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Loulle

Loulle est une commune française située dans le département du Jura en région Bourgogne-Franche-Comté.

Loulle
Loulle
Église de Loulle.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
DĂ©partement Jura
Arrondissement Lons-le-Saunier
Intercommunalité Communauté de communes Champagnole Nozeroy Jura
Maire
Mandat
Xavier Racle
2020-2026
Code postal 39300
Code commune 39301
DĂ©mographie
Gentilé Loullois, Loulloises
Population
municipale
171 hab. (2020 en diminution de 0,58 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 16 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 42â€Č 32″ nord, 5° 52â€Č 56″ est
Altitude Min. 610 m
Max. 776 m
Superficie 10,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Champagnole
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Champagnole
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Loulle
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Loulle

    GĂ©ographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
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    Carte topographique
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    Avec les communes environnantes
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    1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    Communes limitrophes

    Cadre géologique

    La commune de Loulle s'inscrit dans la grande rĂ©gion naturelle du Jura externe, sur le plateau de Champagnole, unitĂ© paysagĂšre composĂ©e de forĂȘts qui occupent les coteaux et le sommet du plateau (notamment les forĂȘts mixtes de pente et de ravin), entrecoupĂ©es de clairiĂšres consacrĂ©es Ă  l'Ă©levage, Ă  la polyculture et Ă  l'habitat. Les pĂątures et les prĂ©s de fauche tapissent les vallĂ©es. Ce plateau, principalement constituĂ© de calcaires graveleux et marno-calcaires du jurassique supĂ©rieur, est sĂ©parĂ© du plateau de Lons-le-Saunier, Ă  l'ouest, par une vaste dĂ©pression, la combe d'Ain[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Loulle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Champagnole, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 43 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (49,1 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (49,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (48,2 %), terres arables (18,1 %), prairies (16,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (14,1 %), zones urbanisĂ©es (2,6 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Le toponyme relĂšverait du terme oule, « cavitĂ©, dĂ©pression Â», avec agglutination de l'article dĂ©fini l', en lien avec le plateau de Loulle pour ses lapiaz[9].

    Histoire

    Le frĂšre OgĂ©rien dĂ©crit en 1865 le marbre de Pillemoine, que l’on trouve aussi dans la commune de Loulle. Il distingue trois nuances, de haut en bas : un marbre " fond gris pĂąle, fouettĂ© d'un grand nombre de coquilles d'un bleu tendre, faisant un trĂšs-bel effet " Ă  la surface du sol ; un autre " fond gris bleu vif, pĂ©tri de coquilles d'un bleu de ciel bien prononcĂ© " ; finalement un " marbre lumachelle pur, composĂ© exclusivement d'une multitude de coquilles bivalves et univalves qui s'enchevĂȘtrent, et dont le poli fait ressortir l'enchevĂȘtrement ; le pourtour des coquilles est bleu, le test est blanchĂątre ou blanc parsemĂ© de points bleus. C'est un marbre de naturaliste et de peintre. " En 1880, Charpy signale que son exploitation est arrĂȘtĂ©e et qu’il a cĂ©dĂ© la place Ă  la Lumachelle de ChomĂ©rac, en ArdĂšche.

    Politique et administration

    Mairie de Loulle.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    2001 2014 Yves Rolet
    2014 En cours Xavier Racle

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[10]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[11].

    En 2020, la commune comptait 171 habitants[Note 3], en diminution de 0,58 % par rapport à 2014 (Jura : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    351385405380418355345342330
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    305300272240240216210209207
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    204219211203214201184178154
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    148114105160169177172170174
    2018 2020 - - - - - - -
    172171-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee Ă  partir de 2006[13].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Un important site d'empreintes de dinosaures est repĂ©rĂ© en 2004, par un promeneur averti Jean-François Richard (conseiller d'Ă©ducation), dans une ancienne carriĂšre abandonnĂ©e aprĂšs-guerre[14]. SituĂ©es sur une dalle calcaire dans une ancienne carriĂšre Ă  proximitĂ© du village, 1 500 empreintes (rĂ©parties en 23 pistes de Sauropodes[15] et 5 pistes de ThĂ©ropodes[16]) Ă©taient Ă  l'air libre depuis plusieurs dizaines d'annĂ©es. FormĂ©s sur des plates-formes littorales constituĂ©es de sĂ©diments (sables et boues calcaires, comme dans une lagune de trĂšs faible profondeur, Ă©mergeant au grĂ© des oscillations du niveau marin[17], d'oĂč la prĂ©sence de figures sĂ©dimentaires Ă  la surface des bancs : rides de plages, fentes de dessiccation, biofilms algaires de type stromatolithe, chenaux de marĂ©e et, Ă  la base de la sĂ©quence, des rĂ©cifs coralliens), trois Ă  cinq niveau stratigraphiques prĂ©sentent des pistes d'empreintes. Elles ont Ă©tĂ© prĂ©servĂ©es par ce tapis microbien puis lithifiĂ©es (processus de dolomitisation). Le site des « pistes Ă  dinosaures de Loulle », de 3800 m2, est rĂ©vĂ©lĂ© au public en automne 2006 et fait l'objet de relevĂ©s ichnologiques pendant un mois en juillet en 2007, 2008 et 2009 (en 2008, c'est « le plus grand chantier de fouilles palĂ©ontologiques de France »)[14]. Depuis 2014, le site est Ă  la fois partiellement protĂ©gĂ© et amĂ©nagĂ© (passerelle, panneaux didactiques) pour le public[18] - [19].
    • Empreintes sur la vase fossile.
      Empreintes sur la vase fossile.
    • Autre grosse empreinte.
      Autre grosse empreinte.
    • Arc de cercle marquĂ©.
      Arc de cercle marqué.
    • Polygones de dessiccation en « pelure d'oignon ».
      Polygones de dessiccation en « pelure d'oignon »[20].
    • Quelques pistes sont peintes pour en rendre la lecture plus facile.
      Quelques pistes sont peintes pour en rendre la lecture plus facile[21].
    • Vue gĂ©nĂ©rale.
      Vue générale.
    • Le lapiaz de Loulle, gĂ©otope[22] et ZNIEFF situĂ©s Ă  proximitĂ© du village, correspond Ă  un affleurement de calcaire sĂ©quanien (calcaire fin Ă  oncolithes) de 170 mĂštres de long sur 60 mĂštres de large, entourĂ© par des sĂ©diments morainiques formant des drumlins. Ce lapiaz sous-glaciaire est le tĂ©moin de l'Ă©rosion karstique d'une immense dalle de calcaire (lĂ©gĂšrement inclinĂ©e vers le Nord-Ouest) par l'action conjuguĂ©e du gel, de l'eau de fonte glaciaire (peu chargĂ©e en CO2 mais dont l'abondance assure une certaine agressivitĂ©) puis par les eaux acidifiĂ©es au cours de leur traversĂ©e d'un sol forestier[23]. Ces dalles de calcaire sont creusĂ©es de vasques (probablement liĂ©es Ă  l'Ă©rosion diffĂ©rentielle de zones oĂč la cimentation des grains qui constituent le calcaire

    est moins rĂ©sistante Ă  l’érosion) et de rigoles de dissolution dans lesquelles s'accumulent des argiles de dĂ©carbonatation favorables Ă  l'installation d'une vĂ©gĂ©tation rase d'espĂšces pionniĂšres et saxicoles[24] (communautĂ©s des Alysso – Sedetalia sur dalles, graminĂ©es telles que le pĂąturin de Baden ou la fĂ©tuque de Patzke, buissons tel que le Nerprun des rochers, conifĂšres arbustifs)[25]. On y dĂ©couvre Ă©galement de nombreuses crevasses (appelĂ©es Ă©galement laizines, ce sont des fissures plus encaissĂ©es qui proviennent de l'approfondissement de ces rigoles se recoupant) et arches. La forte amplitude thermique du climat jurassien et la capacitĂ© du calcaire Ă  restituer la chaleur accumulĂ©e pendant la journĂ©e expliquent que sur les rochers, les tempĂ©ratures peuvent varier de 50 °C en 24 heures[26].

    • Rigoles et drumlin en arriĂšre-plan.
      Rigoles et drumlin en arriĂšre-plan.
    • Vasques.
      Vasques.
    • Installation d'un couvert vĂ©gĂ©tal.
      Installation d'un couvert végétal[27].
    • La commune abrite Ă©galement une autre ZNIEFF, Balerne.
    • Église : l'Ă©difice se trouve dans le DiocĂšse de Saint-Claude, au sein de la Paroisse n°66. Le curĂ© est M. l'abbĂ© Laurent Bongain.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Vincent Bichet et Michel Campy, Montagnes du Jura : GĂ©ologie et paysages, NĂ©o Éditions, , p. 264.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    9. Hubert Bessat, Claudette Germi, Les noms du paysage alpin. Atlas toponymique : Savoie, Vallée d'Aoste, Dauphiné, Provence, ELLUG, , p. 101.
    10. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    11. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    13. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    14. « Loulle. Sur les traces des dinosaures », sur meta-jura.org (consulté le ).
    15. Relevés de pistes de Sauropodes, animaux d'une taille de 3.8 m à 51.5 m de long.
    16. Pistes protĂ©gĂ©es en 2014, recouvertes par un gĂ©otextile surmontĂ© de terre vĂ©gĂ©talisĂ©e. Les empreintes sont rattachĂ©es Ă  l'ichnogenre Carmelopodus (en) et peut-ĂȘtre Ă  Megalosauripus (en).
    17. Émersion sur une durĂ©e estimĂ©e Ă  plusieurs milliers d'annĂ©es.
    18. (en) E. Cariou, N. Olivier, B. Pittet, J.-M. Mazin, P. Hantzpergue, « Dinosaur track record on a shallow carbonate-dominated ramp (Loulle section, Late Jurassic, French Jura) », Facies - International Journal of Palaeontology and Carbonate Sedimentology, vol. 60, no 1,‎ , p. 229-253 (DOI 10.1007/s10347-013-0368-y).
    19. (en) Jean-Michel Mazin, Pierre Hantzpergue et Joane Pouech, « The dinosaur tracksite of Loulle (early Kimmeridgian; Jura, France) », Geobios, vol. 49, no 3,‎ , p. 211-228 (DOI 10.1016/j.geobios.2016.01.018).
    20. Ces polygones sont les témoins de l'assÚchement de la boue calcaire. Les pelures représentent des lamines qui correspondent à des niveaux successifs de développement du tapis microbien.
    21. Pour les photos aériennes et pour les visiteurs. Cf « Loulle. Sur les traces des dinosaures », op. cit..
    22. Vincent Bichet (coordination), Inventaire Régional Patrimoine Géologique de Franche-Comté, septembre 2014, p. 6-7
    23. Annie Blanc, Guide de la géologie en France, Belin, , p. 282.
    24. « Le lapiaz de Loulle forme un complexe de dalles rocheuses, de pelouses, de fruticĂ©es et de boisements xĂ©rophiles Ă©troitement imbriquĂ©s en mosaĂŻque. Outre un intĂ©rĂȘt gĂ©ologique et esthĂ©tique Ă©vidents, il prĂ©sente une forte originalitĂ© biologique : des espĂšces infĂ©odĂ©es au froid des milieux sub-alpins ou aux chaudes stations mĂ©diterranĂ©ennes cohabitent ici de façon intime et contrastĂ©e ». Cf « ZNIEFF 430002183 - LAPIAZ DE LOULLE », sur inpn.mnhn.fr (consultĂ© le ).
    25. Ces rigoles apparaissent soit Ă  partir des diaclases initialement prĂ©sentes dans la roche, soit le long de la ligne de plus grande pente par simple dissolution. Le gaz carbonique dissous dans ces eaux de ruissellement « provient un peu du CO2 atmosphĂ©rique. Mais comme souvent les fractures sont tapissĂ©es de voiles bactĂ©riens, de concentrations de cyanobactĂ©ries et mĂȘme remplies d'humus abritant vĂ©gĂ©taux et champignons, c'est surtout la respiration de ces ĂȘtres vivants (bactĂ©ries, champignons, racines des vĂ©gĂ©taux
) qui produit le CO2, CO2 que ces organismes ont eux-mĂȘmes directement ou indirectement extrait de l'atmosphĂšre par la photosynthĂšse ». Cf Matthias Schultz, Pierre Thomas, « Un exemple de petit lapiaz : le lapiaz de Loulle (Jura) », sur planet-terre.ens-lyon.fr, .
    26. J. Martin, M. Mathis, « Étude morphologique des plateaux du Jura central : la surface de Loulle Lons-le-Saunier », Ann. sci. univ. Besançon, vol. 3, fasc. 22,‎ , p. 59-63.
    27. Avec en arriĂšre-plan une chĂȘnaie sĂšche sur calcaire Ă  chĂȘne pubescent et hybride.
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