Le Pègue
Le Pègue est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Le Pègue | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | DrĂ´me | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Enclave des Papes-Pays de Grignan | ||||
Maire Mandat |
Guy Vial 2020-2026 |
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Code postal | 26770 | ||||
Code commune | 26226 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Le Pèguois, Le Pèguoises | ||||
Population municipale |
365 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 33 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 44° 25′ 49″ nord, 5° 03′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 348 m Max. 1 323 m |
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Superficie | 11,12 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Valréas (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Grignan | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : DrĂ´me
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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Ses habitants sont dénommés les Pèguois et les Pèguoises.
Le village est connu pour son oppidum Saint-Marcel qui dévoile une occupation importante au premier Âge du Fer (Civilisation de Hallstatt). La découverte notamment de céramiques peintes à pâte claire (aussi appelées céramique pseudo-ionienne) a fait la célébrité du Pègue.
GĂ©ographie
Localisation
La commune du Pègue est situé à 8 km au nord-est de Valréas (Vaucluse), à 12 km au nord-ouest de Nyons (sous préfecture) et à 14 km à l'est de Grignan (chef-lieu du canton).
Roche-Saint-Secret-Béconne | Montjoux | Teyssières | ||
Montbrison-sur-Lez | N | Rousset-les-Vignes | ||
O Le Pègue E | ||||
S | ||||
Rousset-les-Vignes | Rousset-les-Vignes | Rousset-les-Vignes |
Relief et géologie
Hydrographie
La commune est traversée par :
Climat
Le climat du Pègue est méditerranéen à influence semi-continentale. Il est marqué par un important ensoleillement, d'environ 2500 heures par an, avec de belles journées ensoleillées hivernales mais froides, par des précipitations assez abondantes et réparties surtout au printemps et à l'automne. Il y a deux saisons sèches: l'hiver et l'été. Le mistral souffle assez fréquemment, parfois fort. Il augmente beaucoup la sensation de froid ressenti en hiver. Le brouillard y est exceptionnel. Le nombre de jours de gel annuel est assez limité et en général faible, mais des gelées exceptionnellement fortes peuvent survenir, la neige est un phénomène survenant chaque hiver en plus ou moins grande quantité.
Urbanisme
Typologie
Le Pègue est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valréas dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7] - [8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,4 %), zones agricoles hétérogènes (15,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,1 %), cultures permanentes (6,9 %), zones urbanisées (2,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,1 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
Le bourg est un village perché.
Hameaux et lieux-dits
En plus du village, la commune comporte deux hameaux : le Célas et les Rabassières.
Toponymie
Attestations
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[10] :
- 1165 : castrum de Opigho (cartulaire de Die, 20).
- 1178 : castrum de Opegue (cartulaire de Die, 5).
- 1214 : castrum Opigii (inventaire des dauphins, 251).
- 1324 : Oppegue (Duchesne, Comtes de Valentinois, 29).
- 1332 : castrum Uppeguae (Duchesne, Comtes de Valentinois, 29).
- (non daté) : Oupigium (Long, notaire à Grignan).
- XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus de Opegue (pouillé de Die).
- 1449 : mention du prieuré : prioratus de Opigho (pouillé hist.).
- 1450 : mention de la paroisse : cura de Opegio (Rev. de l'évêché de Die).
- 1509 : mention de l'Ă©glise Saint-Marcel ou Saint-Mayne : ecclesia Sancti Marcelli Opegii (visites Ă©piscopales).
- 1529 : mention de l'église Saint-Marcel ou Saint-Mayne : Sainct Mène du Pègue (visites épiscopales).
- 1637 : La Paigue (Lacroix, L'arrondissement de Montélimar, VI, 151).
- XVIIe siècle : mention du prieuré : le prioré de Nostre-Dame d'Authon et Saint Mayne du Pègue (archives de la Drôme, fonds du chapitre de Crest).
- 1891 : Le Pègue, commune du canton de Grignan.
Histoire
NĂ©olithique
Le Néolithique est marqué par les débuts de la sédentarisation, de l'élevage et de la culture des céréales.
Au Pègue, sur la colline Saint-Marcel et dans la plaine, de nombreux objets confirment la présence humaine : pierres taillées, pierre polies en forme de haches ou de polissoirs, objets en silex (pointes de flèches, grattoirs, lames de faucilles) ainsi que des tessons de céramique primitive en colombin . Certains objets confirment l'existence d'échanges avec d'autres régions : meules en basalte, serpentine, cristal de roche.
Ă‚ge du Bronze
Le Pègue est un carrefour d'échange entre différents peuples grâce à deux voies protohistoriques, l'une est appelée la route de l'étain, la seconde va d'ouest en est.
On a retrouvé sur la colline Saint-Marcel les vestiges d'un habitat datant de la fin de l'L'Âge de bronze (XIIIe siècle au VIIe siècle avant notre ère). Les bracelets en bronze et les céramiques sont typiques de la Civilisation des champs d'urnes.
Le Premier Ă‚ge du Fer (Hallstatt)
Les Celtes de la (civilisation de Hallstatt) s'installent dans la région.
Vers 530 avant notre ère, trois terrasses sont aménagées sur la colline Saint-Marcel. Le Pègue est connu pour cet oppidum protohistorique.
Les liens entre la population indigène et les Grecs de Massalia (Marseille) sont confirmés par la découverte de certains objets et céramiques. Les marchands de Marseille (fondée vers 600 avant notre ère) remontent vers le nord pour y faire du commerce. Certains ont pu s'installer sur l'oppidum. Grâce aux techniques grecques, se développe une importante production de céramiques peintes à pâte claire appelées céramique pseudo-ionienne.
Les productions d'œnochoés, de vases à vin, de coupes à lèvre, ainsi que les amphores découvertes au Pègue, laissent supposer une consommation régionale de vin entre le milieu du VIe siècle et le IVe siècle avant notre ère.
Vers 480 avant notre ère, le village est entièrement détruit (traces d'incendie). Le site restera inoccupé pendant presque un siècle.
- Le Musée archéologique du Pègue
Ce musée[1] conserve principalement des poteries pseudo-ioniennes et des artefacts de l'époque romaine. La salle d'exposition est baptisée salle Charles Lagrand depuis le , en hommage au fondateur du musée[11].
- Œnochoé de type ancien à inscription grecque.
- Épaule d'œnochoe de style orientalisant.
- Skyphos à décor pseudo-ionien de fabrication locale.
- Skyphos attique.
Le Second Âge du Fer (La Tène)
Les Celtes de la civilisation de La Tène), les Gaulois, s'installent dans la région.
Autour de 400 avant notre ère, l'oppidum est à nouveau occupée. Le village est reconstruit avec un mur d'enceinte. Les échanges commerciaux reprennent avec le monde grec et se développent avec le monde gaulois.
Antiquité : les Gallo-romains
Vers 125 avant notre ère, Rome s'installe définitivement dans le sud de la Gaule. L'influence commerciale de Marseille diminue progressivement.
L'oppidum est progressivement abandonné par ses habitants qui s'installent dans le nouveau village. On retrouve cependant des traces d'habitat sur la colline jusqu'à la moitié du Ier siècle.
Le Pègue, possiblement nommé Altonum ou Aletanum, aurait été le chef-lieu du Pagus Aletanus. Des fouilles ont révélé une cité importante avec des voies, des galeries, des habitations, des ateliers (verrier), des canalisations et des nécropoles.
On a aussi retrouvé des sarcophages, des inscriptions lapidaires et une belle mosaïque (découverte le par le curé et qu’il fit enfouir dans un jardin).
Un temple romain s'élevait au centre de la ville (sous l'emplacement actuel de la chapelle Sainte-Anne qui a conservé quelques colonnes).
Une domus a été retrouvée[12].
À la fin de l'Empire romain, beaucoup de pierres ont été réemployées.
Du Moyen Ă‚ge Ă la RĂ©volution
Vers le Xe siècle, un castrum médiéval est installé au sommet de la colline Saint-Marcel. Au XIIe siècle, il est définitivement abandonné. Un château est construit au point culminant du village actuel.
La seigneurie[10] :
- Au point de vue féodal, le Pègue était une terre du fief des comtes de Valentinois et de l'arrière-fief des évêques de Die.
- Possession des Clérieux.
- 1237 : possession des MĂ©vouillon.
- La terre passe aux Montauban.
- 1277 : un quart de la terre appartient aux Hugolier.
- La seigneurie est partagée entre trois co-seigneurs :
- 1278 Ă 1457 : les Montroux.
- 1327 Ă 1332 : les Egluy.
- 1332 Ă 1682 : les Vecs qui remplacent les Egluy.
- 1333 Ă 1385 : les Bellon.
- 1385 : les droits des Bellon sont acquis par les Diez.
- 1453 (ou 1457) : la part des Montroux est acquise par les Trobas.
- Vers 1520 : les droits des Trobas sont acquis par les Diez.
- 1561 : les Diez vendent les trois quarts de la terre du Pègue aux Alrics.
- 1737 : la part des Alrics passe (par mariage) aux Durand de Pontaujard.
- 1755 : les Durand de Pontaujard lèguent toute la terre part aux Armand de Blacons, derniers seigneurs.
1789 (démographie) : 75 familles[10].
Avant 1790 le Pègue était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation de Saint-Paul-Trois-Châteaux et du bailliage du Buis.
La commune formait une paroisse du diocèse de Die, dont l'église dédiée à saint Marcel ou saint Mayne, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Augustin et de la dépendance de l'abbaye de Saou. Ce dernier fut uni en 1731 au chapitre de Crest, lequel a, de ce chef, perçu jusqu'à la Révolution les dîmes de cette paroisse, le collateur de la cure étant l'évêque de Die[10].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[15].
En 2020, la commune comptait 365 habitants[Note 3], en diminution de 1,08 % par rapport Ă 2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Les élèves du Pègue commencent leur scolarité à l'école publique du village, qui comporte une section maternelle, avec 22 enfants, ainsi qu'une section primaire, pour 12 enfants[18].
La commune possède une école de fouille[1].
Manifestations culturelles et festivités
- Fête : le troisième dimanche de septembre[1].
Loisirs
- PĂŞche[1].
Économie
En 1992 : pâturages (ovins), vignes (vins AOC Côtes-du-Rhône, VDQS Haut-Comtat)[1].
- Foire : le 24 septembre[1].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'Oppidum Saint-Marcel :
- La colline a été le lieu de fouille entre 1955 et 1985 : restes d'un village datant de 530 avant notre ère (Civilisation de Hallstatt) et du village du Second Âge du Fer (La Tène) dont on voit encore la porte du mur d'enceinte.
- Vestiges du castrum médiéval (IXe siècle au XIIe siècle) : restes du donjon circulaire et de citerne.
- Au sommet de la colline, se trouve la chapelle Saint-Marcel, dernier vestige du premier castrum. Il n'en reste plus que le chœur.
- On y perçoit aussi quelques traces d'un village.
- Le Pègue médiéval :
- De l'époque médiévale, nous sont parvenus les remparts et les quatre tours, la poterne, le château et une maison à l'intérieur des remparts.
- Chapelle romane du château (devenue la sacristie de l'église).
- Chapelle Sainte-Anne du Pègue : (XIIe siècle / classée MH ) (de style roman provençal)) et son cimetière. Construite sur un site romain, elle en a gardé les substructures. En 1992, elle est abandonnée[1]. Elle est le dernier vestige du couvent.
- L'église Saint-Marcel-et-Saint-Menne du Pègue. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[19]. Construite au XVIIIe siècle (elle peut se visiter en s'adressant au musée) :
- un grand tableau du XVIIe siècle représentant le Christ en croix, Marie, et les deux patrons du village saint Marcel et saint Ménas ;
- des statues du XVIIe siècle des douze apôtres, du Christ et de deux anges ;
- un baptistère creusé dans un chapiteau romain.
- Porte de ville du Pègue.
- Château du Pègue.
- façade de l'église du Pègue.
- Maisons en hauteur, dites à pontin, les escaliers extérieurs mènent au premier étage habité.
- Maison avec son pigeonnier.
- Maison à terre, dite grande bastide ou grange en Drôme provençale.
- Cabanon en bordure de champ.
Patrimoine naturel
La commune est proche du parc naturel régional des Baronnies provençales.
Personnalités liées à la commune
- L'abbé Tourasse (1863-1937), nommé curé du Pègue le 10 octobre 1894[20]. C'est un érudit, passionné de musique, d'histoire, de musique et de physique. Il aime la médecine, la botanique et cultive des plantes médicinales. Il collectionne les antiquités qu'il ramasse dans les champs. Il est aussi un photographe qui a laissé des clichés exceptionnels du village du Pègue en ce début du XXe siècle[21].
- Jean-Jacques Hatt (1913-1997) est un archéologue et historien français spécialiste de la religion gauloise, professeur à l'université de Strasbourg, directeur des Antiquités d'Alsace, conservateur du musée archéologique de Strasbourg. Il a dirigé de nombreuses campagnes de fouilles sur la commune.
- Charles Lagrand (1920-2004), archéologue, conservateur de musée et fondateur de celui du Pègue.
HĂ©raldique, logotype et devise
Blason | D'azur Ă un soleil d'or[22].
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Détails | Armes et devise de la famille Diez, dont étaient issus les seigneur du Pègue du XIVe au XVIIe siècle. Adopté. |
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Le Pègue.
- Fiche du Donjon sur le site du SANDRE
- Fiche ru Ruisseau le Pègue sur le site du SANDRE
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 258.
- Musée du Pègue
- https://www.inrap.fr/une-domus-antique-au-pegue-drome-15383
- Le Pègue sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de la Drôme (consulté le 28 novembre 2020).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- école publique du Pègue
- « Église paroissiale Saint-Marcel et Saint-Menne », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Expo 2014 – Louis Félicien Tourasse – 1863~1937 – », Charlotte Pelloux,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « L'Abbé Tourasse et le Pègue », sur Site officiel de l'Office de Tourisme Pays de Grignan Enclave des Papes, .
- « 26226 Le Pègue (Drôme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Le Pègue sur le site de l'Institut géographique national (archive) / page archivée depuis 2011.