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Linda Hamilton

Linda Hamilton est une actrice américaine, née le à Salisbury (Maryland).

Linda Hamilton
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
Linda Hamilton Ă  la Comic-Con San Diego en 2019.
Nom de naissance Linda Carroll Hamilton
Naissance
Salisbury (États-Unis)
NationalitĂ© Drapeau des États-Unis AmĂ©ricaine
Profession Actrice
Films notables Terminator
Terminator 2 : Le Jugement dernier
Le Pic de Dante
Haute Trahison
Terminator: Dark Fate
SĂ©ries notables La Belle et la BĂȘte

Principalement connue pour avoir interprĂ©tĂ© le personnage de Sarah Connor dans les films de science-fiction Terminator (1984), Terminator 2 : Le Jugement dernier (1991) et Terminator: Dark Fate (2019), elle est aussi cĂ©lĂšbre pour son rĂŽle de Catherine Chandler dans la sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e La Belle et la BĂȘte, grĂące auquel elle a Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ©e deux fois aux Golden Globes et une fois aux Emmy Awards.

Sa filmographie compte également, entre autres, le film Le Pic de Dante et le téléfilm The Color of Courage.

Elle a Ă©tĂ© mariĂ©e au rĂ©alisateur James Cameron de 1997 Ă  1999. Leur divorce reste l’un des plus coĂ»teux d'Hollywood.

Biographie

Jeunesse

Linda Hamilton naĂźt Ă  Salisbury, dans le Maryland. Sa mĂšre est une descendante de colons arrivĂ©s sur le Mayflower (1620) et son pĂšre, Carroll Stanford Hamilton, est mĂ©decin. Le pĂšre de Linda meurt d'un accident de voiture lorsqu’elle a cinq ans, sa mĂšre se remarie par la suite avec un officier de police[1]. Elle a une sƓur jumelle, Leslie Hamilton (nĂ©e six minutes aprĂšs elle, dĂ©cĂ©dĂ©e le [2]), une sƓur aĂźnĂ©e, Laura Hamilton, et un frĂšre cadet, Ford Hamilton.

De son enfance, Linda Hamilton a dit un jour qu'elle avait grandi dans une « famille protestante anglo-saxonne trÚs ennuyeuse », et qu'elle « dévorait les livres » durant son temps libre[3].

Les parents essayent d'initier leurs enfants aux arts dĂšs leur plus jeune Ăąge. Leur pĂšre adorait le thĂ©Ăątre, l’opĂ©ra et la musique classique, tandis que leur mĂšre aimait la couture et la peinture. Les quatre enfants grandissent prĂšs de la baie de Chesapeake et font leurs Ă©tudes Ă  l'Ă©cole secondaire Wicomico de Salisbury.

Linda commence Ă  jouer la comĂ©die dĂšs son jeune Ăąge, sans avoir l’idĂ©e d’en faire carriĂšre : elle rĂȘve de devenir archĂ©ologue ou pompier.

Débuts au théùtre

Le fait d'avoir interprĂ©tĂ© le rĂŽle de La Belle au bois dormant est l’un des premiers souvenirs de Linda Hamilton : « Ma mĂšre prit quelques faux bijoux d’un de ses costumes et fit une couronne pour moi. Je me suis trouvĂ©e. Je n’oublierai jamais la joie ressentie Ă  cet instant ». Linda avait trouvĂ© sa voie : « J’aime jouer. J’ai toujours aimĂ©. J’ai fait du thĂ©Ăątre pour enfants quand j’étais jeune. Pas de talent particulier pour autant. Vous savez, j’ai une sƓur jumelle alors ils nous avaient mises ensemble. Je suis sĂ»re qu’ils ont pensĂ© que ce serait vraiment mignon d’avoir les jumelles Hamilton pour le mĂȘme rĂŽle. J’ai dĂ©couvert ma passion pour jouer Ă  ce moment-lĂ  ». Sa passion pour la comĂ©die continue de s’accroĂźtre lors de son travail avec un groupe d’enfants jouant du thĂ©Ăątre Ă  Salisbury.

Pendant l’école secondaire, elle devient l’assistante du rĂ©pĂ©titeur et a aussi dirigĂ© une piĂšce. En 1974, aprĂšs avoir Ă©tĂ© diplĂŽmĂ©e de la Wicomico High School, elle s'inscrit au Washington College Ă  Chestertown, Maryland. LĂ , elle participe Ă  quelques productions d’étudiants tirĂ©es du PromĂ©thĂ©e enchaĂźnĂ© d’Eschyle, ainsi que The Adding Machine d’Elmer Rice.

Peu de temps aprĂšs, elle rejoint les Kent Players, une troupe thĂ©Ăątrale basĂ©e Ă  Chestertown et joue dans des piĂšces dont La SouriciĂšre (The Mousetrap) d’Agatha Christie, Vu du pont (A View from The Bridge) d’Arthur Miller, mais aussi dans l’adaptation musicale de L'Importance d'ĂȘtre Constant (The Importance of Being Earnest) d’Oscar Wilde, et dans une piĂšce adaptĂ©e de la nouvelle Histoire de Tom Jones, enfant trouvĂ© d’Henry Fielding.

AprĂšs deux ans passĂ©s au Washington College, elle dĂ©cide de se rendre Ă  New York afin d’étudier dans une Ă©cole d’arts dramatiques. Partie avec son petit-ami de l’époque, elle s’inscrit en 1976 au Lee Strasberg Theatre Institute. Elle peut y Ă©tudier la technique de jeu et reçoit, entre autres, l’enseignement de Nicholas Ray.

En 1989, un bref retour au Washington College lui permet de recevoir une citation (Alumni Citation) la désignant comme « étudiante exceptionnelle ».

CarriÚre à la télévision

À la suite de nombreuses apparitions dans des productions d’étudiants, c’est un petit rĂŽle dans la sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e Search for Tomorrow qui permet Ă  Linda Hamilton de commencer sa carriĂšre professionnelle. Son agence, s’apercevant qu'elle Ă©tait peu demandĂ©e au thĂ©Ăątre, l'a alors encouragĂ©e Ă  tenter sa chance Ă  Los Angeles.

En 1979, elle emprunte 2 000 dollars et part pour la Californie. Une fois son premier rĂŽle obtenu, une apparition dans Shirley, il ne lui restait plus que 6 dollars.

En 1987, Linda Hamilton fait un retour Ă  ses premiers dĂ©buts avec la sĂ©rie La Belle et la BĂȘte, oĂč elle incarne une avocate, Catherine Chandler, vivant une histoire d’amour impossible avec un homme-lion, Vincent, interprĂ©tĂ© par Ron Perlman. La sĂ©rie rencontre un joli succĂšs et prend fin aprĂšs trois saisons, en 1990.

En 1998, elle tourne dans plusieurs téléfilms : On the Line, Robots Rising, Rescuers: Stories of Courage: Two Couples, Point Last Seen. Elle joue aussi dans un épisode de la série Batman, les nouvelles aventures.

En 1999, elle tourne dans le tĂ©lĂ©film The Color of Courage, qui relate l’arrivĂ©e d’une famille de couleur noire dans un quartier habitĂ© exclusivement par des blancs. Elle joue aussi pendant un Ă©pisode dans la sĂ©rie Batman, la relĂšve, suivi du film The Secret Life of Girls.

En 2002, elle tourne dans le téléfilm Silent Night.

En 2005, elle apparaßt dans deux épisodes dans la série According to Jim et en 2006, dans la série Thief, ainsi que le téléfilm familial Home by Christmas.

Terminator

C’est en 1984 que la carriĂšre de Linda Hamilton prend un tournant dĂ©cisif, grĂące au film de science-fiction Terminator de James Cameron. Dans ce film, elle interprĂšte le rĂŽle de Sarah Connor, une jeune femme vivant Ă  Los Angeles comme serveuse. Sa vie tourne au cauchemar lorsqu'un tueur implacable (Arnold Schwarzenegger) la poursuit pour des raisons inexpliquĂ©es.

Quand, en 1984, elle apprend qu’Arnold Schwarzenegger interprĂ©tera le rĂŽle du Terminator, Linda n'est pas convaincue : « Je ne prenais pas Schwarzenegger trĂšs au sĂ©rieux comme acteur Ă  ce moment-lĂ . Je me suis dit : "Oh Seigneur, pourquoi prendre un homme qui ressemble Ă  une machine pour en jouer une ? Prenez quelqu’un de frĂȘle pour faire ces actes surhumains." Et j’avais tort. Il a Ă©tĂ© employĂ© efficacement, et il a Ă©tĂ© trĂšs bien servi par ce film[4]. »

Terminator 2 : Le Jugement dernier

En , Linda Hamilton accepte de reprendre le rÎle de Sarah Connor dans Terminator 2 : Le Jugement dernier, personnage dont la personnalité a fortement évolué, dix ans aprÚs les événements du premier film.

En incarnant une femme plus forte et laissant ainsi loin derriĂšre elle la serveuse timide et faible luttant pour prendre sa destinĂ©e en main, Sarah est presque un nouveau rĂŽle pour elle. Ainsi, treize semaines avant que le tournage du film ne commence, Linda Hamilton suit un entraĂźnement sportif intensif : « J’ai travaillĂ© avec un coach, six jours par semaine : aĂ©robic, jogging, trampoline mais surtout du bodybuilding ».

Hamilton s’est aussi entraĂźnĂ©e au tir, afin de rendre son personnage plus authentique et plus crĂ©dible. Une fois son corps mĂ©tamorphosĂ©, il lui fallait encore entrer dans l’esprit de guerriĂšre de Sarah Connor. Une formation trĂšs Ă©prouvante avec un commando israĂ©lien l’aide Ă  y parvenir. Au programme : manƓuvre des armes, formation de mission, judo et discipline mentale.

Quand la production du film commence, l'actrice, qui avait pris 18 kilos durant sa grossesse, Ă©tait pourtant maigre. Bien que son poids fĂ»t Ă©gal Ă  celui de 1984 dans Terminator, son corps n’était maintenant plus que muscles. Son rĂŽle de Sarah Connor reste un personnage mythique avec la citation culte : « Pas de destin, mais ce que nous faisons. »

Dans ce film, deux membres de la famille de Linda font une apparition, son fils Dalton, alors ĂągĂ© de quatre ans, et sa sƓur jumelle, Leslie. On peut voir Dalton dans la scĂšne du parc avant la destruction de Los Angeles et Leslie dans le rĂŽle du T-1000 prenant l’apparence de Sarah (Ă©galement dans la version longue du film pour les besoins d'un trucage, se faisant passer pour le reflet de Sarah dans un miroir).

Poursuite de la carriĂšre

MalgrĂ© le fait d’ĂȘtre arrivĂ©e Ă  son apogĂ©e, en 1991, la carriĂšre de Linda Hamilton prend ensuite un tournant plus calme et moins commercial. À l’époque de Terminator 2, elle explique Ă  un journaliste, lui demandant pourquoi son statut de star ne s'est pas accru aprĂšs le premier Terminator, que c’était dĂ» Ă  un choix personnel : « Si je l’avais vraiment voulu, j’aurais pu prendre des rĂŽles similaires. Je ne le voulais pas ; aprĂšs les gens ne vous reconnaissent que comme celle qui a gagnĂ© la cĂ©lĂ©britĂ© avec
 » Avant de mettre sa carriĂšre entre parenthĂšses pendant trois ans, Linda fait une derniĂšre apparition dans l'Ă©mission Saturday Night Live.

En 1994, elle retrouve les plateaux de tournage avec le thriller Silent Fall. L’annĂ©e suivante est un peu plus chargĂ©e avec le film Separate Lives et les deux tĂ©lĂ©films, The Way to Dusty Death et A Mother’s Prayer.

En 1996, elle reprend Ă  nouveau son personnage fĂ©tiche, Sarah Connor, pour le mini-film T2 3-D: Battle Across Time. DiffusĂ© dans les parcs d’attractions Universal Parks & Resorts, il dure un petit quart d’heure et a coĂ»tĂ© la bagatelle de 60 millions de dollars. On y retrouve Ă©galement Arnold Schwarzenegger, Edward Furlong et Robert Patrick.

AprĂšs qu'elle a jouĂ© dans le thriller Shadow Conspiracy (1997), on la retrouve dans un film d’action, le Pic de Dante (Dante’s Peak). Elle y partage l’affiche avec Pierce Brosnan. Une apparition dans la sĂ©rie humoristique Frasier termine l’annĂ©e 1997.

En 2000, suit le film Sex and Mister X et trois Ă©pisodes de Buzz Lightyear of Star Command. Le film indĂ©pendant Affaires de femmes (A Girl Thing), le tĂ©lĂ©film Bailey's Mistake et le thriller Skeletons in the Closet composent l’annĂ©e 2001.

En 2003, elle ne souhaite pas faire partie du 3e volet de la saga Terminator, Terminator 3 : le soulĂšvement des machines. Elle trouve qu’il n’y a pas de nouvelles perspectives pour Sarah dans ce film. Selon elle, ce troisiĂšme volet est surtout axĂ© sur les personnages de John Connor et du Terminator. Le fait que James Cameron ne rĂ©alise pas le film l’avait dĂ©jĂ  fortement dissuadĂ©e.

Linda Hamilton en 2013.
Linda Hamilton en 2016.

En 2003 et 2004, elle apparaĂźt dans les films Wholey Moses et Jonah.

En 2005 et 2006, on la voit dans les films Smile, Missing in America, Broken, In Your Dreams et dans la comédie The Kids and I.

En 2009, elle confirme Ă  MTV qu'elle va reprendre son rĂŽle de Sarah Connor dans Terminator Renaissance rĂ©alisĂ© par McG, en tant que voix off : « Nous sommes encore en train d'en parler, je n'ai pas encore lu mes rĂ©pliques, je ne sais pas de quoi il retourne. Ma contribution sera une voix-off. Je serais sans doute trĂšs heureuse de prĂȘter ma voix. Ils sont en train d'Ă©crire cette partie, nous avons fini les nĂ©gociations »[5] - [6].

En 2010, elle tourne dans la saison 4 de la sĂ©rie Chuck oĂč elle incarne la mĂšre disparue de Chuck (Zachary Levi), le personnage principal.

En 2017, James Cameron annonce qu'elle reprendra le rĂŽle de Sarah Connor dans le prochain Terminator, rĂ©alisĂ© par Tim Miller, oĂč elle retrouvera Arnold Schwarzenegger. Le film, Terminator: Dark Fate, est coĂ©crit et produit par Cameron[7].

En 2023, elle rejoint le casting de la série à succÚs du géant américain Netflix " Stranger Things " pour l'ultime saison.

ProblĂšmes personnels et addictions

Le pĂšre de Linda Hamilton souffrait de trouble bipolaire, appelĂ© autrefois maniaco-dĂ©pression et, trĂšs tĂŽt, elle-mĂȘme en ressentit les symptĂŽmes. Cependant, elle refusa longtemps de se soigner avec des mĂ©dicaments, cette idĂ©e lui faisant peur.

Presque toute sa vie fut l’alternance d’un Ă©tat d’euphorie Ă  un Ă©tat de tristesse et de dĂ©sespoir avec, dans l’intervalle, des pĂ©riodes d’humeur normale. Mais, Ă  la fin de ses trente ans, elle accepte enfin de se soigner Ă  l’aide de mĂ©dicaments :

« Finalement je me suis rendue et j’ai acceptĂ©. C’est ainsi que Dieu m’a faite. La vie est un petit peu plus dure pour moi. Lorsque c’était devenu Ă©puisant, j’ai demandĂ© de l’aide. Je crois que les anti-dĂ©presseurs m'ont sauvĂ© la vie. »

En 1982, un Ă©vĂšnement imprĂ©vu fait basculer la vie de Linda Hamilton dans l’enfer de la cocaĂŻne et de l’alcool. Quand le temps vient de rĂ©gler l’acompte de sa propriĂ©tĂ©, elle dĂ©couvre que son agent artistique, Harvey Glass, a dĂ©tournĂ© 107 000 dollars de ses revenus. « C’était un cauchemar, j’ai dĂ» faire un emprunt afin de pouvoir rembourser cet acompte. »

Sa frustration Ă©tant terrible, elle commence Ă  prendre de la cocaĂŻne. Devenue trĂšs dĂ©pendante, elle et un ami vont jusqu’à en acheter vingt-huit grammes pour les « sniffer » complĂštement. « Il y a des drogues qui stimulent l’ñme mais la cocaĂŻne en est une qui ferme juste le cƓur. C’est vraiment horrible de sniffer des drogues. J’ai arrĂȘtĂ© de moi-mĂȘme mais Ă  un moment j’ai eu peur de devoir rentrer dans un centre de dĂ©sintoxication. J’étais vraiment en difficultĂ©. » L’alcool fut aussi un problĂšme Ă  cette Ă©poque.

Finalement, aprĂšs trois annĂ©es, elle rĂ©ussit Ă  renoncer Ă  la tentation de la drogue et de l’alcool.

Mariages

Lors du tournage de son premier film, T.A.G.: Le Jeu de l'Assassinat (1982), Linda Hamilton rencontre son premier mari, l’acteur Bruce Abbott. Ils se marient dans l’annĂ©e, le . À l’ñge de trente-trois ans, l'actrice souhaite avoir un enfant. AprĂšs avoir fait une fausse couche, elle se retrouve rapidement de nouveau enceinte et quitte alors la sĂ©rie La Belle et la BĂȘte afin de se consacrer Ă  sa famille. Son premier enfant, un garçon prĂ©nommĂ© Dalton, nait le . Peu de temps aprĂšs la naissance de leur fils, le couple se sĂ©pare. Leur divorce est prononcĂ© Ă  la fin de l’annĂ©e 1989.

AprÚs avoir terminé le tournage de Terminator 2, Linda Hamilton entame une relation avec le réalisateur du film, James Cameron. En 1992, ils souhaitent agrandir leur famille, mais leur projet se voit retardé, Linda ayant fait deux fausses couches. Finalement, le , une petite fille, Joséphine Archer, voit le jour. Le couple se marie quelques années plus tard. Leur mariage est célébré à Malibu (Californie), le .

En , elle dĂ©couvre l’aventure extraconjugale de Cameron avec Suzy Amis, rencontrĂ©e durant le tournage du film Titanic. Le couple dĂ©cide alors de se sĂ©parer. À la fin de l’annĂ©e, la procĂ©dure de divorce est lancĂ©e, leurs diffĂ©rends les rendant irrĂ©conciliables. L’issue de ce divorce mĂ©diatique coĂ»tera cher Ă  James Cameron : d’aprĂšs les tabloĂŻds, l'actrice aurait obtenu un peu moins de 53 millions de dollars, soit plus de la moitiĂ© des revenus que Titanic avait rapportĂ©s Ă  Cameron. Elle obtient Ă©galement la garde de leur fille JosĂ©phine, alors ĂągĂ©e de cinq ans. Au tribunal, l'actrice ne cache pas son amertume : « Nous n'avons rien en commun Ă  l'exception de notre fille. C'est vraiment un pauvre type, pauvre et malheureux[8]. » Le couple divorce Ă  la fin de 1999 ou au dĂ©but de l'annĂ©e 2000[8].

Il est alors rĂ©guliĂšrement rapportĂ© que leurs relations continuaient d’ĂȘtre houleuses. Cependant, au dĂ©but de l’annĂ©e 2001, Linda Hamilton affirme avec insistance que leurs tensions font partie du passĂ© : « Les gens seraient surpris de savoir Ă  quel point nous sommes amis. »

Son divorce l’ayant beaucoup affectĂ©e, elle reste alors cĂ©libataire pendant deux ans[8].

Filmographie

Cinéma

Séries télévisées

SĂ©ries d'animation

Jeu vidéo

Distinctions

RĂ©compenses

Linda Hamilton en 2009.

Nominations

Doctorat honorifique

En reconnaissance de ses performances au théùtre et au cinéma, Linda Hamilton reçoit un doctorat honorifique en arts lors de la 221e cérémonie de remise de diplÎmes du Washington College, le [11].

Voix françaises

En France, Véronique Augereau est la voix française réguliÚre de Linda Hamilton[12] - [13].

En France
et aussi

Notes et références

  1. « Linda Hamilton Biography (1956-) Â», filmreference.com.
  2. « Linda Hamilton (Terminator) : Mort de sa sƓur jumelle Leslie Â», purepeople.com, 31 AoĂ»t 2020.
  3. (en) « The ‘Jewish’ Side of Linda Hamilton », Naomi Pfefferman, Jewishjournal.com, 16 mai 2002.
  4. (en) « Linda Hamilton (I) - Biography Â», IMDB.com.
  5. « "Terminator Salvation" : Linda Hamilton de retour
 vocalement Â», Showbizz.net, 20 fĂ©vrier 2009.
  6. « Linda Hamilton confirmĂ©e dans Terminator 4 Â», ecranlarge.com.
  7. « Terminator : Linda Hamilton de retour en Sarah Connor dans le prochain film de la saga ! Â», ClĂ©ment Cuyer, AllocinĂ©.fr, 20 septembre 2017.
  8. « James Cameron et Linda Hamilton – Les divorces des stars les plus chers Â», L'Internaute.com.
  9. Didier PĂ©ron, « Le Pic de Dante. Dans le registre de l'Ă©pouvante Ă©cologique, une superproduction efficace plonge dans le magma d'un volcan en Ă©ruption. Catastrophe al Dante. Le Pic de Dante, de Roger Donaldson avec Pierce Brosnan, Linda Hamilton, Charles Hallahan"" 1h52 », LibĂ©ration,‎ (lire en ligne)
  10. « Lost Girl saison 4 : Linda Hamilton et Kyle Schmid rejoignent la série », Premiere, 24 septembre 2013.
  11. (en) : article « Washington College To Honor Actress Linda Hamilton, Alumnus Roy Ans At 221st Commencement, May 18 », washcoll.edu, 21 avril 2003.
  12. « Comédiennes ayant doublé Linda Hamilton en France », sur RS Doublage.
  13. « Comédiennes ayant doublé Linda Hamilton en France », sur Doublagissimo.
  14. Carton du doublage français sur le DVD zone 2.
  15. Carton du doublage français télévisuel.

Liens externes

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