Roche-Saint-Secret-Béconne
Roche-Saint-Secret-Béconne est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
La Roche-Saint-Secret-Béconne | |||||
La Roche-Saint-Secret-Béconne, entrée du village | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Dieulefit-Bourdeaux | ||||
Maire Mandat |
Marc Liotard 2020-2026 |
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Code postal | 26770 | ||||
Code commune | 26276 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Rochois, Rochoises | ||||
Population municipale |
469 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 28′ 41″ nord, 5° 01′ 46″ est | ||||
Altitude | Min. 282 m Max. 1 232 m |
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Superficie | 33,23 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Dieulefit | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Ses habitants sont dénommés les Rochois et Rochoises.
Géographie
Localisation
La commune est située au sud de Dieulefit.
Le Poët-Laval | Le Poët-Laval Dieulefit |
Dieulefit Montjoux |
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Taulignan | N | Montjoux | ||
O Roche-Saint-Secret-Béconne E | ||||
S | ||||
Taulignan Montbrison-sur-Lez |
Montbrison-sur-Lez Le Pègue |
Le Pègue |
Relief et géologie
Sites particuliers[1] :
- Cime de Rozier (689 m)
- Col de Bonnardel
- Col de Gorge d'Ane
- Col de la Croix
- Col de la Roche
- Col de la Ruche
- Combe de Champ Féri
- Combe de la Fontaine de la Roche
- Combe du Four
- Combe Laya
- la Charousse (750 m)
- la Tour de Blacon (540 m)
- Montagne de Champlas (779 m)
- Montagne de Dieu-Grâce (675 m)
- Montagne de la Lance (crête nord-ouest)
- Montagne de l'Autèche (812 m)
- Montagne d'Ufernet (665 m)
- Mont Rachas (897 m)
- Noyeron (679 m)
- Pierre Lignier (587 m)
- Rocher des Aures
- Rocher de Tête Vieille (629 m)
- Serre Choseille
- Serre Enrichier
Hydrographie
La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :
- le Lez
- Combe de Miéjoun
- Combe Martin
- Ravin de Bramefaim
- Ravin de Clos Michel
- Ravin de Gorge d'Âne
- Ravin de la Courrière
- Ravin de la Fontaine du Loup
- Ravin de la Grand Combe
- Ravin de la Mouleine
- Ravin de la Riaille
- Ravin de Maravant
- Ravin de Saint-Roman
- Ravin des Oliviers
- Ravin des Vignes
- Ravin de Valagier
- Ruisseau des Combettes
Urbanisme
Typologie
Roche-Saint-Secret-Béconne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,1 %), zones agricoles hétérogènes (22,1 %), cultures permanentes (6,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Site Géoportail (carte IGN)[1] :
- Argaud
- Baume la Lance
- Baume Vachon
- Blacon
- Bonnardel
- Boisse
- Bramefaim
- Champ du Moulin
- Champ Rousset
- Champs des Marres
- Chapelle de la Roche
- Château de la Roche
- Claveisias
- Coste Belle
- Drusière
- Ferme de la Lance
- Ferme Saint-Roman
- Fontaine de Bouissouge
- Fontaine de Jonchères
- Fontaine de la Roche
- Fontaine des Courrières
- Fontlargias
- Font la Tine
- Grand Champ
- Grangeasses
- Jabeline
- la Baume
- la Blache
- la Borie
- la Boure
- la Buissière
- la Cébette
- la Condamine
- la Dignerette
- l'Adret
- la Grand-Combe
- la Malaboisse
- la Montagne des Chapelets
- la Prada
- Larima
- la Vigne d'Ève
- le Brut
- le Château d'Alençon
- le Clos
- le Daraire
- le Darut
- le Douit
- le Grand Ubac
- le Plan
- le Rastelet
- le Renard
- le Rocher de l'Ours
- les Aures
- les Ayards
- les Chabrettes
- les Esparaux
- les Essards
- les Fonds
- les Garennes
- les Gleizes
- les Jaillets
- les Lionards
- les Plaines
- l'Étournelle
- l'Ubac
- Paudru
- Plan de Blacon
- Riallon
- Rieu Merlet
- Ruche
- Ruines de Béconne
- Ruines de Jean Français
- Serre Bourson
- Serre Brossier
- Serre Chaumin
- Serre des Vignes
- Serre Long
- Tête Vieille
- Tortel
- Tour d'Alençon
Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :
- l'Adret est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé La Drest au XVIIIe siècle (Carte de Cassini)[8].
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les routes départementales D 538 et D 545[1].
Toponymie
Roche-Saint-Secret
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[9] :
- 1252 : castrum Roche Sancti Segre (inventaire des dauphins, 252).
- 1277 : castrum Ruppis Sancti Segreti (inventaire des dauphins, 238).
- 1324 : castrum de Rupe Sancti Segreti (Duchesne, Comtes de Valentinois, 29).
- 1339 : Rochesinsecret (Gall. christ., XVI, 130).
- XIVe siècle : mention de la paroisse : capella Ruppis Sancti Secreti (pouillé de Die).
- 1355 : Ruppes Sancti Secreti (Gall. christ., XVI, 33).
- 1378 : Ruppes alias le Borc de Rocha (cartulaire de Montélimar, 72).
- 1391 : Roche Saint Segre (choix de documents, 213).
- 1421 : La Roche Saint Segret (Duchesne, Comtes de Valentinois, 48).
- 1457 : La Roche san Sécre (archives de la Drôme, E 5984).
- 1516 : mention du prieuré : prioratus Sancti Segreti (rôle de décimes).
- 1576 : mention du prieuré : le prioré de Saint Segret (rôle de décimes).
- 1793 : Roche sous Lance [appellation révolutionnaire].
- 1891 : La Roche-Saint-Secret, commune du canton de Dieulefit.
En 1972, à la suite du rattachement administratif du village de Béconne, la commune devient Roche-Saint-Secret-Béconne.
Alençon
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[10] (deux articles) :
- 1298 (Alençon 1) : Alansonum (ann. d'Aiguebelle, I, 486).
- 1324 (Alençon 2) : mention du château : dominus Alanzionis (La Mure, Histoire des comtes de Forez, éd. Chantelauze, III, preuves, n° 95 ter).
- 1332 (Alençon 2) : mention du château : castrum Alansi (Gall. christ., XVI, 130).
- 1339 (Alençon 2) : mention du château : Alanczonum (archives de la Drôme, E 456).
- XIVe siècle (Alençon 1) : mention de la paroisse : capella de Alansone (pouillé de Die).
- 1355 (Alençon 2) : mention du château : condominus de Alansone (archives municipales de Taulignan).
- 1384 (Alençon 2) : mention du château : Alanson (Long, notaire à Grignan).
- 1388 (Alençon 2) : mention du château : Alanco (choix de documents, 210).
- 1435 (Alençon 2) : mention du château : castrum de Alansonio (cartulaire de Die, 156).
- 1449 (Alençon 1) : mention de la paroisse : capella de Alensone (pouillé hist.).
- 1509 (Alençon 1) : mention de l'église Saint-Pierre : ecclesia Sancti Petri de Alansone (visites épiscopales).
- 1516 (Alençon 1) : mention du prieuré : prioratus Alançonis, Beconae et Blaconae (rôle de décimes).
- 1576 (Alençon 1) : Allanson (rôle de décimes).
- 1644 (Alençon 1) : Alançon (visites épiscopales).
- XVIIe siècle (Alençon 2) : mention du château : la Bastie d'Alanson (inventaire de la chambre des comptes).
- 1657 (Alençon 1) : Alenson (archives de la Drôme, B 84).
- 1891 (Alençon 1) : Alençon, hameau et château de la commune de la Roche-Saint-Secret.
- 1891 (Alençon 2) : Alençon, château ruiné de la commune de la Roche-Saint-Secret.
Béconne
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[11] :
- 1284 : castrum de Becona (Valbonnais, II, 118).
- 1334 : castrum de Brecona (inventaire des dauphins, 234).
- 1347 : bastida seu castrum de Becona (Valbonnais, II, 550).
- XIVe siècle : mention de l'église : capella de Becona (pouillé de Die).
- 1391 : Beiconne (choix de documents, 2150).
- 1509 : mention de l'église Notre-Dame : ecclesia Beate Marie de Becona (visites épiscopales).
- 1891 : Béconne, commune du canton de Dieulefit.
La Baume
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[12] :
- 1284 : castrum de Balma (Valbonnais, II, 118).
- 1332 : Balma de Becona (Gall. christ., XVI, 130).
- XVIe siècle : la Baume de Givodan, la Baume de Blacons et Baume la Lance (inventaire de la chambre des comptes).
- 1644 : Baulme Larensse (visites épiscopales).
- 1891 : La Baume, ferme et quartier de la commune de Béconne.
Roche-Saint-Secret-Béconne
- 1972 : Roche-Saint-Secret-Béconne à la suite du rattachement du village de Béconne.
Étymologie
- Alençon
- Béconne
- Roche-Saint-Secret
Le village doit son nom au Rocher des Ors[13] (ou Rocher des Aures) et à la chapelle Saint-Secret.
Histoire
Préhistoire
Importantes découvertes de l'Âge du Bronze[13].
Du Moyen Âge à la Révolution
La seigneurie[9] :
- Au point de vue féodal, la Roche-Saint-Secret était une terre (ou seigneurie) qui forma, pendant plusieurs siècles, deux seigneuries indivises.
- La première était une terre de la baronnie de Mévouillon.
- 1252 : elle passe (par mariage) aux Montauban.
- 1277 : les Montauban la remettent en fief aux Derdono.
- La terre entre dans le domaine des dauphins.
- 1444 : elle est donnée aux Scépeaux.
- 1452 : vendue aux Diez.
- La deuxième était une terre des comtes de Valentinois.
- 1334 et 1377 : remise en fief aux Faure.
- 1381 : les comtes de Valentinois la vendent (sous faculté de rachat) à Jacques, bâtard de Poitiers.
- 1428 : les comtes l'inféodent aux Bologne.
- 1528 : la terre passe (par mariage) aux Faure
- Les Faures acquièrent les droits des Diez et réunissent les terres.
- Vers 1655 : la totalité passe (par mariage) aux Mantin.
- Vers 1770 : elle passe aux Boisset, derniers seigneurs.
Durant les Guerres de Religion, la Roche-Saint-Secret et Béconne sont en faveur des catholiques, tandis qu'Alançon est en faveur des protestants (ce qui lui vaut d'être détruit).
Avant 1790, La Roche-Saint-Secret était une communauté de l'élection, subdélégation et sénéchaussée de Montélimar, comprenant seulement une partie de la commune actuelle de ce nom.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die, dont l'église, dédiée à saint Secret, dépendait premièrement du prieuré d'Alençon et fut convertie, à partir du XIVe siècle, en un prieuré distinct dont le titulaire avait la collation de la cure et les dîmes de la paroisse[9].
Alençon
La seigneurie[10] :
- Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) était un fief des comtes de Valentinois.
- 1446 : possession des Bologne.
- Fin XVIIe siècle : elle passe (par mariage) aux Berger.
- Peu après : elle passe aux Armand, derniers seigneurs d'Alençon.
Antérieurement à la fin du XVe siècle, Alençon était le chef-lieu d'une paroisse du diocèse de Die, dont l'église, dédiée à saint Pierre, fut alors convertie en un prieuré séculier dont le titulaire a été, jusqu'en 1790, décimateur dans les paroisses de Béconne et de la Roche-Saint-Secret[10].
De la Révolution à nos jours
En 1790, la communauté de la Roche-Saint-Secret est unie à celles d'Alençon, de Blacons et de la Buisse pour former une municipalité du canton de Taulignan. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une commune du canton de Dieulefit[9].
Du Moyen Âge à la Révolution
La seigneurie[11] :
- Au point de vue féodal, son territoire formait deux terres ou seigneuries : Béconne et Baume-la-Lance.
- La terre de Béconne était un fief de la baronnie de Montauban.
- Premièrement possédée par les comtes de Valentinois.
- Elle est inféodée partie aux Vesc (qui en sont propriétaires dès 1268) , partie aux Pencherin.
- Les Vesc acquièrent l'autre partie.
- 1444 : la terre est vendue aux Alleman.
- 1478 : recouvrée par les Vesc, derniers seigneurs.
- La terre de la Baume était un fief de la baronnie de Montauban.
- XIIIe siècle : possession des Vesc.
- 1445 : une moitié est vendue aux Alleman de Champ.
- 1478 : cette moitié est recouvrée par les Vesc.
- 1500 : elle passe aux Bologne.
- Passe (par mariage) aux Faure.
- Passe (par mariage) aux Panisse.
- 1652 : vendue aux Berger.
- 1680 : vendue aux Vesc qui réunifient le fief.
- Les Vesc sont les derniers seigneurs.
1771 (démographie) : 25 chefs de famille dans la communauté de Béconne[11].
Avant 1790, Béconne était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Saint-Paul-Trois-Châteaux et du bailliage de Buis-les-Baronnies.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die. Son église, dédiée à Notre-Dame, dépendait du prieuré d'Alençon (voir ce nom)[11].
De la Révolution à nos jours
En 1888, Dieulefit et Valréas ne possédaient pas l'électricité. Pour faciliter l'artisanat et l'industrie locales (poterie et cartonnerie), ces deux villes décidèrent l'implantation d'une usine électrique. Ce fut le Lez, rivière coulant à 5 kilomètres de Dieulefit, qui fut choisi pour fournir la force hydraulique. En avril de cette année, la société Lombard-Gerin et Cie, de Lyon, fut chargée de l'éclairage des deux villes. Pour ce faire, elle acheta un ancien moulin à Béconne afin d'y implanter une usine. Par contrat, il était prévu 115 lampes d'éclairage à Dieulefit et 230 à Valréas. Ce qui fut fait le [14].
L'usine de Béconne avait utilisé l'infrastructure du moulin dont le canal de dérivation qui drainait l'eau dans un réservoir de 13 000 m3, créant ainsi une chute d'une hauteur de 25 mètres. Ce qui permit d'actionner deux turbines d'une puissance de 45 kW qui tournaient à 180 tr/min. Elles étaient reliées à une ligne électrique, l'une pour Dieulefit, l'autre pour Valréas[14].
Politique et administration
Liste des maires
Politique environnementale
La commune dispose d'une station d'épuration.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[17].
En 2020, la commune comptait 469 habitants[Note 2], en augmentation de 10,09 % par rapport à 2014 (Drôme : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations culturelles et festivités
Loisirs
- Randonnées : GR 9, GR 429, GR Tour du Pays de Dieulefit[1].
Économie
Agriculture
En 1992 : pâturages (ovins), vignes (vins AOC Coteaux du Tricatin et caves coopératives), lavande (distillerie), oliviers[13].
L'agriculture a recentré ses activités sur la production d'essence de lavandin et de vins locaux, même s'il subsiste encore des vergers d'abricotiers.
Industrie
- Deux petites centrales hydroélectriques implantées sur le Lez.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Roche-Saint-Secret
- Chapelle Saint-Secret du XIIe siècle : elle est située au fond du vallon où était l'ancien village de la Roche, près du château de la Roche.
- Château de la Roche : maison forte à quatre tours d'angle des XVIe et XVIIe siècles.
- Donjon de Blacons (XIVe siècle)[13] : tour quadrangulaire perchée.
- Ancienne église paroissiale (transformée en garage)[13].
- Église Saint-Secret de Roche-Saint-Secret-Béconne, composite : peinture ancienne de la Madeleine[13].
- Béconne
- Béconne : village fortifié médiéval déserté au XIXe siècle.
- Béconne : château (XIIe et XIIIe siècles) et chapelle votive du château[13].
- Alençon : vestiges de l'ancien village.
- Donjon d'Alençon : fenêtres romanes géminées[13], tour médiévale quadrangulaire du XIIe siècle.
- La Bastie d'Alençon : maison forte (fin XVe siècle-début XVIe siècle), avec une grande enceinte et des tours d'angle. À l'origine grosse ferme fortifiée, la Bastie d'Alençon fut transformée en demeure seigneuriale par les Bologne[20]. Elle passa aux Berger, héritiers des Bologne puis aux Armand.
- Lorsque le conseil général de la Drôme a créé le label Drôme provençale, il a choisi le château d'Alençon au milieu des lavandes comme symbole photographique.
- Église Saint Etienne de Roche-Saint-Secret-Béconne.
- Chapelle Notre-Dame à Roche-Saint-Secret-Béconne.
- Village de Béconne en ruine.
- Ferme fortifiée ou château d'Alançon.
Héraldique, logotype et devise
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Roche-Saint-Secret-Béconne possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
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Annexes
Bibliographie
- Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 192 pages, 2004.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- https://www.geoportail.gouv.fr/
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 2 (L'Adret).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 312 (Roche-Saint-Secret).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 4 (Alençon 1, Alençon 2).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 31 (Béconne).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 25 (La Baume).
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Roche-Saint-Secret-Béconne.
- Usine électrique Dieulefit-Valréas à Beconne 1888.
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Eugène Haag, La France protestante, volume 2, 1847, pages 359-360.