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Louis Herbette

François Louis Herbette, nĂ© le Ă  Paris et mort le Ă  Suresnes, est un haut fonctionnaire français : prĂ©fet, Conseiller d’État, directeur de l’Administration pĂ©nitentiaire (1882-1891), vice-prĂ©sident de l’Alliance française, investi dans la dĂ©fense de la langue française au Canada.

Louis Herbette
Médaille de Louis Herbette directeur de l'Administration pénitentiaire (1889) par Oscar Roty.
Biographie
Naissance
DĂ©cĂšs
(Ă  77 ans)
Suresnes
Nationalité
Formation
Activités
PĂšre
Fratrie
Enfants
Jean Herbette (d)
François Herbette (d)
Autres informations
Distinction
Archives conservées par
Archives nationales (F/1bI/416, F/1bI/907)[1]

Biographie

Louis Herbette vers 1895.
Louis Herbette vers 1903, eau-forte de Jules Lieure.

Famille

Louis Herbette est le fils de Charles Herbette, grammairien hellĂ©niste. MariĂ© en 1877 Ă  Jeanne Barreswil (1850-1885), fille du savant chimiste suisse et philanthrope Charles-Louis Barreswil. Il est le pĂšre de Jean Herbette (1878-1960), premier ambassadeur de France en Union SoviĂ©tique en 1924, puis ambassadeur de France Ă  Madrid et de François Herbette (1885-1960) Ă©conomiste. Il est le frĂšre de Jules Herbette (1839-1901) ambassadeur de France Ă  Berlin, l’oncle de Maurice Herbette, ambassadeur de France en Belgique.

Journaliste et publiciste (1869-1876)

LicenciĂ© en lettres et en droit, Louis Herbette s’inscrit au barreau de la cour d’appel de Paris. RĂ©publicain, opposant au Second Empire, il fait un mois de prison en 1869 pour dĂ©lit de presse Ă  la suite de la publication d’une brochure « Vos dĂ©putĂ©s et leurs votes ». AprĂšs la proclamation de la RĂ©publique le , il devient sous-directeur au Journal Officiel, chargĂ© des rapports avec le Gouvernement de la DĂ©fense Nationale oĂč reste en fonction jusqu’à la chute d’Adolphe Thiers (1873). Il entame alors une carriĂšre de journaliste et de publiciste qui le voit consacrer de nombreux articles Ă  la dĂ©fense de l’idĂ©e rĂ©publicaine et fonder des publications destinĂ©es aux administrations.

CarriÚre préfectorale (1876-1882)

En 1876, il entame une carriĂšre administrative et devient prĂ©fet de Tarn-et-Garonne (). Il est rĂ©voquĂ© par le gouvernement de l’Ordre moral lors de la Crise du 16 mai 1877 au cours de laquelle il est dĂ©signĂ© comme SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du comitĂ© des Gauches au SĂ©nat[2]. AprĂšs la chute du gouvernement Albert de Broglie, il est nommĂ© prĂ©fet de la Somme () puis de la Loire-InfĂ©rieure (). Son action dans ce dĂ©partement est marquĂ©e par l’application des dĂ©crets du concernant l'expulsion des congrĂ©gations religieuses non autorisĂ©es avec l'Ă©vacuation spectaculaire du couvent des Capucins de Nantes. Proche du personnel politique, il contribue Ă  l’établissement d’une administration rĂ©publicaine.

Directeur de l'Administration pénitentiaire (1882-1891)

En , Louis Herbette est nommĂ© directeur de l’Administration pĂ©nitentiaire qui dĂ©pend alors du ministĂšre de l’IntĂ©rieur. Son intense activitĂ© administrative est complĂ©tĂ©e par son action comme commissaire du gouvernement. Il intervient dans les deux Chambres, prĂ©side plusieurs congrĂšs internationaux, organise une exposition pĂ©nitentiaire lors de l’exposition universelle de Paris (1889). Il collabore avec Alphonse Bertillon[3] sur le sujet de l’anthropomĂ©trie et de son application dans l’univers carcĂ©ral. Il gĂ©nĂ©ralise par deux circulaires (1885) l’identification anthropomĂ©trique. Son mandat de 9 annĂ©es Ă  la tĂȘte de l’Administration pĂ©nitentiaire vaut Ă  l’institution une hausse de prestige[4] Au Conseil SupĂ©rieur des prisons, il fait la connaissance de Victor SchƓlcher avec qui il se lie et qu’il accueille l’étĂ© dans sa maison de Pornic[5]. Le , il organise une soirĂ©e d’hommage Ă  SchƓlcher dans sa maison de Houilles peu avant sa mort[6]

Conseiller d’État (1891-1916)

En 1891, Louis Herbette est nommĂ© Conseiller d’État en service ordinaire. À partir de 1895, Il publie plusieurs Ă©tudes sur la guerre de 1870 et les 25 ans de la RĂ©publique. Son activitĂ© au Conseil D’État l’amĂšne Ă  faire la promotion des intĂ©rĂȘts et de la culture française, notamment dans le cadre des Expositions Universelles. Il est membre de la commission supĂ©rieure de l’Exposition Universelle de Paris (1900), il reprĂ©sente la France Ă  l'Exposition universelle de 1904 (Saint-Louis). À Pornic, dans la Maison du peuple[7] qu’il a fait construire, comme Ă  Paris, dans son hĂŽtel particulier de la rue Fortuny[8], il accueille de nombreux visiteurs et organise fĂȘtes et rĂ©ceptions[9] Mais c’est surtout Ă  la promotion de la langue française qu’il consacre ses activitĂ©s des derniĂšres annĂ©es notamment au sein de l’Alliance française dont il prĂ©side le comitĂ© de propagande et oĂč il fonde des confĂ©rences hebdomadaires (1904). Son action pour la dĂ©fense de la langue française l’amĂšne Ă  nouer des liens particuliers avec le Canada français.

Louis Herbette et le Canada français

Banquet offert à Louis Herbette, « Notre Oncle De France », Montréal, - gravure par Raoul Barré.

La signature de Louis Herbette apparaĂźt en 1894 au bas de plusieurs articles publiĂ©s par La Patrie, journal de MontrĂ©al. Une abondante correspondance avec Louis HonorĂ© FrĂ©chette dĂ©bute aussi cette annĂ©e-lĂ , elle ne cessera qu’à la mort du poĂšte en 1908[10]. En 1899, investi d’une mission de promotion des relations scientifiques littĂ©raires et artistiques, il voyage aux États-Unis et au Canada oĂč il est bien reçu dans les milieux libĂ©raux. Il se lie avec HonorĂ© Beaugrand ancien maire de MontrĂ©al, journaliste et Ă©crivain propriĂ©taire de La Patrie. De retour Ă  Paris, il donne Ă©tudes et confĂ©rences sur le Canada français et facilite l’introduction des femmes de lettres canadiennes comme Robertine Barry, premiĂšre femme journaliste canadienne-française, dans les milieux littĂ©raires de la capitale. Cette activitĂ© le fait surnommer l’Oncle des Canadiens français :

A M. Louis Herbette (1902)

C’est Paris, saluons la grande capitale

OĂč tout ce qu’on rĂȘva se trouve rĂ©uni ;

OĂč merveille partout sur merveille s’étale,

Antique Eden par l’art sans cesse rajeuni.

Eloignons-nous un peu de la ville centrale;

Et sur ce seuil discret, élégant et béni,

Laissons nos cƓurs Ă©mus battre la gĂ©nĂ©rale :

Nous sommes au dix sept, boulevard Fortuny.

Ici le froment pur ne connaüt pas l’ivraie

Sous ce toit, c’est la France, et c’est la France vraie !

C’est la vertu civique à trente-six carats !

On y retrouve Ă  fond nos fraternels usages,

Des cƓurs tout grands ouverts et de charmants visages 


Canadiens, entrez tous : l’Oncle vous tend les bras.[11]


Caveau de la famille Herbette au cimetiĂšre du Montparnasse.

En 1901, il donne une confĂ©rence Ă  l’UniversitĂ© Laval de QuĂ©bec et en 1902, prĂ©side Ă  la fondation du comitĂ© de MontrĂ©al de l’Alliance française dont la prĂ©sidence est confiĂ©e Ă  HonorĂ© Beaugrand. La mĂȘme annĂ©e, la crĂ©ation de la Ligue de l’enseignement MontrĂ©alaise est Ă  l’origine de polĂ©miques dans les milieux catholiques. DĂ©noncĂ© comme l’instigateur d’une organisation dominĂ©e par la Franc-Maçonnerie, il rĂ©cuse l’accusation de filiation de la ligue montrĂ©alaise avec la Ligue de l’enseignent française[12]. En 1904, il prĂ©face longuement Les Études de littĂ©rature canadienne-française de Charles Ab der Halden. En , Louis Herbette est choisi en compagnie du poĂšte Gustave Zidler et de l’amiral Alfred JaurĂ©guiberry pour reprĂ©senter la France aux fĂȘtes du troisiĂšme centenaire de la fondation de QuĂ©bec. En raison de la politique jugĂ©e anti clĂ©ricale de la RĂ©publique française, l’accueil des dĂ©lĂ©guĂ©s est mitigĂ© et provoque quelques manifestations anti-françaises.

En 1915, Louis Herbette est victime d’un grave accident. NommĂ© conseiller d’État honoraire en 1916, il meurt Ă  Paris en 1921, il est inhumĂ© le au cimetiĂšre du Montparnasse. Son tombeau est l'Ɠuvre des sculpteurs Jules Coutan et LĂ©on-EugĂšne Longepied, et du mĂ©dailleur Oscar Roty. Il est composĂ© d'un Ă©dicule dont la partie supĂ©rieure supportĂ©e par deux colonnes abrite un vase en bronze d'oĂč sortent des flammes, et d'une statue en marbre adossĂ©e Ă  l'Ă©dicule, reprĂ©sentant une jeune femme voilĂ©e affaissĂ©e sur un chĂȘne dĂ©racinĂ©[13].

Publications

Études d'histoire et de politique contemporaine

  • Vos dĂ©putĂ©s et leurs votes, Armand Le Chevalier Ă©diteur, Paris, 1869
  • Nos diplomates et notre diplomatie: Étude sur le ministĂšre Des Affaires ÉtrangĂšres, Armand Le Chevalier Ă©diteur, Paris, 1874 (brochure prĂ©facĂ©e par Ernest Picard et parfois attribuĂ©e Ă  Jules Herbette)
  • Bonapartisme et Bonapartistes, E. Laffineur Ă©diteur, Beauvais 1875
  • Paris en 1870-1871 lettres d'un assiĂ©gĂ©Ì, simples feuillets d'histoire vĂ©cue au jour le jour, Presses de la Patrie, MontrĂ©al, 1895
  • La journĂ©e du ; notes et impressions d'un tĂ©moin, Imprimerie gĂ©nĂ©rale M. Bonneville, Montauban, 1896.
  • Le , notes et impressions d’un tĂ©moin, Lib. De la Nouvelle Revue, Paris 1897 Extrait de la Nouvelle Revue du
  • L'entrĂ©e des Prussiens dans Paris (); notes et impressions d'un tĂ©moin. Bureaux de La Nouvelle revue, Paris, 1898 Extrait de la Nouvelle Revue 1897
  • Emmanuel Benner, 1836-1896 : en souvenir,  Paris, 1897
  • Parcelles de vie, Imp. A. Lanier, Auxerre, 1899 Extrait de la Nouvelle Revue des et

Études concernant la langue française et le Canada

  • Des deux cĂŽtĂ©s de l'eau, la famille française au Canada et aux États-Unis, Impr. de C. Lamy, Paris, 1900 Extrait de la Nouvelle revue du
  • La langue et la littĂ©rature  française au Canada, la famille française et la nation canadienne : Introduction (pages I Ă  CIV) Ă  : Charles Ab Der Halden Études de littĂ©rature canadienne française Éditeur : F.R. de Rudeval, Paris, 1904.

Textes concernant l'Administration pénitentiaire

L’ouvrage le plus complet de Louis Herbette dans ce domaine est :

  • L’Ɠuvre pĂ©nitentiaire, Ă©tudes prĂ©sentĂ©es Ă  l'occasion de l'organisation du musĂ©e spĂ©cial et des expositions de l'administration française. Imp. Administrative, Melun, 1891 (356 p.)

Il signe ou co-signe de nombreux textes administratifs, notamment le Code pĂ©nitentiaire (1885 Ă  1889). Plusieurs de ces textes figurent dans la bibliographie de l’ouvrage de Robert Badinter, La prison rĂ©publicaine, Ă©d. Fayard 1992 :

  • Organisation des services et des Ă©tablissements pĂ©nitentiaire en France, exposĂ© gĂ©nĂ©ral prĂ©sentĂ© au ministĂšre de l'intĂ©rieur. 1885
  • Note sur l'organisation du travail dans les Ă©tablissements pĂ©nitentiaires : et sur les questions qu'elle peut soulever spĂ©cialement en ce qui concerne la concurrence Ă  l'industrie libre. 1885
  • Notes et observations Éditeur : Paris : Impr. du Journal officiel, 1885.
  • CongrĂšs international d'anthropologie criminelle : Paris 1889 : observations et communications
  • RĂšglement spĂ©cial applicable aux dĂ©tenus politiques : rapport Ă  Mr le ministre de l'intĂ©rieur. 1890
  • Code pĂ©nitentiaire, Éditeur : Impr. administrative, Melun 1885-1890.
  • Les congrĂšs pĂ©nitentiaires internationaux. Le congrĂšs et l'exposition spĂ©ciale de Saint-PĂ©tersbourg, juin-; travail et documents prĂ©sentĂ©s au Ministre de l'intĂ©rieur
  • IVe congrĂšs pĂ©nitentiaire international de St. Petersbourg : travaux prĂ©paratoires :  1890
  • Le congrĂšs et l'exposition spĂ©ciale de St. Petersbourg, juin-
  • CongrĂšs pĂ©nitentiaire internationale de Saint-PĂ©tersbourg. . Exposition spĂ©ciale. Section française. Notices indications gĂ©nĂ©rale des sujets, documents et objets prĂ©sentĂ©s. 1890
  • Questions et services intĂ©ressant les mineurs placĂ©s sous l'autoritĂ© de l'administration pĂ©nitentiaire : extraits du code pĂ©nitentiaire prĂ©sentĂ©s par M. Louis Herbette : Ă  l'occasion du CongrĂšs international de St. PĂ©tersbourg. 1890

Avec Alphonse Bertillon

  • Les signalements anthropomĂ©triques: mĂ©thode nouvelle de dĂ©termination de l'identitĂ© individuelle, Masson, (confĂ©rence commune au congrĂšs international pĂ©nitentiaire de Rome) 1886

Avec Ch. Lucas

  • Exposition spĂ©ciale du MinistĂšre de l'intĂ©rieur : (Ă©tablissements, Ɠuvres et services pĂ©nitentiaires) ... 1888
  • Note sur l'application du systĂšme de la libĂ©ration conditionnelle : annĂ©es 1885 Ă  1888. 1888
  • LibĂ©ration conditionnelle des condamnĂ©s : extension du systĂšme de la libĂ©ration conditionnelle : fixation du mode d'instruction des demandes ou propositions de mise en libertĂ©. 1888
  • Questions budgĂ©taires : note sur les moyens Ă  Ă©tudier pour faciliter le contrĂŽle et la gestion des services et Ă©tablissements en rĂ©gie l'Ă©tat : .
  • Observations faits et avis Ă  recueillir dans le personnel sur certaines questions d'ordre gĂ©nĂ©ral concernant notamment l'exĂ©cution de la peine des travaux forcĂ©s : le transportation et la relĂ©gation, l'application du rĂ©gime d'emprisonnement individuel, la substitution de certaines peines de rĂ©clusion aggravĂ©e Ă  la peine de mort et aux travaux forcĂ©s Ă  perpĂ©tuitĂ©. 1888
  • Participation de l'administration pĂ©nitentiaire Ă  l'exposition universelle de 1889 : prĂ©paration d'une exposition spĂ©ciale. 1888
  • Notes et renseignements concernant le travail des dĂ©tenus : (systĂšme de l'entreprise et systĂšme de la rĂ©gie). 1888
  • Observations... sur certaines questions concernant... l'exĂ©cution de la peine des travaux forcĂ©s, la transportation et la relĂ©gation... .

Discours de Louis Herbette commissaire du gouvernement

  • Chambre des dĂ©putĂ©s (discussion de la proposition de loi sur les rĂ©cidivistes)
  • SĂ©nat (discussion sur le projet de loi BĂ©renger sur la libĂ©ration conditionnelle des condamnĂ©s)
  • SĂ©nat (discussion du projet de loi sur la relĂ©gation des rĂ©cidivistes)
  • Chambre des dĂ©putĂ©s   (discussion du projet de loi sur la relĂ©gation des rĂ©cidivistes) Imp. Du Journal Officiel.

Textes administratifs concernant la Loire-Inférieure

  • Rapport sur les travaux. 1. 2. 3. Du conseil central d'hygiĂšne publique et de salubritĂ© de la ville de Nantes et du dĂ©partement de la Loire infĂ©rieure. Des conseils d'hygiĂšne des arrondissements. Des mĂ©decins des Ă©pidĂ©mies, etc. pendant l'annĂ©e 1880. Éditeur :  C. Mellinet, Nantes, 1881.
  • Projet de rĂšglement gĂ©nĂ©ral sur les chemins ruraux, prĂ©sentĂ© au conseil gĂ©nĂ©ral par M. le prĂ©fet de la Loire-InfĂ©rieure, 1882.

Notes et références

  1. « http://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/UD/FRAN_IR_001514/d_968 »
  2. Le Seize mai vu par un de ses acteurs Pornicais. Blog Histoire et histoires
  3. Sous la direction de Philippe Vigier, Maintien de l'ordre et polices en France et en Europe au XIXe siÚcle, p. 276, Créaphis, 2011 (ISBN 2-907150-02-2)
  4. Y. DenĂ©chĂšre, Jean Herbette, 1878-1960 : journaliste et ambassadeur, Bruxelles, Éd. Peter Lang, direction des archives ministĂšre des Affaires Ă©trangĂšres, 2003 p. 14-17.
  5. P. Pipaud, Les vacances pornicaises de M. SchƓlcher , Bulletin de la sociĂ©tĂ© des historiens du Pays de Retz, numĂ©ro 28, 2009, p. 67-85.
  6. J. Alexandre-Debray, Victor SchƓlcher, l’homme qui a fait abolir l’esclavage. Lib. Perrin 1983 p. 319-322.
  7. P. Pipaud, Victor SchƓlcher et Louis Herbette, Bulletin de Pornic-Histoire, numĂ©ro 4, 2009. p. 71-74.
  8. L’hîtel particulier du 17 rue Fortuny
  9. A. Albalat, 30 ans de Quartier Latin Ed. E. MalfĂšre Paris 1930 p. 57-58.
  10. Il y a cent ans mourait Louis Fréchette. Blog Histoire et histoires
  11. Louis-Honoré Fréchette, recueil Les oiseaux de neige, Lib. Beauchemin, Montréal 1908
  12. Gary Levy, La vie de Beauchesne II : La Ligue de l’enseignement, Revue parlementaire Canadienne Ă©tĂ© 1985.(traduction de Claudette Rocheleau)
  13. Henri Auguste Jouin, La sculpture dans les cimetiĂšres de Paris, Protat frĂšres, , p. 219

Bibliographie et sources

  • R. Bargeton – Dictionnaire biographique des prĂ©fets – – , Paris, Archives nationales, 1994
  • Yves DenĂ©chĂšre, Jean Herbette, 1878-1960 : journaliste et ambassadeur, Bruxelles, Éd. Peter Lang, direction des archives ministĂšre des Affaires Ă©trangĂšres, 2003
  • Françoise Leclerc et MichĂšle Wendling, Herbette directeur de l'administration pĂ©nitentiaire 1882-1891, mĂ©moire de maĂźtrise, UniversitĂ© Paris 7- Diderot, 1989.
  • Louis HonorĂ© FrĂ©chette : Louis Herbette, La Patrie de MontrĂ©al du .
  • P. Pipaud, Victor SchƓlcher et Louis Herbette, Bulletin de Pornic-Histoire, numĂ©ro 4, 2009,  p. 71-74.
  • Victor SchƓlcher, Lettres Ă  Mme et Mr Louis Herbette, Introduction et notes P. Pipaud, Bulletin de Pornic-Histoire, numĂ©ro 4, 2009, p. 75-80
  • P. Pipaud,  La terrible population que vous gouvernez, Louis Herbette directeur de l’Administration pĂ©nitentiaire, Bulletin de Pornic-Histoire, numĂ©ro 4, 2009, p. 81-87.
  • P. Pipaud,  Louis Herbette prĂ©fet de Loire-InfĂ©rieure ( – ) Bulletin de la SociĂ©tĂ© ArchĂ©ologique et Historique de Nantes et de Loire-Atlantique 2010, T. 145, p. 233-281 
  • BibliothĂšque cantonale et universitaire de Lausanne, fonds Herbette IS 4147 : les cartons 1 et 2/24 concernent Louis Herbette et son Ă©pouse, les autres leur fils Jean Herbette.
  • Archives familiales de la famille François Herbette
  • NĂ©crologie Le Temps du
  • Archives nationales du Canada, archives Louis HonorĂ© FrĂ©chette
  • France. Archives du ministĂšre des Affaires Ă©trangĂšres, Correspondance politique, Nouvelle sĂ©rie. Canada, 1897-1918 MG 5 A 5
  • Louis Herbette, article paru dans Le CANADA Ă©conomique, financier, minier et industriel, hebdomadaire franco-canadien no 15 du .

Liens externes

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