Laprugne
Laprugne est une commune française, située dans le département de l'Allier en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Laprugne | |||||
La station de ski de la Loge des Gardes. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Allier | ||||
Arrondissement | Vichy | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Vichy Communauté | ||||
Maire Mandat |
Séverine Thomas-Mollon 2020-2026 |
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Code postal | 03250 | ||||
Code commune | 03139 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Prugnards | ||||
Population municipale |
314 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 9,1 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 59′ 12″ nord, 3° 44′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 549 m Max. 1 164 m |
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Superficie | 34,61 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Lapalisse | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Allier
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Géographie
Localisation
Laprugne est une commune située à l'extrême sud-est du département de l'Allier[1], à la limite de celui de la Loire, entre la montagne bourbonnaise et les monts de la Madeleine. Elle occupe la haute vallée de la Besbre, entre le roc de Gabelous (969 m) et les Pierres du Jour (1165 m)[2].
À vol d'oiseau, elle est à 11,1 km au sud-est du Mayet-de-Montagne[3], à 27,6 km au sud-est de Cusset[4], à 29,3 km au sud-est de la sous-préfecture Vichy[5], 30,6 km au sud-sud-est de Lapalisse[6] et à 71,9 km au sud-sud-est du chef-lieu du département Moulins[7]. La ville la plus proche est Roanne (25,7 km[8]), dans le département de la Loire.
Huit communes, dont quatre dans le département limitrophe de la Loire (neuf[Note 1] en incluant le quadripoint avec Les Noës), jouxtent Laprugne[9] :
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 3 461 hectares[10] ou 34,61 km2 ; son altitude varie entre 549[10] et 1 164 mètres[10] (au point culminant de la commune, dans la forêt de l'Assise, aux Pierres du Jour, à l'est de la commune).
L'altitude moyenne de la commune est de 857 m, celle de la mairie est de 700 m.[11]
Caractéristiques géologiques
Laprugne est entourée par des massifs granitiques (les monts de la Madeleine et les Bois Noirs).
Environnement
Le sud et l'ouest de la commune sont occupés par le massif forestier d'altitude des Bois Bizin. Le roc des Gabelous, point culminant du massif (980 m), se trouve sur Laprugne. La limite avec la commune voisine de Ferrières-sur-Sichon, à l'ouest, suit pour l'essentiel le chemin de crête.
Des forêts entourent le village et les arbres les plus courants sont les hêtres, les frênes, les châtaigniers, les noyers, les chênes et les sapins. La forêt domaniale de l'Assise tient une part importante dans le massif forestier prugnard (environ 680 ha).
Hydrographie
La commune est traversée par la Besbre, affluent de la Loire ; c'est le point le plus bas de la commune avec 549 m d'altitude, à la limite nord, lorsqu'elle quitte Laprugne pour entrer dans la commune de La Chabanne.
Climat
Le climat est continental (hiver froid - été chaud).
Urbanisme
Typologie
Laprugne est une commune rurale[Note 2] - [12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13] - [14].
La commune est en outre hors attraction des villes[15] - [16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,8 %), prairies (25,6 %), zones urbanisées (0,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Logement
En 2012, la commune comptait 529 logements, contre 531 en 2007. La majorité de ces logements sont des résidences secondaires, au nombre de 309 (soit 58,4 %) ; en outre, 30,3 % étaient des résidences principales et 11,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 64,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 35,2 % des appartements[a 1].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 85,8 %, en hausse sensible par rapport à 2007 (85,1 %). La part de logements HLM loués vides était de 2,6 % (contre 1,2 %)[a 2].
Planification de l'aménagement
L'ancienne communauté de communes de la Montagne bourbonnaise, dont Laprugne était membre, avait prescrit l'élaboration d'un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) en 2014. À la suite de la fusion de la communauté de communes avec la communauté d'agglomération de Vichy Val d'Allier le , c'est Vichy Communauté qui poursuit les procédures de l'élaboration de ce document, approuvé en conseil communautaire le et exécutoire depuis le [18].
Voies de communication et transports
La commune est traversée par plusieurs routes départementales. La principale route d'accès est la route départementale 7, reliant Lapalisse et Le Mayet-de-Montagne à Saint-Priest-la-Prugne[9].
La route départementale 177 relie Saint-Clément à la station de ski de la Loge des Gardes, à l'est de la commune ; c'est aussi le point de départ de la route départementale 478 menant à Saint-Nicolas-des-Biefs, en longeant la frontière départementale. Une RD 477 relie La Chabanne à Laprugne sans passer par la station[9].
La route départementale 182 relie le centre du village à la station de ski de la Loge des Gardes et au département de la Loire en direction de l'agglomération roannaise, vers la RD 51 (gérée par le conseil départemental de la Loire malgré un passage sur le territoire de la commune)[9].
Entre 1911 et 1949, la commune était desservie par la ligne unique à voie métrique reliant Vichy à Saint-Just-en-Chevalet (« le tacot de la Montagne bourbonnaise »), avec la gare de Lavoine-Laprugne. Y passait même un temps un train Vichy-Roanne.
Toponymie
Les habitants sont appelés les Prugnards et les Prugnardes[19]. Le nom vient de l'arpitan local La Prugnaz.
Laprugne est en effet une des quelques communes du département de l'Allier à faire partie de l'aire linguistique du francoprovençal (arpitan). Cette aire linguistique comprend aussi dans le sud-est du Bourbonnais les communes de Saint-Pierre-Laval, Saint-Nicolas-des-Biefs, La Chabanne et Lavoine[20].
Histoire
Préhistoire
Comme preuve de l'occupation humaine à l'époque préhistorique, deux haches polies ont été découvertes à Ratignier et aux Pouzerattes, puis placées au musée Déchelette à Roanne. Elles datent du paléolithique. Des morceaux de hache de l'âge de bronze ont été aussi trouvées sur le chemin de la ligue ainsi que les restes d'une enceinte fortifiée au Point du Jour (village situé à 940 mètres d'altitude sur la commune de Laprugne).
Antiquité
Dès le Ier siècle, les Romains passaient par Laprugne pour aller de Vichy à Feurs.
Moyen Âge
Projectus, évêque d'Auvergne du VIIe siècle a donné le nom de Laprugne au village. Le nom viendrait de l'arbre « prunier » du latin prunhia.
Dès le XIIe siècle, les terres de Laprugne furent rattachées à l'abbaye de Cusset. L'abbesse Agnès, supérieure de l'abbaye , créa plusieurs prieurés. Celui de Laprugne fut l'un des plus importants. Le territoire formera la paroisse de Laprugne.
Le Châtelard : les religieuses fortifieront un endroit favorable pour se protéger des dangers extérieurs (brigands, bandes armées et épidémies de peste) ; elles se retrancheront au Châtelard (petit château fort). Le château tomba en ruines et, en 1473, l'abbesse Blanche demanda à Louis XI de reconstruire la forteresse. Celui-ci accepta la reconstruction de la place forte. À ce jour, il ne reste rien de ce château, seul le nom de Châtelard est conservé par le lieu-dit.
L'une des cloches de l'église de Laprugne, datant de 1474, est une des plus anciennes du département.
Époque moderne
Dans la deuxième moitié du XVIe siècle, le pays est déchiré par les luttes entre protestants et catholiques. Le chemin de la Ligue, utilisé par les ligueurs qui suivaient ce chemin pour surveiller les alentours, existe toujours[Note 3]. Ce chemin est situé sur la crête de la commune de Laprugne.
Au XVIIe siècle, Laprugne faisait partie de la province du Bourbonnais, pays de grande gabelle, où l'on payait l'impôt sur le sel, la gabelle, beaucoup plus cher qu'en Auvergne, pays rédimé de gabelle. Une contrebande active s'exerçait donc à la frontière entre ces deux provinces. Un poste de surveillance situé sur le chemin de la Ligue, nommé le Roc des Gabelous, dominait à 980 mètres d'altitude la commune de Laprugne ; il existe encore aujourd'hui.
Aux XVIIIe et XIXe siècles, des centaines de garçons ont quitté la paroisse, chassés par la nécessité, pour devenir sabotiers dans les provinces voisines. Plus d'une centaine ont été ainsi localisés par les généalogistes du seul département de l'Yonne (ex. à Thorigny-sur-Oreuse depuis 1775). Il s'agit d'une immigration professionnelle exclusivement centrée autour d'une seule paroisse.
Époque contemporaine
La commune est créée en 1790.
Les abbesses quitteront Laprugne après plus de neuf siècles passés dans leur domaine lors de la Révolution française. Fin , la grande peur s'empara de la population mais rien ne se produisit sinon le pillage de quelques châteaux des environs. De nombreux biens seront vendus, dont le pré de la Cure appartenant à l'abbaye de Cusset. Après l'abolition du culte catholique, de nombreux prêtres réfractaires se réfugient dans la forêt de l'Assise et disent la messe du dimanche en cachette. Après la Terreur, l'église Saint-Jean-Baptiste de Laprugne est rouverte au culte.
Sous l'Empire, de nombreux conscrits se cachèrent aussi dans la forêt de l'Assise.
En 1842, débute l'exploitation de mines de plombs argentifères, puis plus tard d'étain et de cuivre.
En 1850, une partie de la commune de Laprugne est détachée au profit de la commune de La Chabanne.
Sous le règne de Napoléon III, l'abbé Querry sera à l'origine de la tradition de l'agneau de la Saint-Jean. À la suite d'une maladie qui décimait les troupeaux de moutons, un paysan demanda à l'abbé de venir bénir le troupeau. Le mal disparut. L'abbé demanda qu'à chaque Saint-Jean, un agneau soit amené et béni pendant la messe. Cet agneau fut ensuite vendu aux enchères au profit de la paroisse. Chaque année, un agneau est donné par un agriculteur de la région. Et la tradition de l'agneau de la Saint-Jean continue depuis cette époque.
En 1911, la ligne de train à voie métrique du réseau secondaire de l'Allier, de Vichy à Ferrières-sur-Sichon est prolongée jusqu'à Laprugne, puis par le col du Bon Louis, jusqu'à Saint-Just-en-Chevalet dans la Loire et au réseau de ce département. Cela permit l'expansion des mines[23].
En 1924, implantation du monument aux morts en granit gris. Les tables d'inscription sont en granit rose. Une croix de guerre est sculptée.
En 1933, début de la commercialisation de l'eau minérale Charrier, qui jusqu'alors sous son nom d'origine, La Bouna Font, ne servait que pour hydrater les mineurs[23].
En 1952, début d'extraction d'uranium dans la commune voisine de Saint-Priest-Laprugne. Laprugne va largement en bénéficier, voyant sa population passait de 900 à 1400 habitants. La cité Magnan, comprenant 120 logements et un nouveau groupe scolaire sont construits[23].
En 1953, la mine de cuivre et d'étain est définitivement fermée.
En 1958, rachat de la source Charrier par le groupe Perrier. L'année suivante, l'exploitation de l'eau minérale atteint son apogée avec son célèbre slogan publicitaire « bébé aime Charrier » [23] jouant sur la relation entre Brigitte Bardot (BB) et Jacques Charrier et la naissance de leur enfant.
En 1960, aménagement de la station de ski de la Loge des Gardes.
En 1980, les ouvertures de mines d'uranium à Lodève entrainent la fermeture de celle de Saint-Priest-Laprugne et le départ de nombreux habitants à Laprugne[23].
En 1996, fin de l'exploitation de la source Charrier[24].
Politique et administration
Administration municipale
Monique Montibert, ancienne adjointe, a été élue maire à l'issue des élections municipales de 2014, lors du conseil municipal suivant immédiatement les élections, lequel a désigné trois adjoints[25].
En 2020, Séverine Thomas-Mollon succède à Monique Montibert à la mairie. Trois adjoints ont été désignés[26].
Liste des maires
Équipements et services publics
Enseignement
Laprugne dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère l'école élémentaire publique Victor-Schœlcher (douze élèves)[28].
Les collégiens sont scolarisés au Mayet-de-Montagne[29] et les lycéens au lycée Albert-Londres à Cusset[30].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2020, la commune comptait 314 habitants[Note 4], en diminution de 3,09 % par rapport à 2014 (Allier : −2,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est âgée.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 18,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 43,5 % la même année, alors qu'il est de 34,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 149 hommes pour 166 femmes, soit un taux de 52,7 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (52,05 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports
Laprugne a été commune de passage du Paris-Nice 2023. Le 8 mars, la 4e étape avait pour terminus la station de ski de La Loge des Gardes, avec une ascension de 1re catégorie (6,7 km à 7,1 %)[37].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2011, le revenu fiscal médian par ménage s'élevait à 20 558 €, ce qui plaçait Laprugne au 30 566e rang des communes de plus de 49 ménages en métropole[38].
Emploi
En 2012, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 197 personnes, parmi lesquelles on comptait 71,7 % d'actifs dont 56 % ayant un emploi et 15,7 % de chômeurs[a 3].
On comptait 44 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 115, l'indicateur de concentration d'emploi est de 38,7 %, ce qui signifie que la commune offre moins d'un emploi par habitant actif[a 4].
85 des 115 personnes âgées de 15 ans ou plus (soit 73,9 %) sont des salariés[a 5]. 36,9 % des actifs travaillent ailleurs dans le département, 29,7 % dans une autre région et 27,9 % dans la commune même[a 6].
Entreprises
Au , Laprugne comptait quinze entreprises : deux dans l'industrie, aucune dans la construction, onze dans le commerce, les transports et les services divers et deux dans le secteur administratif[a 7].
En outre, elle comptait 22 établissements[a 8].
Tourisme
Au , la commune comptait un seul hôtel non classé de onze chambres[a 9].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Jean-Baptiste, construite en 1877 d'après les plans de l'architecte Moreau de Moulins. De style ogival néo-roman, en granit gris, elle possède trois beaux vitraux dans le chœur.
- Une des plus vieilles cloches du département se trouve dans le clocher de l'église Saint-Jean-Baptiste de Laprugne. Datée de 1474, elle porte les armes de la famille de Beaujeu et aurait été donnée par Anne de Beaujeu.
- Trois cloches sont classées monument historique au titre objet le :
- Station de sports d'hiver de la Loge des Gardes.
- Les mines et la source de Charrier : Bonne fontaine.
- Col du Beaulouis (823 m) sur l'ancienne route nationale 495, en limite avec la Loire.
Laprugne dans la littérature et les arts
Au début du roman fantastique de René Barjavel, Une rose au paradis (1981), le village de Laprugne est cité et il sert de toile de fond au départ de l'action.
Héraldique
Blason | D'azur à une palme d'or posée en pal, accostée de deux étoiles en chef et de deux croissants en pointe, le tout du même[42]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Laprugne sur le site de l'office de tourisme de la Montagne bourbonnaise
- Laprugne sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Laprugne et Cherier partagent une frontière de quelques dizaines de mètres[9].
- Selon le zonage publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Il s'agit d'un très ancien chemin, remontant probablement à l'époque gallo-romaine. Son nom vient du fait qu'à l'époque des guerres de religion, à la fin de l'année 1567, cet itinéraire a été emprunté par le capitaine protestant Poncenat qui venait du Forez et allait vers le Bourbonnais, où il battit les catholiques à la bataille de Cognat ; mais dans l'imaginaire local, le souvenir fut rapporté aux catholiques[21] - [22].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Insee
- LOG T2 – Catégories et types de logements.
- LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
- EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
- EMP T5 – Emploi et activité.
- ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2012.
- ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
- DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au .
- DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au .
- TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au .
Autres références
- « Laprugne », sur Lion 1906 (consulté le ).
- Jean-Gabriel Jonin, Le Canton du Mayet-de-Montagne, Saint-Cyr-sur-Loire, éditions Alan Sutton, coll. « Mémoire en images », , 128 p. (ISBN 978-2-8138-0307-8), p. 16
- « Orthodromie entre Laprugne et Mayet-de-Montagne », sur Lion 1906 (consulté le ).
- « Orthodromie entre Laprugne et Cusset », sur Lion 1906 (consulté le ).
- « Orthodromie entre Laprugne et Vichy », sur Lion 1906 (consulté le ).
- « Orthodromie entre Laprugne et Lapalisse », sur Lion 1906 (consulté le ).
- « Orthodromie entre Laprugne et Moulins », sur Lion 1906 (consulté le ).
- « Orthodromie entre Laprugne et Roanne », sur Lion 1906 (consulté le ).
- Carte de Laprugne sur le site Géoportail, IGN.
- « Répertoire géographique des communes », IGN.
- « LAPRUGNE - Carte plan hotel village de Laprugne 03250 - Cartes France.fr », sur cartesfrance.fr (consulté le ).
- « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Insee, (consulté le )
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « PLUI Montagne Bourbonnaise », sur vichy-communaute.fr, Communauté d'agglomération Vichy Communauté (consulté le ).
- « Laprugne (03250) », sur habitants.fr, SARL Patagos (consulté le ).
- « Atlas sonore des langues régionales de France », sur https://atlas.limsi.fr/ ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, Paris, CNRS,
- Lucien Fanaud, Voies romaines et vieux chemins en Bourbonnais, De Borée, , p. 322, réimpr.
- Aubert de La Faige et Roger de La Boutresse, Les Fiefs du Bourbonnais. La Palisse, Paris, Plon, Nourrit et Cie, (lire en ligne), p. 82.
- Jean-Gabriel Jonin et 2011 p. 69 Ã 72.
- Jean-Gabriel Jonin et 2011 p. 69.
- « Monique Montibert, élue maire », La Montagne, Vichy,‎ , p. 15.
- « Séverine Thomas-Mollon élue maire de Laprugne (Allier) », La Montagne, (consulté le ).
- Liste des maires de l'Allier [PDF], sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de l'Allier, 8 avril 2014 (consulté le 5 juin 2014).
- « Ecole primaire Victor Schoëlcher », Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « Sectorisation des collèges du département de l'Allier » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale de l'Allier, (consulté le ).
- Service académique d'information et d'orientation, « Arrêté rectoral en date du relatif à la répartition des districts scolaires des lycées des départements de l'Allier, du Cantal, de la Haute-Loire et du Puy-de-Dôme » [PDF], Académie de Clermont-Ferrand (consulté le ), p. 5.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Laprugne (03139) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Allier (03) », (consulté le ).
- Raphaël Rochette, « La Loge des Gardes (Allier) sur la carte du Paris-Nice 2023, mercredi 8 mars (officiel) » , La Montagne, (consulté le ).
- Revenus fiscaux localisés des ménages [zip], Insee, données 2011.
- « Cloche », notice no PM03000221, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Cloche », notice no PM03000222, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Cloche dite de Villefranche (Rhône) », notice no PM03000223, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « 03139 Laprugne (Allier) », sur armorialdefrance.fr (consulté le )