AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

MĂ©ral

MĂ©ral est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Mayenne en rĂ©gion Pays de la Loire, peuplĂ©e de 1 120 habitants[Note 1].

MĂ©ral
MĂ©ral
La chapelle Saint-Joseph (abritant le tombeau de Victoire Brielle).
Blason de MĂ©ral
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Mayenne
Arrondissement ChĂąteau-Gontier
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Craon
Maire
Mandat
Richard Chamaret
2020-2026
Code postal 53230
Code commune 53151
DĂ©mographie
Population
municipale
1 120 hab. (2020 en augmentation de 3,99 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 38 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 57â€Č 41″ nord, 0° 58â€Č 46″ ouest
Altitude Min. 59 m
Max. 102 m
Superficie 29,5 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Laval
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cossé-le-Vivien
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
MĂ©ral
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
MĂ©ral
GĂ©olocalisation sur la carte : Mayenne
Voir sur la carte topographique de la Mayenne
MĂ©ral
GĂ©olocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
MĂ©ral
Liens
Site web www.meral.mairie53.fr

    La commune fait partie de la province historique de l'Anjou (Haut-Anjou)[1].

    GĂ©ographie

    Méral est une commune rurale située aux confins du Haut Anjou, à la frontiÚre du Bas-Maine et prÚs des limites de la Bretagne. Elle est traversée par l'Oudon.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 751 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Cosse-le-Vivien », sur la commune de CossĂ©-le-Vivien, mise en service en 1939[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 761,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1945 et Ă  56 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  12,1 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Méral est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laval, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (95,1 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (95,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (45 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (36,9 %), prairies (13,2 %), forĂȘts (2,9 %), zones urbanisĂ©es (2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[21].

    Histoire

    Au Moyen Âge et sous l'Ancien RĂ©gime, MĂ©ral Ă©tait membre de la baronnie de Craon. La paroisse relevait du diocĂšse d'Angers sur le plan religieux et de la sĂ©nĂ©chaussĂ©e d'Angers sur les plans administratif et judiciaire.

    Insurrection des chouans (1794).

    MĂ©ral fait partie de la Mayenne angevine.

    HĂ©raldique

    Blason de MĂ©ral Blason
    CoupĂ© ondĂ© : Au 1 d’azur Ă  l’escarboucle de huit rais d’or ; au 2 parti-gironnĂ© de six piĂšces d’or et de sinople Ă  deux anilles de l’un Ă  l’autre, mises en fasce.
    DĂ©tails
    L’azur symbolise la Jouanne et l’Ouette qui traversent le territoire communal.

    L’azur et l’escarboucle Ă  six rais reprennent le blason du seigneur du Buat qui possĂ©dait MĂ©ral. La reprise intĂ©grale du blason d’un seigneur Ă©tant interdite pour les communes, il suffit d’en emprunter un ou plusieurs Ă©lĂ©ments.

    L’ondĂ© reprĂ©sente l’Oudon qui sert de limite au village.

    Le gironnĂ© symbolise les deux moulins Ă  vent de MĂ©ral en reprĂ©sentant les pales, l’image complĂšte d’un moulin Ă©tant d’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale peu employĂ©e et lourde dans un dessin. L’avantage du gironnĂ© est de permettre d’apporter une explication supplĂ©mentaire avec la couleur verte ou sinople qui vient indiquer la prĂ©sence de nombreux pĂąturages ; l’or, quant Ă  lui, image les cultures.

    Les anilles qui sont les fers mis dans les moulins pour retenir les meules reprĂ©sentent clairement Ă  la fois les moulins Ă  vent, mais aussi les deux moulins sur l’Oudon. C’est la raison de leurs couleurs alternĂ©es avec le gironnĂ© qui suggĂšre une double signification de leur prĂ©sence.

    Les ornements sont deux chevaux affrontĂ©s d’argent pour rappeler l’activitĂ© Ă©questre de la commune avec ses courses. Ils sont posĂ©s sur un mont de sable pour indiquer que le village porte le surnom de “Ville noire” en raison d’un ancien incendie qui l’avait presque entiĂšrement dĂ©truit.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien Ă  voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1945 Médéric de Lancesseur
    (avant 2001) 2008 André Logeais Agriculteur
    2008[22] mai 2020 Jean-Marc Foucher SE Agriculteur
    mai 2020[23] En cours Richard Chamaret SE
    puis Horizons[24]
    Consultant en mĂ©tiers de l’agriculture

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[26].

    En 2020, la commune comptait 1 120 habitants[Note 8], en augmentation de 3,99 % par rapport Ă  2014 (Mayenne : −0,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2969501 3431 3901 3571 3121 2371 3501 421
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3921 3561 3211 3091 3001 2941 3051 2901 246
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2001 2181 1861 1181 1091 1181 0661 0881 063
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 0611 0279569158099131 0421 0601 067
    2017 2020 - - - - - - -
    1 0981 120-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Église paroissiale (consacrĂ©e le ).
    • Chapelle Saint-Joseph (1882). Tombeau de Victoire Brielle dite "la Sainte de MĂ©ral". PĂšlerinage.
    • Moulins.
    • Lavoir sur l'Oudon.

    Personnalités liées à la commune

    • Victoire Brielle, (1815-1847). Son corps fut retrouvĂ© miraculeusement intact en 1866, une vingtaine d'annĂ©es aprĂšs son inhumation au cimetiĂšre de MĂ©ral. Elle est dite la Sainte de MĂ©ral.
    • Jean-Paul HĂ©vin (nĂ© en 1957 Ă  MĂ©ral), chef pĂątissier.
    • Jean Pierre Guiard (1767-1846), colonel français de la RĂ©volution et de l'Empire, chevalier de la LĂ©gion d'honneur, nĂ© Ă  MĂ©ral.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 2, , p. 581
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Cosse-le-Vivien - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Méral et Cossé-le-Vivien », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Cosse-le-Vivien - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Méral et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    22. Liste des maires de la Mayenne actualisée au 16 septembre 2009, site de la préfecture de la Mayenne, consulté le 19 septembre 2009
    23. « Municipales à Méral. Richard Chamaret élu pour la premiÚre fois maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    24. « Comités municipaux », sur Horizons Le parti (consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.