement rural relativement dense (fermes et petits hameaux à seulement quelques kilomètres les uns des autres) en ce début de l'âge du fer[17].
Antiquité
Début 1884 ou peu avant, deux gros blocs d'arkose taillé sont mis au jour lors d'excavations à la butte de la Motte. Enterrés à environ 1,30 m de profondeur, ces blocs portent des traces bien apparentes de sculpture et ont pu faire partie d'un temple antique[18].
Sur la butte voisine se trouvent en 1884 les ruines d'une ancienne église, dont les murs incluent des blocs tout à fait semblables aux deux blocs précédemment cités — vraisemblablement un réemploi des matériaux de la structure sur la butte voisine (avec le cimetière de la paroisse entre les deux buttes). Cette église est l'église Saint-Pierre, paroissiale, dont la construction remonte probablement aux débuts du christianisme dans la région[18].
Moyen Âge
Au Moyen Âge, le village se développe autour d'une motte féodale et d'un château fort, aujourd'hui disparus[19]. La cure de Saint-Pierre est à la nomination de l'abbesse de Saint-Pierre de Beaumont[20]. En 1315 sous Charles le Bel, Malintrat est nommé « castrum mali introitus » (le château à la mauvaise entrée)[21]
La seigneurie appartient jusqu'au XIVe siècle à la famille Aycelin de Montaigut, puis passe par mariage à la famille de Langeac. Cette dernière vend Malintrat à Denis Michel de Montboissier-Beaufort-Canillac en 1728, qui le revend en 1758 à Philippe-Claude de Montboissier-Beaufort-Canillac pour 590 000 livres[19]. Entre-temps, au XVIIe siècle l'église Saint-Pierre est en si mauvais état que l'évêque de Clermont Gilbert Veny d'Arbouze interdit son usage en 1676. Les fonts baptismaux sont alors transportés dans la chapelle Notre-Dame attenante au château[18] ; cette dernière devient l'église paroissiale, quoique l'église Saint-Pierre soit encore utilisée pendant quelque temps aux fêtes religieuses principales[20].
Politique et administration
Administration municipale
En 2011, Malintrat comptait 953 habitants[24]. Ce nombre étant compris entre 500 et 1 499, quinze membres sont élus au conseil municipal.
Le conseil municipal, élu à la suite des élections municipales de 2014, est composé de quatre adjoints, de quatre conseillers délégués et de six conseillers municipaux[25].
Liste des maires
Rattachements administratifs et électoraux
Sur le plan administratif, Malintrat dépendait en 1793 du district de Clermont-Ferrand et du canton de Gerzat, puis en 1801 de l'arrondissement de Clermont-Ferrand et du canton de Clermont-Ferrand-Est[22]. En 1982, un décret modifie le découpage cantonal autour de Clermont-Ferrand ; la commune intègre le canton de Gerzat[30].
Les limites territoriales des cinq arrondissements du Puy-de-Dôme ont été modifiées afin que chaque nouvel établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre soit rattaché à un seul arrondissement au [31]. Toutes les communes de la communauté de communes (devenue communauté d'agglomération) Riom Limagne et Volcans sont rattachées à l'arrondissement de Riom ; Malintrat est donc passée le de l'arrondissement de Clermont-Ferrand à celui de Riom[32].
Instances judiciaires
Sur le plan judiciaire, Malintrat dépend de la cour administrative d'appel de Lyon, de la cour d'appel de Riom, de la cour d'assises du Puy-de-Dôme et des tribunaux administratif, d'instance, de grande instance et de commerce de Clermont-Ferrand[33].
Intercommunalité
Malintrat a rejoint la communauté de communes de Limagne d'Ennezat en 2011[34]. Celle-ci a fusionné avec les communautés de communes Riom-Communauté et Volvic Sources et Volcans le pour former la communauté de communes Riom Limagne et Volcans, devenue communauté d'agglomération le .
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].
En 2020, la commune comptait 1 134 habitants[Note 3], en augmentation de 4,42 % par rapport à 2014 (Puy-de-Dôme : +2,74 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
La commune relève de l'académie de Clermont-Ferrand et dispose d'une école élémentaire publique[38].
Les collégiens se rendent à Gerzat[39]. Les lycéens sont scolarisés à Clermont-Ferrand, au lycée Ambroise-Brugière pour les filières générales et technologiques dont STMG, ou aux lycées Lafayette ou Roger-Claustres pour la filière STI2D[40].
Économie
Commerce
La base permanente des équipements de 2014 recense une boulangerie[41].
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
Le pigeonnier de Malintrat, inscrit aux au titre des monuments historiques par arrêté du 28 août 1974[42].
Personnalités liées à la commune
- Florence Devouard, ancienne présidente de la Wikimedia Foundation, y a résidé.
Héraldique
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Tranché : au 1er de sable à la tête de lion arrachée d'or, au 2e d'or à la clé de sable posée en fasce; à la bande de vair brochant sur la partition. Le blason reprend les emblèmes de trois familles qui ont détenu Malintrat à partir de 1220[43]. |
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Voir aussi
Bibliographie
- A.-G. Manry, Histoire des communes du Puy-de-Dôme, Horvath, (ISBN 2-7171-0448-8) [détail des éditions]
Article connexe
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Orthodromie entre "Malintrat" et "Clermont-Ferrand" », sur Lion 1906 (consulté le ).
- « Orthodromie entre "Malintrat" et "Riom" », sur Lion 1906 (consulté le ).
- « Orthodromie entre "Malintrat" et "Issoire" », sur Lion 1906 (consulté le ).
- « Orthodromie entre "Malintrat" et "Thiers" », sur Lion 1906 (consulté le ).
- « Orthodromie entre "Malintrat" et "Ambert" », sur Lion 1906 (consulté le ).
- Carte de Malintrat sur Géoportail.
- Sandre, « Fiche cours d'eau (K2766100) » (consulté le ).
- « Données climatiques de la station de Clermont-Ferrand », sur Météo-France (consulté le ).
- « St-Beauzire – Riom (collège Vilar) / Malintrat – Clermont-Ferrand » [PDF], Conseil départemental du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
- « RLV Mobilités 2018-2019 : Mon Guide Bus » [PDF], sur rlv-mobilites.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- [Deberge 2013] Yann Deberge et Alain Wittmann, Un site d’occupation domestique du Hallstatt C (VIIIe - VIe siècles av. J.-C), rue du Champ-Gaillard à Malintrat (Puy-de-Dôme), , 95-96 p. (lire en ligne [PDF] sur culture.gouv.fr).
- [Chronique 1884] « Chronique », Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne, Académie des sciences, belles-lettres et arts de Clermont-Ferrand, no 22,‎ , p. 56 (lire en ligne [sur gallica], consulté en ).
- Manry 1987, p. 247.
- Chronique 1884, p. 57.
- « Histoire et Patrimoine », sur malintrat.fr (consulté en ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Église saint-Pierre-ès-liens », Malintrat, sur patrimoine-religieux.fr (consulté en ).
- « Populations légales 2011 de la commune de Malintrat », Insee (consulté le ).
- Les élus, sur le site de la mairie (consulté le 9 novembre 2016).
- https://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?id=JORFTEXT000000299022&pageCourante=04786
- « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], sur le site de la préfecture du Puy-de-Dôme, 9 avril 2014 (consulté le 28 septembre 2014).
- « Liste des Maires du Puy-de-Dôme », sur amr63.asso.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ).
- Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 29 (édition du Puy-de-Dôme).
- « Décret no 82-122 du 2 février 1982 portant modification et création de cantons dans le département du Puy-de-Dôme », sur Légifrance, Journal officiel de la République française, (consulté le ), p. 459.
- « Modification des limites territoriales des arrondissements du Puy-de-Dôme au », sur puy-de-dome.gouv.fr, Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
- Préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes, « Arrêté no 16-536 du 21 décembre 2016 portant sur les modifications des limites territoriales des cinq arrondissements du Puy-de-Dôme » [PDF], Recueil des actes administratifs no 63-2016-065, sur puy-de-dome.gouv.fr, Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ), p. 211-214.
- « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur annuaires.justice.gouv.fr, Ministère de la Justice (consulté le ).
- « La communauté de communes Limagne d'Ennezat », Mairie de Malintrat (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Annuaire des établissements scolaires de Malintrat, Ministère de l'Éducation nationale.
- « SECTORISATION - DEPARTEMENT du PUY-DE-DÔME » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
- « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
- « Base permanente des équipements : commerce » [zip], Insee, .
- Notice no PA00092160, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Malintrat dans l'Armorial de France ».