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La Motte (CĂŽtes-d'Armor)

La Motte [la mɔt] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor en rĂ©gion Bretagne.

La Motte
La Motte (CĂŽtes-d'Armor)
L'Ă©glise Saint-Vincent-Ferrier et une rue du village
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement CĂŽtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Communauté de communes Loudéac Communauté - Bretagne Centre
Maire
Mandat
Henri Flageul
2020-2026
Code postal 22600
Code commune 22155
DĂ©mographie
Gentilé Mottérieux, Mottérieuse
Population
municipale
2 146 hab. (2020 en augmentation de 1,66 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 50 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 14â€Č 09″ nord, 2° 43â€Č 52″ ouest
Altitude Min. 96 m
Max. 278 m
Superficie 43,03 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Loudéac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mûr-de-Bretagne
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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La Motte
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La Motte
Liens
Site web Site de la commune de La Motte

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de La Motte est situĂ©e dans le sud du dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor. La commune se trouve Ă  vol d'oiseau Ă  31 km au sud de Saint-Brieuc et Ă  79 km Ă  l'est de Rennes.

    Paysage et relief

    La commune de La Motte a une superficie de 4 303 ha dont 1 625 ha de bois, soit un taux de boisement de 37,8 %. La moitiĂ© orientale de son territoire est occupĂ©e par la forĂȘt de LoudĂ©ac [1]. Bien que la commune soit situĂ©e Ă  proximitĂ© de l'ancienne frontiĂšre linguistique avec la Basse-Bretagne, on y recense moins de 10 % de toponymes d'origine bretonne.

    • voir la lĂ©gende ci-aprĂšs
      Carte topographique de la commune de La Motte.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 908 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 14,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Plouguenast », sur la commune de Plouguenast-Langast, mise en service en 1987[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 966,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de TrĂ©muson, mise en service en 1985 et Ă  33 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  11,2 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    La Motte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de LoudĂ©ac, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Le tableau ci-dessous prĂ©sente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 2,5 % 108
    Terres arables hors périmÚtres d'irrigation 29,0 % 1259
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 21,4 % 932
    SystĂšmes culturaux et parcellaires complexes 7,9 % 344
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 0,9 % 39
    ForĂȘts de feuillus 14,8 % 644
    ForĂȘts de conifĂšres 10,0 % 435
    ForĂȘts mĂ©langĂ©es 10,6 % 460
    ForĂȘt et vĂ©gĂ©tation arbustive en mutation 2,9 % 127
    Source : Corine Land Cover[20]

    L'occupation des sols montre l'importance de la forĂȘt. Celle-ci couvre 1 560 ha ce qui reprĂ©sente 35,4 % de la surface communale. La commune englobe en effet une importante portion de la forĂȘt de LoudĂ©ac. Cette forĂȘt est constituĂ©e de feuillus et de conifĂšres.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes La Mote en 1307, La Motte en 1640, La Motte Gargajan en 1687 et en 1689, La Motte en 1695[21].

    La Motte vient, semble-t-il, d'une motte féodale appelée Motte Gargajan[22] située jadis à La Douve-aux-Louais (ou Douve-à-l'Oie). Le nom de Gargajan est celui d'un village, situé non loin du bourg[21].

    Histoire

    Origine

    La Motte semble ĂȘtre un dĂ©membrement de la paroisse primitive de Cadelac, qui englobait les territoires des communes de LoudĂ©ac, GrĂące-Uzel, Saint-BarnabĂ©, Saint-ThĂ©lo, Saint-HervĂ©, Saint-Maudan, TrĂ©vĂ© et Uzel. Le village de Cadelac est aujourd'hui situĂ© en LoudĂ©ac.

    Période révolutionnaire

    À la fin de la RĂ©volution et aux dĂ©buts du Consulat, La Motte eut le malheur d'ĂȘtre une commune plutĂŽt bleue dans un pays trĂšs blanc.

    En 1801, le second de Cadoudal, Mercier la Vendée, chargé du département des CÎtes-du-Nord est dénoncé par un habitant de la Motte. Il est tué par les soldats républicains à la "Fontaine aux anges".

    Accusée de trahison, la commune entiÚre devient la victime de Dujardin, le chef chouan local qui terrorise ses habitants pendant un an (jusqu'en 1802).

    La 1Ăšre Guerre Mondiale

    Les soldats de La Motte ont payé un tribut particuliÚrement lourd à la 1Úre Guerre Mondiale. 7,3% de la population de 1911 sont donc tombés au Champ d'Honneur (moyenne départementale : 4,7%)[23]

    Le monument aux Morts

    Le monument aux Morts porte les noms de 185 soldats morts pour la Patrie[24] :

    • 173 sont morts durant la PremiĂšre Guerre mondiale.
    • 12 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    ca. 1930 Pierre Mercier
    Les données manquantes sont à compléter.
    20 novembre 1944 23 juillet 1959 Joseph Dupré[25] (1888-1959) Retraité du gaz, ancien combattant 14-18
    Décédé en fonction
    août 1959 septembre 1975 Ernest Mercier Décédé en fonction
    octobre 1975 mars 1983 Roger Jouan
    mars 1983 24 mars 2001 Joseph Hudo[26] PS Commercial retraité
    Vice-prĂ©sident de la CIDERAL (1989 → 2001)
    24 mars 2001 21 juin 2016[27] Jean-Pierre Guilleret PCF Agriculteur
    Vice-prĂ©sident de la CIDERAL (2008 → 2016)
    Décédé en fonction
    29 juin 2016[28] 25 mai 2020 Sylvie Malestroit SE Ancien agent des impĂŽts, assistante maternelle
    25 mai 2020 En cours Henri Flageul[29] Retraité du commerce

    DĂ©mographie


    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[31].

    En 2020, la commune comptait 2 146 habitants[Note 8], en augmentation de 1,66 % par rapport Ă  2014 (CĂŽtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 1552 7222 2783 0693 1983 2353 2063 2243 097
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 8653 1603 3623 3073 1503 3493 1952 8612 711
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 7012 6482 3602 0551 9891 9391 8371 7171 533
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 5051 4731 5361 8341 8381 7731 9652 0182 106
    2018 2020 - - - - - - -
    2 1312 146-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • La Douve aux Louais : Ă  200 m du Bourg, motte et enceinte de la Douve aux Louais. Elle a souvent Ă©tĂ© considĂ©rĂ©e comme une ancienne motte fĂ©odale. Mais lors de fouilles archĂ©ologiques rĂ©alisĂ©es en 1876, diffĂ©rents objets (un foyer, des ossements brĂ»lĂ©s, des morceaux de fer, des dĂ©bris de poterie) ont Ă©tĂ© dĂ©couverts ; il a alors Ă©tĂ© conclu qu'il s'agissait d'un vaste cimetiĂšre d'incinĂ©ration datant de l'apparition du fer dans notre rĂ©gion, plusieurs siĂšcles avant la conquĂȘte romaine. La Douve aux Louais a aussi Ă©tĂ© appelĂ©e, selon les Ă©poques : La Douve-Louais, La Douve aux Lois, La Douve Ă  l'Oie.
    • Église Saint-Vincent-Ferrier : l’édifice actuel remplace une premiĂšre construction de 1640. La tour est datĂ©e de 1724, le reste de la construction a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© de 1728 Ă  1751. La chapelle des fonts baptismaux, de forme octogonale date de 1767. L’autel, en marbre de Carrare (Italie), a Ă©tĂ© sculptĂ© Ă  Marseille. Il est ensuite expĂ©diĂ© par bateau en 1772, mais ne sera installĂ© dans l’église que pendant la RĂ©volution[Note 9]. À noter, dans le chƓur, trois vitraux remarquables.

    Fait remarquable au-dessus des autels situĂ©s de chaque cĂŽtĂ© du chƓur dans le triangle de la TrinitĂ© se trouve le nom de Dieu francisĂ©. À droite "JEHOVAH" et Ă  gauche "GEOVA". Un confessionnal est datĂ© de 1717.

    • La croix de la Douve aux Louais : elle est sculptĂ©e d’un Christ aux traits naĂŻfs, reprĂ©sentatif de l’art breton traditionnel.
    • Fontaine de dĂ©votion.
    • Ancien lavoir, Ă  proximitĂ© de la croix de la Douve aux Louais (utilisĂ© jusqu’au dĂ©but du XXe siĂšcle).
    • Mairie
      Mairie
    • Croix de la Douve aux Louais
      Croix de la Douve aux Louais
    • DĂ©tail de la croix de la Douve aux Louais
      DĂ©tail de la croix de la Douve aux Louais
    • Monument aux morts
      Monument aux morts
    • Lavoir de la Douve aux Louais
      Lavoir de la Douve aux Louais

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Autel en marbre de Carrare, taillĂ© Ă  Marseille, venu par mer, sur le Beaudouin, armateur Robinot de la Lande, jusqu'Ă  Guernesey, oĂč il est saisi en 1778. L'autel (dix-neuf caisses) est envoyĂ© Ă  Saint-Malo et ne parvient Ă  la Motte qu'aprĂšs 1787. Étude faite d'aprĂšs la sĂ©rie F des Archives nationales. Il existe un dossier sur cette affaire dans le fonds de l'amirautĂ© de Saint-Brieuc (Archives dĂ©partementales des CĂŽtes-d'Armor, sĂ©rie B) classĂ© depuis.

    Références

    1. La Motte sur le site France, le trésor des régions, Roger Brunet
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Plouguenast - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre La Motte et Plouguenast-Langast », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Plouguenast - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre La Motte et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    21. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de La Motte » (consultĂ© le ).
    22. Elle a souvent Ă©tĂ© considĂ©rĂ©e comme une ancienne motte fĂ©odale. Mais lors de fouilles archĂ©ologiques rĂ©alisĂ©es en 1876, diffĂ©rents objets (un foyer, des ossements brĂ»lĂ©s, des morceaux de fer, des dĂ©bris de poterie) ont Ă©tĂ© dĂ©couverts, dans les anciens titres la trĂšve de La Motte Ă©tait dĂ©signĂ©e sous le nom de Ecclesia tumuli (« Ă©glise du tombeau Â»), ce qui fait plutĂŽt penser que la motte Ă©tait un site funĂ©raire ; il a alors Ă©tĂ© conclu qu'il s'agissait d'un vaste cimetiĂšre d'incinĂ©ration datant de l'apparition du fer dans notre rĂ©gion, plusieurs siĂšcles avant la conquĂȘte romaine.
    23. http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?act=view&insee=22155&pays=France&dpt=22&idsource=7372&table=bp&lettre=&fusxx=&debut=0
    24. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    25. « DĂ©cĂšs de M. Joseph DuprĂ©, maire de La Motte », Ouest-France (archives du journal),‎
    26. « L'ancien maire Joseph Hudo est dĂ©cĂ©dĂ© », Ouest France,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « ParallĂšlement Ă  ses activitĂ©s professionnelles et familiales, Joseph Hudo s'est investi dans la vie municipale. Conseiller municipal de 1977 Ă  1983, il est Ă©lu maire de 1983 Ă  2001. La construction de la salle des sports en 1983, l'Ă©cole publique et le restaurant scolaire en 1989, les tribunes-vestiaires du stade en 1995, la rĂ©novation de l'immeuble des BruyĂšres en 1998, l'amĂ©nagement du bourg en 1999, seront les principaux projets rĂ©alisĂ©s durant sa mandature de maire. Il sera, en outre, vice-prĂ©sident de la CidĂ©ral et prĂ©sident du syndicat d'eau potable La Motte-TrĂ©vĂ© ».
    27. Yann Scavarda, « Le maire de La Motte J.-P. Guilleret est dĂ©cĂ©dĂ© : Jean-Pierre Guilleret, maire de La Motte depuis 2001 est dĂ©cĂ©dĂ© ce mardi 21 juin en dĂ©but d'aprĂšs-midi. », Le Courrier indĂ©pendant,‎ (lire en ligne).
    28. « La Motte : Sylvie Malestroit succĂšde Ă  Jean-Pierre Guilleret », Le Courrier indĂ©pendant,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    29. « Municipales Ă  La Motte. Henri Flageul est Ă©lu maire de la commune », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Bibliographie

    • J. Darsel, Les tribulations du maĂźtre-autel de la Motte-LoudĂ©ac, dans : SociĂ©tĂ© d'Ă©mulation des CĂŽtes-du-Nord. Bulletins et mĂ©moires, Tome LXXXV, 1956. Saint-Brieuc, 1957. p. 108.

    Liens externes

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