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Liste des familles de la noblesse roumaine

Les familles de la noblesse roumaine (en roumain: nobilimea română) sont celles jadis détentrices de la terre et de franchises spécifiques appelées jus valachicum, essentiellement issues des trois principautés où vivaient les populations roumanophones : la Principauté de Transylvanie (1111-1867), la Principauté de Valachie (1330-1859) et la Principauté de Moldavie (1359-1859). La noblesse roumaine ne ressemble pas aux aristocraties occidentales : il ne s'agissait initialement pas d'une noblesse titrée (exception faites pour les familles qui ont reçu, au fil de l’histoire, des titres de l’empereur du Saint-Empire, le roi de Pologne, le tsar de Russie). Les nobles roumains (en roumain nobilii români) étaient globalement désignés comme « boyards » (en roumain : boieri) et les plus anciens étaient, pour certains, issus des boilas bulgares, ou bien d'origine coumane comme la dynastie des Basarab ; à partir du XVIIe siècle s'y adjoignirent de nombreuses familles d'origine grecque, albanaise ou autre, indistinctement qualifiées de « phanariotes » parce que la plupart venaient du Phanar, quartier chrétien de Constantinople ; inversement, en Transylvanie la noblesse roumaine est progressivement devenue hongroise à l'exemple des Corvinides ou de la famille Nopcea, et en Moldavie elle est devenue russe comme une partie de la famille Movilă[1].

Armoiries du Royaume de Roumanie

Histoire

Bien qu'il n'y ait pas eu de titres à proprement parler, la noblesse était très puissante les trois principautés : elle élisait les souverains, le plus souvent en son sein (voir liste des souverains de Moldavie, liste des souverains de Transylvanie et liste des souverains de Valachie). Les nobles possédaient d'énormes domaines et jouaient un rôle majeur dans le choix des alliances formées par les principautés. Les familles moins aisées et moins prestigieuses servaient dans les armées ou à la cour ; ils avaient de plus petites domaines. Au cours des siècles, plusieurs rangs de boyards se sont progressivement différenciés : seules les familles ayant obtenu des fonctions à la cour étaient considérées comme des « grands boyards » (roumain : boieri mari). Les autres étaient des petits boyards (boieri mici) voire des boyards pauvres (boieri legați cu tei, littéralement « boyards aux ceintures en écorce de tilleul »). Cette différenciation avait des causes généalogiques (accumulation ou au contraire morcellement des domaines au fil des générations), politiques (les perdants de tel ou tel groupe ou complot se voyaient confisquer leurs biens) ou religieuses (des boyards sans descendance léguaient leurs terres aux monastères, qui finirent au début du XIXe siècle par détenir autant de surface que la noblesse)[2].



Familles existantes

Prince

Nom Ethnie Note Ancienneté Blason
Phanariote La famille Argyropoulos, d'origine phanariote installée en Roumanie, apparaît sous le nom «Argyre» dès le VIIIe siècle. Elle est originaire de l'empire byzantin et plus particulièrement de la zone autour de la forteresse de Charsianon en Cappadoce[3]. VIIIe siècle
Magyar La famille Apafi descend de Bethlen, fils de Lőrinc et vivant au XIIe siècle, il eut deux fils : Péter, qui prit le nom de son père et fonda la famille Bethlen, et Olivér, dont les descendants (fils et petit-fils) donneront la famille Apafi[4]. XIIe siècle
Magyar La famille Batthyány fait remonter sa généalogie à Coers, compagnon d'Árpád en 884. Elle est élevée à la dignité de baron de l'Empire en 1585, à celle de comte en 1630 (branche cadette) et de prince (branche aînée) en 1764.
Valaque La famille Bibescu est une famille de boyards valaque, distinguée dans l'histoire de l'empire ottoman, de la principauté de Valachie et du royaume de Roumanie. Fondée au début du XVIe siècle, la famille acquit un grand prestige avec Georges III Bibescu[6].
Valaque La famille Brâncoveanu était une famille de boyards de Valachie, descendant de Basarabești. Au XVIIe siècle, le représentant le plus important de la famille était Preda Brâncoveanu, un personnage proche et lié au voïvode Matei Basarab[8].
Phanariote La famille Callimachi est d'origine moldave, les Chroniques de la Moldavie l'appellent «Calmâsul». Au XVIIe siècle, le prince Philippe Callimachi était secrétaire de l'empereur Léopold Ier du Saint-Empire; après sa mort, il se serait établi en Moldavie[12].
Phanariote La famille Cantacuzène était déjà une des plus illustres et des plus puissantes parmi les phanariotes au XVIIe siècle, régnant alternativement sur les deux principautés roumaines[15].
Phanariote La famille Caradja a émigré à Constantinople déjà vers la fin du XVe siècle, nous y trouvons Jean Caradja, dont le fils, Constantin Caradja était Commissaire des Vivres de l'armée ottomane en 1560. Elle aurait été officier chez les Khan de Crimée[18].
Valaque La famille Cuza appartient à la classe noble traditionnelle des boyards, majoritaire dans les gouvernements locaux de Valachie et de Moldavie, gardant le contrôle de la terre. De mouvance libérale, fondée par Alexandre Cuza, et francophile[19].
La famille Dabija est parmi les plus importantes de Moldavie, cette famille est bien connue depuis le début du XVIIe siècle. La famille devient princière en 1661 lors du règne de Eustatie Dabija, il a régné trois ans sur la Moldavie[20].
La famille Ghica, d'origine arvanite, émigra à Constantinople au XVIIe siècle. Elle fournit de nombreux princes de Moldavie et de Valachie, en 1673 l'empereur Léopold Ier du Saint-Empire lui décerna le titre de prince du Saint-Empire[23].
Phanariote
Phanariote La famille Mavrocordato, originairement de Constantinople, avait émigré déjà avant la prise de cette ville par les Turcs. Beaucoup furent élu prince de Valachie et aussi de Moldavie. Catherine II de Russie lui conféra le titre de prince de l'empire[26].
Phanariote La famille Manos est originaire de Kastoria, en Macédoine, s’installe à Constantinople avec Manolaki (né vers 1655), fils de Georges et petit-fils d'Emmanuel Philippou (1610-1699). Il est nommé Grand Logothète du patriarche de Constantinople[27].
Phanariote La famille Mourousis appartient à une ancienne famille byzantine. Ils habitèrent l'empire de Trébizonde et s'allièrent à la famille impériale par le mariage d'un des leurs avec la fille du dernier empereur David Comnène[31].
Magyar La famille Pálffy a reçu le statut de baron hongrois en 1581. Nicolas (Miklós) II Pálffy d'Erdőd (1552-1600), originaire du château de Csábrág (Čabraď) et ispán du comitat de Pozsony (Bratislava), était un chef militaire. Ils ont été anobli comte et prince[32]. XVe siècle
Valaque La famille Racoviță est une famille de boyards qui, bien que d'origine purement moldave, est considérée comme phanariote. Cette famille joua un rôle important dans les Principautés danubiennes de Moldavie et de Valachie au XVIIIe siècle[A 1]. XVe siècle
Magyar XVIe siècle
Phanariote La famille Rosetti est d'origine grecque : le premier membre épouse une sœur d'Andronic Cantacuzène. C'est ce qui permet à Antonie Ruset, de régner sur la Moldavie. Sa famille s'intègre aux Phanariotes au cours des XVIIe siècle et XVIIIe siècle[A 2]. XVIIe siècle
Phanariote La famille Soutzoest originaire d'Epire, le nom primitif de la famille parait avoir été celui de «Draco», et c'est par ce nom que les princes Soutzo ont toujours été désignés dans les Décrets Impériaux turcs. Ils régnèrent sur la Valachie[A 3] XVIe siècle
Valaque La famille Știrbei remonte au XVIe siècle, il existe certaines traces de l'existence de cette famille, déjà florissante à cette époque, et qui était étroitement liée à Buzeştii. Certains princes de cette famille ont régné sur la Valachie[A 4]. XVIe siècle
Italien La famille Sturdza est une vieille famille valaque, descendant de Jon Vlad Tourzo, Hospodar de Transylvanie en 1432, duc d'Almassu et de Fagarassu. La famille est rentrée également au service de la famille impériale de Russie[A 5]. XVe siècle
Moldave XVIIe siècle
Phanariote La famille Ypsilántis appartient à une ancienne famille byzantine, qui avait déjà donné un Patriarche à Constantinople, qui suivit Alexis Ier Comnène, lorsqu'il alla fonder l'empire de Trébizonde en 1204. Elle occupa toujours une haute position[33]. XIIIe siècle

Boyard

Nom Ethnie Note Ancienneté Blason
Abazine Famille installée en Moldavie, depuis l'époque de Basile le Loup au XVIIe siècle. En effet, comme la famille Cerchez, elle était originaire du Caucase, dont une partie est une région habitée par le peuple "Abazine". En 1700, Vornicul Ilie Abază accompagna Dimitrie Cantemir en Russie, il entra dans l'armée de Pierre le Grand, comme beaucoup de Roumains à cette époque et accéda au grade de colonel. En 1710, Ion Abază, l'abbé de Tchernivtsi, accompagnait deux agents turcs qui enquêtaient sur le cas d'une violation du territoire moldave par les Russes, près du fleuve Prut; ce boyard est probablement un frère du précédent. La famille Abază étaient apparentés aux familles Sturdza, Moţoc et autres. On ne sait pas si Abază Siyavuş Pacha Ier, n'était pas de cette famille[A 6]. XVIIe siècle
Moldave Ancienne famille datant du XIVe siècle, Luca Arbore, gouverneur du Neamtzu, est le fondateur de la famille. Son fils, Hatman Luca Arbore, le célèbre gardien de Suceava, célèbre boyard à la fin du XVe siècle et au début du XVIe siècle. Conseiller de confiance d'Étienne le Grand, il reste sous Bogdan et, à sa mort, il reste chef du pays pendant la minorité de Stefanita. Sous Petru Vodă Rareş on rencontre aussi, comme Hatman, Mihu Arbore, qui quitte ce prince en 1538, pour passer à son adversaire Ştefan V. Lăcustă, qu'il quitte également. En 1545, les boyards Gliga et Ion Arbore ont fui la Moldavie vers la Pologne avec deux religieuses. Ce boyard Gliga était le fils de Mihu Hatman. En 1628, il était mentionné comme tradition les anciennes fortunes de cette famille, qui s'étaient transmises de génération en génération[A 7]. XIVe siècle
Bulgare Vieille famille dont les origines remontent à Ivan Asen Ier, Tsar des Valaques-Bulgares dans les Balkans, vers 1190. Cet Asan qui avec son frère Petre a rejeté la domination byzantine, était roumain même dans les montagnes des Carpates. Son fils Ion s'appelait Asan, du nom de son père et donc de toute la postérité régnant sur l'empire valaque-bulgare. connue sous le nom de dynastie Asan. Asan est tué en 1196, Pierre en 1197. Vient ensuite Ioniţă Asan (1197 - 1207) le célèbre conquérant de Baudoin de Flandre, et celui qui reçut le titre d'empereur, 1204. Viennent ensuite tour à tour : Ion Asan, Caliman et Mihail Asan ( - 1257), après quoi on n'entend plus parler de leurs descendants. Ils étaient alliés à la famille impériale des Comnènes. Les derniers descendants de la famille moldave Asan, qui ont ensuite déménagé en Valachie[A 8]. XIIe siècle
Valaque Famille originaire du village de Băbeni à Velcea, où elle apparaît à partir du XVIIe siècle. À travers des documents, on retrouve en 1635 l'un d'entre eux, à savoir Cernat de Băbeni ; et un peu plus tard en 1642 Iane, Seigneur de Băbeni. Un Velcul de Babeni vivait vers 1694, date à laquelle il est cité par une note. Au début du siècle dernier (1700) nous trouvons Tom vivant à Băbean; et en 1742 (id. Arh.) sur « Mihai logofetul, feciorul Tomei Băbean ». Cette année, que Michael a écrit les actes princiers de Michael Vv. Racoviţă. En même temps que lui se trouvait Stroe Băbeanul (1732), cité dans le testament du vornique Ilie Otetelişanu de 1732. On ne peut rien savoir de la parenté entre eux, comme de leur personne, aucun d'entre eux ne jouant un quelconque rôle, mais étant plutôt un country boer, ou un logo sur le canapé[A 9]. XVIIe siècle

Noble

Nom Titre Note Ancienneté Blason
Baron La famille Apor revendique la descendance du chef hongrois Apor (en), connu pour avoir assiégé Constantinople, il était notamment un fils légitime du Grand-Prince Árpád. La famille Apor habitait une forteresse Bálványos (en) qui se trouve à Turia[35].
Comte
Baron
La famille Bánffy est l'une des plus importantes familles nobles de Transylvanie. Ses membres ont joué d'importants rôles politiques et culturels. Ils dominèrent la région de Cluj-Napoca pendant plusieurs siècles. La branche comtale s'éteint en 1950[35].
Baron La famille Bornemisza est une famille sicule de Transylvanie où ils eurent un rôle important. D'origine obscure, elle portait autrefois le nom de «Csutak de Kászon-impérfalva». Elle reçoit un blason du prince Georges Ier Rákóczi en 1633[35].
Baron La famille Brukenthal portait, à l’origine, le nom de Brekner. En 1724, le père de Brukenthal, Michael, d’origine modeste, fut en 1712 anobli par l’empereur Charles VI, en récompense de sa conduite loyale durant la guerre dite des Kuruc[36].
Comte La famille Csáky est issue du clan «Csák», elle fit construire le château de Csák. En près de mille ans, la famille a donné deux Princes de Transylvanie et un comte des Sicules. De nombreux évêques, prévôts, chanoines, abbés, moines et nonnes[37].
Comte Famille de magnats hongrois.
Seigneur Famille de magnats hongrois.
Comte
Baron
Comte
Comte
Baron
Seigneur La famille Rațiu (ro) est l'une des plus anciennes familles nobles roumaines du territoire de la Transylvanie. L'existence de la famille est attestée depuis l'époque de Sigismond de Luxembourg au XIVe siècle. La famille est originaire de Noșlac[43].
Comte La famille Teleki est une famille aristocratique magyar de Transylvanie, originaire de Teleac dans le Județ de Mureș en Roumanie. Elle est anoblie avec le titre de Comte du Saint-Empire en 1697 par l'empereur Léopold Ier du Saint-Empire[44].
Comte La famille Wass est l'une plus anciennes familles transylvaines. Ses archives remontent à l'an 1230, date à laquelle Béla IV de Hongrie confirme un don de terres aux frères Lób et Tamás: neuf villages dans le comté de Doboka[45].

Familles éteintes

  • Balică
  • Basarab
  • Bașotă
  • Báthory
  • Buhuș
  • Buicescu
  • Buzescu
  • Cândescu
  • Cantemir
  • Cârjă
  • Cărpenișanu
  • Ceaur
  • Cerchez
  • Conachi
  • Corbeanu
  • Dedulescu
  • Hăbășescu
  • Mǎnescu
  • Merișanu
  • Movilești
  • Mușatini
  • Pârșcoveanu
  • Popescu
  • Proroceanu
  • Spineanu

Bucovine autrichienne

La Bucovine a fait partie de la principauté de Moldavie de 1359 à 1775 puis de l'empire d'Autriche de 1775 à 1918[46] - [47] - [48].

Nom Titres Remarques Origine Blason
Baron
Chevalier
La famille Flondor (ro) est originaire de Bucovine, et se nommait initialement Albotă : Toader, aprod (page) sous Basile le Loup portait une cuirasse en raison de laquelle il fut surnommé Fliondor, qui devînt son patronyme[49]. On a supposé que cette cuirasse pouvait avoir été fabriquée par un armurier francophone surnommé « Front d'or ». Bucovine
Chevalier La famille Goian (ro) est une ancienne famille moldave du duché de Bucovine, qui est connue déjà à l'époque de Étienne III de Moldavie. Moldoveni, ancien village de Bucovine, appartenait à cette famille[50]. Bucovine
Baron La famille Hurmuzachi est bucovinienne d'origine grecque (Hormouzakis). Au cours des XVIIe siècle et XIXe siècle, ils ont été associés au domaine de Ciornica en Bucovine. Ils étaient connus comme d'éminents avocats et historiens[52]. Bucovine
Boyard La famille Sbĭera, boyards de Bucovine, est citée par Popa Iuga dès l'époque d'Alexandre Ier de Moldavie, qui favorisa ses descendants Ilie et Ștefan (1401-47)[53]. Bucovine
Baron La famille Stârcea est une famille moldave, qui reçut en Bucovine le titre de «baron», accordé par l'empereur d'Autriche. La famille est restée en Bucovine, après sa séparation de la Moldavie, ainsi que d'autres vieilles familles de boyards[55]. Bucovine
Comte La famille Vasilco-Serețchi (ro), d'origine ukrainienne (Vasilko) mais fortement engagée dans la renaissance culturelle roumaine en Bucovine, a donné les seuls comtes d'origine roumaine dans tout l'empire d'Autriche. Bucovine

Principauté de Moldavie

Nom[57] Titres Note Ancienneté Blason
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard Originaire de Marmatie Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard D'origine phanariote Constantinople
  • Cheșcu ou Kechko[63]
Boyard Moldavie
  • Costache ou Kostaki[64]
Boyard D'origine phanariote Constantinople
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard D'origine phanariote Constantinople
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard D'origine polonaise de l'Empire russe Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie
Boyard Moldavie

Valachie

Nom[57] Titres Remarques Origine Blason
  • Argentoianu, en français Argentoyano[88]
Boyard Olténie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
  • Bellu, en français De Bellio[95]
Baron Aroumains
Boyard Valachie
  • Berindei, en français Berindey[97]
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
  • Călinescu, en français Calinesco[104]
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
  • Cornescu, en français Cornesco[109]
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Olténie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
  • Crețulescu ou Kretzoulesco[114]
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard D'origine transylvaine Valachie
  • Filipescu, en français Filipesco[118]
Boyard Valachie
Boyard Valachie
  • Filitti, en grec Philitis[120]
Chevalier Constantinople
Boyard Valachie
Boyard Olténie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
  • Hrisoscoleŭ, en grec Chrysoskoleos[126]
Boyard Constantinople
Boyard Valachie
Boyard Olténie
Boyard D'origine transylvaine Valachie
Boyard Constantinople
Boyard Constantinople
Boyard Valachie
Comte France
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Olténie
Marquis Belgique
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard D'origine moldave Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
  • Racotă
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard Valachie
Boyard La famille Vĕrzaru est une famille de boyards originaire de la région de Teleorman, dont faisait partie Constantin Verzaru, grand échanson du prince souverain de Valachie qui a péri dans la lutte entre les Turcs et les Germains[154]. Teleorman
Boyard La famille Vlădescu (ro) originaire de Târgoviște, son ancienneté prouvée remonte à la seconde moitié du XVIe siècle. Ils possédèrent les domaines Ylădeniisi d'Argeş, dirigés par d'anciens seigneurs. La famille se divisa en deux branches au XVIIe siècle[155]. Dâmbovița
Boyard La famille Vlădoianu (ro) est une ancienne famille d'Olténie, où ils sont parmi les boyards du XVIIe siècle. Constantin Vlădoianu est inscrit en 1718 et 1720, dans la liste des principaux boyard de Dolj, avec des contributions à l'administration autrichienne[156]. Dolj
Boyard La famille Zătreanu est une famille de boyards originaire d'Olténie, des documents prouvent leur existence depuis le début du XVIIe siècle. Le nom de famille est un dérivé du domaine longtemps détenu par ses ancêtres: Zătreniî de Dolj[157]. Dolj

Bibliographie

  • Steven Tötösy de Zepetnek, List of Historical Surnames of the Hungarian Nobility, West Lafayette, Purdue University Press, (ISBN 978-0-521-78156-5)
  • Octav-George Lecca, Familiile Boierești Române: istoric și genealogie, București, Institutul de Arte Grafice și Editura „Minerva, (ISBN 978-9-739-99144-5) - (online)
  • Béla Kempelen, Magyar Nemesi Almanach, Budapest, Pátria Irodalmi Vállalat És Nyomdai Részvénytársaság Nyomása, (ISBN 978-6-156-18916-5)
  • Eugène Rizo, Livre d'or de la noblesse phanariote en Grèce, en Roumanie, en Russie et en Turquie, Athènes, S. G. Vlastos, (ISBN 978-2-012-89991-9) - (online)
  • Lisa Fischer, Eden hinter den Wäldern. Samuel von Brukenthal: Politiker, Sammler, Freimaurer in Hermannstadt/Sibiu, Wien, Böhlau Verlag, (ISBN 978-3-205-77634-5)

Notes et références

Notes

  • Octav Lecca, Familiile Boierești Române: istoric și genealogie, București:
  1. Lecca 1899, p. 407-413.
  2. Lecca 1899, p. 415-424.
  3. Lecca 1899, p. 572-575.
  4. Lecca 1899, p. 450-455.
  5. Lecca 1899, p. 462-469.
  6. Lecca 1899, p. 1-2.
  7. Lecca 1899, p. 3-5.
  8. Lecca 1899, p. 9-10.
  9. Lecca 1899, p. 11.

Références

  1. Matei Cazacu, Familles de la noblesse roumaine au service de la Russie, XVe – XIXe siècles, in : Cahiers du Monde Russe, Année 1993, n° thématique Noblesse, État et société en Russie XVIe - début du XIXe siècle 34-1-2, p. 211-226 sur
  2. V. Costăchel, P. P. Panaitescu, A. Cazacu, (ro) Viața feudală în Țara Românească și Moldova (secolele XIV–XVI) (« La vie féodale en Valachie et Moldavie (XIVe / XVIe siècles »), Editura Științifică, Bucarest 1957.
  3. Rizo 1892, p. 1
  4. Tötösy de Zepetnek 2010, p. 9
  5. Tötösy de Zepetnek 2010, p. 14.
  6. Lecca 1899, p. 73
  7. Variante: Bibesco
  8. Lecca 1899, p. 90
  9. Variante: Brancovan
  10. Lecca 1899, p. 118
  11. Variantes: Kallimachis, Callimaki.
  12. Rizo 1892, p. 11
  13. Lecca 1899, p. 130
  14. Variante:Cantacuzino.
  15. Rizo 1892, p. 15
  16. Lecca 1899, p. 144.
  17. Variantes: Karatzas, Caragea.
  18. Rizo 1892, p. 37
  19. Lecca 1899, p. 192
  20. Lecca 1899, p. 198
  21. Lecca 1899, p. 238
  22. Variantes: Ghika, Ghyka.
  23. Rizo 1892, p. 45
  24. Lecca 1899, p. 552
  25. Variantes: Maurocordato, Mavrocordat, Mavrokordatos.
  26. Rizo 1892, p. 71
  27. Rizo 1892, p. 61
  28. Variantes: Mano, Manu.
  29. Lecca 1899, p. 560
  30. Variantes: Moruzi, Muruzi.
  31. Rizo 1892, p. 87
  32. Tötösy de Zepetnek 2010, p. 84
  33. Rizo 1892, p. 153
  34. Variante: Ipsilanti
  35. Kempelen 1910, p. 14
  36. Fischer 2007, p. 46
  37. Tötösy de Zepetnek 2010, p. 24
  38. Tötösy de Zepetnek 2010, p. 50.
  39. Tötösy de Zepetnek 2010, p. 29.
  40. Tötösy de Zepetnek 2010, p. 37.
  41. Tötösy de Zepetnek 2010, p. 45.
  42. Tötösy de Zepetnek 2010, p. 38.
  43. Tötösy de Zepetnek 2010, p. 91
  44. Lecca 1899, p. 584
  45. Tötösy de Zepetnek 2010, p. 119
  46. Cf.: Österreichisches Parlament
  47. Pour les noms en allemand : Klagenfurter Zeitung n° 294, vom Dienstag, 23. Dezember 1862, S. 1175
  48. Pour les noms en roumain : Ion I. Nistor, Stelian Neagoe, Istoria Bucovinei, Éd. Humanitas, Bucarest 1991, (ISBN 9789732803066)
  49. Lecca 1899, p. 226
  50. Lecca 1899, p. 251
  51. Variante: Goyan
  52. Lecca 1899, p. 275
  53. Lecca 1899, p. 433
  54. Variante: Zbiera
  55. Lecca 1899, p. 449
  56. Variante: Vasilcău din Siret
  57. Mihai D. Sturdza, Familiile boierești din Moldova și Țara Românească, enciclopedie istorică, genealogică și biografică", Ed. Simetria, Bucarest, vol. I - 2004, vol. II - 2011, vol. III - 2014.
  58. Lecca 1899, p. 33
  59. Lecca 1899, p. 63
  60. Lecca 1899, p. 77
  61. Lecca 1899, p. 152
  62. Lecca 1899, p. 155
  63. Lecca 1899, p. 285
  64. Lecca 1899, p. 292
  65. Lecca 1899, p. 180
  66. Lecca 1899, p. 204
  67. Lecca 1899, p. 236
  68. Lecca 1899, p. 268
  69. Lecca 1899, p. 274
  70. Lecca 1899, p. 282
  71. Lecca 1899, p. 290
  72. Lecca 1899, p. 306
  73. Lecca 1899, p. 325
  74. Lecca 1899, p. 335
  75. Lecca 1899, p. 336
  76. Lecca 1899, p. 359
  77. Lecca 1899, p. 362
  78. Lecca 1899, p. 383
  79. Lecca 1899, p. 400
  80. Lecca 1899, p. 520
  81. Lecca 1899, p. 438
  82. Lecca 1899, p. 440
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  84. Lecca 1899, p. 457
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  86. Lecca 1899, p. 479
  87. Lecca 1899, p. 491
  88. Lecca 1899, p. 6
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  90. Lecca 1899, p. 15
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  92. Lecca 1899, p. 30
  93. Lecca 1899, p. 41
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  96. Lecca 1899, p. 67
  97. Lecca 1899, p. 71
  98. Lecca 1899, p. 82
  99. Lecca 1899, p. 84
  100. Lecca 1899, p. 96
  101. Lecca 1899, p. 99
  102. Lecca 1899, p. 101
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  104. Lecca 1899, p. 117
  105. Lecca 1899, p. 123
  106. Lecca 1899, p. 166
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  108. Lecca 1899, p. 173
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  110. Lecca 1899, p. 179
  111. Lecca 1899, p. 186
  112. Lecca 1899, p. 188
  113. Lecca 1899, p. 190
  114. Lecca 1899, p. 300
  115. Lecca 1899, p. 207
  116. Lecca 1899, p. 212
  117. Lecca 1899, p. 215
  118. Lecca 1899, p. 220
  119. Lecca 1899, p. 225
  120. Lecca 1899, p. 536
  121. Lecca 1899, p. 230
  122. Lecca 1899, p. 248
  123. Lecca 1899, p. 254
  124. Lecca 1899, p. 260
  125. Lecca 1899, p. 263
  126. Lecca 1899, p. 539
  127. Lecca 1899, p. 279
  128. Lecca 1899, p. 283
  129. Lecca 1899, p. 541
  130. Variante: Lahovari
  131. Lecca 1899, p. 543
  132. Lecca 1899, p. 310.
  133. Lecca 1899, p. 319
  134. Lecca 1899, p. 544
  135. Lecca 1899, p. 320
  136. Lecca 1899, p. 323
  137. Lecca 1899, p. 331
  138. Lecca 1899, p. 353
  139. Lecca 1899, p. 364
  140. Lecca 1899, p. 366
  141. Lecca 1899, p. 370
  142. Lecca 1899, p. 378
  143. Lecca 1899, p. 382
  144. Lecca 1899, p. 386
  145. Lecca 1899, p. 392
  146. Lecca 1899, p. 402
  147. Lecca 1899, p. 403
  148. Lecca 1899, p. 414
  149. Lecca 1899, p. 425
  150. Lecca 1899, p. 429
  151. Lecca 1899, p. 455
  152. Lecca 1899, p. 476
  153. Lecca 1899, p. 484
  154. Lecca 1899, p. 493
  155. Lecca 1899, p. 495
  156. Lecca 1899, p. 498
  157. Lecca 1899, p. 500

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